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Transitions polymurphiques des solides induites par la pression traitement mathématique de la cinétique de l'effet de « rétropression »

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HAL Id: jpa-00208115

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Submitted on 1 Jan 1973

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Transitions polymurphiques des solides induites par la pression traitement mathématique de la cinétique de

l’effet de “ rétropression ”

A. Lacam, J. Peyronneau, J. Leliwa Kopystynski

To cite this version:

A. Lacam, J. Peyronneau, J. Leliwa Kopystynski. Transitions polymurphiques des solides induites

par la pression traitement mathématique de la cinétique de l’effet de “ rétropression ”. Journal de

Physique, 1973, 34 (11-12), pp.1055-1059. �10.1051/jphys:019730034011-120105500�. �jpa-00208115�

(2)

TRANSITIONS POLYMURPHIQUES DES SOLIDES

INDUITES PAR LA PRESSION

TRAITEMENT MATHÉMATIQUE DE LA CINÉTIQUE

DE L’EFFET DE « RÉTROPRESSION »

A. LACAM et J. PEYRONNEAU

Centre National de la Recherche

Scientique, 92-Bellevue,

France J. LELIWA KOPYSTYNSKI

(*)

Institut

Géophysique

de l’Académie Polonaise des Sciences

(Reçu

le 16 avril

1973,

révisé le 18

juillet 1973)

Résumé. 2014 A

partir

de travaux

expérimentaux

concernant l’effet

d’hystérésis,

on détermine

différents modèles

mathématiques

permettant de rendre compte de la

cinétique

des transformations

polymorphiques

des

halogénures

du rubidium. Seule la

période

initiale de la réaction est

envisagée.

Il est alors

possible

de considérer les germes comme

indépendants

les uns des autres. Pour les divers

modèles de

germination envisagés,

on

parvient

à une relation

générale,

entre

pression

et volume,

de la forme :

0394P ~

0394V(1 -

Cte

0394Va)

qui

traduit correctement l’allure des

phénomènes

observés, y

compris

le

phénomène

de « rétro-

pression »

mis en évidence par les

diagrammes expérimentaux pression/déplacement.

Abstract. 2014

Using

the

experimental

results of the

hysteresis effect,

mathematical models are

proposed

to describe the kinetics of the rubidium halides

phase

transitions.

Only

the first stage of the reaction is considered. It is assumed that the nuclei of the new

phase

are

independent

of each

other. The

general

relation between pressure and volume obtained for the different models is :

0394P ~ 0394V(1 -

Cte

0394Va)

which describes

correctly

the characteristics of the observed

phenomena, including

the « retro-

pressure »

occurring

in the

experimental piston displacement

versus pressure curves.

Classification

Physics Abstracts

16.65

1. Introduction. - Du

point

de vue

purement

ther-

modynamique,

une transition

polymorphique

induite

par la

pression

dans un solide devrait se

situer,

d’une

façon réversible,

à une

pression

fixe et déterminée

correspondant

à

l’égalité d’enthalpie

libre des

phases

en

présence.

En

fait, l’apparition

d’un germe de la

phase

nouvelle nécessite un

apport d’énergie

d’acti-

vation

qui éloigne

de la

pression

vraie de transition.

Si l’on considère les transformations

inverses,

on

observe par

conséquent

un effet

d’hystérésis [1], [2], [3], [4], [5].

Il s’ensuit que toute influence sur la

germi-

nation se

répercutera obligatoirement

sur l’effet

d’hys-

térésis et

réciproquement.

Il

apparaît

donc

possible,

à

partir

du

cycle d’hystérésis,

de déterminer un modèle

mathématique qui,

tenant

compte

de la

cinétique

de

la

transition,

rende

compte

du début du

phénomène.

Par

ailleurs,

le modèle recherché devra

prendre

en

considération le processus

expérimental

utilisé pour caractériser cet effet

d’hystérésis.

2. Conditions

expérimentales.

- Lors de nos

expé-

riences

[6], [7],

le solide

expérimental

est

comprimé isostatiquement

au moyen d’un

mélange équivolumé- trique

de n-pentane et

d’iso-pentane. L’appareillage

utilisé est du

type piston cylindre,

dans

lequel

la pres- sion est mesurée in situ dans le fluide sous haute

pression.

Les

déplacements

du

piston permettent

de (*) Actuellement au CNRS, 92-Bellevue.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019730034011-120105500

(3)

1056

connaître les variations

volumétriques.

Si l’on suit les variations de

pression

en fonction du

déplacement

du

piston,

la courbe obtenue est une fonction mono- tone

qui

traduit la

compressibilité

des corps en

expé-

rience

(liquide

+

solide).

En

revanche,

lors de la transition

polymorphique,

on observe une « discon-

tinuité » dans la courbe

qui

est due à la variation de

volume du solide en cours de transformation.

FIG. 1.

La

figure

1 illustre un

cycle d’hystérésis

obtenu

avec du chlorure de rubidium en

poudre.

La forme

de ce

cycle appelle quelques

remarques : 2.1 1 Le début de la réaction est peu

marqué.

2.2

Lorsque

l’avance du

piston

se

poursuit,

on

observe un

phénomène

de

rétropression qui

se

traduit,

en

pression,

par une variation

opposée

à celle

qu’im-

pose normalement le mode

opératoire.

Cette évolution est attribuable à la cristallisation de la

phase nouvelle, qui

s’est alors considérablement accélérée. Cette dernière

particularité, qui

n’a pas encore été

signalée

à notre

connaissance,

n’est observable nettement que

lorsque

le solide est

placé

dans un milieu

parfaitement isostatique.

2.3 Les observations

précédentes

sont valables

autant à la

compression qu’à

la

décompression.

Expérimentalement,

on a pu montrer que pour des échantillons de même nature, la

largeur

et la

forme de

l’hystérésis dépendent

des conditions

d’expé-

rience

[7],

notamment des traitements

mécaniques

et

thermiques

subis par l’échantillon. Il est vraisemblable que les traitements initiaux ont une influence non

négligeable

sur la concentration des défauts du réseau.

3.

Equations

de base. - Le but de ce travail est de

trouver différents modèles

mathématiques permettant

de rendre

compte

de la

période

initiale de la

transition,

c’est-à-dire dans une

période

de

temps pendant laquelle

la concentration des germes est relativement faible et leurs dimensions

petites

vis-à-vis de leur distance.

Il est alors

possible

de les traiter

indépendamment

les

uns des autres.

Pour décrire

mathématiquement

la

période

ini-

tiale de la transition

polymorphique,

on est conduit

à choisir divers modèles en faisant au

départ

les

hypothèses

suivantes :

3.1 1

Compte

tenu de la faible vitesse de la réaction

vis-à-vis des

échanges thermiques

dans le milieu

comprimé

et de nos conditions

expérimentales,

le

paramètre température

ne sera pas introduit dans les

équations.

3.2 Les

compressibilités

du

liquide

transmetteur et des solides en

phase

1 ou 2 varient linéairement

avec la

pression

au

voisinage

des

pressions

de nucléa-

tion.

Nous limiterons d’autre

part

cette étude à la tran- sition

phase

1 -

phase 2,

les calculs pour la réaction inverse ne s’en différentiant que par les

signes.

En prenant t = 0 pour le début de la

nucléation,

au temps t le volume total sous

pression V(t)

est

égal

à :

Si aL,

al et

a2 sont des constantes selon

l’hypothèse 2, l’éq. (1)

devient :

avec :

VL

et

V1

sont

respectivement

les volumes du

liquide

et de la

phase 1,

pi et p2, les densités des

phases

1

et

2,

le tout à la

pression

de nucléation. La fonction

v(t) représente

le

degré

d’avancement de la

réaction,

c’est-à-dire le facteur de la masse du solide transformée

au

temps t, V,(p,lp,) v(t)

étant le volume de cette masse réduit à la

pression PN.

On

peut exprimer

ainsi

l’éq. (2) :

avec :

L’éq. (4)

est valable

pendant

toute la transforma- tion 1 -

2 ;

les résultats concernant la transformation inverse s’obtiennent de la même

façon

à

partir

de

l’éq. (1).

Nous n’allons considérer à

présent

que le début de la

transition,

c’est-à-dire un domaine de faible concentration de la nouvelle

phase.

Dans ces

conditions, v

et AP sont des

quantités petites

et on

pourra

négliger

leurs

produits ; l’éq. (4)

devient alors :

avec :

Si le volume sous

pression

varie à vitesse constante

- condition effectivement réalisée - on a :

(4)

Ce

qui

nous conduit à :

Les fonctions

AP = AP(A V) et A V = à V(t)

sont

des

grandeurs physiques

accessibles

expérimentale-

ment. Par

ailleurs, B

est la

pente

de la droite

et la connaissance par

l’expérience

de la variation de

volume du solide due à la transition

permet

de cal- culer les densités des deux

phases

à une

pression

donnée.

Le seul

problème qui

subsiste est celui de la forme

mathématique qui

doit être donnée à la fonction

v(t),

c’est-à-dire attribuer un modèle convenable à la croissance

volumétrique,

en fonction du

temps,

de la

phase

nouvelle. Dans le cadre de cette

étude,

ce choix

ne

peut

être

guidé

que par des

comparaisons

avec

les données

expérimentales.

Relation

PV pour

les divers modèles de croissance de la

phase

nouvelle.

D’après

B. Delmon

[8],

on

peut distinguer

deux

mécanismes différents pour

l’apparition

des germes de la

phase

nouvelle :

a)

Elle est liée à l’activation des germes

potentiels.

Ces derniers constituent alors les

points

de

départ

de

la création des germes de la

phase

nouvelle. Le nombre de germes par unité de volume - ou leur densité y =

y(t)

- varie de zéro

jusqu’à

une densité de satu-

ration

r, qui correspond

à la densité des germes

potentiels

dans l’état initial. En

général,

les germes

potentiels

sont constitués par les défauts du réseau cristallin. La croissance de la

phase

nouvelle se fait

autour de ces défauts.

b)

Elle se

produit

avec une

probabilité

uniforme

dans tout le volume de l’échantillon. Ce mécanisme n’est pas relié aux défauts cristallins. Dans ce cas, il

n’y

a

plus

de densité de saturation.

Nos résultats

expérimentaux [7]

semblent

indiquer

une certaine

dépendance

de la fonction

AP=AP(AV)

vis-à-vis des traitements

mécaniques

et

thermiques,

subis par les

échantillons ;

ceux-ci ont une influence

marquée

sur la

largeur

et la forme du

cycle d’hysté-

résis. Pour ces

raisons,

nous admettrons que

l’augmen-

tation du nombre de germes de la

phase

nouvelle est

liée au nombre de germes

potentiels.

Dans cette

hypothèse,

et

d’après

B. Delmon

[8],

la

fonction

v(t)

est donnée par la relation :

Dans le cas d’une

germination instantanée,

c’est-à-

dire si à l’instant t =

0,

pour une

pression PN,

tous

les germes sont activés.

v(t)

est le volume de chacun des germes au moment t.

Si la création des germes obéit à la relation y =

y(t) l’équation

donnant

v(t)

devient :

Dans cette

équation, v(t - r) représente

le volume à l’instant t d’un germe né au

temps i

et

dy/di

la vitesse

spécifique

de

germination.

Sans faire

d’hypothèse

sur les réseaux

cristallins,

il

est

généralement

admis

[8], [9]

que, dans le cas d’une croissance

tridimensionnelle,

le volume des germes est

proportionnel

à la troisième

puissance

du

temps

de leur

existence,

soit :

a est un

paramètre

constant

caractéristique

du

processus de croissance. En introduisant

(12)

dans

(10)

et

(11),

on obtient :

ou :

4. Modèles

mathématiques

de

germination. -

4.1 Le modèle le

plus simple

est celui de la

germina-

tion instantanée. Les

éq. (9)

et

(13)

donnent alors les

résultats suivants :

4.2 Dans le modèle de

germination

d’ordre

1,

on suppose que

l’augmentation

du nombre de germes de la

phase

nouvelle suit la relation

dy/dt

=

fl(r - y), fl

étant une constante

positive,

on obtient

après

inté-

gration :

d’où :

et

d’après (14)

En

développant e-pt

en

série,

on obtient

d’après éq. (9) :

4. 3 Dans les modèles

précédents,

on considérait que la vitesse de

germination

était

indépendante

des données

expérimentales.

C’est-à-dire que les valeurs de

AP(t)

et de A n’intervenaient pas dans les modèles de

germination.

A

présent,

nous allons chercher à

approfondir,

dans tous les modèles que nous

examinerons,

les

influences des conditions

expérimentales.

Considérons le cas

dy représente

le nombre de germes créés dans un intervalle de

temps

dt par suite d’un accroissement de

pression

AP au-delà de la

(5)

1058

pression PN

de début de la transition. S’il y a propor- tionnalité entre

dy

et

AP,

nous aurons :

et

après intégration :

d’où :

Lorsque

l’intervalle de

temps

est

petit,

il est

possible

de ne conserver que le

premier

terme du

développe-

ment et

l’éq. (22)

devient :

Cette relation aurait pu être obtenue directement en

remarquant

que y, alors très

petit

devant T

peut

être

négligé

dans

l’éq. (20).

D’après

les formules

(6), (14)

et

(23),

nous dédui-

sons la relation :

qui

est

l’équation intégrale

de

Volterra,

du second

genre, pour la fonction inconnue

AP(t).

En utilisant

une méthode

classique d’approximations successives,

on

parvient

à la relation suivante :

Si dans

l’expression (20)

de

dy/dt

on

remplace AP,

effet de

pression, par A V,

effet de volume ou par AP et

A V,

combinaison des

deux,

les calculs effectués de la même

façon qu’entre (20)

et

(25)

donnent des

expressions équivalentes lorsqu’on

limite

l’approxi-

mation au

premier

terme de la série.

4.4

Enfin,

dans un modèle

plus complexe,

on sup- pose que la densité des germes y est une fonction arbitraire de

AP(t)

et L1

V(t),

soit :

Dans ce cas :

En

première approximation,

les différentielles sont

proportionnelles

à

(T - y),

donc à r

puisque

F » y.

Du

point

de vue

physique,

il est admissible de sup- poser que les variations du nombre de germes sont à la fois

proportionnelles

à celles de la

pression

et du

volume. Dans ces

conditions,

nous pouvons écrire :

avec

Ip

et

1,

constantes; et en

négligeant

y devant

r,

nous obtenons

d’après (9), (14)

et

(27) :

5. Discussion et résultats. - Les résultats sont résumés et rassemblés dans le tableau I. Son examen montre que :

TABLEAU 1

(6)

5 .1 La relation de base AP =

AP[A] peut

être mise sous la forme

généralisée

suivante :

quel

que soit le modèle

choisi ; l’exposant a

est alors

un entier

compris

entre 2 et 4.

5.2 La constante

qui

intervient dans

(29)

est tou-

jours proportionnelle

à :

1)

la densité initiale F des germes

potentiels, 2)

a coefficient de croissance des germes de la

phase

nouvelle. Cette

proportionnalité, qui

rend

compte

des

hypothèses

de

départ,

n’est valable que

dans le cadre d’une

approximation

limitée au

premier

terme.

5 . 3 Les

paramètres

a,

fi, Kp, 1p

et

1 y, dépendent : a)

des caractères

intrinsèques

de l’échantillon :

. différence

d’énergie

des deux

phases,

.

temps

de

relaxation,

. différence des densités des deux

phases,

.

pressions

de

nucléation ; b)

des conditions

d’expérience :

. vitesse

opératoire,

.

rapport

des volumes du

liquide

transmetteur sous haute

pression

et de l’échantillon.

Pour vérifier et évaluer les influences propres des caractères

intrinsèques

de l’échantillon et des condi- tions

expérimentales,

certaines

expériences

sont pos- sibles. Parmi

celles-ci,

il

faudrait,

d’une

part,

effectuer des mesures sur des échantillons de même nature mais traités différemment avant

emploi,

et d’autre

part,

faire varier les conditions

expérimentales

dans de

larges proportions.

6. Conclusions. - La conclusion la

plus générale

et la

plus positive

est que l’ensemble des modèles

essayés, qui

ne font

appel qu’à

des

hypothèses phy- siques

ou

mathématiques

couramment

admises,

rendent tous

compte

du

phénomène

de

rétropres-

sion. Voir

figure

2

d’après (29).

Il semble dès à

présent possible d’interpréter

par-

tiellement le

phénomène

de

rétropression.

Se situant

en début de

réaction,

on

peut

admettre

qu’il

est étroi-

tement lié à la

germination.

Par

conséquent,

la pres- sion

qui correspond

à son sommet doit constituer une

délimitation de

part

et d’autre de

laquelle

la transition

FIG. 2.

polymorphique

évolue selon deux processus

physiques

différents.

Jusqu’au

sommet, la

pression

de confine- ment

augmente

et provoque l’activation d’un certain nombre de germes

qui

commencent à croître. En

revanche, après

le sommet, la

pression

de confinement

diminue ;

la

germination

se trouve donc

théorique-

ment

stoppée,

mais la croissance

peut

se

poursuivre,

car la

pression

existante reste

supérieure

à la

pression thermodynamique

de transformation. La

germination

ne pourra

reprendre

que

lorsque

la

pression

de confi-

nement sera de nouveau

égale

ou

supérieure

à celle

du sommet. Il

apparaît,

par

ailleurs,

que le nombre de sites activés est très

important lorsqu’on parvient

à

la

pression

de «

Rétropression

». En

effet,

on ne revient à cette

pression

que

lorsque

la réaction est

très avancée et même

pratiquement

dans sa

phase terminale,

dans certains cas

expérimentaux.

La

rétropression apporte, semble-t-il,

une confir- mation

expérimentale

à

l’hypothèse, reprise

notam-

ment par Turnbull

[9],

selon

laquelle l’énergie

mise

en oeuvre pour l’activation des germes est nettement

plus grande

que

l’énergie

interfaciale

qui

intervient

lors de la croissance de la

phase

nouvelle.

Il ne semble pas

possible,

au stade actuel de l’étude

mathématique,

de faire un choix

parmi

les modèles

essayés,

car ils n’intéressent que la

phase

initiale de la transformation. Ces modèles sont

appelés

à servir

de base à une étude

plus complète,

intéressant l’en- semble du

cycle d’hystérésis.

Elle

englobera

alors la

nucléation et la croissance des germes. Dans ces

conditions,

des

comparaisons

avec

l’expérience

devien-

dront

possibles

et

permettront

de

dégager

le ou les

modèles

compatibles.

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