VRAI ou FAUX
1. La théorie de l’évaluation cognitive affirme que l’usage des récompenses extrinsèques peut avoir des effets négatifs sur les attitudes et les comportements des personnes.
Vrai.
2. Les reconnaissances sont davantage perçues comme des droits acquis que les programmes de rémunération variable.
Faux. C’est l’inverse. Les augmentations de salaire et les primes tendent à devenir des droits acquis, mais pas les remerciements, les honneurs, les félicitations, etc.
3. Dans les programmes de salaire au mérite, il est rare que la progression salariale d’un employé repose uniquement sur les résultats de l’évaluation de sa performance.
Vrai.
4. L’octroi de primes augmente le coût des avantages sociaux.
Faux. Les primes n’entrent pas dans le calcul des avantages sociaux. Seul le salaire de base importe.
5. Les programmes de rémunération des équipes peuvent accroître la cohésion de l’équipe au détriment de la collaboration entre les équipes.
Vrai.
6. Les performances individuelles et collectives des employés sont généralement plus difficiles à définir et à mesurer dans le secteur public que dans le secteur privé.
Vrai.
7. Il importe d’implanter un régime individuel de rémunération variable lorsque les cadres sont compétents et motivés à évaluer et à gérer la performance de leurs employés.
Vrai.
8. Un régime individuel de rémunération variable est approprié lorsque la coopération entre les employés n’est pas primordiale ou valorisée.
Vrai.
9. Les programmes collectifs de rémunération variable sont susceptibles de produire des employés paresseux ou parasites.
Vrai.
10. On ne retrouve aucune forme de rémunération variable dans le secteur public.
Faux. Même si la rémunération variable est moins présente dans le secteur public et qu’elle y a souvent une valeur réduite, certains cadres y ont accès, entre autre au sein des gouvernements fédéral et provincial. L’admissibilité à la rémunération variable varie aussi selon les ministères, les organismes, etc., dans le secteur public.
QUIZ
1. QUEL EST OU QUELS SONT LES RISQUES ENCOURUS PAR UNE ORGANISATION QUI
D. Le risque que le programme devienne un droit acquis.
E. Toutes ces réponses.
F. A et B.
2. COMMENT APPELLE-T-ON LE RATIO CALCULÉ EN DIVISANT LE SALAIRE EFFECTIF DE LA PERSONNE PAR LE SALAIRE CORRESPONDANT AU MAXI-NORMAL OU AU POINT DE CONTRÔLE DE SON ÉCHELLE SALARIALE ?
A. Le ratio d’effectif.
B. Le ratio comparatif.
C. Le ratio salarial.
D. Le ratio d’investissement.
3. ON SUGGÈRE DE RÉDUIRE LA PORTION VARIABLE (COMMISSIONS) DE LA RÉMUNÉRATION DU PERSONNEL DE VENTE LORSQUE :
A. les ventes sont faciles à réaliser.
B. les comportements adoptés par les vendeurs sont importants.
C. les ventes sont réalisées en équipe.
D. les ventes nécessitent une grande expertise ou un grand savoir-faire.
E. A, B, et C.
F. Toutes ces réponses.
4. POUR QUELLE(S) RAISON(S) LES SYNDICATS S’OPPOSENT-ILS GÉNÉRALEMENT À LA RÉMUNÉRATION À LA PIÈCE ?
A. Elle peut nuire à la santé et à la sécurité au travail.
B. Elle peut contribuer à exploiter les employés.
C. Elle peut mener à des coupures de postes.
D. Toutes ces réponses.
E. A et C.
5. QUEL EST LE PLUS ANCIEN ET LE PLUS FRÉQUENT PROGRAMME COLLECTIF DE RÉMUNÉRATION VARIABLE ?
A. Le programme de partage des gains.
B. Le programme de participation aux bénéfices.
C. Le programme de partage du succès.
D. Le programme de participation à la propriété.
6. LES PROGRAMMES DE PARTAGE DES GAINS COMPORTENT DES INCONVÉNIENTS.
LEQUEL OU LESQUELS ?
A. La possibilité de devoir verser des primes alors qu’il n’y a pas de bénéfices.
B. La possibilité de récompenser le personnel pour des améliorations de la productivité qui ne relèvent pas d’eux.
C. Les primes sont susceptibles d’être moins élevées alors que la productivité s’accroît.
D. Toutes ces réponses.
7. QUEL EST LE PROGRAMME COLLECTIF DE RÉMUNÉRATION VARIABLE QUI S’IMPLANTE DANS DIVERS CONTEXTES, AUPRÈS DE DIFFÉRENTES CATÉGORIES DE PERSONNEL ET QUI N’EXIGE PAS DE CULTURE DE PARTICIPATION ?
A. Le programme de participation aux bénéfices.
B. Le programme de partage des gains.
C. Le programme de partage du succès.
D. Le programme de participation à la propriété.
8. UN PROGRAMME DE PARTICIPATION À LA PROPRIÉTÉ :
A. est implanté dans des entreprises dont les actions sont négociées à la Bourse.
B. est surtout implanté dans les organisations du secteur primaire ou de l’industrie de la haute technologie.
C. est surtout offert aux cadres supérieurs.
9. QUEL EST LE PROGRAMME QUI ACCORDE LE DROIT D’ACHETER DES ACTIONS D’UNE ENTREPRISE À UN PRIX FIXÉ D’AVANCE ET DURANT UNE PÉRIODE DONNÉE ?
A. Le programme d’octroi d’actions.
B. Le programme d’achat d’actions.
C. Le programme d’option d’achat d’actions.
D. Le programme d’option d’octroi d’actions.
E. Le programme d’achat d’option d’actions.
10. AFIN QU’UN RÉGIME DE RÉMUNÉRATION VARIABLE SOIT ACCEPTÉ PAR LE SYNDICAT, LES DIRIGEANTS DOIVENT :
A. proposer un régime qui sert à lutter contre la concurrence plutôt qu’à élaborer un avantage compétitif.
B. bâtir un climat de confiance avec le syndicat.
C. accorder une reconnaissance qui sera liée aux performances individuelles.
D. offrir des salaires compétitifs.
E. Toutes ces réponses.
F. A, B, et D.
G. B et D.