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Emploi - Initiative 100,000 PME RAPPORT DÉTAPE

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Academic year: 2022

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Emploi - Initiative

“100,000 PME”

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100,000 PMEs d’ici 2021: fin de la premiere phase

ous sommes ravis d’annoncer la clôture officielle de la première phase de mise en œuvre de l’initiative 100 000 PME, qui consistait à organiser un total de huit sessions de formation virtuelle dans huit États Membres . Des webinaires d’information ont été organisés et se sont déroulés avec succès en Côte d’Ivoire, au Ghana, au Kenya, au Niger, au Nigeria, au Rwanda au Tchad et au Togo, avec des résultats exceptionnels en termes de participation. Au total, 8 webinaires ont eu lieu, 16 768 micro, petites et moyennes entreprises (MPME) se sont inscrites sur la plateforme, 6 736 MPME ont participé aux évènements à travers les plateformes MS-Teams, Facebook Live et la retransmission en direct sur YouTube, plus de 3 112 000 personnes ont suivi les évènements à la radio et enfin, 11 ministres et fonctionnaires se sont mobilisés et ont participé activement aux évènements.

Ce résultat a été atteint grâce au soutien des partenaires, en particulier le Groupe Ecobank, sous le leadership et

en présence effective de Mme Josephine Anan Ankomah, Directrice Groupe de la Banque Commerciale. La Fondation Ecobank et l’Académie Ecobank ont joué un rôle essentiel dans la réussite de cette activité, fruit du partenariat entre le Groupe Ecobank et l’AUDA-NEPAD.

Selon les termes du Dr Ibrahim Assane Mayaki, Secrétaire Exécutif de l’AUDA-NEPAD, ce partenariat accélérera la mise en œuvre de l’initiative «100 000 PME d’ici 2021», conçue comme une contribution à l’initiative «1 million de jeunes d’ici 2021» du président de la Commission de l’Union africaine.

«L’ AUDA-NEPAD prévoit la mise en place d’une plateforme continentale sur la base de notre campagne initiale ‘100 000 PME d’ici 2021’ visant à apporter une réponse immédiate aux menaces potentielles du COVID-19 sur les PME et la création d’emplois sur le continent. Nous remercions le Groupe Ecobank d’être le premier partenaire stratégique à soutenir l’initiative et invitons toutes les institutions oeuvrant dans les domaines de la protection et de la création d’emplois en Afrique à se joindre à nous. ».

Nous avons relaté certains de ces webinaires dans notre précédente édition du Rapport d’étape, qui peut être téléchargé ici (https://www.nepad.org/publications). Vous trouverez ci-après les résultats des webinaires relatifs aux dernières sessions.

Nigeria

Cet événement qui a été organisé au Nigeria (03/09/2020) avec la participation de représentants du gouvernement et du secteur privé tels que M. Tony Okpanachi, Directeur général de la Banque de développement du Nigeria, M.

Philip Yila Yusuf, Directeur du Département Financement du Développement au sein de la Banque centrale du Nigeria, M. Patrick Akinwuntan, Directeur exécutif

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régional d’Ecobank Nigeria, a rassemblé un total de 1 093 participant(e)s qui ont assisté au webinaire d’information en direct. Grâce au soutien de Star FM Lagos, Rhythm FM Abuja, Rhythm FM, Port Harcourt FM, Odenigbo FM et Anambra FM, le contenu du webinaire a été adaptés et diffusés sur les ondes radio, ce qui a permis d’atteindre un public estimé à 2 millions de personnes. Pour plus de détails sur cet évènement, cliquez ici:

https://cutt.ly/2fSvKAi

Côte d’Ivoire

Cet évènement, organisé en Côte d’Ivoire (08/09/2020) avec une participation de haut niveau des secteurs privé et public, a accueilli des intervenants tels que M. Salimou BAMBA, Directeur général de l’agence ivoirienne pour les PME, M. Paul-Harry Aithnard, Directeur exécutif régional de la région UEMOA d’Ecobank et M. Roland DIBI, Directeur général d’Ecobank Côte d’Ivoire, ainsi que plusieurs autres personnalités. Cette session en direct a enregistré 1236 participant(e)s. Grâce à nos partenaires des médias tels que Radio ATM et Youpougon FM, le contenu a ensuite été adapté à la radio et pour une audience totale estimée à 30 000 personnes. Pour plus de détails sur cet évènement, cliquez ici https://cutt.

ly/2fSvKAi

Niger

Cet évènement, organisé au Niger (15/09/2020) avec la participation de personnalités telles que M. Sofo Magagi Ibrahim, Directeur de la Monnaie, du Crédit et de l’Épargne au Ministère des Finances, M. Ibrahim Chaibou Oumarou, Superviseur des Institutions de Crédit à la BCEAO, M.

Didier Correa, Directeur général d’Ecobank Niger entre autres, a enregistré un total de 474 participant(e)s en direct. Le contenu a ensuite été diffusé sur les ondes de la Voix du Sahel et de Dounia FM, ce qui porte l’audience totale estimée à 17 000 personnes. Pour plus de détails sur cet évènement, cliquez ici https://cutt.ly/GfSvUe4

Rwanda

Cet évènement, organisé au Rwanda (17/09/2020) avec la participation de M. Jonas Munyurangabo, Directeur Général du Planning au Ministère du Commerce du Rwanda, Mme Soraya Hakuziyaremye, de M. Stephen RUZIBIZA, Directeur général de la Fédération du secteur privé du Rwanda (PSF), de Mme Alice Kilonzo Zulu, Directrice générale d’Ecobank Rwanda, de M. Maurice K. Toroitich, Directeur général de la Banque populaire du Rwanda (PBR), entre autres, a enregistré au total 854 participants lors de la session en direct. Le contenu a été adapté pour la radio et, grâce au soutien de KissFM, nous avons enregistré une audience totale estimée à 16 000 participants. Pour plus de détails sur cet évènement, cliquez https://web.facebook.com/EcobankGroup/

videos/368830897604499/?extid=ayr5vVb97K7S4WwZ

Tchad

Cet évènement organisé au Tchad (23/09/2020) avec la participation, entre autres, du Ministre de la Jeunesse et des Sports, S.E. M. Christian Mohamed Routouang, de M. Alassane Sorgo, Directeur général d’Ecobank Tchad, de M. Abdramane Issa, Directeur des services bancaires commerciaux d’Ecobank Tchad, de M. Alfred Beingar Moyangar, Directeur de l’organisation des projets et des systèmes d’information de la Banque commerciale du Tchad, et de Mme Sandra Chankouin, Directrice du Groupe ETI chargée de la gestion de la chaîne de valeur a enregistré au total 812 participants lors de la session en direct. Le contenu a été ensuite adapté pour la radio et, grâce au soutien de Radio diffusion Nationale du Tchad (RNT), nous avons enregistré une audience totale estimée à 10 000 participants. Pour plus de détails sur cet évènement, cliquez ici: https://www.facebook.com/

GroupeEcobank/videos/1671372253044228/?_rdc=2&_

rdr

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Nutrition

Nutrition

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La lutte contre la malnutrition comme moyen de réalisation de l’Agenda 2063

epuis plusieurs années, la croissance économique de l’Afrique a été remarquablement robuste malgré une économie mondiale incertaine. Avec une croissance économique soutenue entre 2004 et 2014, de l’ordre de 6 % par an, le continent a connu des changements importants et les perspectives économiques continuent de se renforcer. Selon le African Development Outlook publiée au début de cette année par la Banque Africaine de Développement, la croissance du PIB réel de l’Afrique a été estimée à 3,4 % pour 2019, et six des économies les plus dynamiques du monde se trouvent en Afrique. Il ne fait aucun doute que le continent est sur la bonne voie pour atteindre ses objectifs de développement. Cependant, la sous-alimentation des enfants reste un défi. Environ un million d’enfants souffrent de malnutrition aigüe sévère, la sous-alimentation étant la

Rapport régional sur le coût de la faim en Afrique publié en 2018. Pour plus d’informations sur ce rapport, consultez https://au.int/en/coha/background

L’étude indique également que 38 % des enfants d’Afrique subsaharienne ont vu leur croissance freinée par la malnutrition et leur développement potentiel gravement compromis. Les enfants présentant un retard de croissance ont plus de risque d’obtenir des résultats inférieurs de 7 % aux tests de mathématiques, ont 19 % de chances en moins de pouvoir lire, 12 % de chances en moins de pouvoir écrire une phrase simple et ont 13 % de chances en moins d’être dans la classe correspondant à leur âge. Des estimations montrent que dans les États membres à faibles et moyens revenus, l’impact de la malnutrition diminue le PIB respectivement d’environ 2

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majeur à la croissance économique, principalement en raison des effets de la malnutrition sur la morphologie, l’aptitude physique au travail et le développement cognitif, lesquels peuvent enfermer les enfants dans la pauvreté et renforcer les inégalités.

Les avantages multiples de la nutrition en matière de développement sont considérables et la nutrition peut amplifier le dividende démographique en augmentant de 1 à 3 % le taux de croissance économique. En adoptant dès maintenant un ensemble d’interventions éprouvées en matière de nutrition et en opérant des changements de politique pour s’attaquer aux causes profondes de la malnutrition, nous aiderons des millions d’enfants à devenir des membres sains, engagés et productifs de la société.

L’Afrique a la population la plus jeune au monde et il ne fait aucun doute que les capacités cognitives et physiques de cette population jeune détermineront de manière décisive sa trajectoire de croissance à l’avenir. Toutefois, cette situation est gravement compromise du fait de la prévalence de la malnutrition chez les enfants africains.

Combler le fossé nu- tritionnel : coût de la faim d’après le rapport de l’étude sur le coût de la faim en Afrique (COHA)

Alors que l’Afrique cherche à évaluer le coût de la lutte contre la sous-nutrition, la Commission de l’Union africaine et l’AUDA-NEPAD, en collaboration avec des partenaires de développement tels que le Programme alimentaire mondial (PAM), l’Initiative pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle en Afrique (IFNA), la Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine

et les Caraïbes (CEPALC) et la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), entre autres, travaillent à l’adaptation d’une méthodologie développée en Amérique latine et dans les Caraïbes (ALC). Il s’agit d’une méthodologie d’étude développée en 2014 par le PAM et la CEPALC (Combler le fossé nutritionnel) pour évaluer les coûts de la réduction de la prévalence de la malnutrition chronique (retard de croissance) dans les pays de la région Amérique latine et Caraïbes (ALC).

La méthodologie comprend l’évaluation des mesures d’intervention existant dans les politiques nationales de

sécurité alimentaire et nutritionnelle pour lutter contre le retard de croissance, ainsi que la collecte d’informations et l’estimation des coûts de la mise en œuvre de chacun de ces programmes. Jusqu’à présent, les résultats de l’ALC montrent que les coûts liés à la réduction du fossé nutritionnel ne représentent qu’une petite fraction des coûts engendrés par l’inaction.

L’étude sur le coût de la faim en Afrique (COHA), une initiative continentale de la Commission de l’Union africaine (CUA) menée à ce jour dans 21 États Membres, est appelée à évoluer vers une expertise technique complémentaire permettant d’identifier la ou les interventions les plus efficaces, avec pour objectif supplémentaire de fournir des estimations de l’investissement nécessaire pour combler les lacunes d’un État Membre afin d’atteindre les objectifs nutritionnels fixés au niveau mondial et continental. Les résultats de l’étude du COHA ont fourni une estimation

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du coût social et économique de la sous-nutrition infantile par État Membre, rendant ainsi l’investissement dans la nutrition plus évident.

Un investissement approprié favorisera une allocation des ressources ciblée et structurée, assurera une prise en charge adéquate des biens et services nécessaires pour réduire la vulnérabilité des populations les plus exposées, en particulier les biens et services visant à favoriser la croissance des nourrissons de la conception à l’âge de 24 mois, ce qui est particulièrement crucial pour la phase optimale de développement. En outre, l’investissement dans les principaux programmes de protection sociale, tels que l’alimentation scolaire, permettra d’utiliser les

repas fournis dans les écoles comme un moyen de lutter contre la malnutrition et d’améliorer les résultats scolaires. AUDA-NEPAD travaille d’arrache-pied pour que les enfants aient accès à des repas équilibrés, en particulier dans le milieu scolaire.

Cette étude sur le coût de la réduction du fossé nutritionnel permettra de répondre aux récentes questions des parties prenantes relatives au « taux recommandé d’augmentation des investissements nationaux en faveur de la nutrition » afin de résoudre le problème de la sous- nutrition infantile. Des informations supplémentaires sur l’étude et ses résultats seront présentées dans nos prochaines éditions.

Retour à l’école: le programme d’alimen - tation scolaire de l’AUDA-NEPAD utilisant la production locale

près plusieurs mois de confinement à la suite de la pandémie du COVID-19, les écoles reprennent progressivement leurs activités dans de nombreuses régions du continent. Le moment est privilégié pour aborder à nouveau la question de la nutrition comme levier du développement économique. Afin de lutter contre la malnutrition, l’AUDA-NEPAD a fait de l’alimentation scolaire, et en particulier de l’alimentation scolaire utilisant la production locale (HGSF), l’une des interventions phares du programme de nutrition et de sécurité alimentaire à promouvoir dans la lutte contre la faim et la malnutrition. Cette intervention a pour objectif a pour objectif de maintenir les enfants à l’école et de contribuer au développement socio-économique global des communautés qui fournissent de la nourriture à ces écoles.

L’alimentation scolaire utilisant la production locale (HGSF) prônée par l’AUDA-NEPAD est une approche

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directrices utiles pour freiner la malnutrition et le retard de

croissance, notamment en milieu scolaire. Et ce, surtout si les lignes directrices adoptées et mises en œuvre avec succès dans les État Membres pilotes précédents sont adaptées et appliquées dans d’autres. Lors d’un Sommet de coordination de l’Union africaine, un événement de haut niveau sur le HGSF, en 2019, Dr Ibrahim Assane Mayaki, Directeur général de l’AUDA-NEPAD, a réitéré ce qui suit :

« Le programme d’alimentation scolaire utilisant la production locale offre un cadre pour une action coordonnée entre les partenaires engagés dans la lutte contre la faim et l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle en Afrique. Les investissements dans la sécurité alimentaire et nutritionnelle sont des facteurs fondamentaux pour le développement du capital humain et contribuent positivement au produit intérieur brut (PIB).

De plus, les bénéfices liés à l’approche de l’alimentation scolaire utilisant la production locale sont bien supérieurs

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Le programme HGSF de l’AUDA-NEPAD existe depuis son élaboration en 2003 dans le cadre du Programme détaillé pour le développement de l’agriculture africaine (PDDAA), à la suite de la Déclaration de Maputo. Bien que les pays africains aient été

lents à engager des ressources pour le programme HGSF dans le passé, on constate un regain d’intérêt et d’efforts pour faire en sorte que le programme HGSF soit planifié et mis en œuvre avec plus de succès sur le continent en raison de ses nombreux avantages. Dans cette optique, les Chefs d’État africains ont déclaré en 2016 que le programme HGSF était une stratégie visant à améliorer l’éducation, à stimuler les économies locales et les petites exploitations agricoles, tout en contribuant à la réalisation des engagements du PDDAA de Malabo (2025), des Objectifs

de Développement Durable (2030) et de l’Agenda 2063 pour l’Afrique. La phase actuelle du programme de l’AUDA-NEPAD sur l’alimentation scolaire se concentre principalement sur le renforcement des programmes d’alimentation scolaire dans leur ensemble. Une attention particulière est accordée à la qualité des repas scolaires.

Cette phase vise également à promouvoir les aliments et ingrédients locaux dans la production des repas scolaires et à mieux y associer les petits exploitants agricoles. Cette démarche contribue également à renforcer la chaîne de valeur, en particulier au niveau local.

La bonne nouvelle, c’est qu’il y a un intérêt croissant au niveau mondial et au sein du continent africain pour accroître la sensibilisation à l’importance de la nutrition pour le développement humain, social et économique, associé à la volonté d’engagement et de leadership politiques pour investir dans des stratégies qui réduiront toutes les formes de malnutrition. Nous gardons l’espoir qu’à mesure que les écoles rouvriront, des mesures accrues seront prises pour étendre cette initiative qui constitue l’une des solutions pour lutter contre les effets

néfastes de la pandémie sur les moyens de subsistance.

On peut citer des témoignages de réussite dans les premiers État Membres comme le Botswana, le Ghana et le Nigeria. Au Nigeria par exemple, grâce au soutien de

l’AUDA-NEPAD, 150 personnes issues de 35 États ont été formées permettant ainsi d’étendre la planification des repas à l’ensemble du pays.

Au Ghana, le Programme d’alimentation scolaire du Ghana (GSFP), qui a débuté en 2005, est une initiative qui fait partie du troisième pilier du PDDAA-NEPAD.

Depuis le lancement du programme avec 10 écoles pilotes en 2005, le nombre d’élèves bénéficiaires est passé à 2 848 580 dans 8 683 écoles primaires et écoles maternelles bénéficiaires, employant 9017 traiteurs dans 260 districts, avec une couverture nationale de 54 % à la fin de 2019. Pour plus de détails sur cette initiative, sur les lignes directrices relatives à la conception et à la mise en œuvre de programmes d’alimentation scolaire utilisant la production locale et sur les résultats de ces programmes, téléchargez le manuel sur l’alimentation scolaire à l’adresse https://www.nepad.org/publication/

home-grown-school-feeding-handbook.

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Santé

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Poursuivre la lutte contre la tuberculose pendant la pandémie du COVID-19 en Afrique

e projet a été réalisé dans le cadre d’un projet financé par la Banque mondiale et lancé en 2016 dans le but de renforcer la réponse du secteur de la santé à la tuberculose et aux maladies pulmonaires professionnelles. L’AUDA-NEPAD et la Communauté de santé de l’Afrique orientale, centrale et australe (ECSA- HC) collaborent pour fournir un soutien technique à la mise en œuvre des projets dans les pays participants.

Il est mis en œuvre dans quatre États membres de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) : Lesotho, Malawi, Mozambique et Zambie.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans une Note d’information publiée le 12 mai 2020, les travaux de modélisation suggèrent que si la pandémie du COVID-19 a conduit à une réduction globale de 25% du dépistage prévu de la tuberculose pendant trois mois, nous pouvons donc nous attendre à une augmentation de 13% des décès dus à la tuberculose, ce qui nous ramènerait aux niveaux de mortalité liés à la tuberculose que nous avions il y a cinq ans. L’OMS estime en outre qu’entre 2020 et 2025, 1,4 million de

décès supplémentaires par tuberculose pourraient être enregistrés comme conséquence directe de la pandémie du COVID-19.

Dr Patrick Lungu, responsable du programme de lutte contre la tuberculose en Zambie, a expliqué en détail les effets négatifs du COVID-19 sur les indicateurs de la tuberculose dans son pays. « Depuis la déclaration des deux premiers cas de COVID-19 en Zambie le 18 mars 2020, il a fallu modifier la prestation de services en réponse à l’épidémie », explique Dr Lungu. « Cela a entraîné une diminution du taux de fréquentation des services de consultation externe, ce qui a entraîné une réduction du nombre de cas de tuberculose identifiés ; en conséquence, les notifications de cas de tuberculose ont chuté », a-t-il déclaré. Pour plus de détails à ce sujet, consultez la suite de l’article à l’adresse suivante : https://www.satbhss.org/.

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« Comment AUDA-NEPAD soutient les États membres en leur fournissant des informations sur la santé au niveau mondial et continental afin d’enrayer la pandémie ».

Pour en savoir plus, veuillez consulter notre bimensuel sur le COVID-19 !

https://www.nepad.org/publication/auda-nepad-covid-19-digest- issue-001-2020

Rapport de situation sur le COVID-19 :

passez à la vitesse supérieure !

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