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Egkise protestante unie de l Encave et du Tricastin Culte zoom à Taulignan le 30 janvier 2022 Prédication Rm 1, 1

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Texte intégral

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Egkise protestante unie de l’Encave et du Tricastin Culte zoom à Taulignan le 30 janvier 2022

Prédication Rm 1, 1

Frères et sœurs, ce matin je vous propose de faire connaissance avec quelqu’un en lisant son autobiographie.

Points d’intermédiaire pour un de ceux qui ont le plus écrit au tout début du christianisme et dont les textes nous sont parvenus et nous font réfléchir encore aujourd’hui.

Nous prendrons les 10 premiers mots de la lettre aux Romains qui servent à Paul pour se présenter.

« Paul serviteur du Christ Jésus appelé apôtre séparé pour l’Evangile de Dieu ».

Nous prenons les mots comme ils arrivent.

Je vous invite à prendre la posture du voyageur dans un train de nuit, dans la couchette du milieu, regardant les lumières par la fenêtre.

Il voit dans la nuit des lumières, il devine des formes, des villes.

Il découvre, reconnaît, s’émerveille, s’interroge, s'endort.

Il reçoit et il est bien.

Paul

Cela peut paraître un peu orgueilleux de commencer un lettre par son nom.

L’apôtre écrit son nom comme nous écrivons notre identité en haut à gauche d’une lettre officielle.

Il se présente et donne son nom. Paul.

Paul ne fait pas référence à un autre nom que celui-là dans toutes ses lettres.

Différemment, Luc, l’historien, celui qui raconte dans les Actes des apôtres

l’histoire de la toute première Eglise chrétienne depuis l’ascension, Luc lui donne un autre nom.

Autrefois, il s’appelait Saül.

Autrefois, c'est-à-dire avant sa rencontre avec le Christ sur le chemin de Damas.

Luc l’appelle Saül.

Quel beau nom ! Un nom royal !

Le nom du premier roi d’Israël, le prédécesseur de David et Salomon.

Dans la Bible il est dit : « Il avait un fils appelé Saül, un beau garçon. Aucun des fils d’Israël ne le valait. Il dépassait tout le peuple de la tête et des épaules. » (1 Sa 9, 2)

Pourquoi avoir quitté ce nom de roi ? Une seule lettre change et tout change.

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Saül devient Paul.

En latin paulus veut dire « petit, négligeable ».

Dans une autre épître (1 Co 15, 9) Paul se définit lui-même comme « le plus petit des apôtres ».

Peut-être pouvons-nous y voir un lien avec le message de la Passion du Christ.

Les choses faibles, de peu d’importance prévalent aux yeux de Dieu sur celles que le monde considère comme fortes et importantes.

C’est l’un des messages du psaume 8 :

3Par la bouche des enfants, des tout-petits, tu affirmes ta puissance devant tes ennemis.

Ainsi, tu fais taire tes adversaires qui sans cesse luttent contre toi.

D’une certaine façon, en mettant en avant ce nom de Paul, l’apôtre met en avant sa faiblesse.

Il n’est pas de ces puissants qui gouvernent le monde.

Il est en face d’eux.

Il est de ces voix d’enfants, de faibles par lesquelles Dieu affirme sa puissance.

Cela résonne sans doute avec cette phrase que Dieu lui a adressé « Ma puissance s’accomplit dans la faiblesse ».

Ce n’est pas un hasard.

Paul c’est la posture d’humilité qui se retrouve dans la position du chrétien et que nous oublions si souvent.

Serviteur

Mais s’il est faible, Paul n’est pas inutile : il est serviteur.

Bien avant de se présenter comme apôtre, c’est comme esclave ou serviteur (c’est le même mot en grec) que Paul choisit de se présenter aux Romains.

Etre serviteur, c’est une position de vie.

Le serviteur se positionne par rapport à son maître.

Il ne sait pas où il va, il peut ne pas savoir où il est, mais il n’est jamais perdu tant que son maître est là.

Le serviteur abandonne toute autonomie par rapport à son maître, il se place dans l’obéissance.

Cela implique deux choses qui sont la confiance et la fidélité.

Ces 2 notions nous les retrouvons chez le maître et chez le serviteur.

Derrière le serviteur se trouve le disciple.

Appelés par Jésus à le suivre, ils ne sont pas autonomes.

Plus tar dans le livres des Actes des apôtres c’est l’Esprit saint qui les guidera vers telle o telle ville.

Ils évoluent dans un monde où sans lui ils seraient perdus, désorientés car ils ont quitté toutes leurs racines : ville natale, famille, métier.

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Pourtant ils ne sont jamais perdus. Ils ont confiance en Jésus ou en l’Esprit saint et ils lui sont fidèles.

Et quand ils oublient leur fidélité, quand ils se croient perdus Jésus leur rappelle sa fidélité.

« Ne craignez pas », tel est le commandement qu’il leur martèle tout au long de son ministère.

Par ailleurs le terme a une double résonance : religieuse et juridique.

Quand il se réfère à l’hébreu ébèd il a une connotation religieuse, celle du serviteur de Dieu.

Mais il a aussi une résonance juridique.

Il fait référence au statut juridique de l’esclave dans l’empire romain par opposition à celui de l’homme libre.

Et là comment ne pas évoquer la formidable transformation opérée par le Christ.

Il n’y a plus de barrière, plus séparation entre l’homme libre et l’esclave, entre le juif et le grec.

En Christ, ils sont tous un écrira Paul.

Ils sont tous enfants de Dieu par le Christ.

Le mot « serviteur » appelle les formidables transformations juridiques et sociales conséquences de la mort et de la résurrection du Messie.

Nous trouvons ces conséquences jusqu’à aujourd’hui avec la déclaration universelle des droits de l’homme et ses applications.

Avec ce deuxième mot Paul présente à la fois sa position dans la société, son utilité, et il introduit l’idée d’un maître.

Christ

Son maître le voici désigné : Christ

Nous prononçons si souvent ce mot que nous en arrivons à oublier le sens.

''Christ'' est la traduction grecque du mot hébreu ''Messie'', qui désigne celui qui est oint, du verbe oindre, frotter avec de l’huile.

Christ est donc un adjectif qui désigne celui qui est choisi par Dieu et marqué par lui au moyen de l’onction.

Il désigne la relation toute particulière que son maître a avec Dieu.

Son maître a été choisi par Dieu.

De la même manière les disciples ont été appelés par Dieu.

Cela a une conséquence directe toute simple : la relation à l’intérieur du groupe des disciples n’est pas une simple relation humaine d’équipe de travail.

La relation tire sa force, sa légitimité non pas des personnes qui sont liées mais de la personne qui les a appelées.

Nous nous rendons bien compte que quand c’est Dieu qui appelle, le lien est d’une autre nature.

Il en est ainsi dans l’Eglise pour tous les ministères collectifs ou individuels.

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Ce qui fait l’unité, c’est l’appel du Christ et pas le chef, le président, le charisme de l’animateur, la hauteur de la tâche à accomplir.

Du coup cette unité n’est pas une unité de façade, une unité qui se limiterait aux responsabilités et à l’activité du conseil, elle va plus loin, jusque dans le soutien mutuel, la prière les uns pour les autres.

Avec ce troisième mot de « Christ » Paul nous entraine dans le monde de la relation, de la relation à Dieu.

Il s’agit d’un monde d’obéissance à Dieu et de résistance au monde à soit même.

Toute la complexité de la personne de Paul commence à se nouer.

Toute la complexité de la vie du Chrétien commence à se dessiner Jésus

Et puis arrive Jésus.

Le prénom, le prénom qui lui est donné.

Un prénom, c’est comme un héritage.

Nous n’avons rien demandé, nous recevons.

Ce prénom a un sens, il veut dire quelque chose, il a été porté auparavant par d’autres et pourtant, dit par un papa ou une maman, ce prénom ne s’adresse qu’à une seule et unique personne au monde.

Le prénom « Jésus » et ses cousins comme « Josué » ou « Joshua » viennent d’un verbe hébreu qui veut dire « sauver ».

Cela ne fait pas de lui le Christ, l’élu de Dieu, mais c’est un prénom qui met celui qui le porte en relation, encore une fois.

Celui qui sauve, qui est instrument de salut est forcément en relation avec ceux qu’il sauve. Ce n’est pas un ermite isolé, c’est un être social.

Jésus est un prénom courant à l’époque.

En cela, pour Paul, il désigne la pleine humanité de cet homme né quelques années avant lui et choisi par Dieu puis que nous l’avons vu avec le mot précédent il est le Christ.

En cela il désigne la pleine humanité de l’apôtre.

Appelé

Puis vient « appelé ».

Deux points de détail.

Dans les textes originaux grecs il n’y a pas de ponctuation.

Le terme appelé peut se rapporter aussi bien à serviteur qui précède qu’à apôtre qui suit. Les 2 sens se valent et nous les acceptons.

De plus le mot appelé est au centre des dix premiers mots ce qui le met en lumière d’une façon particulière.

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Comme le mot serviteur, le mot appelé sous entend une mise en relation.

Pour être appelé, il faut un appelant.

Paul n’est pas ce qu’il est, apôtre ou serviteur du Christ Jésus par sa propre volonté.

Il y a une volonté extérieure.

Paul est appelé.

De ce fait, il est comme dépossédé de tout ancien statut pour revêtir une nouvelle identité.

Les choses anciennes sont abolies.

Il devient une nouvelle créature à la suite de sa conversion fulgurante sur la route de Damas.

La dépossession a quelque chose à voir avec la vocation.

On devrait trouver chez les chrétiens des gens moins accrochés à la possession et à la propriété.

On devrait trouver chez les chrétiens des personnes moins inquiètes de leur

avenir, du temps futur du fait de cet appel, tels les petits oiseaux des cieux qui ne sèment ni ne moissonnent.

Appelé, klétos en grec, vocation, klésis, a donné le mot « église », ekklésia.

Paul est appelé, il est en quelque sorte sorti du monde, sorti des valeurs, des codes, des statuts en usage dans le monde.

Pour nous cela veut dire que le chrétien n’est pas en premier dans le monde. Il est en premier appelé par Dieu.

C’est Dieu qui fait son humanité, ce ne sont pas les codes sociaux qui nous enferment dans des statuts : jeunes, vieux, chômeur, actif, handicapé, salarié, chef d’entreprise ou autre.

Dans la vie communautaire cela a une importance énorme : l’autre ne présente pas d’intérêt en soi, mais comme étant appelé par le même Dieu.

Dans la communauté l’autre est intéressant non parce qu’il est riche et généreux, mais parce qu’il fait grandir l’autre en l’aimant.

Les plus faibles d’entre nous sont appelés, leur pleine humanité est dans cet appel.

John Bost a bien compris la valeur révolutionnaire de cet appel quand il a créé ce qui est devenu la fondation la Force en Dordogne pour accueillir les plus petits dans des conditions nouvelles ouvertes, bien éloignées des instituts fermés de l’époque.

A la Force, quelque soit le degré d’autonomie et de capacité à communiquer du résident, il est appelé par Dieu, c’est ce qui fait sa pleine humanité.

Nous le retrouvons ldans la devise de John Bost :

« Ceux que tous rejettent, au nom de mon maître je les accueille. » Mis à part, séparé

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Et puis vient ce mot troublant, ''séparé'', nous pourrions dire ''mis à part''.

Comment est-il possible que Paul, celui qui met en avant sa faiblesse, son humilité, son obéissance à Dieu, son rôle de serviteur, comment est-il possible qu'il se distingue du reste du monde.

Lui qui prêche l’universalisme et annonce la fin en Christ de toutes les séparations entre juifs et païens, parle de lui-même comme un « séparé » .

Nous est-il possible qu'il se distingue en se vantant d'une quelconque inscription dans un Who's who de l'empire Romain ?

Pour comprendre je vous invite à voir l'ironie qu'il y a dans ce ''séparé''.

''Séparé'' peut être considéré comme la traduction du mot pharisien.

Les pharisiens sont en effet des « séparés ».

Pour se distinguer de la masse, les pharisiens s’obligent à observer

scrupuleusement les règles de pureté sacerdotale, c'est-à-dire réservées aux seuls prêtres, biens qu’il soit laïcs. De fait ils se séparent de ce qui sont impurs.

Paul est un ancien pharisien pur et dur, pourrait-on dire.

Faut-il comprendre qu'il soit retourné à la case départ ?

Sa conversion ne serait en fait qu'une révolution ? c'est-à-dire un tour complet sur lui-même ?

Serait-il dans ce cas passé d’une séparation liée à la loi vers une séparation liée au Messie ?

Je pense qu’il faut voir une sorte de mise en abyme.

Paul est séparé des séparations, mis à part des cloisonnements.

Cette mise à part qui est provoquée par l’appel, lui permet, en fait, d’être indifférent aux différences.

Il peut les traverser sans dommage.

Pour atteindre l’universalisme [ la catholicité pour employer la racine grecque], il lui faut traverser les différences.

Pour cela il a besoin d’être mis à part, de ne pas se situer parmi les cloisonnements et les catégories de son époque.

Cela lui permet d'être contemporain de son époque.

Par certains côtés il me semble que le besoin est toujours actuel : ne pas se laisser enfermer dans de fausses alternatives.

Comme chrétien nous avons du mal à répondre à des questions de société qui nous sont posées de façon binaire : « vous êtes pour ou contre… » et là suit une question énorme comme l’avortement, l’euthanasie, la peine de mort, le clonage humain, la bénédiction de couples homosexuels à l'occasion de leur mariage ou encore le ministère féminin dans nos Eglises dans les années 60…

On voudrait nous mettre dans une catégorie pré établie.

Nous le refusons.

Nous avons le droit d’affirmer que les choses ne sont pas aussi simples, qu’un protestant réformé est chrétien comme le catholique mais qu’il est aussi différent

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de lui, qu’on peut être favorable à la dépénalisation de l’avortement sans être pour l’interruption volontaire de grossesse et ainsi de suite.

Du coup nous sentons bien le paradoxe de cette séparation qui au contraire nous met en lien, en dialogue avec ceux qui sont d'un camp bien tranché, bien

retranché.

Apôtre

Cette mise en dialogue est accentuée par le mot suivant. Paul se définit comme ''apôtre''.

C'est le mot savant pour dire ''envoyé''.

Il est un envoyé, non des hommes mais du Messie Jésus et de la volonté de Dieu, chargé de délivrer l’évangile.

Et à cette époque, l’envoyé d’un homme est comme cet homme lui-même.

On pouvait envoyer un serviteur pour conclure un achat par exemple.

Le serviteur était accueilli comme le maître.

L’apôtre du Christ est comme le messie.

On comprend l’insistance de certaines églises à se définir comme apostoliques, c'est-à-dire envoyées par le messie lui-même au travers d’une succession

ininterrompue d’envois.

Avec le Christ l’apôtre occupe la place du prophète.

C'est lui qui devient porteur de la parole.

A la différence du prophète qui est en relation directe avec Dieu et qui est

dépositaire de la parole de Dieu, l’apôtre est mandataire d’une tâche déterminée.

Il doit l’exécuter avec lucidité et trouver tout seul les mots du message.

Il y a une réelle rupture.

Le prophète parle d’un temps à venir.

L’apôtre parle du Messie qui est venu, à partir du Messie qui est venu qui est là.

Le prophète parle du temps chronologique [kronos], l’apôtre parle du temps de l’accomplissement, le temps de maintenant [kairos].

Le prophète parle souvent de sanctions ou de récompenses futures accordées par Dieu à son peuple.

L’apôtre parle du temps ici et maintenant dans lequel il introduit une tension entre le « déjà là » et le « pas encore » du salut.

Le salut est déjà accompli pour les croyants et cependant il implique un temps ultérieur afin de s’accomplir pleinement.

C’est dans ce temps messianique que nous vivons entre un « déjà là » et un « pas encore ».

C’est dans la tension entre ce ''déjà là'' et ce ''pas encore'' que nous sommes

délivrés de toute ambition à devoir accomplir quelque chose, comme par exemple réussir sa vie.

Le sens de notre vie dans notre temps, le temps messianique nous est donné par

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la vocation, l’appel que Dieu nous adresse, non dans l’atteinte de critères de réussite du monde.

Cette vocation qui nous sépare du monde pour nous y replonger aussitôt.

Pour l’Evangile de Dieu

C’est avec « pour », une préposition qui indique le mouvement, que se termine notre série de mots.

Etre chrétien c’est accepter une mise en mouvement.

Il n’y à rien à conserver, la parole ne se conserve pas, rien à défendre, rien à prédire ni prévoir.

Il n’y a qu’à proclamer, à annoncer.

Nous sommes à la fois dans l’éphémère de la parole et le poids de la relation que Dieu a initié avec l’humanité avec le Christ Jésus et que Paul nomme la grâce qui contient à la fois les notions de pardon, d’amour, de gratuité, de surabondance et d’excès.

Ce ''pour'' donne un sens à la vie, si nous en cherchons un.

Le sens de la vie est dans ce mouvement vers l'autre au nom de Dieu.

Imaginez que d'un coup l'argent ne vaille plus rien.

De quoi sommes nous riches ?

De nos relations, du soutien que nous pouvons nous apporter les uns aux autres.

Le christianisme n'est pas une foi pour des ermites vivant isolés dans le désert.

Dieu nous rend attentif aux plus faibles, à la veuve et à l'orphelin, Christ nous place devant notre responsabilité à se faire le prochain de celui qui est à terre.

Il n'y a pas d'isolement ni de tour d'ivoire.

Evangile de Dieu

Puis vient l’Evangile de Dieu, la Bonne nouvelle de Dieu.

C’est l’objet de toute l’épître aux Romains résumée dans ces deux versets 16 et 17 du premier chapitre que nous pourrons emporter comme un précieux cadeau à méditer pour les vacances d’hiver qui s’approchent :

16Car je n’ai pas honte de l’Evangile: il est puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit, du Juif d’abord, puis du Grec.

17C’est en lui en effet que la justice de Dieu est révélée, par

la foi et pour la foi, selon qu’il est écrit: Celui qui est juste par la foi vivra.

Amen

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