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Academic year: 2022

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MÉDIAKIT 2022

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SOSPHÈRE

& TIMELINE

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2003 2009 2010 2012 2014 2015 2018 2020 2021

Mensuel Semestriel Annuel Mensuel Mensuel Bimensuel Annuel Mensuel Semestriel Trimestriel Annuel

43 028 ex.

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DFP 2020/2021

30 000 ex. 26 720 ex. 28 000 ex. 25 500 ex. 67 445 ex.

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DFP 2020/2021

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2,5 M V.U. 37 000 V.U. - 115 000 V.U. - 40 000 V.U. - 300 000 V.U. - - -

Google analytics 2020

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DE L’HISTOIRE

c’est…

L IG N E É D IT OR IA L E

035 Hommage

L

« Depuis que José est décédé, on court partout. On s’occupe, avec des amis et sa famille, des derniers détails administratifs et matériels. Aujourd’hui, toutes ses affaires personnelles et sa gigantesque collection de vinyles, cassettes et enregistrements, sont continent… »

À l’hôpital, il continuait d’écouter de la musique et d’acheter des enregistrements.

La dernière semaine, on avait pour projet de le ramener chez lui une dernière fois. On QUENTIN MÜLLER, AVEC ANTOINE CALVINO

de José Padilla

Le DJ José Padilla, auteur des compilations Café del Mar, vient de mourir dans la pauvreté à l’âge de 64 ans. Reportage sur son île à Ibiza, où ses amis se souviennent avec émotion de l’itinéraire d’un artiste tourmenté.

cherchait des amis pour l’entourer, mais lui sa santé s’est rapidement dégradée, comme

« Il avait une relation particulière avec eux et je ne veux pas la juger avait quatre frères et sœurs et des neveux en Il Espagne. Il était en froid avec eux, mais c’est un peu personnel et il n’a jamais vraiment accepté de m’en parler. » Le maçon star du Café del Mar

Fact

Magazine « J’ai juste sauté

ma vie et de la pression familiale. J’ai amarré le lever du soleil et je me suis dit que j’aimais

© TANGUY MÜLLER

025 Detroit

OLIVIER RICHARD

D

e son vrai nom William Levise, Jr., Mitch Ryder est né en 1945, comme Neil Young et Lemmy Kilmister (Motörhead). Son enfance n’est pas une partie de plaisir : son père gagne à peine assez d’argent pour élever ses huit enfants et le quartier prolo de Warren, dans la proche banlieue de Detroit, où Mitch grandit, est un repaire d’alcooliques et de drogués où la violence et les abus sexuels sont monnaie courante.

Une babysitter l’initie d’ailleurs aux joies de la fellation alors qu’il n’a que 8 ans. Un peu plus tard, il devient la proie d’un pédophile.

Ryder conservera toute sa vie les cicatrices dans son autobiographie, Devils & Blue Dresses, et une haine farouche des classes supérieures à qui il reproche leur égoïsme.

Mitch a au moins la chance de vivre dans un foyer où la musique tient une place importante. Son père chantait parfois à la radio et aurait aimé devenir professionnel, mais la Seconde Guerre mondiale et les besoins de sa nombreuse famille mettent un terme à ses ambitions. Alors qu’il est aux portes de l’adolescence, Mitch vit une véritable épiphanie : « Mes parents m’avaient offert un petit transistor. J’étais en train de m’endormir parce qu’il n’y avait que des chansons comiques, romantiques ou sans saveur comme celles de Pat Boone. J’ai changé de station et – fuck ! – j’ai entendu un homme hurler comme s’il voulait tuer ce putain de monde ! C’était Little Richard. On aurait dit qu’il s’époumonait de passion et d’émotion.

Derrière lui, la musique pulsait et allait à cent

à l’heure. Mon cœur battait la chamade, et je me suis mis à bouger mon putain de cul et mes pieds. J’ai compris que c’est comme ça que la musique devait sonner ! » Encouragé par son père, Mitch se met à chanter. Il aime avant tout le rock’n’roll, le rhythm’n’blues et le blues. Un ami de son père le met en relation avec un pasteur noir, James Hendrix (aucune relation avec Jimi) qui anime un petit label, Carrie. À seulement 16 ans, Mitch enregistre son premier single, « That’s The Way It’s Gonna Be », un morceau composé par le révérend dont il écrit la face B, « Fool For You », un titre doo- wop (1962). Mitch rejoint ensuite un groupe de chanteurs noirs, The Peps, qui se produit dans le circuit des clubs afro-américains de Detroit. « À l’époque, c’était vraiment inhabituel pour un jeune Blanc de traîner avec les Noirs. Mes amis au lycée ne comprenaient pas et ne voulaient pas me suivre dans le quartier des clubs. Moi, je n’avais aucun problème avec les Noirs, tout ce qu’ils me demandaient, c’était de bien chanter ! Les Noirs étaient moins racistes à l’égard des Blancs que les Blancs ne l’étaient à leur égard. » Le début des sixties est, bien sûr, la période où Motown commence à inonder les États-Unis de hits. Ryder est aux premières loges : « J’ai vu un nombre incroyable de concerts : Mary Wells, The Contours, The Impressions. J’ai passé une audition chez Motown, mais je n’ai pas été retenu parce que, je pense, mes qualités de compositeur n’étaient pas encore au niveau de celles que j’ai comme chanteur. » Surclasser les Britishs En parallèle de l’explosion de Motown, le succès des Beatles convainc Mitch de rejoindre un groupe de rock’n’roll. Il a pour idée de fusionner le rhythm’n’blues avec le rock. Ryder et ses acolytes se produisent sous le nom de Billy Lee And The Rivieras.

Leurs concerts survoltés dans Detroit et ses environs leur attirent l’attention des professionnels, en particulier de Bob Crewe, un producteur-compositeur qui cornaque The Four Seasons, un groupe pop qui enchaîne les hits massifs (« Big Girls Don’t Cry », 1962). Pour éviter toute confusion avec un autre groupe appelé 次 141

Légende de la musique de Detroit, Mitch Ryder est adulé par Bob Seger, Bruce Springsteen et Winona Ryder, qui lui doit son nom d’actrice. Dès le début des années 1960, sa fusion de rhythm’n’blues et de rock sauvage met à nu l’âme musicale de la Motor City. Cet authentique working- class hero revient sur cinq décennies de gloire, de déchéance et de rédemption.

Mitch Ryder Le diable à robe

bleue

Mitch Ryder en pleine séance d’essayage d’un costume de scène, 1965 © MICHAEL OCHS ARCHIVE/GETTY IMAGES

Les théories concernant l’identité de Banksy, le plus célèbre street-artist de l’histoire, sont nombreuses. Deux d’entre elles le lient aux musiciens Robert Del Naja du groupe Massive Attack et à Jamie Hewlett de Gorillaz. Alors, crédible ou pas ?

063 Dossier

次 145

Richard Pfeiffer n’a pas eu de chance.

Ce 12 juillet 2014, il est tranquillement en de Brooklyn, près du Third Rail, un coffee shop un brin bobo comme il en existe des centaines dans cet arrondissement de New York. Dans la ville qui a vu naître le street- art il y a de cela plus de cinquante ans, c’est une scène on ne peut plus banale. Sauf que lorsque six policiers s’approchent de lui, les choses se gâtent franchement. Il est plaqué à terre, menotté, accusé d’avoir vandalisé les murs. Et d’être l’un des plus grands noms du street-art mondial, rien que ça. Dans sa poche, un marqueur indélébile est retrouvé.

Et pour cause, Richard Pfeiffer est lui-même artiste. Il le répète aux policiers puis à la presse qui a eu vent de l’histoire : « Je ne suis pas Banksy ! » Il faudra plus de six mois à son avocate pour convaincre la justice de son innocence. Une situation ubuesque qui illustre bien la folie entourant l’œuvre du plus fameux des street-artists. Car malgré les théories et les soupçons qui se succèdent depuis bientôt vingt ans, personne ne sait qui se cache derrière ce pseudonyme.

Le poids de la rumeur Cependant, il existe quelques certitudes.

Banksy a démarré sa carrière vers 1995 à Bristol. Sixième ville anglaise par sa population, celle-ci brille dans l’inconscient 1990, l’une des places fortes de la musique britannique. Y résonnent les noms de Portishead, Smith & Mighty, Roni Size, Tricky… Et du groupe Massive Attack. On sait également que les œuvres de Banksy peuvent valoir des dizaines de millions de dollars, qu’elles se déclinent en un marketing parfois incompatible avec l’esprit de sa discipline, et qu’elles peuvent être apposées à n’importe quel moment, dans n’importe quelle ville du monde. Melbourne, Paris, Gaza, Buenos Aires, Tokyo… Mais au cours des années 2010, une folle rumeur serpent de mer dans les esprits des critiques et des journalistes : Banksy ne serait autre que Robert Del Naja, alias 3D, membre fondateur et permanent de Massive Attack.

Dans un premier temps, personne ne semble accorder une quelconque importance à cette hypothèse. Mais un jeune blogueur écossais nommé Craig Williams ne l’entend pas de cette oreille. Le 29 janvier 2016, il publie un post recensant les indices qu’il a pu glaner. Et frappe très fort. Dans un premier temps, il nous rappelle le passé de Robert Del Naja, musicien, certes, mais également précurseur du street-art à Bristol et en Angleterre depuis 1983. Il est très certainement l’un des premiers au monde à avoir massivement utilisé la technique des pochoirs, lui permettant de sévir rapidement et de limiter son exposition aux autorités. Sa proximité artistique avec Banksy est évidente. Robert de Naja ne s’en est d’ailleurs jamais caché. Il est même admis qu’il est l’une des quelques personnes au monde à connaître la vérité sur l’identité de l’artiste. Mais Craig Williams va plus loin encore.

La chronologie qui sème le doute

Le blogueur décide de retracer l’historique des œuvres de Banksy, d’élaborer une chronologie spatiotemporelle et de la comparer avec les dates de concerts et de tournées de Massive Attack depuis les années 2000. Et là, surprise : les points de concorde sont nombreux. Le 24 décembre 2006, le groupe se produit au Hollywood Bowl de Los Angeles. Douze jours auparavant, Banksy a installé sa première exposition hors d’Europe, intitulée Dismaland, à Anaheim, ville californienne située à seulement une heure de route de Los Angeles. Un faux parc d’attractions BRICE MICLET

qui attire les présences et les chéquiers de célébrités telles que Brad Pitt et Angelina auprès du grand public. En 2010, Banksy peint l’une de ses œuvres les plus célèbres, un rat équipé d’un parachute, sur le mur du City Council de Melbourne, en Australie. Les agents municipaux l’effacent après que des résidents aient signalé la dégradation aux autorités le 28 avril.

Un mois auparavant, soit le 20 mars, Massive Attack se produisait en ville dans le cadre d’une tournée qui emmène ensuite le groupe à Toronto pour deux concerts les 7 et 8 mai. Dans la journée du 9, trois nouvelles œuvres de Banksy sont découvertes sur les murs de la ville canadienne.

Une quatrième est recensée le 14. Et ça Toujours en 2010, aux alentours du 1er mai, Banksy peint six pochoirs dans les rues de New York, dont le fameux « This Will Look Nice When It’s Framed ». Et devinez qui était en concert dans la Big Apple les 25 et 27 avril ? Trois ans plus tard, toujours à New York, Massive Attack s’installe en résidence à la Park Avenue Armoury, dans l’Upper East Side, entre le 28 septembre et le 4 octobre. Banksy est également en résidence dans la ville jusqu’au 1er octobre.

Ça commence à faire beaucoup. Le travail de comparaison de Craig Williams fait sensation, est repris par des centaines de médias de renom à travers le monde. Mais si le grand public est conquis par ces théories, ceux qui suivent de très près les carrières de Banksy et de Massive Attack restent pour le moins dubitatifs. Leur argument majeur est simple : même si les dates concordent, que des liens existent, l’idée qu’une seule et même personne parvienne à concilier ces deux carrières extrêmement fournies semble

© LUCILE GOURDON/SIPA

BANKSY EST-IL UN MUSICIEN ?

Même si des liens existent, l’idée qu’une seule et même personne

parvienne à concilier la carrière de 3D de Massive Attack

et celle de Banksy semble physiquement impossible.

• Œuvre de Banksy sur la porte des backstages du Bataclan en 2018

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DES ENQUÊTES

c’est…

L IG N E É D IT OR IA L E

LA FÊTE EST FINIE ?

La fête est

•Cocoon Club (Francfort), extrait de la série Vom Bleiben.

019 019

#Musictoo 次 135

CLÉMENCE MEUNIER YASMINE GATEAU POUR TSUGI

La musique fait

son #metoo

© DR

VIOLAINE SCHÜTZ

Comment un boys band coréen est en train de changer la pop

(et le monde)

BTS

027 Enquête

次 144 次 144

026 Enquête

a ne plaira peut-être pas à tous, mais en 2021, le rap et les autres « musiques urbaines » (R&B, trap, drill, etc.) dominent de manière écrasante le paysage phonographique français.

Trente ans après la sortie des premiers albums des pionniers français du genre IAM, NTM ou MC Solaar, le hip-hop et ses dérivés ont balayé les autres genres musicaux dans le cœur de la jeunesse de notre pays. Au point que la France est devenue le deuxième marché mondial du rap après les États-Unis, où le genre est né dans la deuxième moitié des années 1970.

À l’évidence, le triomphe actuel du rap et du R&B est à mettre en parallèle avec l’évolution du marché de la musique, en l’occurrence le succès du streaming auprès des plus jeunes. Après avoir frôlé l’abîme, l’industrie phonographique s’est refait une santé avec le développement de la consommation digitale. En 2020, le chiffre d’affaires de l’industrie en France s’est élevé à 658 millions d’euros, une somme comparable à celle de 2008 (660 millions).

En 2020, le digital – et en particulier le streaming par abonnement – représente 72 % des revenus du « disque » (474 millions), le reste relevant du « physique » (vinyles et CD). La simplicité de l’écoute digitale, notamment sur mobile, tire la consommation de musique vers des sommets qu’elle n’avait plus atteints depuis longtemps. Des chiffres à rapprocher d’une enquête Ifop de 2018 révélant que 69 % des moins de 30 ans apprécient le rap. Ce que jeunes de 14-35 ans à l’occasion de cette enquête : 73 % des participants écoutent

des musiques urbaines made in France. Un score qui prend des proportions galactiques chez les 14-24 ans : 78 %. On remarque par ailleurs qu’à la question « que préférez-vous dans le rap ? », 70 % des sondés par Tsugi et Super! répondent « les instrus », 39 % le mood général du titre et seulement 35 % les punchlines.

La domination francophone Au contraire des premières générations de fans, le public actuel plébiscite les artistes francophones. Comme en témoigne la prédominance des artistes français dans le top 20 des meilleures ventes d’albums : en 2019, neuf d’entre eux se sont hissés dans ce palmarès, un score encore plus spectaculaire en 2020 où onze « urbains » trustent le sommet du classement. « Depuis environ une quinzaine d’années, le rap français a pris pleinement l’espace, atteste Narjes Bahhar, la responsable éditoriale du rap chez Deezer, interrogée dans le cadre de cette enquête.

Il y a beaucoup moins d’engouement pour le rap américain, même si les très grosses sorties US intéressent toujours le public rap. Le rap international ne domine plus aujourd’hui le marché en France, alors que c’était le cas dans les années 1990. » La domination francophone s’avère encore plus écrasante dans le top singles (un classement 100 % streaming), puisque quatorze des vingt artistes les plus écoutés en 2020 sont des artistes français. L’essentiel des 200 titres les plus écoutés relève aussi de l’urbain local. Détail notable, les jeunes amateurs de rap se distinguent par l’indifférence qu’ils éprouvent à l’encontre des classiques du rap français. À l’opposé du rock, du reggae voire des musiques électroniques, le jeune public rap ignore

À l’initiative de Red Bull et de la Sacem, Tsugi et l’agence de production de concerts Super! ont réalisé une enquête pour mieux cerner l’impact actuel des musiques urbaines. Les résultats sont dévoilés à l’occasion du MaMa le 14 octobre. En voilà l’avant-première.

OLIVIER RICHARD

les artistes des précédentes générations pour se concentrer sur la pléthorique production actuelle, Nekfeu, Laylow, Orelsan et Makala étant plébiscités par notre panel.

Les meilleures ventes d’albums des quatre PNL, Dadju, Nekfeu et Ninho ont décroché la pole position des meilleures ventes d’albums « urbains » entre 2017 et 2020.

Les résultats 2020 du streaming enfoncent le clou : l’année dernière, les titres les plus écoutés sur les plateformes relevaient tous des musiques urbaines. Ainsi, les tops 10 des titres de Deezer et de YouTube (catégorie musique sur le territoire français) étaient exclusivement constitués de morceaux

« rap », à l’instar du top 25 d’Apple Music et du Top 5 de Spotify ! La manne du digital

Ces résultats spectaculaires n’ont pas échappé aux majors, dont le chiffre d’affaires repose désormais sur le streaming par abonnement (80 % de leurs revenus digitaux en 2020). Les 14-35 ans étant la tranche d’âge qui consomme le plus la musique par streaming, il est logique que les musiques urbaines pèsent de plus en plus dans les contributions versées par les plateformes aux majors, en l’occurrence 33 % de celles récoltées par Deezer, 27 % pour Spotify et heureusement aussi aux artistes. Interrogé pour cette enquête, Matthieu Tessier, le président de Warner Chappell, la puissante maison d’édition qui a signé Aya Nakamura, explique : « Parmi les principaux modèles économiques rémunérateurs pour un artiste rap en développement, il y a d’abord le streaming, puis les vues YouTube : le premier

Ç

Le rap en France

État des lieux

© LIONEL BONAVENTURE / AFP

• Bâche représentant Ademos et N.O.S. du groupe PNL à la cité Gagarine (Ivry-sur-Seine)

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L IG N E É D IT OR IA L E

DES PORTRAITS

c’est…

S16

« Plusieurs sujets abordés dans le clip résonnent, hélas, avec ce qui passe : le monde qui se retourne contre nous avec la création de monstres, la question de la responsabilité individuelle et collective et la toxicité de l’air, qu’on constate depuis un moment en Asie. Le coronavirus, c’est la concrétisation de la construction de châteaux de cartes pas assez solides. »

Après une annonce de retraite anticipée, Woodkid, clippeur de stars et producteur prodige, aura mis sept ans à donner une suite à l’épique The

Golden Age. Son nouvel album, S16, prouesse industrielle et émotionnelle,

prouve qu’on peut survivre à l’ivresse d’une hype démesurée.

Woodkid

049 Rencontre

次 134

« Après la sortie du

premier album, j’ai ressenti

une fatigue physique et mentale écrasante.

J’étais dépassé. Je savais que j’aurais besoin de temps pour me réinventer. »

.

BFF avec Katy et Lana

Mathématiques modernes

© DR

VIOLAINE SCHÜTZ

026 Une

DAFT PUNK

1993-2021

027 次 139 Une

次 139

© PIERS ALLARDYCEThomas Bangalter et Guy-Manuel De Homem-Christo à Camden Town en septembre 1995

• GARNIER • • LIMIÑANAS •

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Date de création : 2007

Périodicité : mensuel (10 numéros) + 1 Hors-Série Positionnement : presse culturelle, presse musicale

sur les musiques actuelles Prix de vente : 6,95 €

DFP: 24 743 ex. (moyenne 2020)

Audience : hommes (74%), jeune (-35 ans : 70%), urbain (55% Paris RP), sur-consommateur de produits culturels et high-tech

LE S CH IF F R E S

FICHE D’IDENTITÉ

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LE S CH IF F R E S

TSUGI.FR

VU : 300 000 / mois Visites : 450 000 / mois

Pages vues : 650 000 / mois Newsletter : 27 500

Facebook : 236 000 Twitter : 73 000

Instagram : 15 000

TSUGI RADIO Auditeurs : 120 000 / mois Appli : 7 200 téléchargements Playlist : 2 000 titres actualisés chaque jour

Audience : hommes (63%), jeune (-35 ans : 75%),

urbain (55% Paris RP), sur-consommateur de produits

culturels et high-tech

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5

CALENDRIER 2022 DATE DE PARUTION DATE DE BOUCLAGE

147 4 Février 21 Janvier

148 4 Mars 18 Février

149 1 Avril 18 Mars

150 6 Mai 22 Avril

151 3 Juin 20 Mai

152 1 Juillet 17 Juin

HS 22 Juillet 8 Juillet

153 9 Septembre 26 Août

154 7 Octobre 23 Septembre

155 4 Novembre 21 Octobre

156 2 Décembre 18 Novembre

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4ème de Couverture 2ème de Couverture 3ème de Couverture Face Edito

Face Sommaire Face Rétronomie Face Rewind Face Before

Face Playlist Thématique Face L’Album Oublié Face Tsugimètre Face High Tech Face Shopping 1er Recto Recto Premium Face contexte

SIMPLES PAGES

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18 500€

15 500€

14 000€

14 000€

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14 000€

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11 250€

14 000€

en cumul, la remise professionnelle s’applique ensuite sur le CA Net HT

Nouvel annonceur de 9 000 à 27 000€

de 27 001 à 54 000€

de 54 001 à 100 000€

Plus de 100 000€

Cumul de mandats Remise professionnelle

5%

5%

8%

10%

15%

3%

15%

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FORMATS & CONTACTS

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Références

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Pour cela, on traite E comme un ensemble de solutions de syst` eme

défend. Je n'avais pas pris la peine de relever les absurdités et la mauvaise foi de cette pauvre réplique — où la référence de mon article n'était même pas donnée et

- D'écrire les formules: tu trouves, elles donnent, ils partiront, vous jonglez, nous finissons, les pommes tombent, tu regardes, vous goûtez, les nuages passent.. Remarque:

Il s’agit de la propriété fondamentale

Bonus Notre résumé a été bien compris par un autre groupe qui ignorait les

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[r]

D’après le tableau des valeurs approchées obtenues à l’aide de cet algorithme pour certaines valeurs de n, on peut conjecturer que la suite (u n ) est croissante et majorée par 2c.