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Service de Néphrologie Dialyse Transplantation rénale CHU Clémenceau, Caen

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Academic year: 2022

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La  membrane  péritonéale  est  au  contact  d’environ  000  à  4000    litres  de  dialysat  par  an.  Pendant  de  nombreuses  années,  les  solutions  proposées  se caractérisaient par un pH acide, une concentration élevée en produits de  dégradation  du  glucose  (PDG)  toxiques  pour  le  péritoine  et  source  d’effets  systémiques et locaux délétères au long cours (,).

La solution idéale doit avoir un pH physiologique, permettre une épuration et une  ultrafiltration adéquates, être dépourvue de toxicité locale et générale, contenir  une  substance  osmotique  peu  ou  pas  absorbée,  n’induisant  pas  de  troubles  métaboliques et être d’un coût accessible.

Depuis  quelques  années  de  nouvelles  solutions  sont  disponibles  mais  probablement  insuffisamment  utilisées.  Le  pH  est  compris  entre  7,0  et  7,4  la teneur en GDP est faible minimisant le risque de formation de produits de  glycation, source d’altérations morphologiques et fonctionnelles de la membrane  péritonéale (). Le tampon est soit un mélange de bicarbonate-lactate (B/L), soit  du lactate (L), soit du bicarbonate (B).

1 – PRéSERVATION DE LA MEMBRANE PéRITONéALE

Le CA 5 est un marqueur de la viabilité cellulaire mésothéliale que l’on peut doser  dans l’effluent péritonéal (4). Jones et coll. étudient la concentration en CA 5 du  dialysat drainé chez des patients recevant une solution conventionnelle (pH à 5,5)  avec ceux traités à l’aide d’une solution physiologique (B/L) . Au cours d’un suivi de 6  mois, il est constaté une augmentation significative du CA 5 dans le groupe B/L (5).  Szeto  et  coll.  comparent  deux  groupes  de  5  patients  recevant  soit  une  solution  conventionnelle (C) soit une solution physiologique (P) à pH neutre, à faible teneur  en  PDG  et  un  tampon  lactate. A  l’issue  d’un  suivi  d’un  an,  les  patients  recevant   la  solution  P  ont  une  teneur  en  CA  5  dans  l’effluent  péritonéal  plus  élevée  (4,0 ± ,7 vs 7,6 ± , U/ml ; p = 0,007) et un taux plasmatique de CRP plus  bas (,77 ± 0,4 vs 7,7 ± ,4 mg/l ; p = 0,06) que dans le groupe C (6). Dans  cette même étude, les résultats concernant la teneur en acide hyaluronique dans le 

interet des nouvelles solutions de dialyse Peritoneale

JEan-PhiliPPE RYcKElYncK, anGéliQUE thUilliER-lEcoUF, maxEncE FichEUx, thiERRY loBBEDEZ

Service de Néphrologie – Dialyse – Transplantation rénale  CHU Clémenceau, Caen

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dialysat drainé, caractérisant la régénération cellulaire mésothéliale, sont également  en faveur de la solution physiologique. Enfin l’étude de Théodoridis et coll. confirme  les résultats précédents lors de l’utilisation d’une solution physiologique à tampon  bicarbonate (7). Le taux de CA 5 augmente de façon significative après 6 mois  d’utilisation de la solution P de 5,07 ± 5,7 à ,97 ± 66, U/ml qui rediminue  à  ,7  ±  6,06  U/ml  après  6  mois  d’utilisation  de  la  solution  C. Ainsi  de  telles  constatations  ont  été  faites  avec  les  solutions  Gambrosol  trio®,  Physioneal®,  Balance® et Bicavera® (4).

Une baisse progressive de la teneur en CA 5 dans le dialysat est observée au  cours des années précédant l’apparition d’une péritonite sclérosante et encapsulante  (PES).  Cette  cinétique  du  taux  de  CA  5  pourrait  être  un  marqueur  précoce  de  la PSE (8). Pour Augustine et coll., le pH acide et la concentration élevée en PDG  constituent  des  facteurs  pouvant  initier  puis  accélérer  le  processus  de  sclérose  péritonéale (9). La question se pose donc de savoir si les solutions physiologiques  sont capables de réduire la fréquence des PSE. Aucune preuve n’existe à ce jour. 

Néanmoins,  les  données  du  registre  d’Australie  et de  Nouvelle-Zélande  montrent  une diminution de la fréquence des PSE avec aucun cas déclaré chez des patients  incidents  au  cours  de  la  période  004-007 (0).  Par  ailleurs,  il  a  été  montré  que  l’utilisation d’une solution bicarbonate pure permet d’améliorer le taux de CA 5  dans l’effluent péritonéal ().

2 – LE MAINTIEN DE LA FONCTION RéNALE RéSIDUELLE (FRR)

L’importance du maintien de la FRR n’est plus à démontrer en termes d’élimination  des  moyennes  molécules  et  des  toxines  urémiques,  de  maintien  de  l’équilibre  hydrosodé  avec un impact favorable sur la survie des patients et sur leur qualité  de vie (,). Lysaght et coll. ont montré, il y a de nombreuses années, que le déclin  de  la  FRR  était  plus  rapide  en  hémodialyse  qu’en  Dialyse  Péritonéale  Continue  Ambulatoire (DPCA) sur une péritode de suivi de 48 mois (4). Il ne semble pas y avoir  d’impact de la modalité de dialyse péritonéale (DPCA vs DPA).

Les solutions physiologiques présentent-elles un avantage concernant le maintien de la FRR ?

Dans une étude menée par Choi et coll., il n’a été constaté aucune différence entre  une solution C au lactate et une solution P au lactate avec faible teneur en PDG en  ce qui concerne le rapport D/P créatinine, le niveau d’ultrafiltration et celui de la FRR  après un suivi de  mois (5). De même Fan et coll. ont évalué la FFR après  mois  de suivi chez 57 patients recevant soit une solution C au lactate (6 patients) soit  une solution P (B/L ou L). La réduction de la FRR et du volume urinaire est identique  dans les deux groupes  .

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A  l’opposé,  dans  une  étude  multicentrique,  ouverte,  prospective  et  randomisée,  ne prenant en compte que des patients incidents, l’analyse en intention de traiter  montre de façon significative une moindre baisse de la FRR en faveur de la solution  biocompatible (p = 0,048) (7). Plus récemment, au cours de l’étude DIUREST, le déclin  mensuel de la FRR est significativement plus faible avec une solution biocompatible  au lactate que celui constaté avec une solution C lors d’un suivi de 8 mois (,5% 

vs  4,% ;  p  =  0,04) (8).  Une  étude  est  disponible  à  propos  de  l’utilisation  d’une  solution bicarbonate pure (9). Celle-ci est observationnelle, ouverte, non randomisée,  prospective, au cours de laquelle les patients sont répartis en deux groupes, l’un  recevant une solution C et l’autre la solution P au bicarbonate. La FRR passe de  7,07 à ,9 ml/mn dans le groupe C et de 7,05 à 4, ml/mn dans le groupe P (p 

= 0,004). Elle confirme les données antérieures d’une étude réalisée avec un plus  faible effectif ().

Les  études  les  plus  convaincantes  sont  celles  où  les  patients  sont  incidents  en  DP et chez qui la FRR n’est pas négligeable. Elles excluent les patients transférés  d’hémodialyse chez qui la FRR est faible voire nulle. En effet, quand la FRR est  déjà très faible, il est plus qu’improbable qu’une solution de DP puisse préserver ou  restaurer des lésions avancées de sclérose rénale (0).

3 – SOLUTIONS PhYSIOLOGIqUES ET ULTRAFILTRATION PéRITONéALE (UFP) Les résultats sont très discordants dans ce domaine. A partir de neuf études de la  littérature, Davies rapporte que l’UFP est inchangée à trois reprises, s’améliore une  fois et diminue quatre fois (). Pour Pajek et coll., une étude réalisée chez  patients  montre une moindre UFP avec une solution B/L qu’avec une solution C (). L’auteur  compare ses résultats à ceux de cinq autres études confirmant la discordance des  résultats.  Le  rôle  des  solutions  sur  la  FRR  et  les  apports  hydrosodés  quotidiens   des  patients  peuvent  interférer  avec  l’UFP.  Pour  Fan  et  coll.,  il  n’existe  pas  de  différence significative de l’UFP sur une période de 4 heures entre une solution P et  une solution C (6).

4 – SOLUTIONS PhYSIOLOGIqUES ET INFECTIONS PéRITONéALES

Au  cours  des  études  cliniques  initiales  concernant  la  solution  B/L  en  DPA,  il  n’a  pas été montré de différence significative en terme d’infections péritonéales (IP) en  faveur de cette solution (). De même la fréquence des IP est faible et identique si on  utilise une solution lactate P ou C à savoir 0,9 épisode par an ( épisode tous les  4 mois) avec la solution C vs 0,6 épisode par an ( épisode tous les 46 mois) avec  la solution P (p = 0,48) (4). La probabilité d’être indemne d’IP à  an est de 87,5% 

et de 75,% respectivement pour les patients du groupe P et ceux du groupe C (6)

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Seule l’étude de Montenegro et coll. a montré une incidence moindre des IP avec la  solution P au bicarbonate, soit un épisode tous les 5,5 mois-patient vs un épisode  tous les 0,4 mois-patient avec la solution C (p = 0,07) (9).

5 – SOLUTIONS PhYSIOLOGIqUES : SURVIE DES PATIENTS ET DE LA TEChNIqUE Les premiers résultats disponibles ont été rapportés par Lee et coll. (5). En effet,  pour la première fois il est suggéré qu’une solution physiologique plus biocompatible  puisse  conférer  une  meilleure  survie  des  patients  après  un  suivi  de  8  mois.  La  cohorte comporte 6 patients traités avec une solution P et 55 avec une solution C,   la survie étant de 74% et 6% respectivement (p = 0,00). En étude multivariée  selon un modèle de Cox prenant en compte l’âge, le diabète et le sexe, la différence  persiste (p = 0,0465). Il n’y a pas de différence au niveau de la survie de la technique,  ce qui est confirmé par une autre étude (6).

Dans l’étude de Montenegro, prospective sur  ans, mais non randomisée, le nombre  de décès est moindre avec la solution bicarbonate pure (9).

Plus récemment, une étude observationnelle réalisée en Corée du sud a recensé  6 patients venant de 54 centres sur une période allant de juillet 00 à décembre  006 (6). L’objectif primaire est la survie des patients et de la technique. Deux groupes  de 54 patients appariés selon l’âge, le diabète, les comorbidités cardiovasculaires,  le  statut socio-économique,  l’utilisation  d’icodextrine  et l’expérience  du  centre  ont  été constitués l’un recevant une solution P (B/L), l’autre une solution C au lactate. 

Les  décès  de  causes  toutes  confondues  sont  de  9,6%  et  8,9%  respectivement   (p  =  0,04).  L’utilisation  d’icodextrine  est  associée  de  façon  significative  à  une  réduction du risque de décès. Un échec de la technique est recensé chez 6,% des  patients du groupe P et 8,9% chez ceux du groupe C, sans différence significative. 

Il  s’agit  toutefois  d’une  étude  rétrospective  avec  une  utilisation  plus  fréquente  de  l’icodextrine dans le groupe P.

6 – AUTRES

D’autres  paramètres  ont  été  étudiés.  Il  n’existe  pas  d’impact  des  solutions  physiologiques  sur  les  transferts  péritonéaux.  Il  ne  semble  pas  y  avoir  d’effets  bénéfiques réellement démontrés sur l’état inflammatoire chronique. Même si l’emploi  d’une solution P (B/L) semble réduire le taux d’interleukine 6 dans l’effluent péritonéal  alors que le taux augmente avec une solution C, l’administration d’une solution P  chez des patients recevant de l’icodextrine et des acides aminés ne prévient pas une  augmentation du taux d’interleukine 6 dans le dialysat (7). Une nouvelle fois, seule  l’étude de Montenegro a montré une amélioration du taux plasmatique de la CRP en  utilisant une solution bicarbonate pure.

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Enfin,  les  solutions  à  pH  neutre  permettent  une  meilleure  correction  de  l’acidose  en DPA et DPCA, réduisent la fréquence des douleurs à l’infusion de même que  l’inconfort abdominal (8).

Au  total,  les  solutions  physiologiques  disponibles  ont  apporté  des  améliorations  incontestables. Leur rôle bénéfique dans le maintien de la fonction rénale résiduelle  est  plus  que  probable.  Les  données  concernant  l’amélioration  de  la  survie  des  patients  demandent  à  être  confirmées.  Les  solutions  physiologiques  n’ont  pas  d’impact favorable sur la survie de la technique ni sur la fréquence des infections  péritonéales.  Elles  semblent  préserver  la  membrane  péritonéale  et  doivent  donc  être proposées chez les sujets jeunes et chez les patients susceptibles d’être traités  longtemps en dialyse péritonéale. C’est peut-être la façon de réduire la fréquence de  survenue d’une péritonite sclérosante et encapsulante.

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