• Aucun résultat trouvé

[PDF] Cours informatique complet d Initiation à LabVIEW

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "[PDF] Cours informatique complet d Initiation à LabVIEW"

Copied!
37
0
0

Texte intégral

(1)

Organisation

LabVIEW est un élément du module M11 ( 50%) d’une durée de 30 heures Travail Collaboratif: Création d’un groupe de travail sous Google.

Il faut s’abonner et y participer activement. Pourquoi? Synergie , esprit d’équipe

Comment?: en envoyant un email à l’adresse :

figet2012@gmail.com

Message: je m’appelle nom prénom je désire m’adhérer au groupe.

Un message de bienvenu vous sera adressé. Ne pas oublier d’accepter l’invitation

INSTALLATION:

1. Copier le dossier installation dans un répertoire d:/labview

 ATTENTION: L’installation à partir du CD prendra beaucoup de temps

2. Exécuter le programme labview2010 3. Exécuter le crack NiLicence

(2)

LabVIEW

-

LabVIEW est un langage de programmation graphique, appelé

langage G

-

La conception du programme est à l’image d’un instrument virtuel

-

Le programme est composé de deux parties: face avant et diagramme

-

La face avant ( interface utilisateur) comporte :

- des entrées qui sont les commandes ( bouton, glissière,….)

- et des sorties qui sont les indicateurs ( thermomètre, vu mètre, graphes,….)

-

Le diagramme ( programme) comporte

(3)

Partie 1 :Introduction à LabView

a)

Organisation d’une application

b)

Environnement de programmation sous LabView

c)

Types de variables

d)

Les structures

e)

Les tableaux

f)

Les chaînes de caractères

g)

Les graphiques

(4)

a) Organisation d’une application

Une application se compose d’un ou plusieurs

programmes

Chaque programme se compose en de deux parties

distinctes :

Lorsqu'on réalise un programme, on effectue deux

tâches principales:

la conception de l'interface utilisateur

la conception du programme

« interface utilisateur » :

Interface utilisateur

la partie qui effectue les

traitements

(5)

Lorsqu’on créé une nouvelle application, on

commence par créer un projet

(Nouveau/Projet vide)

Puis on définit où l’application va être déployée

en ajoutant le programme principal sur le

périphérique souhaité:

Poste de travail = ordinateur

Système déporté = compact rio

5

b)

Environnement de

(6)

b)

Environnement de

programmation sous LabView

FACE AVANT

DIAGRAMME

La création d’un programme se fera en créant un nouveau V.I. (Virtual Instrument) dans le projet.

Interaction entre face avant et digramme : Ctrl E

6

ICÔNE

(7)

1)

Exécution unique.

2)

Exécution en continu.

3)

Arrêt de l’exécution.

4)

Pause : ce bouton prend la couleur rouge pour montrer qu’il est

actif, il faut recliquer dessus pour sortir de ce mode.

5)

Activation du mode animation : la lampe s’allume pour

montrer qu’il est actif, il permet de suivre le flux de données et

l’activité des différents VI lors du lancement.

6)

Lecture de la valeur des fils de liaisons.

7)

Exécution en mode pas à pas.

8)

Passage à l’étape suivante sans détailler l’étape actuelle.

9)

Fin du mode pas à pas.

7

(8)

8

Choix automatique de

l’outil

Insertion de texte

Défilement dans la

fenêtre

Pipette

Remplissage et choix

de la couleur

Placement de sonde sur un fil

Menu local de l’objet

Placer/supprimer un

point d’arrêt

Connections des

éléments graphiques

Edition des éléments

graphiques

Positionner/Sélectionner/

Dimensionner

(9)

Chaîne et chemin

Graphe

Entrées / sorties

Décorations

Rechercher un élément

Menu déroulant

Listes et tables

Tableaux et clusters

(groupe)

Les booléens

Les numériques

Palette des commandes :

disponible à partir de la fenêtre face avant par un clic droit avec la souris ou dans « Affichage/Palette des commandes »

Permet de garder

toujours la palette

visible à l’écran

Conteneurs

Refnum

Variant et classe

Autres commandes

dépendant des

options installées

(10)

Cluster et variant

Booléen

Informations

temporelles

Contrôle d’applications

Génération de rapport

Rechercher un élément

Les chaînes

Les E/S sur fichiers

Les numériques

Les tableaux

Les structures

Palette des fonctions :

disponible à partir de la fenêtre diagramme par un clic droit avec la souris ou dans « Affichage/Palette des fonctions »

Permet de garder

toujours la palette

visible à l’écran

Les comparaisons

Dialogue et interface

utilisateur

Waveform

Autres fonctions

dépendantes des

options installées

Synchronisation

Graphisme et son

10

(11)

Les Fonctions, les VI et les VI Express

Les Fonctions de base : éléments d’exploitation

fondamentaux de LabVIEW.

Les VI Standards : VI qui peuvent être personnalisés.

Les VI Express : VI interactifs avec une page de

dialogue configurable mais limitée.

Fonction de base VI Standards VI Express

11

(12)

c) Types de variables

Il y a essentiellement 4 types de variables :

Les numériques :

12

Nombres réels, précision étendue (EXT : 92 bits), précision double (DBL : 64 bits) et précision simple (SGL : 32 bits)

Nombres entiers signés codés sur 64, 32, 16 ou 8 bits

Nombres entiers non signés codés sur 64, 32, 16 ou 8 bits

Complexes (même précison que les

(13)

Les booléens :

Les chaînes de caractères :

Les clusters :

(14)

Créer un programme

Exemple 1 : Calcul de c= 2(a+b)(a-3b)

ou a, b et c seront des réels.

14

Commande numérique Indicateur numérique Bouton

Incrémenter / Décrémenter

Terminaux de

contrôle (entrées) Terminaux d’indicateur (sortie)

Nœud

Fils de liaisons

(15)

Aide contextuelle : Ctrl +H

15

Fonction de base : Etiquette : Terminaux : 2 entrées et une sortie

•Choix du mode de l’aide (simple ou détaillé) •Verrouiller l’aide

•Aide détaillée

La bobine sert à connecter

les différents éléments.

Pour supprimer toutes les

liaisons non valides Ctrl + B

(16)

d) Les structures

Il existe 5 principaux types de

structures sous labview :

La condition : Si alors sinon

La boucle For : Faire ... N fois

La boucle While : Faire ... tant que

La structure évènement

La structure de blocs séquence.

(17)

Structure condition :

Exemple 2 : on souhaite réaliser un programme qui teste

SI a>b ALORS il affiche « a est plus grand que b » SINON il

teste:

SI a=b ALORS il affiche « a et b sont égaux »

SINON il affiche « b est plus grand que a »

(18)

La boucle For

Exemple 3 : On souhaite calculer le factoriel d’un nombre

choisit par l’utilisateur.

Pour cela il faut faire N fois : résultat = résultat * (i+1) où i

est l’indice de la boucle et N correspond au factoriel

souhaité.

Au départ, il faut mettre résultat à 1 sinon il sera toujours

nul, pour cela deux méthodes :

-

Valeur par défaut.

-

Mettre 1 dans « résultat »

(19)

La boucle While :

Les actions contenues dans la structure se déroulent tant

que la condition de fin n'est pas vraie

Exemple 4 : Tant que l’utilisateur n’appuie par sur stop,

on affiche le temps écoulé en seconde dans une jauge.

Pour cela nous allons utiliser la fonction attendre 1000ms

avant d’incrémenter la boucle while.

(20)

La structure évènement

Une fois la première structure crée, on ajoute le nombre de structures

nécessaires (clic droit sur le bord de la structure) en choisissant

l'évènement déclenchant dans la liste de la boite de dialogue qui

apparaît. Cette boucle doit être mise dans une boucle while ou utiliser

LabView en mode continu

Exemple 5 :

On souhaite créer un programme qui :

•Ouvre une fenêtre avec écrit

« bonjour » si on clique sur le bouton

BONJOUR et affiche dans la chaîne

de caractères BON CHOIX

•Fait un bip si on clique sur le bouton

BIP et affiche dans la chaîne de

caractères BON CHOIX

•Affiche dans la chaîne de caractères :

MAUVAIS CHOIX si on sort avec la

souris de la face avant.

(21)

La structure de blocs séquence

Lorsque l'on souhaite que des actions se déroulent dans

un ordre bien défini, on utilise une structure de blocs

séquence.

21

Exemple 6: On souhaite créer

un programme qui :

Affiche 1ière séquence dans

une boite de dialogue,

Puis qui affiche une horloge

en 1/10ième de seconde

jusqu’à ce que l’on appuie sur

le bouton « Fin de l’étape 2 »

Puis qui affiche 3ième

séquence dans une boite de

dialogue.

(22)

e) Les tableaux

C’est une structure de données qui permet de «

manipuler » simultanément plusieurs données

élémentaires du même type.

La première ligne a un indice 0.

22

Indice

Variable de type ….réel

0

1.65

1

3.85

(23)

Opérations de base

a)

Somme (multiplication)

de tous les éléments :

b)

Taille d’un tableau :

c)

Initialisation d’un tableau :

d)

Tri d’un tableau :

(24)

Opérations de base

e)

Insertion d’un élément dans un tableau :

f)

Suppression d’un élément dans un tableau :

(25)

f)

Les chaînes de caractères

Les chaînes de caractères sont des ensembles de données

permettant de manipuler des suites de lettres pour afficher

une phrase, par exemple: " le résultat de l'opération

vaut:"…….

Création d’une chaîne de caractères:

 Par une saisie -> commande chaîne en face avant :

 Par l'intermédiaire d'une constante fixée dans le programme :

(26)

 Par la lecture d’un fichier texte :

Opérations de base sur les chaînes de caractères :

• Ajout de deux chaînes existantes -> Ch3=Ch1+Ch2 : cette opération se fait à l’aide de l’objet concaténer

• Extraction d’informations :

(27)

Extraction et conversion : La chaîne de caractères renvoyée par le

multimètre est : Type/espace/Mesure/espace/Unité (ex : AC 4.89

V) On veut extraire la chaîne Mesure de la chaîne globale.

(28)

28

Un certain nombre de caractères permettent de couper les chaînes de caractères pour séparer plusieurs informations contenues dans la même chaîne. Ces

caractères sont codés soit par un code « \ », soit par un symbole disponible dans la palette chaîne

(29)

g) Les graphiques

Le graphique est un indicateur numérique particulier qui propose un

historique des valeurs.

Légende

Position du curseur

Échelles

(30)

Si l’on veut tracer une seule courbe :

on utilise la fonction assembler afin

de mettre les X en horizontal et Y en

vertical.

Si l’on veut plusieurs courbes, il

faudra construire un tableau de

courbes comme ci-contre

(31)

Clic droit sur le graphe puis choisir Propriétés -> Curseurs

On peut changer : • Le nom du curseur

• Le type de ligne qui représente le curseur

• La largeur du trait de curseur • Le symbole au centre du curseur

• Le symbole de la souris lorsqu’on utilise le curseur

• La couleur du curseur •Type de glissement :

• Libre

• Pour une courbe • Choix de la courbe

Les curseurs :

(32)

Clic droit sur le graphe puis choisir Propriétés -> Tracés :

On peut changer : •le nom de la courbe

•le type de ligne qui représente la courbe

•la largeur du trait de la courbe •le symbole de chaque point de la courbe

•le type de tracé

•la couleur de la courbe

•la couleur de chaque point de la courbe

Les légendes :

(33)

Clic droit sur le graphe puis choisir Propriétés -> Echelles :

On peut changer : • Le nom de l’axe

• Afficher ou non l’échelle

• Afficher ou non l’étiquette de l’échelle • Faire ou non une mise à l’échelle

automatique, si c’est non, il faut préciser le minimum et le maximum.

• Afficher ou non en echelle logarithmique, si c’est non, l’échelle est linéaire

• Afficher ou non la courbe inverse • Le style et les couleurs de l’échelle • Le style et les couleurs de la grille

Les échelles:

(34)

Exemple 7 :

Un système de surveillance de la

température d’une étuve enregistre la

température toutes les 15 mn.

Le thermomètre envoie à l’ordinateur

la valeur de la température sous

forme d’une chaîne de caractères.

Ces températures sont stockées dans

un texte qui a la forme ci-contre:

34

T00 123.1 °C

T01 128.5 °C

T02 126.7 °C

T03 121.2 °C

T04 123.5 °C

T05 124.1 °C

...

(35)

On souhaite que le logiciel établisse automatiquement

un rapport donnant l’évolution des dernières

températures mesurées :

les valeurs maxi, mini et la valeur moyenne de la

température de la période.

Un graphique de l’évolution de la température.

(36)

Le programme aura la structure suivante :

a)

Lecture du fichier :

On lit un fichier *.txt que l’on affiche dans l’indicateur texte lu.

b)

Extraction des valeurs :

On veut obtenir un tableau des valeurs numériques des

températures pour pouvoir trouver maxi, mini et moyenne.

Pour cela, on procède de la manière suivante :

FAIRE

A.

Récupérer une chaîne de température dans le texte

principal.

B.

De cette chaîne extraire la sous chaîne exprimant la

température

C.

Convertir cette sous chaîne en nombre

D.

la ranger dans un tableau de réels (doubles) « TabTemp »

TANT QUE le texte lu n’est pas vide

(37)

c)

Constitution du rapport :

Lorsque le tableau D est complet, on applique alors les

fonctions de tableaux permettant de trouver les valeurs

désirées.

37

T00 123.1 °C T01 128.5 °C T02 126.7 °C T03 121.2 °C T04 123.5 °C …… T00 123.1 °C 123.1 123.1 123.1 A B C D

Références

Documents relatifs

Comme nous l’avons déjà souligné, les personnages féminins sont beaucoup plus présents dans À quoi rêvent les loups que dans la trilogie policière, que ce soit par

Outre les différences de timbre, la position du schwa dans l’espace acoustique –en particulier au regard de ses voisines [œ] et [ø]– est également évaluée et la variabilité

Dumontier et Elleuch (2002) observent sur le marché français à partir de 136 dates d’annonces de résultats et de publication d’états

Les difficultés d’une introduction directe des principes démocratiques dans les mécanismes de la gouvernance ont conduit de nombreux observateurs à préconiser une tout

Ces recherches sont centrales en ce qu’elles portent un regard critique sur la mise en place de ces pôles, mais peu de ces recherches offrent une réflexion

Ainsi en identifiant si dans le pôle on retrouve les critères d’une anarchie organisée, à travers l’analyse de processus de décisions, cela nous permettra de comprendre

Ainsi en identifiant si dans le pôle on retrouve les critères d’une anarchie organisée, à travers l’analyse de processus de décisions, cela nous permettra de comprendre

Pour traiter de ces questions, nous allons présenter les résultats du cheminement que nous avons suivi dans la thèse afin de révéler, puis d’éclairer