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Qualité de vie sexuelle chez les personnes vivant avec le VIH

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Academic year: 2021

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ARTICLE ORIGINAL

Qualité de vie sexuelle chez les personnes vivant avec le VIH

M. El Fane (MD)

a,∗

, R. Bensghir (MD)

a

, S. Sbai (MD)

b

, A. Chakib (MD)

a

, N. Kadiri (MD)

b

, A. Ayouch (PhD)

a

, H. Himmich (MD)

a

aService des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd, quartier des hôpitaux, Casablanca 20100, Maroc

bCentre psychiatrique universitaire, CHU Ibn Rochd, Casablanca, Maroc

Disponible sur Internet le 10 mars 2011

MOTS CLÉS Sexualité ; Infection à VIH ; PVVIH ;

Trouble sexuel ; Prévention

Résumé L’infection à VIH touche les personnes dans leur intimité. Notamment transmis par voie sexuelle, le virus envahit brusquement la conscience et l’inconscience des personnes séropositives. Il marque de son empreinte toute leur vie. Depuis l’avènement des thérapies antirétrovirales et l’allongement de l’espérance de vie, la qualité de vie sexuelle et affective est une préoccupation pour les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) et pour les soignants. Le but de notre travail est d’identifier les troubles rencontrés chez les PVVIH et de déterminer les facteurs influenc¸ant leur sexualité. Un échantillon de 134 patients séropositifs vivant avec le VIH, suivis au service des maladies infectieuses du centre hospitalo-universitaire Ibn Rochd de Casablanca a été recruté. Un questionnaire préétabli par les auteurs a permis d’identifier les caractéristiques sociodémographiques, ainsi que des renseignements concernant l’infection à VIH, la sexualité et la prévention de la transmission du VIH. Le diagnostic des troubles sexuels a été fait selon les critères du DSM-IV. Soixante quatre pour cent des hommes inclus affirment ne pas avoir une activité sexuelle satisfaisante et 80 % rapportent des troubles sexuels, notamment un dysfonctionnement érectile ; 70 % des patientes affirment ne pas avoir une activité sexuelle satisfaisante, 69 % rapportent des troubles sexuels, notamment une baisse de la libido, une anorgasmie et une dyspareunie ; 63 % des personnes interviewées utilisent systématiquement le préservatif lors des rapports sexuels.

© 2010 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.

DOI de l’article original :10.1016/j.sexol.2010.12.007.

This issue also includes an English version: El Fane M, Bensghir R, Sbai S, Chakib A, Kadiri N, Ayouch A, Himmich H. Quality of sexual life for people living with HIV (PLWHA).

Auteur correspondant.

Adresse e-mail :elfanemouna@gmail.com(M.E. Fane).

Introduction

La qualité de vie sexuelle des personnes séropositives n’a rec¸u aucune attention pendant une longue période de l’épidémie et ce en partie à cause de l’espérance de vie qui était courte. Il a fallu attendre l’arrivée des thérapies antirétrovirales hautement efficaces pour que la question 1158-1360/$ – see front matter © 2010 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.

doi:10.1016/j.sexol.2010.12.006

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de la sexualité des personnes séropositives surgisse dans les thèmes de recherche en sciences sociales et comportemen- tales (Troussier et Tourette-Turgis, 2006).

Depuis le début des années 1980, les conceptions de la sexualité des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) ont beaucoup changé. Dans les premières publications sur ce thème, toute relation sexuelle, même protégée par un préservatif, était fortement déconseillée (Kaplan et al., 1985). Actuellement, la qualité de vie est net- tement meilleure, l’espérance de vie est beaucoup plus longue, voire équivalente à celle d’une personne séro- négative ; de plus en plus de chercheurs s’intéressent à la qualité de vie des PVVIH et soulignent l’intérêt d’offrir une prise en charge plus globale (Kaplan et al., 1985).

Le but de notre travail est d’évaluer la prévalence des troubles sexuels, ainsi que l’impact de l’infection à VIH sur la qualité de vie sexuelle des PVVIH suivies au service des maladies infectieuses du centre hospitalo-universitaire Ibn Rochd de Casablanca.

Patients et méthodes La population

Cent trente-quatre patients séropositifs pour le VIH suivis au service des maladies infectieuses du centre hospitalo- universitaire Ibn Rochd de Casablanca ont accepté de participer à notre étude.

Les critères d’inclusion

Patients ayant un âge compris entre 18 et 60 ans, infec- tés par le VIH, ayant consulté à l’hôpital de jour et qui ont accepté de répondre oralement à un questionnaire. Les patients suivis pour une maladie psychiatrique sévère (psy- chose) ou une déficience mentale ont été exclus de notre étude.

Moyens d’évaluation

Un questionnaire préétabli par les auteurs a per- mis d’identifier les caractéristiques sociodémographiques, ainsi que des renseignements concernant l’infection à VIH, la sexualité et la prévention du VIH. Le diag- nostic des troubles sexuels est fait selon les critères du DSM-IV.

Analyse statistique

La saisie et l’analyse des données sont effectuées en utili- sant le SPSS.

Résultats

Caractéristiques sociodémographiques

La moyenne d’âge était de 38 ans (18—60 ans) avec une légère prédominance féminine (54 %). Soixante-huit (51 %)

patients étaient sans travail et 39 % analphabètes. Quatre- vingt-huit patients (66 %) vivaient avec leurs parents ou en couple.

Résultats liés à l’infection à VIH

La durée moyenne de suivi était de soixante mois (1—12 ans).

Soixante patients (48 %) étaient au stade C de l’infection à VIH. Cent sept patients (80 %) étaient sous thérapie antiré- trovirale et 80 % avaient une charge virale indétectable.

Résultats liés à l’addiction

L’addiction au tabac est rapportée surtout par les hommes, dans 73 % des cas et celle à l’alcool dans 16 % des cas ; 41 % des femmes avaient un partenaire sexuel stable contre 47 % des hommes.

Résultats liés à la sexualité

Quatre-vingt-quatre patients de notre étude (70 %) ont annoncé leur séropositivité à leurs partenaires. Toutes les femmes qui ont maintenu une activité sexuelle ont des rapports hétérosexuels et 14,51 % des hommes avaient des relations sexuelles avec d’autres hommes. La sérologie du partenaire était inconnue dans la majorité des cas (65 % des cas), alors qu’elle était connue dans 35 % des cas : positive dans 16 % des cas et négative dans 19 % des cas.

Une activité sexuelle était maintenue par 56 % des femmes et 58 % des hommes. Quatre-vingt-quatorze patients soit 70 % affirment ne pas avoir une activité sexuelle satis- faisante (Tableau 1). Quarante-deux pour cent des hommes rapportent l’abstinence sexuelle, liée principalement aux croyances religieuses et à un sentiment de culpabilité.

Les troubles sexuels ont été dominés par les troubles de l’éjaculation (18 %) et de l’érection (17 %) qui étaient rap- portées à l’asthénie physique liée à l’infection à VIH et à la peur de contaminer le partenaire (Tableau 2).

Cinquante femmes (68 %) rapportent des troubles sexuels notamment l’abstinence sexuelle, notée dans 44 % des cas qui était liée aux croyances religieuses dans 28 % des cas et au sentiment de culpabilité dans 17 % des cas.

Les autres troubles étaient représentés par le trouble du désir (23 %), suivi par la dyspareunie (12 %). Ces troubles étaient rapportés essentiellement au fait que la sexualité leur rappelle la maladie et à la peur de contaminer leur partenaire (Tableau 3).

Ces troubles existaient avant le diagnostic dans seule- ment 8 % des cas. Vingt femmes (30 %) affirment que leurs troubles se sont améliorés après le démarrage du trai- tement antirétroviral contre six patients (10 %) hommes.

Soixante-dix-neuf patients (59 %) utilisent systématique- ment le préservatif lors des rapports sexuels.

Le sujet de la sexualité a été abordé par le médecin trai- tant dans 45 % des cas, par les éducateurs thérapeutiques dans 50 % des cas et par la psychologue et le psychiatre dans 30 % des cas.

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Tableau 1 Résultats liés à la sexualité.

Femme Homme

Nombre % Nombre %

Partenaire

Unique 29 40,27 29 47

Sans 29 40,27 22 36

Multiple 14 19 10 17

Orientation sexuelle

Hétérosexuel 72 100 53 85,48

Homosexuel 0 0 4 6,45

Bisexuel 0 0 5 8,06

Statut sérologique du partenaire

Négative 12 17 14 22

Positive 9 12 12 20

Maintien d’une activité sexuelle 40 56 36 58

Satisfaction sexuelle 22 30 22 36

Trouble sexuel actuel 50 69 50 80

Trouble sexuel avant le diagnostic 5 7 6 10

Amélioration des troubles sexuels après ARV 22 30 6 10

Prévention secondaire

Systématique 41 66 38 61,29

Discontinue 21 34 24 38,71

Tableau 2 Troubles sexuels chez les femmes.

Troubles Nombre % Raisons %

Abstinence sexuelle

32 44 Interdit religieux 28

Sentiment de culpabilité 17

Peur de contaminer le partenaire 10 Difficulté à trouver un partenaire 8

Autres La sexualité rappelle la maladie 21

Trouble de désir 16 22,22 Peur de contaminer le partenaire 18

Dyspareunie 8 11,11 Utilisation du préservatif 16

Absence de plaisir 6 8,33 Précarité 10

Absence d’orgasme 6 8,33 Hostilité envers le partenaire 10

Tableau 3 Troubles sexuels chez les hommes.

Troubles Nombre % Raisons %

Abstinence sexuelle

26 42 Interdit religieux 25

Sentiment de culpabilité 10

Peur de contaminer le partenaire 5

Autres Asthénie physique liée au VIH 20

Trouble d’éjaculation 11 18 Peur de contaminer le partenaire 18

Trouble érectile 11 17 La sexualité rappelle la maladie 10

Trouble désir 9 15 Utilisation du préservatif 5

Discussion

L’infection à VIH est une maladie chronique affectant tous les domaines de la vie individuelle et sociale, que ce soit par le retentissement physique et psychologique de la maladie,

la vie affective et sexuelle, par les difficultés de l’insertion sociale et professionnelle (Préaua et Morina, 2005).

La sexualité des PVVIH, confrontés aux contraintes d’une maladie grave, de son traitement et aux risques de transmission et d’exclusion est fortement perturbée

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Tableau 4 Prévalence des troubles sexuels selon les études (Lallemand et al., 2002 ; Lert et al., 2004 ; Troussier et Tourette- Turgis, 2006).

Lallemand (%) Lert (%) Notre série (%)

Activité sexuelle maintenue 60 57—

Trouble sexuel actuel 71 35- 44 75

Trouble sexuel avant le diagnostic 18 9

Trouble sexuel avant la trithérapie 32

comme l’a montré l’enquête VESPA (Schiltz et al., 2006).

Les premières études publiées sur la sexualité et la séropositivité montrent que la séropositivité affecte la vie sexuelle des personnes séropositives, avec des difficultés d’annoncer le statut sérologique au partenaire. Quatre- vingt-quatre patients de notre étude (70 %) ont annoncé leur séropositivité à leurs partenaires.

Dans notre étude, 64 % des hommes affirment ne pas avoir une activité sexuelle satisfaisante et 80 % rapportent des troubles sexuels notamment le dysfonctionnement érectile.

Une étude conduite en France (Lallemand et al., 2002) auprès de 156 patients de sexe masculin sous traitement antirétroviral, montre que 71 % rapportent des troubles sexuels (perte de libido, troubles de l’érection, difficul- tés lors de l’orgasme) sachant que 18 % d’entre eux avaient déjà ce problème avant de connaître leur séropositivité et 32,4 % avant la prise d’un traitement antirétroviral. Ce qui concorde avec nos résultats (Tableau 4).

Dans l’enquête Vespa (Lert et al., 2004) conduite en France, 35 à 44 % des personnes séropositives sous traite- ment déclarent avoir des troubles de la sexualité. Soixante pour cent déclarent avoir des relations sexuelles avec un partenaire ou une partenaire stable, parmi lesquelles 32 à 45 % disent avoir eu des ruptures de prévention.

Dans la littérature, il y a très peu de données concernant la sexualité des femmes vivant avec le VIH (Luzi et Guaraldi, 2009). Les femmes consultent principalement autour du désir d’enfant, peu de consultations concernent la sexualité et le désir (Rochet, 2006).

Une étude anglaise (Keegan et al., 2005) auprès de 21 femmes séropositives démontre l’impact négatif de la séropositivité sur la qualité de leur vie sexuelle (baisse de libido, réduction du plaisir sexuel, difficultés à trouver des partenaires, ainsi qu’en matière de prévention (difficultés à négocier l’usage du préservatif, peur du rejet si elles informent leurs partenaires de leur statut sérologique).

D’autres études ont trouvé que 63,4 % des femmes vivant avec le VIH déclarent que leurs pratiques sexuelles ont changé, 74,6 % affirment que leur vie intime est globalement moins satisfaisante et la moitié des femmes séropositives ont une vie sexuelle peu ou pas active.

Dans notre étude, 70,5 % des patientes affirment ne pas avoir une activité sexuelle satisfaisante et 69 % rap- portent des troubles sexuels, notamment baisse de la libido, anorgasmie et dyspareunie. Les résultats de notre étude sont relativement élevés par rapport aux études menées dans les pays occidentaux, cette légère augmenta- tion est probablement liée à des considérations religieuses et sociales qui interdisent toute relation sexuelle hors du mariage.

Les troubles sexuels peuvent être engendrés par l’impact psychologique du caractère sexuellement transmissible du VIH (culpabilité, peur de contaminer), par la baisse du taux de certaines hormones, par une dépression, ou par les trai- tements. De possibles carences en vitamines et minéraux peuvent aggraver la situation (Guaraldi, 2007). Les troubles sont plus importants chez les personnes traitées quel que soit la combinaison (Lallemand, 2002). Les troubles érec- tiles sont plus fréquents chez les hommes traités par les inhibiteurs de protéase (Moreno-Perez, 2010). L’impact des traitements antirétroviraux dans ces dysfonctions serait plu- tôt lié aux effets indésirables globaux et au stress que peut représenter la prise de médicaments (Lallemand, 2002).

D’autres études ont montré que les changements corpo- rels sont les déterminants majeurs des dysfonctionnements sexuels chez les PVVIH (Luzi et Guaraldi, 2009).

Dans notre étude, 73 % des patients hommes ont une addiction actuelle au tabac, et 16,3 % à l’alcool ce qui peut expliquer le taux élevés des troubles sexuels car les fumeurs ont quatre fois plus de risques de devenir«impuissants»que les non-fumeurs. En plus l’alcool provoque une carence en vitamines B et une chute du taux de testostérone qui est nécessaires à la sexualité (Kaplan et al., 1985).

Les messages de prévention mettent l’accent sur les risques d’infection (ou de surinfection) associés à l’activité sexuelle et recommandent l’utilisation systématique de pré- servatifs. Parmi les femmes séropositives, 42 % déclarent des rapports non protégés avec le partenaire stable et 29 % des rapports non protégés avec des partenaires occasion- nels. Parmi les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, 40 % déclarent des rapports non protégés avec le partenaire stable et 23 % des rapports non protégés avec des partenaires occasionnels (Lert et al., 2004).

Une étude conduite en Californie auprès de 145 couples hétérosexuels sérodiscordants montre que 45 % de ces couples déclarent avoir eu des relations sexuelles vaginales ou anales non protégées au cours des derniers six mois (Buchacz et al., 2001). Dans notre étude 59 % des inclus seulement utilisent systématiquement le préservatif lors des rapports sexuels : le recours systématique au préservatif est souvent vécu comme une limitation frustrante de la spon- tanéité et de la fantaisie dans les rapports sexuels, ce qui constitue un grand problème en terme de prévention.

Conclusion

Cette étude témoigne de l’importance des troubles sexuels chez les PVVIH. Dans le cadre de la prise en charge globale de ces patients, les cliniciens doivent explorer/interroger leurs patients quant à leur vie affective et sexuelle. L’existence

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de troubles sexuels qu’ils soient ou non liés au VIH doit être prise en considération par les soignants afin de réduire leur impact négatif aussi bien sur la qualité de vie des patients que sur leurs conduites de prévention.

Conflit d’intérêt

Aucun.

Références

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Références

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