• Aucun résultat trouvé

J.-M. HILL. — Du mouvement permanent de l'électricité dans un courant laminaire sphérique; The Quarterly journal of pure and applied Mathematics t. XVI, p. 306; 1879

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "J.-M. HILL. — Du mouvement permanent de l'électricité dans un courant laminaire sphérique; The Quarterly journal of pure and applied Mathematics t. XVI, p. 306; 1879"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238126

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238126

Submitted on 1 Jan 1883

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

J.-M. HILL. - Du mouvement permanent de l’électricité dans un courant laminaire sphérique; The Quarterly journal of pure and applied Mathematics t. XVI, p. 306;

1879

R. Blondlot

To cite this version:

R. Blondlot. J.-M. HILL. - Du mouvement permanent de l’électricité dans un courant laminaire sphérique; The Quarterly journal of pure and applied Mathematics t. XVI, p. 306; 1879. J. Phys.

Theor. Appl., 1883, 2 (1), pp.40-42. �10.1051/jphystap:01883002004001�. �jpa-00238126�

(2)

40

La bande sombre

681~8, o, qui

se renverse dans le

spectre

d’émi 5-

sion,

met hors de doute l’existence du

thuliuin,

bien que les

préparations

de ce métal n’aient encore pu être obtenues

exemptes

d’ytterbium

et d’erbium. E. BOUTY.

J.-M.

HILL. 2014 Du mouvement permanent de l’électricité dans un courant lami- naire sphérique; The Quarterly journal of pure and applied Mathematics t. XVI, p. 306; 1879 (1).

L’écoulenlent de l’électricité dans les surfaces

d’épaisseur

très

petite

et

partout

la même a

déjà

été traité par divers auteurs.

M. Hill forme d’abord

l’équation

fondamentale du

potentiel

pour le cas d’une couche

sphérique mince;

si l’on détermine un

point

i

par sa

longitude

cp et sa lati tude X,

l’écjuation

du

potentiel

sera,

dans le cas d’un courant constant,

~

ï-r-sinv

ou~ en

posant pL=~iog2013201320132013-"?

cos

-1

Cette

équation

sert de base aux recherches ultérieures de l’au-

teur.

---

J. ELSTER ET GE1TEL. - Ueber die ElectrieiLât der Flamme (Sur l’électricité de la flamme); Annalen der Physik, t. XVI, p. j93 et Rectifications, ibicl.,

p. 712, 1882.

Non seulement les théories

proposées

pour

expliquer

les pro-

priétés électriques

des flammes se contredisent

mutuellement,

(’ ) D’après le Bulletin des Sciences lnathénlatiques et astronomiques.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01883002004001

(3)

41 mais les résultats des différents

expérimentateurs

sont eux-

mêmes inconciliables.

D’après

les auteurs, cela

tient,

d’une

part,

à

remploi

du

galvanomètre

comme moyen d’étude et, d’autre

part.

à ce

qu’on

a

négligé

l’influence de la couche d’air

qui enveloppe

immédiatement la flamme. C’est

pourquoi

ils ont eu recours à

l’électromètre à

quadrants.

Une

première

série

d’expériences

les a conduits aux résultats

suivants :

La

polarisation longitudinale

de la flamme n’est

qu’apparente

et a sa cause dans l’enfoncement

inégal

des fils servant d’élec-

trodes.

La flamme se montre fortement

polarisée

dans sa

section,

la couche d’air

qui enveloppe

immédiatement la flamme étant

toujours positive

par

rapport

à celle

qui

est dans la flamme.

3° La force électromotrice est

indépendante

de la

grandeur

de

la flamme.

Le renversement de la

polarité

de la flamme

peut

s’obtenir par un enfoncement convenable des

électrodes,

ce

qui s’explique

par les

propositions

i ° et 2°.

5° La force électromotrice de la flai-rime

dépend

de la nature du

métal

qui

constitue les électrodes et de la nature des gaz en com-

bustion. Elle est

remarquablement

forte

quand

on

emploie

l’alu-

minium ou le

magnésium

comme électrode de

décharge,

et remar-

quablement

faible

quand

l’électrode

qui

se trouve dans l’air est recouverte de sels

(chlorure

de

potassium.

(~° En

employant

des électrodes

entièrement liquides,

l’électrode

qui

se trouve dans l’air est encore

positive

par

rapport

à celle de la

flamme ;

toutes les

propositions précédentes

se vérifient pour les électrodes

liquides.

On

peut

réunir des flammes en tension con 2nie les éléments

d’une

pile..

Les auteurs ont ensuite abordé l’étude des

propriétés

thermo-

électriques

de deux fils de

platine séparés

par une couche d’air

chaud, indépendamment

d’une flamme

quelconque.

Pour

cela,

ils

f’aisaient

rougir

un des fils par le passage de courants

alternatifs,

tout en maintenant la

portion roug ie

au

potentiel

du sol par un e communication constante ; l’autre fil

était placé à

une

petite distance

du

premier.

(4)

12

Le résultat obtenu est une confirmation de celui que

j’ai

annoncé

moi-même

~’ 1),

à savoir

qu’il

existe dans ce cas des forces électro- motrices

considérables,

le fil le

plus

chaud étant le

pôle négatif.

Même résultat si l’on

emploie

des électrodes

liquides.

En

partant

de ces

faits,

on

peut expliquer

les

phénomènes pré-

sentés par les électrodes

plongées

dans les flammes : les

particula-

rités de ces

phénomènes

résultent de la

superposition

d’actions

thermo-électriques

et d’actions

électrolzrtiques,

l’une OLl l’autre

des deux actions

ayant

la

prédominance,

suivante les

dispositions

de

l’ expérience.

D’autre

part,

il faut renoncer à l’idée d’une

production

d’élec-

tricité par la flamme

elle-n>ème ;

les auteurs le démontrent en pro- duisant une flamme constituée par de l’air dans une

atmosphère

de gaz

d’éclairage :

le sens de la

polarisation

reste le même que

lorsque

le gaz brûle dans l’air.

La théorie des

propriétés électriques

de la flamme

peut

donc se

résulner ainsi : les gaz de la flamme et la couche d’air

qui

envi-

ronne immédiatement celle-ci se

comportent

comme des électro

lytes

vis-à-vis des électrodes

qui

y sont

plongées;

à cette source

d’électricité se

joignent

les effets

thermo-électriques

dus à l’état

d’incandescence des électrodes.

Ainsi se trouvent confirmées les idées émises

précédemment

par Matteucci

(2),

I~u~’

( 3 )

et Hankel

( I+ ).

R. BLONDLOT.

DEWAR. 2014 Manometric observations in the electric arc (Observations manomé- triques sur l’arc électrique); Proceedings of the Royal Society, t. XXXIII, p. 262; 1882.

L’arc est

produit

entre deux charbons creux d’un diamètre in-

. térieur de

om,oo3.

Pour faire

disparaître

la

porosité

de ces char-

bons,

on les a chauffés au rouge blanc dans un tube de

porcelaine

(1) Comptes rendus des séances de l’Académie des Sciences, t. XCII, p. 8,0;

séance du f avril I88I : Sur la conductibilité des gaz échauffés.

( 2 ) ~’IATTEUCCI, Philosophical Magazine, t. VIII, p. 3og ; 1854.

( 3 ) BTFF, Liebig’s Annalen, t. LXXX, p. 1, 1851, et XC, p. 1; 1854.

(4) HA~KCL, Pogg. Ann., t. LXXXI, p. 2I2 ; i85o.

Références

Documents relatifs

1 55 Ion CHITESCU, Higher order derivatives of functions depending on other functions 2 105 Mihai CRISTEA, Mappings satisfying some modular inequalities.. 2 117 Romulus CRISTESCU,

Mohammed Kadi ATTOUCH The K-nearest neighbors estimation of the and Wahiba BOUABÇA conditional mode for functional data.. ANDERSON

Florin R Ă DULESCU On unbounded, non-trivial Hochschild cohomology in finite von Neumann algebras and higher order Berezin’s quantization. Betül TANBAY A letter on

KALISZEWSKI, Tron OMLAND and Cuntz-Li algebras from a-adic numbers John QUIGG.

Hideto NAKASHIMA and Takaaki NOMURA Basic relative invariants on the dual clans obtained by representations of Euclidean Jordan algebras. Nicolae ANGHEL On the Erd ő

Daniël WORM and Radu ZAHAROPOL On an ergodic decomposition defined in terms of certain generators: the case when the generator is defined on the entire space C b (X).

Our second contribution is a creative way of constructing a triplet representation for the defining matrices of all smaller ares during the doubling iterations so that the

To address this issue, we construct multiscale basis functions within the framework of generalized multiscale finite element method (GMsFEM) for dimension reduction in the