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LE JOURNAL DES LYCÉENS DE MAURICE RAVEL

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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LE JOURNAL DES LYCÉENS DE MAURICE RAVEL

L e

Ravélien

DECEMBRE 2015

Edito Fil d’ actus lycéennes P.2 Réac ons aux a entats

P.3 La pe te ceinture

P.4 Le Chili P.5 L’ E-Sport

P.6 Romans et guerres P.7 Cinéma P.8 Séries

P.9

Feuilleton

P.10-11

Fêtes de fin d ‘année

P.12

Onigiri

P.13

Horoscope

Perles de profs et d ‘élèves

P.15

(2)

Chères Ravéliennes, chers Ravé- liens, ce e fois-ci, c’est moi qui fais l’édito ! Je fais par e des nouveaux rédacteurs dont parlait Anémone dans le précédent journal. Donc je suis censée présenter ce numéro…

Par rapport aux évènements du 13 novembre, vous trouverez un ar-

cle dans ce numéro alors je ne vais pas trop m’étendre là dessus. Je dis juste que j’ai été profondément touchée par les a entats et que je compa s fortement avec les fa- milles des vic mes. Vous savez quoi ? Je vais même faire une ligne de silence dans cet édito.

Voilà, je ne vais pas trop m’a arder non plus sur les fêtes à venir, un ar cle étant déjà fait là dessus.

Pourquoi tous les sujets d’actualité abordables dans cet édito sont déjà pris ? Du coup j’ai plus rien à dire sinon que Joyeux Noël et Bonne Année !

Vantons maintenant les mérites du Ravélien pour vous donner un peu envie de le lire… enfin si vous lisez cet édito c’est que vous avez déjà un peu commencé à lire le journal non ? Alors, c’est un journal lycéen tout à fait respectable, écrit par…

des lycéens ! Je suis sûre que per- sonne ne s’en doutait. Avec des dessins pour accompagner les ar-

cles. (Vous vous rendez compte, on peut même laisser libre cours à nos talents ar s ques !)

D’ailleurs, nous recherchons tou- jours des dessinateurs comme le disent ces pe tes affiches jaunes affichées sur les portes des esca- liers, alors si vous dessinez bien (ou que vous aimez ça) vous êtes bien- venus !

Voilà, je finis sur : Lisez ce journal ! Atomu

Fil d’actualité

Édito

Édito

Fil d’actus lycéennes

Ciné-club

Le Kaléidoscope est de retour ce e année avec une programma on plus riche et variée que les années précédentes, donc gardez un œil sur les affiches ! Les séances se déroulent le jeudi à 18h en salle de ciné : 14 janvier : Samson & Dalila de Cecil B. de Mille

MRMUN: Maurice Ravel Model United Na ons

Suite aux a entats du 13 novembre, Clément Schneider et Lili Vessereau, Présidents du club MUN, ont souhaité orga- niser une séance d’expression le jeudi 19 novembre au self.

Après des discours et une minute de silence en mémoire des 130 vic mes, des thèmes comme le terrorisme, la reli- gion ou l’école ont été abordés.

Les 20 et 21 janvier 2016 se endra au lycée le MrMUN2016 (Maurice Ravel Model United Na ons 2016), une simula on de l’ONU ouverte à tous. Des postes de re- présentants d’États, de journalistes ou de traducteurs sont proposés. Les élèves peuvent s’inscrire auprès de Mme.

André et M. Fromen n jusqu’au 11 décembre. Pour plus d’informa ons, contactez Clément Schneider et Lili Vesse- reau, élèves de TS6 et Présidents du club.

Le club théâtre a lieu le lundi soir, de 17h30 à 19h30 en salle cinéma, venez nombreux !

Le club musique vous a end tous les vendredis soirs de 18h à 20h en salle de musique.

Art pictural

Depuis l’année dernière vous pouvez laisser libre cours à vos talents de peintre sur les portes des toile es. Pour plus de renseignements, rendez-vous au bureau de Mme An- dré.

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Le re ouverte aux terroristes

Par Nina

J’ai voulu me re des mots sur ce qu’il s’est passé

l

Très chers terroristes,

Alors le tourisme en France c'est comment? Les matchs de foot, les concerts, les pe ts coups en terrasse c’est sympa, non?

...Pas sûr que vous reveniez de sitôt...

Qu'est- ce que vous avez voulu faire?..

Vous avez voulu nous faire peur? Mais vous n'avez pas réussi.

Ce que vous ne savez pas c'est que les Français ne cèdent pas à la peur...

Vous voulez nous diviser mais vous n'avez réus- si qu ' à nous rassembler (encore plus que d'ha- bitude) autour de nos valeurs et de nos sym- boles.

Vous vous a aquez à nous car nous ne vivons pas comme vous? car nous sommes différents de vous (belle tolérance, bravo!!).

Vous vous a aquez à notre LIBERTÉ chérie, alors qu'elle ne vous a rien fait. Elle venait juste

de se reme re de son dernier trauma sme, tu te souviens? Mais vous verrez, elle arrivera à se relever plus forte que jamais...

Mais en nous a aquant, vous nous avez donné envie de con nuer à vivre normalement.

Vous avez les armes, nous la solidarité, la fraternité, l'humanité .

«Nous fraterniserons avec les cinq millions de musul- mans qui exercent leur religion librement et gen - ment et nous nous ba rons contre les 10 000 BAR- BARES qui tuent, soi-disant au nom d'Allah» Danielle ( dame âgée et nouvelle mamie préférée des Fran- çais) lors d'une interview sur BFM TV

«Si boire des coups, aller au concert ou au match, ça devient un combat alors tremblez, terroristes! Parce qu' ON EST SURENTRAÎNÉS» ( cita on trouvée sur internet )

«Vivons ensemble comme des frères ou nous fini- rons comme des fous» Mar n Luther King

Témoignage :

Nous sommes le vendredi 13 Novembre, il est 19h, j'arrive tranquillement au Stade de France accompagné de ma sœur et de ma tante. Après avoir rejoint nos places, nous assistons à l’entraî- nement des joueurs français et allemands puis le match commence. Durant la première mi-temps, une forte explosion et quelques minutes plus tard deux autres simultanées. Aucune panique.

Tout le monde croit que ce sont des pétards.

C'est seulement à vingt minutes de la fin de la par e, lorsque les chaînes d'informa on com- mencent à parler d'a entats que de nombreuses personnes qui ent le stade. Je reste jusqu’à la fin du match mais ne m'éternise pas après le coup de sifflet final. A la sor e du stade, un grand mouvement de foule dû à la peur nous reje e sur la pelouse . Et c'est quelques dizaines de minutes plus tard que nous rentrons chez nous en métro.

Nilam

Réaction aux attentats

Dessin :Gabriel

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Culture du monde

La ligne de Pe te Ceinture de Paris est une ligne de chemin de fer à double voie de 31 kilomètres de longueur qui faisait le tour de Paris. Ouverte par tronçons de 1852 à 1869, elle est d'abord exclusivement consacrée au trafic de marchandises avant d'être ouverte à celui des voyageurs.

Construite sous le Second Empire de Napo- léon III et du Baron Haussmann, le chemin de fer de Pe te Ceinture a marqué l’histoire et la mémoire parisienne. La Pe te Ceinture ferroviaire possède deux par cularités : Elle est située intégralement dans Paris.

Elle a connu un service de trains de voya- geurs urbains de 1862 à 1934, autrement dit pendant plus de soixante-dix ans.

La Pe te Ceinture est donc le premier che- min de fer urbain parisien. Elle se compose de quatre tronçons . Désertée par les Pari- siens en raison de la concurrence croissante du métropolitain, la ligne est, pour l'essen-

el de son parcours, fermée au trafic des voyageurs depuis le 23 juillet 1934. Toute- fois la ligne d'Auteuil est restée ouverte jus- qu'en 1985.

L'accès des piétons à la Pe te Ceinture est strictement interdit (décret du 22 mars 1942, modifié par le décret 69-601 du 10 juin 1969) et la plupart des accès sont grilla- gés ou murés, ce qui n'empêche pas des promeneurs et les amateurs de Street art de s'y retrouver régulièrement.

La Pe te Ceinture

Par Octave

Vous l’avez sûrement déjà vue ou vous vous y êtes même promené mais savez-vous vraiment ce que c’est?

l a l a

Quatre sec ons sont toutefois ouvertes au pu- blic : dans le 12e entre la rue Ro embourg et la rue de Montempoivre ;la Pe te Ceinture du 13e entre le jardin Charles-Trenet et le jardin du Moulin-de-la-Pointe depuis 2015; le tronçon du 15e entre la place Balard et la rue Olivier-de- Serres et enfin la Pe te Ceinture du 16e entre la gare d'Auteuil et la gare de la Mue e.

La Pe te Ceinture est encore par ellement u li- sée à des fins touris ques grâce à 2 principales associa ons de Sauvegarde : l'ASPC (Associa on Sauvegarde Pe te Ceinture) et le COPEF (Cercle Ouest Parisien d'Études Ferroviaires).

Ils font circuler des trains spéciaux sur ces lignes.

Le but principal de ces associa ons est de pro- mouvoir la remise en service de la pe te cein- ture.

Malgré les ac ons de ces associa ons la remise en service de la Pe te Ceinture semble utopique.

La ville de Paris s’opposant à ce e idée il y a peu de chance que nous voyions des trains circuler sur ces rails. Mais la Pe te ceinture reste un

‟monument″ à part en ère et sans elle la ville de Paris ne serait pas pareille

http://www.petiteceinture.org

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CULTURE DU MONDE

Chile, dulce patria

Par Felipe

Desde el desierto más árido del mundo hasta el bosque austral de la Patagonia Depuis le désert le plus aride du monde jusqu’ à la forêt australe de Patagonie

LA DULCE PATRIA CHILENA

Chile, una banda de erra entre la Cordillera de los Andes y el Océano Pacífico, cubierta por paisajes exó-

cos que imitan el Jardín del Edén, una cultura rica y interesante, una economía con muchas esperanzas…

Como chileno, y orgulloso de serlo, comparto con ustedes las más hermosas caracterís cas de mi país ya que a pesar de no ser muy conocido por el mundo, sería un pecado no decirles lo que hay aquí.

Dar un paseo entre los dibujos y las obras pintadas en los muros de las casas de Valparaíso, observar el cielo despejado iluminado por la noche en el Desierto de Atacama, compar r con la comunidad mapuche, prac car esquí en Farellones, disfrutar el mar que tranquilo nos baña en la playa de Viña del Mar, visitar un museo o ir de compras en San ago, contemplar el paisaje rural de la zona central... Chile nos ofrece una variedad de ac vidades para diver rnos y cul var- nos.

Sobre la cultura chilena, destacamos más en la músi- ca y en los dibujos. Grupos y cantantes de música como Los Prisioneros, Víctor Jara, Violeta Parra, Amé- rico, ¡Upa! y La Noche han sabido ganarse lugares respetados por los chilenos. En los dibujos tenemos tebeos muy diver dos como Condorito (de Pepo) y Barrabases (de Guido Vallejos).

Por úl mo, en la gastronomía tenemos delicias epi- cas como la Chorrillana, el Chacarero, el Mote con huesillo, la Pichanga, los Calzones rotos, los Chileni- tos, las Empanadas de pino y la Ensalada chilena.

Para concluir, ya sabes a dónde ir para tener unas inolvidables y super vacaciones.

MA DOUCE PATRIE CHILIENNE

Une bande de terre entre la Cordillère des Andes et l

‘Océan Pacifique, aux paysages exo ques qui imitent le jardin d’Eden, une culture riche et intéressante, une économie prome euse….

Chilien et fier de l ‘être, je partage avec vous les plus belles caractéris ques de mon pays car ce serait un péché de ne pas vous conter ce qu’il est -bien qu’il ne soit pas très connu-.

Se promener dans les rues de Valparaíso, dont les maisons sont couvertes de dessins et de peintures, observer le ciel clair et illuminé par la nuit dans le désert d’ Atacama, partager avec la communauté

Mapuche, skier à Fallerones, profiter des douceurs de la plage à Viña del Mar, visiter un musée ou faire des emple es à San ago, contempler le paysage rural de la zone centrale….le Chili offre une grande variété d’ac vités pour se diver r ou se cul ver .

Quant à la culture chilienne on dis nguera surtout la musique et le dessin. Des groupes et des chanteurs comme Los Prisioneros, Víctor Jara, Violeta Parra, Américo, ¡Upa! et La Noche ont su gagner le respect du public. Les dessinateurs ne sont pas en reste avec des BD très drôles comme Condorito (de Pepo) et Barrabases (de Guido Vallejos).

Enfin parlons des délices typiques de notre gastrono- mie : la Chorrillana, le Chacarero, le Mote con huesil- lo, la Pichanga, les Calzones rotos, les Chilenitos, les Empanadas de pino y la Ensalada chilena.

Maintenant tu sais où aller pour passer de super va- cances inoubliables….

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SPORT

E-Sport

Par Felix

Dans cet ar)cle, je vais parler de l’e-sport afin de faire découvrir ce e discipline encore assez peu connue.

Tout d’abord, qu’est-ce que l’e-sport ? L’e-sport c’est le « sport électronique ». Autrement dit des compé ons de jeux vidéo au niveau pro- fessionnel. Dit comme ça, c’est vrai que ça peut paraitre étrange si l’on s’intéresse peu ou pas du tout aux jeux vidéo. Cependant ça existe bel et bien et ça commence même à être très ré- pandu. Pour exemple je prendrais la compé - on des « Worlds » du jeu League of Legends qui se déroule tous les ans vers le mois d’octobre.

Le principe de ce e compé on est que les meilleures équipes des différentes régions du monde s’affrontent pour déterminer quelle est la meilleure équipe avec en plus une belle somme pour l’équipe vainqueur (à peu près 1.000.000 $). En 2015, des matchs se sont joués dans 3 villes d’Europe : Paris, Londres et Berlin. Le nombre de spectateurs des Worlds 2015 n’est pas encore connu cependant la fi- nale 2014 qui se tenait à Séoul avait réuni plus de 27 millions de spectateurs en comptant les visionnages sur internet. Vous comprendrez donc que l’e-sport akre quand même beau- coup de gens.

Mais ce n’est pas fini ! Il n’y a pas que League of Legends pour lequel des matchs professionnels sont disputés mais aussi Counter Strike, Dota 2, Call of Duty, Starcral II et bien d’autres ! De plus, il y a de plus en plus d’évènements spéciaux dédiés exclusivement à l’e-sport par- tout dans le monde. En France, nous avons la Lyon e-Sport qui se déroule donc à Lyon mais au salon de la Paris Games Week qui a lieu tous les ans pendant le dernier week-end d’octobre, à lieu l’E-Sport World Cup (ESWC) où s’affron- tent les meilleures équipes de différents jeux.

Certaines équipes professionnelles n’existent que pour un seul jeu, il y a aussi de véritables structures d’e-sport avec des équipes sur plu- sieurs jeux. La plus connue en Europe est la structure Fna c qui des équipes pour 6 jeux différents.

Certains pays peuvent se vanter d’avoir les meil- leures équipes pour certains jeux. Sur Counter Strike : Global Offensive par exemple, les fran- çais sont les meilleurs. Cependant la na on qui est reconnue pour être la plus forte aux jeux vidéo en général est la Corée de Sud. D’ailleurs, les 2 équipes finalistes des Worlds de League of Legends 2015 (SKTT1 vs KOO TIGERS) étaient toutes deux des équipes coréennes.

Certains se demandent si on peut réellement considérer l’e-Sport comme un sport sous pré- texte que regarder des gens jouer aux jeux vidéo est ridicule. Personnellement je ne trouve pas ça plus ridicule que de regarder des gens jouer au football ou au rugby. D’ailleurs, la France a déci- dé de reconnaitre l’e-Sport comme un vrai sport.

Grâce à cela peut-être, un nouveau public dé- couvrira ce e discipline qui pourra donc se dé- velopper encore plus.

Je finirai en disant que si vous n’avez jamais vu de match d’e-Sport, allez voir ça sur internet juste une fois !!!!Cela peut être enrichissant et peut être changerez-vous d’avis …….

Rugby

Résultats de la coupe du monde

1er :les All Blacks (2ème tre de suite, grande pre- mière!!!)

2ème : les Australiens 3ème : les Sud Africains

4ème :les Argen ns Nina

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7

Littérature

Guerres…..

Par Apsara

Suite à la vague d’a entats terroristes à Paris et dans le monde, j’ai voulu lire ou re- lire des romans dont la guerre est le sujet car, pour la plupart d ‘entre nous, elle est

une abstrac)on.

Le Quatrième Mur

Le rêve de Samuel était de faire jouer An)- gone d'Anouilh dans un pays en guerre. L'oc- casion se présente: le Liban. L'idée : faire jouer un personnage de la pièce à un par san de chaque clan, Pales nien, Druze, Maronite, Chiite, Chaldéen, Arménien. Et l'unique re- présenta on de ce e pièce serait un moment de répit entre la guerre. Mais Samuel n'arri- vera pas réaliser ce rêve. Il le transmet alors à son meilleur ami, George, un éternel étudiant d'extrême gauche. George part donc au Li- ban. Sa rencontre avec la Guerre mais aussi avec An gone, changera sa vie à jamais.

Sorj Chalandon, né en 1952, fils d'un par san de l'Algérie Française, maoïste dans sa jeu- nesse. Devenu journaliste à Libéra on il re- cevra le prix Albert-Londres pour ses repor- tages et de nombreux prix pour ses romans, dont le prix Goncourt des Lycéens en 2013 pour Le quatrième mur.

La mort du Roi Tsongor

Dans une An quité imaginaire se dresse un grand et puissant roi, Tsongor. Au lendemain de sa mort, la Guerre éclate. Pour Samira?

Pour le Trône ? ou tout simplement pour con- tenter une folle envie de s'entre déchirer?

Tandis que la quête du plus jeune fils de Tsongor con nue, L'âme du Roi pleure sur le futur de sa famille.

Ecrit par Laurent Gaudé, né en 1972, écrivain français, le livre ob ent le prix Goncourt des Lycéens en 2002.

Syngué Sabour, Pierre de Pa ence

Quelque part en Afghanistan ou ailleurs...

Une femme veille sur son mari dans le coma.

Pendant ces long moments de silence entre coups de feu et prières, la femme se libère de son passé et raconte à son mari tout ce qu'elle n'aurait osé lui dire. Entre la condi-

on des femmes et l'absurdité de la guerre, l'Histoire ne semble pas pouvoir avoir de fin heureuse.

A q Rahimi, né en 1962, est un écrivain et réalisateur franco- afghan. Il reçoit le prix Goncourt en 2008 pour son livre Syngué Sa- bour. Il en a réalisé lui-même l'adapta on cinématographique.

Si la Guerre peut avoir bien des causes, elle aura toujours les mêmes conséquences.

J'espère que cela vous inspirera et vous tou- chera autant que moi.

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CINEMA

Comment les films peuvent-ils me re à mal la morale

Par Abstrakt

/!\ ATTENTION il y aura du spoil dans cet ar cle, lisez-le à vos risques et périls /!\

Il est bien connu que le cinéma est majoritairement composé de codes. Ils régissent les scénaristes et leur imposent des critères qu'ils ne voudraient sans doute pas appliquer. Le code le plus classique reste celui du héros forcément gen l, protégeant le monde , face à une force maléfique. Ce schéma est visible dans différentes œuvres de fic on (Star Wars, Le seigneur des anneaux, etc...). Cependant, certains films brisent ces codes pour notre plus grand plaisir . Parmi eux, je vais vous parler de Pres)ge de Christopher Nolan et Orange mécanique de Stanley Kubrick.

La principale cible de ces films, c'est votre morale : tandis que Kubrick vous force à suivre Alex, le chef d'un groupe de socio- pathes, voleurs et violeurs de Londres, Nolan vous fait entrer dans les vies de deux magi- ciens rivaux, capables de tout pour se détruire l'un l'autre. Dans le premier cas, on sait ferme- ment que les ac ons d'Alex sont mauvaises, voir horribles. Néanmoins on ne peut s’empê- cher d' éprouver une sorte de semi-sympathie pour le personnage, soumis à des expériences du gouvernement, tant il souffre, physique- ment et spirituellement, quand la seule chose pour laquelle il avait du respect, les sympho- nies de Beethoven, devient le symbole de son asservissement et de sa déchéance. Dans Pres- )ge, le réalisateur nous montre toutes les fa- ce es de ses personnages, tant le bien que le mal. Il montre ainsi que l'homme n'est ni bon, ni mauvais : il est prêt à tout pour a eindre ses buts. C'est ce manque de repères qui déstabi- lise le spectateur : il ne sait pas de qui se faire l'avocat, quel point de vue défendre, quel ma- gicien a la meilleure mo va on et la morale la plus respectable.

C'est cependant dans le dénouement de ces deux œuvres qu'elles prennent tout leur sens et vous portent le coup de grâce : dans Orange mécanique, les expériences effectuées sur Alex et l'impuissance dont-il est désormais vic)me nous font presque ressen)r de la pi)é à son égard, et quand à la fin, après tout ce qui lui est arrivé, il redevient lui- même, on ne peut s’empêcher de ressen)r une pointe de soulage- ment, voire même de la joie. Dans un autre genre, à la fin de Pres)ge, celui qu'on a pris pour le « héros » depuis le début, Robert Angier (joué par Hugh Jackman) se révèle être un ma- nipulateur, haineux et agressif, sans morale, prêt à se tuer lui- même, tous les soirs, juste pour détruire la vie de son rival.

Ces deux films sont à voir absolument pour tout cinéphile ou appren cinéaste en herbe: Orange mécanique est un classique, comme presque tous les films de Ku- brick ;quant au Pres)ge, on appréciera l 'originalité du scénario et l 'excellente mise en scène. Tous deux offrent la meilleure qualité qu'un film peut avoir : Ils con nuent à nous faire réfléchir bien après le mot fin .

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Séries

Par Abstrakt

Quelques séries pour les vacances

Je vais ici vous conseiller quelques séries que vous pourrez regarder pendant vos vacances, histoire de relâcher le stress en ce e période de fête .

1- A.K.A Jessica Jones : Ce e série produite par Neqlix est dans le prolongement de l’excellente sé-

rie Daredevil, sor e l’année dernière . Ce e fois ci, on suit l’aventure de Jessica Jones, détec ve privée dotée de super force, qui traquer un ancien ennemi

et amant venu se venger, magistralement interprété par David

Tennant. Bien que la série s’essouffle au milieu, ça ne dure que deux épiso- des. A voir !

2– One-Punch Man : Cet anime vient de débuter ce e année et c’est déjà un succès planétaire. On y découvre Saitama, un super héro amateur ayant réussi a développer une force telle qu’il annihile n’importe quel ennemi en un seul coup de poing (d’où le tre). Cet anime mélange rire, ac on et une excellente cri que de la vie en en- treprise.

3– Doctor Who : L’immortelle série britannique était de retour ce e année pour une 9ème sai- son. Une saison remarquable qui, malgré quelques défaut et deux épisodes mé- diocres sur douze, est l’une des meilleures saisons depuis son retour en 2005.

Mon coup de cœur reste a ribué au double épisode (5 et 6) qui traite des thé- ma ques actuelles que sont le terrorisme, la discrimina on et même le jihad, à travers le prisme d’une révolu on d’extraterrestres sur Terre. Un grand mo- ment de télévision.

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Par Jasmine

Dans l’épisode d’introduc)on « L’enlèvement » : Edgar, bûcheron il y a quelques siècles, se voyait enlever sa femme après quelque affaire douteuse avec « l’homme à la cape ». Il constate finale- ment qu’il n’a plus de raison de vivre sans son Éléna chérie.

Feuilleton

1984, forêt domaniale de Marly le Roi

La clarté du soleil m’éblouit un instant, au sor r de la forêt. Une grande clairière prin- tanière se dressait en un cercle parfait devant moi. L’air y était doux en ce e belle saison où la terre revit et redécouvre ses mille splen- deurs après les grands froids. Les oiseaux sor- taient de leurs cache es, se risquaient à sor r une ou deux notes comme pour ques onner la forêt: était-elle enfin réveillée ? Le feuillage fourni des arbres semblait avoir été sculpté minu eusement pour l’occasion. À mes pieds, les herbes et les fleurs foisonnaient dans une myriade de couleurs en a endant les abeilles.

Une harmonie parfaite. Clémence était sans doute passée par là.

A l’orée du bois, par un effet de clair- obscur, j’entrevis Hortense qui me gra fia d’un sourire malicieux, adossée à son arbre favori : « Qu’est-ce que tu as bonne mine, Delphine ! C’est quel maquillage ? » me lança- t-elle sans même me dire bonjour. Celle-là avait toujours le chic pour me faire sourire.

Ah ah, très drôle ! Comme si c’était possible…

Clémence apparut à cet instant, dans la clairière à présent en èrement baignée de soleil, son éternelle na e qui balançait au gré de ses somptueux mouvements. Ce e jeune fille était la grâce incarnée. Elle dégageait une telle douceur de par son charme naturel et ses joues à peine roses -bien que cela fut im- possible- me laissaient presque croire qu’elle était fragile et innocente. Elle s’avança au centre de la clairière, sous nos yeux ébahis et,

L’Ombre noire

comme à son habitude, fit une gracieuse révé- rence.

« - Oh ! Toujours le même cinéma ! railla Hor- tense.

- Je trouve ça plutôt élégant et noble, la repris-je, gênée.

- Ah, ah ! Tu parles ! - Hortense, tu es fa gante.

Mais alors qu’elle allait riposter, Clémence s’impa enta: Allons, allons, les sœure es ! Cessez de vous chamailler ! ordonna-t-elle doucement. Vous pourriez effrayer nos chers mouchrooms ! »

Nous pouffâmes tout en scrutant le sol à la recherche des mignonnes pe tes créa- tures, souvent cachées dans le trèfle. Au même moment deux arrivantes se matériali- sèrent de l’autre côté de la clairière, l’une soutenant l’autre. Nous accourûmes précipi- tamment, inquiètes de l’état de Susanne ; ce e dernière pleurait à chaudes larmes.

Susanne, depuis son arrivée récente, était toujours en retrait, dans son coin. Elle esquissait un sourire poli et mide dès qu’on se préoccupait de savoir si elle allait bien et elle pouvait même se montrer un peu ba- varde, pour faire illusion. Bien qu’elle eût tout de même 16 ans -depuis son arrivée-, son vi- sage aux yeux noise e, parsemé de taches de rousseur, son pe t nez délicat…Tout donnait chez elle ce e impression de candeur et de gaieté réservées à l’enfance. Mais je savais au fond de moi-même qu’elle se sentait mal ; de mal en pis ces derniers temps. Bien sûr, j’étais la seule à le savoir. J’ai toujours eu un don pour sen r, chez les autres, ce qui cloche ; Chapitre 1 : Première réunion

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cela s’est même amplifié depuis mon arrivée au sein du groupe. Je décèle mieux les véri- tables personnalités et humeurs des gens.

C’est presque écrit sur leur front, à certains moments.

Justement, je le ressen s fortement et puissamment : l’instant était grave, elle accu- sait une perte, une perte noire et profonde, la perte d’un être cher… Je recevais son émo-

on en plein cœur, cela n’avait jamais été aussi clair. Son émo on m’envahissait d’images floues, une sorte de film gris, brouillé de larmes. Une bougie haute et allu- mée, une barbe mal rasée vue de près, un visage jeune riant aux éclats, le même homme qui danse, seul sur une place ennei- gée, et ce e image enfin, transperçante, la plus ne e, qui revenait sans cesse : un vieil- lard sur un lit d’hôpital, les yeux clos.

« - Oh, Susanne! la berçai-je, doucement.

- Mais qu’est-ce qu’il y a ? Je sais jamais rien ! Je veux savoir,moi ! » s’indigna Hor- tense.

Je la fusillai du regard. Incapable de compas- sion, celle-là. Ou en tout cas un manque de tact déplorable. Au fond, je la connais, c’est ma sœur : je savais bien qu’elle était pleine de gen llesse mais que son caractère impa-

ent prenait le dessus.

« Dis… dis- leur, Sasa. Je… je ne peux pas. » balbu a Susanne faiblement. Isabelle, toute embêtée et triste pour son amie, nous conta la mort du père de Susanne datant d’une semaine et que sa fille avait décou- verte dans les avis de décès du journal, le ma n même. Évidemment, nous nous sen- tmes toutes concernées par la mort d’un de ses proches : c’était le dernier de nos parents qui venait de trépasser. Certes, à 76 ans, cela semblait dans l’ordre des choses… Sauf pour nous.

Clémence, après avoir écouté a en - vement, déclara de sa voix posée et pleine de bon sens: « Mes chères sœurs, je comprends votre douleur et la partage. Mais ne perdons

pas notre objec f de vue. Après tout, nous voulons seulement que ce genre de perte ne se reproduise pas dans d’autres familles. La séance est donc déclarée ouverte. Avez-vous des pistes à nous communiquer? » Susanne se redressa, ravala ses larmes en pié nant les herbes hautes - sans vraiment les pié ner- pour évacuer sa colère et fit un non discret de la tête.

Après quelques instants de réflexion intense, Hortense bondit, tel un écureuil à l’affût. Elle avait quelque chose en tête. « Je crois que j’ai une piste. Je ne sais pas vrai- ment si c’est lié mais j’ai aperçu dans le jour- nal une dispari on inexpliquée à Londres. Je n’y ai pas tout de suite fait a en on, j’étais trop occupée à… (je sen s un sen ment en elle que je n’avais perçu que très rarement auparavant. Mais ce e fois, un jeune garçon, torse nu, lisant son journal dans sa chambre m’apparut dans la tête, entourée d’une sorte de bulle rose bonbon ; j’esquissai un sourire)

… c’est sans importance. Mais je crois que nous devrions aller voir. Clémence, tu n’as pas de la famille là-bas ? »

Au mot « famille », Susanne fut par- courue d’un frisson. Clémence trouva la re- marque à ne pas négliger. Elle proposa de se retrouver le lendemain au nord de Boulogne- sur-Mer. Avant de nous séparer, elle nous pria d’être extrêmement vigilantes durant la nuit à venir. Je me re ns de lui signaler que nous ne risquions pas grand-chose : après tout, qu’on le veuille ou non, nous é ons déjà mortes.

Suite au prochain numéro...

Feuilleton

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Par Dorian et Jasmine

Éléphant-Suricate

Il y a bien longtemps, Dans un gros éléphant, Y était une fleur Et de mille couleurs.

Elle était poé que, Fragile et délicate.

Mais il y a un hic, Qui parle de suricates.

Ses gracieux pétales S’ouvraient au grand jour, Lors d’un phénoménal Et, oh, très grand amour !

Mais, voilà, notre ami N’avait de sen ments Que pour ces tous pe ts Animaux, très tentants.

Ses géants de parents Ne comprennent donc pas, Alors sûrs qu’il leur ment:

Qu’est-ce qu’il a, lui, là ?

Mais ils n’ont pas compris Ce sujet important:

Tous, comme on pleure, on rit, Nous sommes différents !

Ce e morale est claire:

Ne jamais oublier Que, tous, sur la terre, Nous sommes singuliers.

Acceptons-nous partout:

L’avenir s’ra plus doux ! Jasmine

Poésie

A entats

Des fleurs repos'nt sur le bitume, Et pleins de bougies les entourent.

Dans les rues pavés, vient la brume, Et bientôt se lev'ra le jour.

Bientôt se lèvera le jour Malgré les larmes et la colère ; Malgré la conn'rie de toujours, Mais qui nous fera jamais taire.

Bientôt se lèvera le jour Comme se lèvent les pensées.

Et partout dans les alentours L'on voit la solidarité.

L'Homme est la plus intelligente, Et destructric' des créatures.

Et tous les jours ell' réinvente Des moyens d's'flinguer la figure.

Et c'est toujours pour des idées Que beaucoup viv'nt, que beaucoup meurent.

Qu'importe les absurdités, Il n'faut pas céder à la peur.

Qu'la tolérance et le respect, Dans ce mond', doiv'nt sor r vain- queurs.

Dorian

Un tollé rance !

Nuit en ville

Le crépuscule vient d'être achevé, La lun' s'éveille au dessus de Paname.

J'ai voulu essayer de me coucher Mais les bagnol's m'éveill' jusque dans l'âme.

En r'gardant à ma fenêtr' d'H.L.M.

Je n'vois qu'les lumières des bâ ments Est-ce possible de faire un poème Sur un quar er qui est bien trop bruyant?

Les voisins qui font un sacré boucan N'en finiss'nt plus à entrer et sor r, Et j'aim'rais bien savoir à quel moment Je n'vais plus entendr' hurlement et rires.

En regardant à ma fenêtre d'H.L.M.

Je ne vois que des sacs plas ques au sol.

Est-ce possible de faire un poème Sur le silence rompu dans ma piaule?

Dorian

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Par Loup

Cuisine

Onigiri

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Ces temps-ci, malgré les récents évènements, l’ambiance est aux fêtes. Toutes les vitrines en rouge et blanc, paille es gris et or à gogo. C’est fascinant de voir à quel point, en quelques se- maines, une ville peut changer. Un jour, ci- trouilles, sorcières, araignées (en plas que bien heureusement) peuplent les vitrines, pour le lendemain être remplacés par sapins, cadeaux, vieux messieurs moustachus surnommés « Père Noël », rennes et leur traîneaux.

Noël !

Lieu ?

J’imagine que là, certains d’entre vous doivent aller voir leurs familles pour Noël, C’est d’ail- leurs ce que je fais aussi des fois. Mais ce e année, je reste à Paris. Ça ne me pose aucun problème, j’adore ma ville !

Cadeaux !

À chaque fois c’est pareil, pendant toute l’an- née, j’ai des idées de cadeaux à faire ou à de- mander mais au moment de les noter, un mois avant THE date, j’oublie tout ! Je devrais peut- être demander une mémoire pour Noël non ? Pour tout ce qui est d’offrir des cadeaux, j’ai toujours plein d’idées de cadeaux à faire…, mais que pour les filles ! Des bijoux (parce que je les fais moi-même !), des habits, des bouquins, des CD… mais je sais jamais quoi offrir aux garçons.

Pour les filles, c’est facile, je me demande si ça me plairait à moi, mais pour les garçons, on a en général des centres d’intérêt assez diffé- rents. Je ne sais pas trop si des boucles d’oreilles plairaient à mon cousin.

Je me demande si l’imagina on est offerte avec la mémoire…

Il semblerait que je sois bien par e pour faire des ar cles saison- niers… Donc, après vous avoir conté ma rentrée, il serait peut être temps de parler de Noël et du Premier de l’an.

Humeur

Pour clore sur Noël, et bien, Joyeux Noël à toutes et à tous !

Le réveillon ! Lieu ?

Encore et toujours Paris ! Je pense que mes parents vont faire une fête pour passer à 2016, j’y serais sans doute, mais il ne va pas y avoir beaucoup de jeunes… Ils seront tous chez d’autres. Ça risque d’être un peu « has been »… Enfin, je m’amuse quand même !

Cadeaux !

Au premier de l’an, on n’offre pas de cadeaux, mais… lorsque nous sommes les organisateurs, on peut garder les restes de la fête ! Vive les restes ! Je vais pouvoir me régaler, faire semblant de danser et surtout revoir des gens que j’ai vus pour la dernière fois un an précédemment, jour pour jour !

Du coup, Bonne Année à tous ! En espérant que 2016 ne sera pas meurtri comme l’a été 2015.

Une dernière chose pour finir sur une note dépri- mante, dans certaines familles, des personnes man- queront à l’appel lors des fêtes, je pense très fort à eux.

Joyeuses fêtes !

Par Manon

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Horoscope

Par Anémone

A cul ver les vers avec un seau on devient vert et sot . Pas besoin du la n pour le sa- voir.

Ne vous prenez pas pour un chanteur profes- sionnel juste parce que vous êtes de la fa- mille bélier, tout le monde n'a pas ce talent...

N'essayez pas de changer, les gens boivent du red bull pour être comme vous !

Comme...Gé meauvaise haleine ?

Les piques c'est à prendre avec des pince es mais ça vous ne le saviez pas...

L’ion: Vous commencez à gagner des élec- trons , ça déteint sur votre posi ve aktude.

Parce que vous savez vous dépasser pour avoir un score de champion .

Ne vous compliquez pas la vie avec 2 poids 2 mesures alors qu'il n y a simplement pas de solu on.

Parce qu'avec un mari, vous ne seriez plus Marie... mais mariée...

On ne regarde jamais en arrière pour rer vers l'avant.

C'est fini les soirées disco en tenue légère, maintenant c'est philo en pull-over.

Quand on se fish de toi, bats-toi comme une sardine ! Et ne t’apla s pas comme une limande...

Perles de profs / Perles d’élèves

« Elle s’occupait la nuit des clients qui avaient les bourses bien remplies. Sans mauvais jeu de mot. » Prof de français.

« La guerre froide c’était plus pour mon- trer à l’autre qu’on avait un plus grand sabre laser que l’autre. » Prof d’histoire- géo.

« Les Grecs pétaient plus haut que leur cul et aimaient tripoter les Dieux. » Prof de le res classiques

A un élève qui tousse : « Dépêchez-vous de vous étouffer. » Mme B.

« Une fée d’hiver »

« La Bande à Ghaza »

« L’empire des autruchons gris »

« Depuis quand le mot « vol » prend trois le res ? »

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Lycée Maurice Ravel, 89 cours de Vincennes 75020 Paris NOUS TENONS À REMERCIER :

MME BESSIS, PROVISEURE, Riquet, SERVICE REPROGAPHIE

Anne PLESSIS , PROFESSEURE DOCUMENTALISTE, Céline MABILON, MÉDIATRICE CULTURELLE.

Illustra on de couverture :Noémie 2de Illustra on 4e de couverture Felipe Tle

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