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De la responsabilité éthique du scientifique

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Academic year: 2021

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HAL Id: hal-01462617

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Submitted on 6 Jun 2020

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To cite this version:

Dominique Vermersch. De la responsabilité éthique du scientifique. Séminaire. Les scientifiques

doivent-ils être responsables ? Fondements, enjeux et évolution normative, United Nations Educational

Scientific and Cultural Organization (UNESCO). INT., Dec 2011, Paris, France. 6 p. �hal-01462617�

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« LES SCIENTIFIQUES DOIVENT-ILS ÊTRE RESPONSABLES ? » Fondements, enjeux et évolution normative

Séminaire organisé par la Commission nationale française pour l’UNESCO Vendredi 9 décembre 2011 de 8h30 à 18h00

École normale supérieure – 45 rue d’Ulm – 75005 Paris

De la responsabilité éthique du scientifique

Dominique Vermersch1

Résumé

Archétype fréquent des modes de délibération éthique contemporaine, l'éthique du scientifique ne peut se laisser réduire à la seule convenance politique d'une éthique de la responsabilité... une responsabilité qui serait en définitive écrasante pour le scientifique lui- même et anesthésiante pour la décision politique. S'il y a modèle à suivre, ne serait-ce pas plutôt et simplement dans celui de l'effort d'objectivation scientifique ? C'est à dire en réhabilitant un usage moral et donc élargi de la raison humaine, moyennant un vis-à-vis synthétique entre nature et liberté humaines.

Contexte…

Evoquer aujourd’hui la responsabilité éthique du scientifique, c’est préciser en premier lieu le contexte dans lequel se définit et s’exprime cette responsabilité, tant celle-ci apparaît au premier abord surdéterminée par la multiplicité des sollicitations et imputations qui lui sont adressées. Mais il s’agit dans le même moment d’une multiplicité qui appelle, voire qui presse le scientifique à une sorte de dépassement. Un dépassement fondé sur la liberté même du chercheur et pour laquelle sa responsabilité éthique est irréductible à une seule éthique de la responsabilité.

1 dominique.vermersch@agrocampus-ouest.fr. Professeur Agrocampus Ouest et Comité consultatif commun d’éthique pour la recherche agronomique (INRA, CIRAD). Dans cet exposé, je m’appuie sur le travail d’élucidation éthique du philosophe Jean Ladrière (1921-2007) que j’ai eu l’occasion de présenter : De l’objectivation scientifique à la recherche finalisée : quels enjeux éthiques ?, Natures Sciences Sociétés, 16, 159-164, 2008.

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1) L’agronome chargé de modéliser des changements de pratiques agricoles afin de lutter contre la prolifération littorale des algues vertes ; mais qui ne maîtrise ni la manière dont le décideur public s’emparera des résultats de la recherche ; ni, en conséquence, les impacts corrélatifs sur l’environnement, les activités économiques, les revenus agricoles. Bref, des couplages entre des réalités écologiques et économiques, dont nous avons une connaissance datée et partielle, teintées d’incertitudes, d’hystérésis, le tout rendant l’évaluation des conséquences des actions très ardue. Exemple désormais fréquent du scientifique appelé comme expert : une expertise dont il pressent l’ambivalence sans en maîtriser les tenants et les aboutissants.

2) L’économiste qui n’hésite pas à ériger sa discipline en science de la décision2… c'est-à-dire en éthique. Scientifique de l’économie, comment s’exonère-t-il de l’éventuel mal-fondé du formalisme adopté, de ses prévisions et préconisations ?

3) Cette hybridation croissante de la science, de l’économique et du politique s’exprime encore dans l’essor des nanotechnologies, jusqu’à ne plus distinguer la préséance de ces différents registres : la fiction s’entrelace dans le possible, l’économie de la connaissance se confond avec la technologie de la connaissance, la politique de recherche s’élabore et s’impose en temps réel à mesure de la maîtrise – ou de la non maîtrise – du nano-monde.

Prise de conscience

Bref, la tâche scientifique n’est pas axiologiquement neutre, s’il fallait contredire encore la vulgate d’inspiration weberienne prônant cette division du travail entre le scientifique qui découvre et le politique qui décide. Une division du travail parfois encore revendiquée et assumée par les scientifiques eux-mêmes, trouvant là une manière d’éluder à bon compte une quelconque responsabilité éthique. Il n’empêche, l’effort scientifique porte l’empreinte de convictions éthiques et métaphysiques qui l’orientent et lui donnent forme, jusqu’à contrecarrer parfois la nécessaire recherche d’objectivation.

Plus encore, la science inclurait une éthique dans son fonctionnement, le travail d’objectivation scientifique présupposant un ethos de la communauté des pairs qui bannit la fraude, l’hypocrisie, le double langage… C’est précisément ce dont s’inspirera par extension l’éthique de la discussion d’Habermas en fondant les normes morales sur des exigences de logique et de validité du langage. La délibération morale adopte alors comme principe la capacité d'une norme à recevoir, par la discussion, une adhésion la plus universelle possible à un consensus du moment. Et c’est ce dont semble s’inspirer, avec plus ou moins de réussite, la co-construction sociale et citoyenne des projets de recherche dans cette visée d’une démocratie techno-scientifique.

Cette éthique de la discussion est d’autant plus recevable qu’elle se veut fidèle au projet kantien de l’éviction de tout fondement métaphysique, de toute vérité première qui ne pourrait qu’heurter tant la praxis scientifique que le pluralisme axiologique. Ceci posé, n’est- ce pas omettre d’une part que l’activité scientifique, appréhendée comme paradigme de la

2 Pour illustrer cette prétention normative et invasive de la science économique, la définition qu’en donne E. Wasmer : « science de la science de la décision individuelle (donc du comportement humain) et de la décision collective » (Wasmer, Principes de microéconomie, Pearson, 2010)

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délibération, véhicule également une métaphysique ? Que toute physique, en tant que représentation de la nature

,

cache « dans sa besace » une métaphysique ?

D’autre part, en déduisant de ce paradigme scientifique la forme raisonnable de résolution des dilemmes moraux et politiques, Habermas caractérise cette forme comme un

« processus d’argumentation sensible à la vérité », afin précisément d’affranchir les protagonistes – tous représentants d’intérêts particuliers - de tout rapport de domination sur autrui. Il apparaît bien ici une nostalgie éthique, celle d’une parole libre et vraie entre les hommes, symbolisée par les chevaliers de la table ronde, les chapitres monastiques, les conseils des Universités…3 La discussion s’amorçait alors dans un arrière-plan intelligible où la vérité constituait l’horizon non seulement scientifique mais également moral.

Notons enfin que si l’éthique du scientifique est prise comme archétype des modes de délibération éthique contemporaine, cela ne peut que conforter en retour le politique à « sous- traiter » au scientifique sa responsabilité éthique : le premier au nom d’une éthique de responsabilité convoquant le second à ce travail ambigu d’expertise des conséquences des décisions prises… ou à prendre. Cela conduit au final à une responsabilité bien écrasante pour le scientifique lui-même… une responsabilité éthique « surdéterminée ».

Comment le scientifique peut-il alors lever alors cette surdétermination ? En se contentant à son tour d’une éthique de la responsabilité, de facto conséquentialiste ? Le risque alors est celui d’une auto-réduction récurrente de l’ambition éthique, pouvant confiner à terme à une singerie morale. Proposons plutôt de garder avec Habermas ce paradigme moral de l’objectivation scientifique ; et de poursuivre avec Jean Ladrière4 pour qui ce même effort d’objectivation peut constituer aussi le terreau d’un usage réélargi de la raison au sein d’un vis-à-vis synthétique entre nature et liberté humaines.

La métaphysique de la représentation, essence de la science moderne

Tout physique cache dans sa besace une métaphysique : qu’y a-t-il au fondement de l’objectivation scientifique ? Pour répondre à cette question, Ladrière commence par rappeler la conception heideggerienne de la science moderne dont l’essence serait une métaphysique qui réduit la question de l’être à celle de l’étant, c'est-à-dire à la détermination générale exprimée par le verbe être, de tout ce qui possède une forme quelconque de réalité. L’époque moderne serait ainsi dominée, selon Heidegger, par une « métaphysique de la représentation » qui met en avant l’idée théâtrale de mise en scène : l’étant est ici le monde, interprété ici comme un spectacle qui tient lieu de réalité, d’objet à interpréter. Ce spectacle est donné devant un (des) spectateur(s) passif(s), laissés dans l’obscurité, i.e le sujet moderne, sorte de pur regard pour lequel le monde est constitué en spectacle. Et c’est de ce type de rapport entre le sujet et l’objet que s’érigera la science moderne.

Pour le sujet moderne, l’objet se tient devant lui, voire s’élève contre lui, lui fait en quelque sorte « objection ». En réaction à cette objection, le sujet cherchera à connaître

3 Arduin P.-O., 2007, La Bioéthique & l’embryon. Quels enjeux après la controverse du Téléthon ? Ed. de l’Emmanuel, p.143.

4 Notamment le chapitre 12 de Ladrière J., 1997, L’éthique dans l’univers de la rationalité. Artel-Fides.

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moderne s’attribuera progressivement le monopole.

Objectivation, induction et maîtrise

Plus encore, le mode d’être inscrit dans l’univers technologique (l’étant technologique) induit progressivement le mode d’être de l’homme lui-même, son mode d’existence et d’achèvement. Il apparaît ainsi une sorte de transfert défini par Ladrière sous l’expression d’induction existentielle. Dès lors, l’être humain est spectateur mais peut se trouver aussi acteur du spectacle ; et c’est précisément dans cette posture d’acteur qu’il est façonné et reproduit à « l’image » des objets techniques. A voir l’utilisation saturante du concept d’acteur dans le discours des sciences humaines : jeux d’acteurs, stratégies d’acteurs... L’existence humaine se voit réduite à un « existant » voire à un étant, un objet parmi d’autres. Ce phénomène d’induction existentielle apparaît dès lors que l’on commence à traiter l’être humain selon les critères de l’objectivité scientifique.

C’est ainsi que la métaphysique de la représentation instaure progressivement dans la vie quotidienne une dualité entre le vécu et le construit. D’un côté, le vécu en tant que mouvement de l’existence ; en tant qu’attitude naturelle du fait qu’elle considère la nature comme un « donné » ; une attitude qui se donne un langage poétique visant à enchanter le monde, mais aussi une éthique. De l’autre côté, c’est le langage de la théorie, de la construction d’objets dont la fonctionnalité suggérera une sournoise et progressive substitution du vécu par le construit, du « donné » par le construit.

L’enjeu de cette substitution, c’est déployer un champ d’actions entièrement maîtrisables, la maîtrise étant vue ici comme un savoir-faire fondé sur des connaissances précises du fonctionnement prévisible des objets. Cette possibilité de maîtrise grandissante se traduit alors par un projet : celui de remplacer, partout où cela est possible, le donné par le construit. La maîtrise de la reproduction du vivant, la prétention nanotechnologique en constituent un aboutissement. Substituer des mécanismes artificiels à des mécanismes naturels jugés opaques et imprévisibles entérine évidemment la grande éviction moderne et postmoderne de la nature : comme référentiel technique, mais également comme référentiel éthique.

La fissure éthique

C’est pourtant au cœur de ce projet de maîtrise que continue à se greffer, à se faufiler le questionnement proprement éthique ; soit ce moment où l’agir humain est appelé à prendre le relais du cours naturel des choses ; où la liberté humaine se démarque, dans un premier moment, de la nature et de ses lois5. Cette même nature revient cependant et comme en boomerang sur le devant de la scène -nous poursuivons ici la métaphore théâtrale-. Comme si, malmenée, elle « ne se satisfaisait plus » des représentations réductrices qui en sont faites.

De cela, le scientifique en est souvent le premier témoin. Il tente alors de montrer, souvent en

5 Paul Ricoeur P., 2000, Ethique. Article in Encyclopaedia Universalis

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vain, que la nature exprime un langage qu’il nous faut non seulement entendre mais auquel il nous faut répondre de manière cohérente6 ; il propose à nouveaux frais la nature comme modèle de techniques durables. Quant à suggérer – de nouveau également - la nature comme instance morale, l’exercice est certes périlleux mais n’est-ce pas là un écho récurrent de la conscience éthique du scientifique ?

Entre liberté et responsabilité, la nature comme médiatrice

Rappelons en effet que l’éthique suppose et affermit une liberté authentique ; elle présuppose donc une certaine indétermination de la nature et du monde. Dans ce sens également, l’action humaine est irréductible à un déterminisme pur et simple, à une simple liaison causale commandée par la seule nécessité. Dans l’action humaine, il existe en outre une liaison logique, c’est-à-dire encore une liaison raisonnable entre des motivations, des intentions et des buts visés par l’action, liaison qui rend possible le passage d’un état initial de la nature à un autre état de la nature différent de celui produit par les seules liaisons causales à partir de l’état initial. L’action humaine s’initie ainsi dans la possibilité d’une bifurcation, c’est à dire encore un état de la nature qui prête le flanc à de nouvelles indéterminations. Les nouvelles connaissances scientifiques et les possibilités techniques consécutives produisent de plus en plus de bifurcations face auxquelles le choix éthique, donc la liberté et la responsabilité humaines, sont appelés à se prononcer, le scientifique étant, encore ici, en première ligne.

Ce dernier pourrait trouver les critères de choix éthique dans la nature elle-même, plus précisément dans sa connaissance du bon fonctionnement des systèmes naturels. Il s’agirait d’une éthique pragmatique faisant reposer in fine les choix techniques sur la connaissance en temps réel du fonctionnement des systèmes naturels ; bref une sorte de naturalisme moral, voire de scientisme moral. Une telle éthique ferait de la substitution précédente entre le donné et le construit un quasi impératif moral, jusqu’à dissoudre la possibilité même d’une éthique7, le sujet étant réduit à un objet machine parmi d’autres, une conscience devenue muette. Une telle approche soulève au moins deux objections.

Premièrement, en opérant ainsi, on soumet la volonté humaine à un processus d’objectivation. Or, comme le note encore Ladrière, le propre de la volonté, c’est précisément d’être un pouvoir totalement inobjectivable. Plus précisément, c’est face à une bifurcation, une indétermination qu’émerge le sentiment de responsabilité, l’exigence de répondre de quelque chose à quelqu’un, avec ici la nature comme médiatrice. L’être humain éprouve ce sentiment car il est un être partagé intérieurement entre ce qu’il est et ce qu’il est appelé à être ; il entretient un vis-à-vis entre l’être présent et l’être à venir. L’action humaine se situe précisément entre ces deux composantes de l’être, en visant à combler progressivement, librement et raisonnablement la distance qui les sépare.

6Ainsi les propos de Guy Paillotin, ancien Président de l'INRA : "Je ne veux pas faire du finalisme un peu simpliste. Je constate simplement qu'il y a de la cohérence entre les lois de la nature et que celle-ci n'est pas en complète dysharmonie avec nos propres cohérences sociales. Paillotin G., 1997, 50 ans de recherche publique pour l'INRA. DEMETER 97/98. Armand Colin, Paris.

7 A ce propos Dupuy J.-P., 2004, Le problème théologico-scientifique et la responsabilité de la science. Le Débat, n° 129, pp. 175-192.

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be ». Si l'on s'appuie en effet sur des propriétés objectives telles que des « lois » biologiques ou sociales pour fonder des orientations éthiques pour l'action, on fait intervenir un méta- principe disant que la valeur éthique de l'action réside dans sa conformité aux indications fournies par la nature ou par les faits sociaux.

Persister à se refuser une « métaphysique de passage » illustre l’autolimitation moderne de la raison qui réduit le domaine du rationnel à ce qui est vérifiable voire démontrable par l’expérience. Ce faisant, c’est l’usage moral de la raison qui est abandonné voire réfuté. C’est précisément en s’abstenant de cet usage que la modernité philosophique a réduit cet « appel à être » à un « devoir être », c'est-à-dire à un ensemble d’injonctions morales désossées de leur sous-bassement téléologique et qui, selon MacIntyre

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, deviennent tôt ou tard inaudibles et incompréhensibles. A cette fin, le philosophe américain rappelle qu’Aristote, suivi en cela par les croyances monothéistes, avait développé un schéma caractérisé par une distinction fondamentale entre l’homme tel qu’il est et l’homme tel qu’il pourrait être s’il réalise sa nature essentielle. L’éthique était alors la science qui devait permettre le passage du ce que je suis à ce que je pourrais être ; elle présupposait donc une conception de l’homme comme animal rationnel capable de saisir sa fin (le bonheur) et de l’atteindre. C’est la soif de bonheur inscrite dans la nature humaine qui invite la raison à une mise en ordre des désirs humains en prescrivant des habitudes morales (les vertus) et en proscrivant les vices. Cet usage moral de la raison est soutenu par la nature, dans la mesure où y sont inscrits des biens sous la forme de fins dont le déploiement nécessitera la collaboration libre de l’homme.

Réhabiliter l’usage moral de la raison, c’est donc retrouver un vis-à-vis synthétique entre la liberté et la nature, loin de toute vision fixiste de cette dernière. Cet usage moral motive donc l’effort de connaissance scientifique qui permet de mettre à jour les tendances évolutives inscrites dans la nature ; et, pour reprendre l’expression de Ladrière, de « leur donner un sens en les réinscrivant dans [nos] propres initiatives ».

C’est dans une telle perspective que la responsabilité éthique du scientifique découle d’une conscience, d’une raison qui reste ouverte au langage de l’être par delà tous les étants que l’on peut lui substituer.

8MacIntyre A., 1981, After Virtue, Notre Dame. Trad. Française Après la vertu, PUF, 1997.

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