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Un mal de Pott du cimetière burgonde de Saint-Prex, canton de Vaud (Suisse), (5me, 6me, 7me siècles)

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Un mal de Pott du cimetière burgonde de Saint-Prex, canton de Vaud (Suisse), (5me, 6me, 7me siècles)

MOREL, Pierre, DEMETZ, Jean-Louis, SAUTER, Marc-Rodolphe

MOREL, Pierre, DEMETZ, Jean-Louis, SAUTER, Marc-Rodolphe. Un mal de Pott du cimetière burgonde de Saint-Prex, canton de Vaud (Suisse), (5me, 6me, 7me siècles). Lyon médical , 1961, no. 40, p. 643-659

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:96080

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Extrait du < Lyon Médical>

N° 40 - 1•, Octobre 1961

Un mal de Pott du cimetière burgonde de Saint-Prex, canton de Vaud (Suisse)

(5 me, Gme, 7me siècles)

PAR

MM. P. MOREL et J.-L. DEMETZ (Lyon) et M.-R. SAUTER (Genève)

Association Typographique - - Lyonnaise - - 12, Rue de le Barré. 12

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UN MAL DE POTT

Un mal de Pott du cimetière burgonde de Saint-Prex, canton de Vaud (Suisse)

(5 me, 6me, 7me siècles)

Par MM. P. MOREL et J.-L. DEMETZ (Lyon).

et M.-R. SAUTER (Genève).

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(Trcwail présenté à !a Société Nationale de Médecine et des Sciences Mèdica!es de Lyon, le 15 mars 1961.)

Cette p1ece isolée (1960-89), trouvée en terre entre les tombes du cimetière de Saint-Prex, ne permet pas d'étude d'ensemble du squelette auquel elle a appartenu, ce qui est habituel en paléopathologie. Cependant, nous pensons qu'une description anatomique correcte constitue une base d'argumentation suffisante pour étayer un diagnostic. Au cours de notre exposition des faits, nous allons être conduits à écarter l'étiologie rhumatismale pour envisager une spon- dylite infectieuse à bacille de Koch. Dans cette perspective, l'historique s'impose comme une nécessité, puisqu'il établit la preuve formelle de la tuberculose à une époque anté- rieure à celle que nous étudions. Une base comparative manquera pourtant ; ce serait une revue des pièces tuber- culeuses de ce grand catalogue qu'est le Musée Dupuytren.

La localisation tuberculeuse à la colonne vertébrale existe depuis fort longtemps. Onze cas en ont été dénombrés au Néolithique.

En France, la tuberculose osseuse a été décrite aux âges du bronze et du fer. Des cas en ont également été signalés en Allemagne.

En Egypte, des squelettes prédynastiques, contempo- rains de notre Néolithique, présentaient des lésions tuber- culeuses du rachis. Mais c'est surtout l'Egypte pharaonique qui a permis la meilleure étude de l'ancienneté de la ma- ladie, car de nombreuses momies ont été trouvées porteuses.

de lésions indiscutables.

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En Amérique précolombienne, la maladie n'existait pas : elle a été, semble-t-il, apportée d'Europe sur le Nouveau Continent à partir de 1532.

Dans l'Antiquité, Hippocrate a vu les rapports entre phtisie et abcès à distance. Plus près de nous, Jacques Dale- champs, de Lyon, paraît avoir décrit le premier, en 1580, une paraplégie qu'il sut rapporter à l'atteinte vertébrale.

A part une brève mention de Severinus, en 1632, un pro- grès n'est réellement accompli qu'avec le mémoire de Per- cival Pott, publié à Londres en 1779. C'est la même année ,également, que J.-P. David, de Rouen, fournit une bonne

description anatomique du mal vertébral.

En 1782, Pott publie ses remarques complémentaires.

Après lui, Laënnec fait l'unité entre tuberculose vertébrale et pulmonaire.

En 1816, Delpech étudie les affections tuberculeuses des os. En 1827, Ollivier fait une importante étude des lésions vertébrales.

Eugène Nélaton, dans sa thèse, en 1836, définit les carac- tères de la tuberculose des os et ses différentes formes.

Etant donné que notre pièce sort des schémas classiques, nous allons nous livrer à une description détaillée des lésions.

DESCRIPTION DE LA PIÈCE.

Dix dorsales forment un bloc scoliotique complet. Le corps de D 11 manque, révélant la face inférieure de D 10 rugueuse, irrégulière, creusée et bosselée par l'engrènement de formations issues autrefois de D 11 (cf. fig. 1). Si le corps a disparu en terre, l'arc postérieur de D 11 est resté soudé.

Considérée dans son ensemble, la colonne est scoliotique ainsi que le montrent les profils droit et gauche (cf. fig. 2 et 3). La corde de l'arc à concavité antérieure décrit par le bloc est de 7 centimètres; celle de son arc à convexité pos- térieure, mesurée aux apophyses articulaires, est de 13 cen- timètres, Sur 5 colonnes dorsales intactes, provenant des

«Mémoires» (Vasselin-Vignieu, Isère), nous avons effectué ,quelques mensurations élémentaires mais comparatives,

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nous permettant de rapporter la longueur de la corde d'arc antérieur du rachis pathologique aux dimensions de co- lonnes normales, ayant appartenu à des individus vivants

FrG. 1. :_ Extrémité inférieure de· la pièce, face inférieure de D 10.

à la même époque. Ainsi, obtenons-nous : E 5 du 27 no- vembre 1960 = 24 centimètres ; E 7 du 27 décembre 1960 =

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646 TRA VAUX ORIGINAUX

24 cEntimètres E 4 du 20 novembre 1960 = 25,5 cm. ; E 6 du 4 décembre 1960 = 23 centimètres ; E 1 du 17 novembre 1960 ~ 20,5 cm., où la dimension est plus courte car une vertèbre manque à cette colonne. Les mesures ont été prati-

FrG. 2. - Profil droit. On distingue nettement les côtes 2 et 3 encore soudées.

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UN MAL DE POTT 649 guées à la face antérieure des corps vertébraux. Si nous rapportons les 7 centimètres du bloc à ces dimensions, la réduction en hauteur est, au bas mot, du tiers sur l'os sec,

FrG. 3. - Profil gauche.

du quart en nous référant à une colonne pourvue de ses disques. C'est dire l'importance du tassement des corps ver-

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tébraux que l'on peut considérer comme un véritable téles- copage, avec réduction en hauteur de la totalité du rachis dorsal, mais avec un élargissement compensateur de chaque corps vertébral aplati, surtout marqué pour les dorsales inférieures.

A l'inspection, la face antérieure des cinq premiers corps vertébraux est entièrement fusionnée. un trait. long de 1 centimètre, séparant le rebord supérieur de D 5 du rebord inférieur de D 4 à gauche de la ligne médiane. Jusqu'à D 5. la calcification est particulièrement nette au niveau du grand ligament commun vertébral antérieur (cf. fig. 4). Sur la radio de profil. cet aspect du ligament est difficilement retrouvé, mais les cinq premières vertèbres apparaissent plus opaques que les suivantes . . donc plus denses.

La radio (cf. fig. 5) révèle. en outre. la fusion des corps vertébraux et la disparition des interlignes. sauf au niveau de D 5. où le corps ver- . tébral est écrasé en coin antérieur si bien que. en vue antérieure et à droite de la ligne médiane, l'interligne persistant sépare face inférieure : de D 5'-face supérieure de D 6 ; à gauche de la ligne médiane. il sépare

· face supérieure de D 5-face inférieure de D 4. le trait étant horizontal à droite. oblique en dehors à gauche. D 6 et D 7 sont fusionnées. la partie antérieure de l'interligne D 7-D 8 persistant, ce qui est visible aussi bien à l'inspection qu'à la radio.

Mais si D 5 centre anatomiquement l'angulation de ce rachis. c'est un peu un euphémisme de parler d'une vertèbre écrasée en coin. alors que dix dorsales ont supporté le tassement et les déformations avec la même intensité. C'est pourquoi nous remarquons que, si D 5 et D 6 constituent la zone stratégique de cette cyphose, les corps vertébraux sus et sous- jacents ont été le siège de remaniements tels qu'ils ont perdu jusqu'à la trace de leurs contours.

Par un tel raisonnement, on peut même envisager que D 1, D 2, D 3, D 4, D 7, D 8, D 9 et D 10 ont subi un tasse- ment plus important que D 5 et D 6.

De même, parler de gibbosité ne signifie rien devant l'énormité de tels dégâts. La gibbosité est une bosse due à l'angulation bruque de la colonne qui déploie quelques épineuses en éventail. Ici, ce n'est pas le cas. Sur cette.

colonne télescopée au quart environ de sa hauteur normale, la courbure d'ensemble est celle d'une cyphose avec arca- ture régulière des épineuses.

En vue postérieure (cf. fig. 6), on note une légère torsion du rachis sur son axe, le fil à plomb tenu en D 1 passe 1 cen- timètre à gauche de l'épineuse de D 10.

Sur la radio de profil, la trame osseuse apparaît continue et uniforme (plus dense de D 1 à D 5) d'un bout à l'autre du

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UN MAL DE POTT 651 bloc ankylosé en considérant la moitié postérieure des corps vertébraux (cf. fig. 6). Il n'y a pas de géodes. Nous sommes en présence d'un processus ancien et cicatrisé. La diffusion

FIG. 4. - Vue de face.

de l'infection a dû se faire, pour les cinq premières dorsales au moins, par le tissu postérieur au grand ligament commun

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5 6

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TRAVAUX ORIGINAUX

FIG. 5. - Radio. Profil gauche.

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UN MAL DE POTT 655 vertébral antérieur : celui-ci est fortement calcifié comme c'est évident surtout à l'examen visuel de la pièce sèche.

Malgré rn petite taille, il apparaît très clairement en vue

FrG. 6. - Vue postérieure.

supeneure (cf. fig. 7) que nous avons affaire à un rachis adulte. La largeur des corps vertébraux, ainsi que les di-

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TRAVAUX ORIGINAUX

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UN MAL DE POTT 65T mensions des arcs postérieurs et du canal rachidien, abon- dent en C\? sens. Les côtes 2 et 3 droites sont encore soudées par leurs costo et transverso-vertébrales. Elles sont de type adulte.

Si, comme nous venons de le voir, les corps vertébraux sont soudés, il en va de même pour les arcs postérieurs. On dénombre 11 arcs fusionnés pour 10 corps. La fusion des.

arcs postérieurs est quasi totale, transformant le canal mé- dullaire en conduit entièrement osseux. Les ligaments.

jaunes sont calcifiés comme dans une spondylarthrite anky- losante. Par contre, fait remarquable, les épineuses sont libres, les ligaments interépineux ont été respectés par la.

calcification et l'ankylose.

De profil, on compte 10 trous de conjugaison dont le dia- mètre est, approximativement, réduit à la moitié. Sur le profil gauche, ce sont les troisième, quatrième, cinquième et sixième trous qui ont le plus souffert. Sur le profil droit, ce sont les cinquième et sixième seulement. En se basant sur la loi des intervalles, il devient manifeste que l'effon- drement a été le plus intense au niveau de D 3, D 4, D 5 et D 6, ce qui confirme ce que nous avions constaté plus haut_

Il est en outre probable, qu'à ce niveau, le malade a pré- senté des troubles de type radiculaire. Par contre, comme·

il n'y a pas d'angulation brusque à l'intérieur du canal rachidien, il est peu probable que le sujet ait présenté des.

troubles de compression médullaire.

On explique mal la fusion des 11 arcs postérieurs par une spondylite infectieuse. Il en va de même pour la soudure des deux côtes droites et on est tenté d'invoquer un pro- cessus rhumatismal venu se surajouter sur une colonne dont les conditions statiques et dynamiques ont été boule- versées; ceci nous permettrait de fixer à 30 ou 40 ans au sujet, étant donné que l'affection rhumatismale n'est pas le propre du jeune : mais les modifications statiques ont pu avancer l'âge des anomalies rhumatismales.

Quant à l'âge de la localisation vertébrale, il demeure bien difficile à déterminer. Il s'agit peut-être d'un Pott de la deuxième enfance ou du début de l'adolescence. En effett il faut que le sujet ait pu présenter, durant de longues années, des conditions d'ampliation thoracique suffisantes.

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La compensation en hauteur du rachis n'a pu se faire que dans le segment sous-jacent par accroissement ve_rtical des corps vertébraux lombaires. Un tel processus n'a pu se produire qu'en pleine croissance osseuse. (Cf. Schmorl et Junghans, 1956, pp. 116-117, et Duchange, 1957, p. 1.296.)

Maintenant que nous avons donné un âge approximatif à cet individu, reste à déterminer son sexe. En nous basant sur l'aspect menu de l'ensemble et la gracilité des apophyses épineuses (ou ce qu'il en reste). comparés à des rachis dor- saux masculins, nous pensons qu'il s'agit d'une femme pro- bablement de petite taille.

La malade devait se présenter comme une naine à tronc court et à grandes jambes, toutes proportions gardées évi- demment. Le thorax devait être déformé en polichinelle.

les côtes inférieures venant « au contact » des ailes iliaques, le menton reposant sur les côtes supérieures et le sternum.

Il est possible, qu'à la longue, le sujet ait présenté des complications du type cardio-respiratoire des grandes dé- formations thoraciques.

Deux faits sont encore à noter :

- le rebord antéro-supérieur de D 1 porte une curieuse empreinte excavée, qui est difficilement imputable à un abcès; on peut songer, avec réserve, à une encoche d'érosion vasculaire (cf. le cliché 7) ;

la face antérieure de la moitié inférieure du bloc ra- chidien présente d'énormes trous nourriciers témoi- gnant de l'importance des remaniements vasculaires.

inflammatoires, métaboliques et calciques.

DIAGNOSTIC COMPARATIF.

Nous ne connaissons aucune p1ece de cette époque pré- sentant une telle intensité de processus.

DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL.

a) La spondylarthrite ankyiosante.

Celle-ci respecte les espaces intervertébraux et le passage en pont des syndesmophytes confère l'aspect en tige de bambou que ne possède pas cette pièce. A titre de référence pathologique contemporaine, nous citerons le vieillard n ° XXIV de Choulans (in Leroi-Gourhan, p. 61).

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UN MAL DE POTT 659 b) La panarthrite engainante de Forestier ne provoque pas un tel effondrement des corps vertébraux. Dans notre cas, le tassement cunéiforme de D 5 est prouvé. Les liga- ments interépineux sont respectés.

c) Spondylite i.nfectiegse à agtres germes: elle n'aurait vraisemblablement pas eu cette diffusion ni cette impor- tance, mais cette hypothèse demeure le plus gros diagnostic contradictoire.

CONCLUSION.

Nous sommes en présence d'un cas de mal de Pott ver- tébral du jeune, particulièrement extensif, dont l'origine tuberculeuse peut être soulevée, et que l'on doit considérer comme guéri lors de la mort de la malade.

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