• Aucun résultat trouvé

S&P confirme la note 'AA' du Départment de la Gironde. La perspective reste stable.

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "S&P confirme la note 'AA' du Départment de la Gironde. La perspective reste stable."

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

TRADUCTION POUR INFORMATION – cette traduction est destinée à faciliter la compréhension de notre projet de communiqué en langue anglaise et est fournie à titre d'information uniquement.

S&P confirme la note 'AA' du Départment de la Gironde. La perspective reste stable.

PARIS, le 11 avril 2014. Standard & Poor's confirme les notes de référence à long terme 'AA' et à court terme 'A-1+ du Département de la Gironde. La perspective reste stable.

Les notes reflètent le cadre institutionnel « prévisible et équilibré » des Départements français, la gouvernance et la gestion financières « positives » du Département, sa situation de trésorerie « positive », son endettement modéré ainsi que ses performances budgétaires saines. Les notes du Département tiennent également compte des risques modérés associés à ses engagements hors-bilan ainsi que de l'économie girondine riche dans un contexte international, le PIB par habitant atteignant 30 000 euros en 2011, et les indicateurs socio-économiques étant proches des moyennes nationales et élevés en comparaison internationale.

Les notes restent principalement contraintes par une flexibilité budgétaire limitée.

Nous considérons que le cadre institutionnel et financier des Départements français est « prévisible et équilibré », malgré une adéquation structurelle des recettes aux dépenses plus faible que celle des autres échelons territoriaux français. Néanmoins, en 2014 et 2015, les mesures annoncées par l'Etat que sont le possible relèvement du taux plafond de l'assiette de droit commun des droits de mutation à titre onéreux (DMTO) –adopté par la Gironde-- et la création d'un fonds de compensation des allocations individuelles de solidarité devraient contrebalancer la baisse annoncée des dotations de l'Etat et la hausse des dépenses de RSA incluant notamment les revalorisations décidées par l'Etat.

Grâce à ces nouvelles ressources, la Gironde devrait voir son épargne brute atteindre temporairement 10% de ses recettes de fonctionnement en 2014, en progression pour la première fois depuis trois ans. En 2013, en effet, le Département a maintenu un taux d'épargne brute correct, à 8,3%, proche de celui anticipé dans notre précédent scénario central, mais en réduction par rapport à 2011 (11,6%). L'érosion des capacités d'épargne du Département sur la période 2011-2013 est essentiellement due à l'atonie de ses recettes de fonctionnement sous l'effet de dotations de l'Etat stables et de DMTO en baisse de 9,8% sur la période.

Au cours de la période 2015-2016, nous nous attendons, dans notre scénario central, à ce que l'épargne brute du Département s'amenuise à nouveau toujours sous l'effet d'une dynamique des recettes rendue négative par la réduction des dotations de l'Etat et notre anticipation, en l'état actuel des textes, de la fin programmée du relèvement du taux des DMTO. Toutefois, nous pensons que le Département devrait être en mesure de limiter la détérioration de son épargne brute grâce à l'utilisation du levier fiscal et à une forte maitrise sur ses dépenses de fonctionnement. Ainsi, dans notre scénario central, nous nous attendons à ce que les dépenses de fonctionnement progressent à un rythme annuel moyen de 2,6% en 2015-2016, ce qui témoigne de la bonne discipline budgétaire du Département, eu égard à

(2)

des dépenses de péréquation croissantes et à la plus forte augmentation attendue des dépenses sociales (+4% par an en moyenne) qui représentent environ 50% des dépenses de fonctionnement du Département. Le Département devrait par conséquent afficher, dans notre scénario central, une épargne brute représentant 8% de ses recettes de

fonctionnement en 2015-2016, soit un niveau conforme à ses objectifs budgétaires.

La stratégie financière du Département incluant des objectifs budgétaires clairs participe de notre appréciation selon laquelle la gouvernance et la gestion financières du Département ont un impact « positif » sur les notes. Nous considérons en outre que la Gironde dispose d'un pilotage budgétaire de qualité, d'outils de suivi et de contrôle

sophistiqués, ainsi que d'une gestion prudente et active de la dette et de la trésorerie. Nous estimons également que les risques hors bilan du Département sont actuellement limités.

Notre scénario central intègre le ralentissement de l'effort d'investissement du Département notamment lié à l'achèvement des maisons de solidarité et à la diminution progressive des subventions versées au titre de la ligne ferroviaire à grande vitesse Tours-Bordeaux (« SEA »). Le niveau d'investissement devrait être selon nous de 190 millions d'euros en moyenne sur la période 2014-2016 contre 226 millions d'euros en moyenne au cours de la période 2011-2013. En dépit de capacités d'épargne en retrait, ce moindre niveau d'investissement devrait permettre au Département d'afficher des besoins de financements après investissements limités, à 1,7% des recettes totales (hors dette) en moyenne sur la période 2014-2016 contre 4% sur la période 2011-2013.

En conséquence, la dette consolidée du Département devrait selon nous représenter 55% des recettes de

fonctionnement consolidées fin 2016, un niveau modéré comparable à celui affiché fin 2013, reflétant par là même la capacité du Département à stabiliser sa dette après l'augmentation observée sur la période 2011-2013. Sur cette période, le Département a en effet réalisé près de 680 millions d'euros d'investissement, l'ayant conduit à augmenter de 164 millions d'euros sa dette, qui était fin 2010 à un niveau relativement bas (35% pour la dette directe, 45% pour la dette consolidée).

Par ailleurs, nous nous attendons à ce que le Département parvienne à contenir ses charges financières à moins de 1,5% de ses recettes de fonctionnement au cours de la période 2014-2016 et ce, grâce à sa gestion optimisée de la dette.

Standard & Poor's estime que la flexibilité budgétaire limitée de la Gironde constitue toujours sa principale faiblesse, à l'instar de la plupart des Départements français. Les recettes fiscales modifiables ne représentent que 20% des recettes de fonctionnement et nous considérons que les marges de manœuvre budgétaires sur les dépenses consistent

principalement au lissage ou à la réduction des investissements. Ce dernier aspect ainsi que l'usage régulier par le Département du levier fiscal sont d'ores et déjà pris en compte dans notre scénario central. Les dépenses de fonctionnement (85% des dépenses totales hors emprunt en 2013) sont en partie rigides, notamment les frais de personnel (18% des dépenses de fonctionnement en 2013), les allocations individuelles de solidarité (30%), les aides au titre de l'hébergement (20%), la contribution au SDIS (7%) et les charges financières (1%).

(3)

Liquidité

Standard & Poor's juge « positive » la situation de liquidité de la Gironde, du fait de ratios de couverture du service annuel de la dette supérieurs à 120% et de son accès à la liquidité externe que nous jugeons «satisfaisant».

En 2014, le Département dispose de 70 millions d'euros de lignes et d'environ 17 millions d'euros de plafond sur lignes révolving. Nous estimons que l'encours moyen disponible sur ces facilités de trésorerie couvrira plus de 120% du service de la dette au cours des douze prochains mois. En outre, le Département dispose d'un emprunt bancaire de 83 millions d'euros auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), au titre du financement la ligne ferroviaire à grande vitesse Tours-Bordeaux, que le Département devrait utiliser d'ici 2016, soit sa date d'expiration. Si nous ne le prenons pas formellement en compte dans notre ratio de couverture du service de la dette, nous considérons que cet instrument soutient néanmoins la situation générale de liquidité du Département.

Perspective : Stable

La perspective stable reflète notre scénario central selon lequel la Gironde s'avérait en mesure de limiter la détérioration de son épargne brute et ainsi de maintenir son encours de dette consolidée sous le seuil de 60% des recettes de fonctionnement consolidées.

Dans notre scénario pessimiste, un accroissement structurel des déficits de financement après investissements au-delà de 5% des recettes de fonctionnement, conduisant la dette consolidée à dépasser structurellement les 60% des recettes de fonctionnement dès 2016, induirait une réévaluation à la baisse de notre appréciation de la gouvernance et de la gestion financières du Département, ce qui mettrait les notes sous pression. Un scénario pessimiste alternatif inclut la révision à la baisse de notre appréciation du cadre institutionnel dans lequel opèrent les Départements français. Une telle révision pourrait advenir si des mesures prises au niveau national venaient à fragiliser encore plus les finances locales sans que le Département soit en mesure de les compenser pleinement par l'activation de ses marges de manœuvre budgétaires.

De plus, si la note à long terme ou la perspective de la République française (AA/Stable/A-1+ ; non sollicitée) étaient abaissées, il en serait de même pour la Gironde. Conformément à notre méthodologie relative aux collectivités locales, la note de référence à long terme de la République française et la perspective associée à cette note constituent un plafond pour les collectivités locales françaises. En effet, nous considérons que le cadre institutionnel et financier des collectivités locales françaises ne leur permet pas d'être notées au-dessus de l'Etat.

A l'inverse, nous pourrions prendre une action positive sur la notation de la Gironde si une telle action était prise sur celle de la République française et si, conformément à notre scénario optimiste qui inclut notre anticipation d'une reprise économique plus vigoureuse, le Département parvenait à dégager de manière structurelle des excédents de financement après investissements et à diminuer son taux d'endettement, nous conduisant à revoir à la hausse notre appréciation de la gouvernance et de la gestion financières du Département.

(4)

• Josy Soussan, Paris +33 (0)1 44 20 67 08

• josy.soussan@standardandpoors.com Contacts analytiques

• Bertrand de Dianous, Paris

• Laurent Niederberger, Paris

• Christophe Doré, Paris

Scores publiés

Table 1

Synthèse des scores publiés pour le Département de la Gironde*

Cadre institutionnel Prévisible et équilibré

Gouvernance et gestion financières Positives

Liquidité Positive

*Standard & Poor's attribue des scores à huit principaux facteurs de notation, dont trois sont publiés.

Statistiques financières

Tableau 2

Département de la Gironde--Statistiques financières

2011 2012 2013SC 2014SC 2015SC 2016SC (En millions d'euros)

Recettes de fonctionnement 1 329 1 258 1 368 1 433 1 145 1478

-Dépenses de fonctionnement 1 175 1 225 1 254 1 291 1 323 1 358

Épargne brute 154 132 114 142 122 120

Épargne brute (% recettes de fonctionnement) 11,56 9,74 8,32 9,91 8,44 8,1

+Recettes d'investissement 41 38 35 42 36 31

-Dépenses d'investissement 217 230 232 200 190 180

Solde de financement après investissements -22 -59 -83 -16 -32 -29

Solde de financement après investissements (% recettes totales) -1,6 -4,3 -5,9 -1,1 -2,2 -1,9

-Remboursement du capital de la dette 48 62 36 39 40 42

+Emprunts nouveaux 80 125 106 52 72 70

Solde final 1 0 -1 -0 0 -0

Dette directe en fin d'année 470 533 602 615 647 675

Dette directe (% recettes de fonctionnement) 35,4 39,3 44,0 42,9 44,8 45,7

Charges financières (% des recettes de fonctionnement) 1,0 1,1 1,3 1,3 1,4 1,5

Dette directe (en années d'épargne brute) 3,1 4,0 5,3 4,3 5,3 5,6

Dette consolidée (% des recettes de fonctionnement consolidées) 45,3 50,2 55,4 53,7 55,2 55,7

Dépenses d'investissement (% des dépenses totales) 15,6 15,8 15,6 13,4 12,6 11,7

SC - projections du scénario central de Standard & Poor's

Source: Comptes 2010-2012 retraités par S&P, Projections Standard & Poor's 2013-2015

(5)

Statistiques socio-économiques

Table 3

Département de la Gironde --Statistiques économiques

2009 2010 2011 2012f 2013f 2014f 2015f Population (millions) 1 449 245 1 463662 1 477 883 1 491 170 1 506 082 1 521 143 1 536 354

Taux de chômage au 31/12 (%) 9,3 9,3 9,8 10,3 10,6 N.D. N.D.

PIB par habitant (euros) 29 100 29 400 30 000 30 409 30 650 31 075 31 721

Croissance réelle du PIB (%) 0,8 0,1 2,5 0,5 0,8 1,2 1,9

Source: INSEE et EUROSTAT N.D.: non disponible f: projections S&P

Statistiques : France

• Sovereign Risk Indicators, Mar.24, 2014

Méthodologie et rapports associés

• Methodology For Rating International Local And Regional Governments, Sept. 20, 2010

• Ratings Above The Sovereign--Corporate And Government Ratings: Methodology And Assumptions Nov. 19, 2013

• International Local And Regional Governments Default And Transition Study: 2012 Saw Defaults Spike, March 28, 2013

• Methodology And Assumptions For Analyzing The Liquidity Of Non-U.S. Local And Regional Governments And Related Entities And For Rating Their Commercial Paper Programs, Oct. 15, 2009

• Public Finance System Overview: French System For Departments Is Predictable And Well Balanced Although Weakening, Sept. 5, 2013

• French LRGs' Stable New Borrowings Mask Rising Pressure On Public Finances, March 5, 2014

Conformément à nos procédures et politiques en vigueur, le comité de notation était composé d'analystes habilités à voter dans le cadre de ce comité, suffisamment expérimentés pour posséder le niveau approprié de connaissance et de compréhension de la méthodologie applicable (voir rubrique « Méthodologies et rapports associés » ci-dessus). Au début du comité, le président a confirmé que les informations fournies au comité par l'analyste principal avaient été transmises dans les délais impartis et s'avéraient suffisantes pour que les membres du comité prennent une décision éclairée.

Après une introduction par l'analyste principal et la présentation de sa recommandation, le comité a débattu des facteurs clés de notation et des problématiques en jeu conformément aux critères applicables. Les facteurs de risque quantitatifs et qualitatifs ont été présentés et débattus à la lumière des résultats passés et des prévisions. Le président s'est assuré que chaque membre du comité ait l'opportunité d'exprimer son opinion. Le président ou un analyste désigné par lui a revu le projet de communiqué de presse pour s'assurer de sa conformité avec les décisions prises par le comité. L'opinion et les décisions du comité de notation sont résumées dans les rubriques « Synthèse » et «

(6)

Perspective » du présent communiqué de presse.

(7)

thereof (Content) may be modified, reverse engineered, reproduced or distributed in any form by any means, or stored in a database or retrieval system, without the prior written permission of Standard & Poor's Financial Services LLC or its affiliates (collectively, S&P). The Content shall not be used for any unlawful or unauthorized purposes. S&P and any third-party providers, as well as their directors, officers, shareholders, employees or agents (collectively S&P Parties) do not guarantee the accuracy, completeness, timeliness or availability of the Content. S&P Parties are not responsible for any errors or omissions (negligent or otherwise), regardless of the cause, for the results obtained from the use of the Content, or for the security or maintenance of any data input by the user. The Content is provided on an "as is" basis. S&P PARTIES DISCLAIM ANY AND ALL EXPRESS OR IMPLIED WARRANTIES, INCLUDING, BUT NOT LIMITED TO, ANY WARRANTIES OF MERCHANTABILITY OR FITNESS FOR A PARTICULAR PURPOSE OR USE, FREEDOM FROM BUGS, SOFTWARE ERRORS OR DEFECTS, THAT THE CONTENT'S FUNCTIONING WILL BE UNINTERRUPTED OR THAT THE CONTENT WILL OPERATE WITH ANY SOFTWARE OR HARDWARE CONFIGURATION. In no event shall S&P Parties be liable to any party for any direct, indirect, incidental, exemplary, compensatory, punitive, special or consequential damages, costs, expenses, legal fees, or losses (including, without limitation, lost income or lost profits and opportunity costs or losses caused by negligence) in connection with any use of the Content even if advised of the possibility of such damages.

Credit-related and other analyses, including ratings, and statements in the Content are statements of opinion as of the date they are expressed and not statements of fact. S&Ps opinions, analyses, and rating acknowledgment decisions (described below) are not recommendations to purchase, hold, or sell any securities or to make any investment decisions, and do not address the suitability of any security. S&P assumes no obligation to update the Content following publication in any form or format. The Content should not be relied on and is not a substitute for the skill, judgment and experience of the user, its management, employees, advisors and/or clients when making investment and other business decisions. S&P does not act as a fiduciary or an investment advisor except where registered as such. While S&P has obtained information from sources it believes to be reliable, S&P does not perform an audit and undertakes no duty of due diligence or independent verification of any information it receives.

To the extent that regulatory authorities allow a rating agency to acknowledge in one jurisdiction a rating issued in another jurisdiction for certain regulatory purposes, S&P reserves the right to assign, withdraw, or suspend such acknowledgement at any time and in its sole discretion. S&P Parties disclaim any duty whatsoever arising out of the assignment, withdrawal, or suspension of an acknowledgment as well as any liability for any damage alleged to have been suffered on account thereof.

S&P keeps certain activities of its business units separate from each other in order to preserve the independence and objectivity of their respective activities. As a result, certain business units of S&P may have information that is not available to other S&P business units. S&P has established policies and procedures to maintain the confidentiality of certain nonpublic information received in connection with each analytical process..

S&P may receive compensation for its ratings and certain analyses, normally from issuers or underwriters of securities or from obligors. S&P reserves the right to disseminate its opinions and analyses. S&P's public ratings and analyses are made available on its Web sites,

www.standardandpoors.com (free of charge), and www.ratingsdirect.com and www.globalcreditportal.com (subscription), and may be distributed through other means, including via S&P publications and third-party redistributors. Additional information about our ratings fees is available at www.standardandpoors.com/usratingsfees.

découlent) ou partie de contenu (le Contenu) ne peut être modifié, désassemblé, reproduit ou distribué sous quelque forme et par quelque moyen que ce soit, ou stocké dans une base de données ou un système d'extraction, sans autorisation écrite préalable de Standard & Poor's Financial Services LLC ou des entités qui lui sont affiliées (collectivement dénommées S&P). Toute utilisation du Contenu à des fins non autorisées ou illégales est proscrite. Ni S&P, ni ses fournisseurs, ni encore leurs dirigeants sociaux, préposés, actionnaires ou mandataires (collectivement les Parties S&P) n'accordent aucune garantie quant à l'exactitude, l'exhaustivité, l'actualité ou la disponibilité du Contenu. Les Parties S&P ne sont pas responsables d'éventuelles erreurs ou omissions, quelle qu'en soit la cause, des résultats découlant de l'utilisation du Contenu ou de la sécurité ou la maintenance des données incluses par l'utilisateur. Le Contenu est fourni en l'état. LES PARTIES S&P N'ACCORDENT AUCUNE GARANTIE D'AUCUNE SORTE, EXPRESSE OU IMPLICITE, NOTAMMENT MAIS NON EXCLUSIVEMENT TOUTE GARANTIE CONCERNANT LA COMMERCIABILITÉ, L'ADÉQUATION À UNE FIN OU À UN USAGE DONNÉ, L'ABSENCE D'ERREUR OU DE DÉFAUT INFORMATIQUE, LE FONCTIONNEMENT ININTERROMPU DU CONTENU OU SA COMPATIBILITÉ AVEC TOUT LOGICIEL OU MATÉRIEL INFORMATIQUE. Les Parties S&P ne pourront en aucun cas être tenues responsables de quelque dommages, coûts, dépenses, frais juridiques ou pertes directs, indirects, accessoires, exemplaires, forfaitaires, punitifs, particuliers ou consécutifs que ce soit (notamment, mais non exclusivement, toute perte de revenu ou de gain et tout coût d'opportunité) liés à l'utilisation du Contenu, et ceci même si elles ont été informées de l'éventualité de tels dommages.

Les analyses relatives au crédit et à d'autres aspects, y compris les notations, ainsi que les déclarations incluses dans le Contenu, sont l'expression d'une opinion à la date à laquelle elles sont formulées et ne doivent en aucun cas être considérées comme une information factuelle. Les opinions, analyses et décisions de reconnaissance de notes (décrites ci-après) de S&P ne sont pas des recommandations d'acheter, conserver ou vendre de quelconques titres ou de prendre une quelconque décision d'investissement, et ne portent pas sur le caractère approprié d'une quelconque valeur mobilière. S&P n'a aucune obligation de mettre à jour le Contenu après publication sous quelque forme que ce soit. Le Contenu ne doit pas être le fondement d'une décision d'investissement ou commerciale et n'est pas destiné à remplacer les compétences, le jugement et l'expérience de l'utilisateur, ses dirigeants, préposés, conseillers et/ou clients à cet égard. S&P n'intervient pas en qualité de fiduciaire ou de conseiller en investissement, sauf sur les territoires où il est immatriculé comme tel. S&P utilise des informations en provenance de sources qu'il estime fiables mais ne conduit toutefois aucun audit, ne procède à aucune vérification indépendante à l'égard de ces informations et ne contracte aucune obligation à ce titre.

Dans le cas où des autorités réglementaires autorisent une agence de notation à reconnaître dans un pays une note émise dans un autre pays à certaines fins réglementaires, S&P se réserve le droit d'attribuer, retirer ou suspendre une telle reconnaissance à tout moment et à son entière discrétion. Les Parties S&P déclinent toute obligation découlant de l'attribution, du retrait ou de la suspension d'une telle reconnaissance et toute responsabilité en cas de préjudice prétendument subi en conséquence.

Certaines activités de S&P sont conduites au sein d'unités séparées afin de préserver l'indépendance et l'objectivité de leurs activités respectives. De ce fait, certaines unités de S&P peuvent disposer d'informations qui ne sont pas accessibles à d'autres. S&P a mis en place des politiques et des procédures visant à préserver la confidentialité de certaines informations non publiques obtenues au cours de chaque processus analytique.

S&P peut être rémunéré pour ses notations et certaines analyses relatives au crédit. Cette rémunération est en principe payée par l'émetteur des titres, par les établissements souscripteurs ou par les débiteurs. S&P se réserve le droit de publier ses opinions et analyses. Les notes et analyses publiques de S&P sont disponibles sur son site Web www.standardandpoors.com (gratuitement), ainsi que sur www.ratingsdirect.com et www. globalcreditportal.com (sur abonnement), et peuvent être diffusées par d'autres moyens, y compris par des publications S&P et par l'intermédiaire de redistributeurs tiers. Des informations complémentaires concernant les tarifs de nos notations peuvent être consultées sur www.standardandpoors.com/usratingsfees.

Références

Documents relatifs

La conjonction d’un diagnostic d’assez fort isolement du monde des enseignants de la conduite et de la sécurité routière, par rapport au monde de l’éducation à la

La loi de financement de la sécurité sociale pour 2016 a repoussé à 2020 le basculement de l’assiette des tickets modérateurs à l’hôpital public des tarifs

L’article L.1111-8 du code de la santé publique 1 relatif à l’hébergement de données de santé a pour objectif d’organiser et d’encadrer la conservation et la restitution

La création de caisses nationales autonomes par branche en 1967 a introduit le principe de séparation des risques au sein du régime général. Elle ouvrait la voie à des

— Ils précisent les différents types de maternité I, II, III en fonction de leur environnement pédiatrique, consacrent les réseaux de périnatalité, privi- légient le renforcement

Cependant, nous ne disposons pas d'éléments quant au calendrier de mise en œuvre de cette réforme et à son impact financier, notamment en ce qui concerne une réforme potentielle

L’opération consiste en une intégration verticale entre la raffinerie de SRD, qui produit et commercialise du bitume et Colas, qui, à travers ses filiales, achète

Enfin, les deux partenariats les plus récents (Norvège et Suède), conclus en 2018, ont d’emblée fait l’objet de deux contrats distincts pour les enjeux collectés