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Partir à l étranger: toutes les idées

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Academic year: 2022

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Partir à

l’étranger :

toutes les idées

Partir au pair, effectuer une mission de volontariat, participer à un programme d’échange… un séjour à l’étranger peut être l’occasion de mener à bien divers projets. Mais pour éviter les déconvenues, il est conseillé de préparer son départ en s’informant sur les opportunités du pays envisagé.

organiser

Bien préparer son départ et son retour

Il est parfois tentant de tout plaquer pour découvrir d’autres horizons, mais mieux vaut ne pas trop improviser si vous voulez que votre séjour se passe bien et qu’il vous soit réellement profitable.

Définir ses objectifs

Tout le monde peut avoir envie de souffler. Quelle que soit la raison qui vous pousse à vouloir faire un break à l’étranger, mettez au maximum à profit ce séjour, d’autant plus qu’une expérience à l’interna- tional peut être un véritable atout pour la suite de votre cursus étudiant ou de votre vie professionnelle.

Posez-vous les bonnes questions : qu’est-ce que je

tences liées au domaine d’activité qui m’intéresse que je pourrais développer à l’étranger ? Quelle est la destination la plus appropriée pour me permettre d’atteindre tous les objectifs que je me suis fixés pour cette expérience ?

Mais même sans réel projet initial, vous ne resterez pas inactif et pourrez toujours valoriser cette expé- rience, a priori riche en enseignements.

S’

8.1

Source : www.cotravaux.org Source : www.clong-volontariat.org

VOLONTARIAT DE SOLIDARITÉ INTERNATIONALE

Âge : en général à partir de 18 ans,

parfois en deçà

CHANTIERS INTERNATIONAUX

2 à 3

semaines en moyenne

Environ 2 000 personnes partent chaque année en VSI

avec les associations agréées par le ministère de l’Europe et des Affaires

étrangères CORPS EUROPÉEN DE SOLIDARITÉ

Source : Commission européenne

+ de 90 000 jeunes inscrits

Durée : de 2 semaines à 12 mois

• Lieu dans un État membre de l’UE ou un État partenaire

• Âge : de 18 à 30 ans

© AHalfpoint / iStock

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Un calendrier à respecter

Pour bénéficier de la plupart des dispositifs qui per- mettent de partir à l’étranger, vous devez effectuer vos demandes et démarches à des dates précises, et souvent bien en amont de votre départ !

C’est le cas si vous comptez étudier dans une école ou université étrangère, obtenir un Visa Vacances Travail (surtout pour le Canada, car vous devez faire votre demande dès l’ouverture des inscriptions an- nuelles) ou encore exercer votre métier à l’étranger (les visas de travail nécessaires pour travailler dans certains pays ne s’obtenant que si vous avez déjà signé un contrat avec une entreprise sur place).

Par ailleurs, même pour les dispositifs qui vous permettent de partir rapidement, il faut souvent avoir économisé avant votre départ. Par exemple, un séjour linguistique a un certain coût et les Visas Vacances Travail les plus rapidement délivrés im- pliquent tout de même de disposer d’une somme conséquente sur votre compte bancaire, condition imposée par les gouvernements locaux pour ne pas vous retrouver en difficulté sur place.

Quant à votre retour, il se prépare également… sur- tout si votre break a eu lieu pendant vos études.

Faire un break pendant ses études

Durant vos études supérieures, vous pouvez prendre 1 ou 2 semestres de césure par cycle d’études (li- cence, master, doctorat), mais attention cette pé- riode n’est pas automatiquement accordée.

Vous pouvez également effectuer une césure avant même d’entamer vos études supérieures. Dans ce cas, le mieux est de participer néanmoins à la pro-

une place dès votre retour. L’établissement n’aura connaissance de votre projet de césure uniquement s’il vous accepte. Vous conserverez alors votre place au sein du cursus.

Renseignez-vous !

Quels que soient le cadre de votre départ et votre destination, et pour éviter les mauvaises surprises, informez-vous au maximum sur ce qui vous attend.

Posez toutes les questions que vous avez en tête à l’organisme, l’entreprise ou l’établissement qui vous accompagne lors de votre voyage.

Internet est aussi une source d’information inépui- sable. N’hésitez pas, par exemple, à consulter les forums et blogs et à contacter par leur biais des gens qui sont partis au même endroit ou dans les mêmes conditions que vous.

Pensez à toutes vos démarches

Papiers d’identité, visas et vaccins si nécessaire, autorisation parentale pour les mineurs, assurances (assistance, rapatriement…), couverture médicale…

Voici quelques-unes des formalités auxquelles vous devez absolument penser.

Prenez contact avec votre banque pour vérifier le montant des frais bancaires dans votre pays de des- tination et le taux de change. Pour un long séjour, vous devrez a priori ouvrir un compte bancaire sur place.

Quant au logement, pensez-y en amont pour trou- ver la formule adaptée à vos besoins. Comme dans certains cas (notamment avec un Visa Vacances Tra- vail), vous serez amené à changer régulièrement de DÉCOUVRIR LE MONDE

Vous voulez découvrir le monde mais vous ne savez pas comment vous y prendre ? Le ministère en charge de la Jeunesse a créé un site pour vous permettre de trouver le dispositif idéal en fonction de vos envies et de votre profil.

www.decouvrirlemonde.jeunes.gouv.fr

DES INFOS PRÉCISES DANS NOS DOSSIERS PAYS Que vous ayez envie de travailler, de trouver un job ou un stage, ou d’étudier dans un pays en particulier, nos dossiers pays détaillent les démarches à effectuer et les possibilités qui vous sont offertes localement. N’hésitez pas à les consulter.

Le choc culturel d’une expatriation dure plusieurs mois et mêle des émotions contradictoires. Le stress et l’excitation du départ laissent place, une fois là-bas, à une phase de découverte et d’émerveillement. Puis, au bout de quelques semaines, l’euphorie s’estompe et la routine s’installe; ce qu’on a laissé en France commence à nous manquer. Pour aller mieux, forcez-vous à sortir et à rencontrer du monde.

Ces différentes phases sont tout à fait normales et font partie du processus d’adaptation à un nouveau pays. Enfin, le retour en France n’est pas moins éprouvant que le départ, il faut s’y préparer. Cela peut même être un nouveau choc culturel!

Conseil

L’expatriation, un défi émotionnel à préparer

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de s’engager sur du long terme. Les auberges de jeunesse sont parfaites pour dépanner, ou même le couchsurfing, qui permet d’être logé gratuitement chez des locaux pour une courte période. Attention tout de même : lisez bien les appréciations des hôtes sur le site dédié avant de faire vos demandes pour éviter de mauvaises surprises.

Informez-vous également sur les systèmes de santé et les éventuels risques de santé.

Attention : avec la pandémie de Covid-19, chaque État a fixé des conditions spécifiques pour entrer et sortir de son territoire (test PCR, quatorzaine, vac- cination…). Avant tout déplacement, informez-vous sur les restrictions sanitaires en vigueur dans le pays dans lequel vous vous rendez. www.reopen.europa.

eu; www.diplomatie.gouv.fr rubrique Conseils aux voyageurs.

Prévoyez le bon budget

Le budget à prévoir peut être très différent selon votre destination et vos objectifs sur place. Pour éva- luer vos dépenses, renseignez-vous sur le coût de la vie : visa (si besoin), logement, taxes, dépenses courantes (nourriture, transports, vêtements, frais de santé…).

Si vous comptez en profiter pour faire des activités touristiques, augmentez votre budget car les tarifs grimpent très vite dans certains pays.

Quand vous partez pour une durée indéterminée, pensez à mettre de côté l’argent nécessaire pour payer votre billet retour. Cela vous sera utile si vous avez le moindre souci et que vous préférez écourter votre séjour.

www.diplomatie.gouv.fr rubrique Service aux Fran- çais / Préparer son expatriation / Dossier pays de l’expatriation

Valorisez votre expérience

Quelle que soit la raison de votre séjour à l’étranger, vous aurez toujours quelque chose à en dire.

Cette année « off » vous a transformé ? Racontez- le ! Progrès en langues, ouverture culturelle, renforcement de vos connaissances dans un domaine précis, gestion du stress, capacité d’adaptation, débrouillardise… autant d’apprentissages à mettre en valeur.

Souvent, ceux qui partent à l’étranger pendant quelque temps tiennent un blog destiné à leurs proches. Mais vous pouvez très bien en créer un spécifiquement dédié à vos futurs contacts professionnels (que ce soit les services d’admission d’établissements de formation, de potentiels recruteurs…). Un bon moyen de valoriser votre expérience si vous adaptez les contenus à ce type de lecteurs et que vous ajoutez sur votre CV ou dans vos dossiers de candidature un lien vers ce blog.

DES AIDES FINANCIÈRES EXISTENT

Il existe de nombreuses possibilités d’aides financières pour partir à l’étranger, même si vous tentez l’aventure en solo, notamment celles de la fondation Zellidja, de l’Institut fran- çais, des conseils régionaux…

Renseignez-vous bien en amont et soignez votre dossier pour avoir une chance de bénéficier de ce coup de pouce.

Cf. dossier Monter son projet : aides et conseils n°5.62.

POUR EN SAVOIR PLUS

Pour plus d’informations sur la culture, le coût de la vie, les démarches à effectuer… consultez notre sélection de sites de référence.

Voir liste 1 du carnet d’adresses.

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rouver un job

Une première expérience à l’étranger

Différentes possibilités s’offrent à vous pour une première expérience à l’étranger. Une chose est sûre : elle sera formatrice.

Des jobs selon votre niveau de langue

Dans un pays francophone, vous devriez avoir accès aux mêmes petits boulots qu’en France. Ailleurs, en revanche, tout dépendra de votre niveau de langue.

Si vous ne parlez pas bien la langue locale, vous pou- vez tenter votre chance pour des cueillettes, des ven- danges, et des jobs qui ne nécessitent pas de contact avec la clientèle (plonge, ménage…) dans le domaine de l’hôtellerie-restauration au moment où les vacan- ciers arrivent en masse dans les villes touristiques.

Avec un bon niveau de langue, vos possibilités sont multiples. Les jobs les plus courants sont ceux au contact des touristes: vendeurs dans les boutiques de souvenirs, réceptionnistes dans les hôtels, serveurs dans les villes touristiques, animateurs dans les clubs de vacances… Les expatriés sont également nom- breux à donner des cours de français.

Adaptez-vous aux usages locaux

Reste à vous adapter aux usages locaux. Dans cer- tains pays, votre contrat pourra être seulement oral pour un job de courte durée. Le paiement pourra se faire à la journée, à la semaine ou au mois. Temps de travail et congés ne seront pas les mêmes que ceux accordés en France…

Couvrir vos dépenses courantes

Faites le calcul avant de vous engager: votre rému- nération couvrira-t-elle au moins vos dépenses cou- rantes? Il n’est pas rare pour des Français partis à l’étranger de cumuler les jobs pour s’en sortir.

Si vous vous adressez à une agence pour trouver un job sur place, restez sur vos gardes: leurs services sont payants et il ne faudrait pas que cela vous coûte plus cher que ce que vous rapportera le job en question.

Quelques dispositifs concrets

Il existe plusieurs solutions pour faciliter ou encadrer votre séjour à l’étranger, et y exercer une activité indemnisée ou rémunérée.

Travail au pair

Objectifs: devenir bilingue (ou presque), plus autonome et se frotter à une autre culture.

Le travail au pair s’adresse officiellement à des jeunes de 18 à 30 ans, mais dans les faits, les familles n’ac- ceptent que rarement votre candidature si vous n’avez pas au moins 20 ans et votre permis de conduire. En moyenne, vous vivez chez votre famille d’accueil 10 mois, même si certains séjours au pair peuvent être bien plus courts.

Votre journée type: réveiller les enfants le matin, pré- parer leur petit-déjeuner, les accompagner à l’école, les prendre en charge en fin de journée (goûter, devoirs), puis dîner avec la famille. Vous devez généralement assurer 2 soirées de baby-sitting par semaine.

Les services des agences de placement coûtent de 200 à 400€. Vous gagnerez environ 80€ par semaine d’argent de poche et vous serez nourri et logé.

Il est possible de se débrouiller sans passer par une agence, mais dans ce cas, redoublez de vigilance. Sur Internet ou dans la presse, certaines annonces sont de véritables arnaques.

En Europe, le travail au pair est répandu en Espagne, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et dans les pays du Nord (Finlande, Suède, Danemark). Hors Europe, les États-Unis sont la première destination des séjours au pair.

À noter: depuis le Brexit, le travail au pair au Royaume- Uni est devenu quasiment impossible. Un visa de tra- vailleur est nécessaire et les conditions de rémuné-

T

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ration pour l’obtenir sont bien trop élevées pour un jeune au pair.

> Cf. dossier Partir au pair à l’étranger n°8.23.

Assistant·e de français

Objectifs: se confronter à une autre culture et affiner ses connaissances dans la langue choisie.

À condition de bien parler une langue étrangère (niveau validé par un professeur ou une université), vous pou- vez assister un professeur de français dans les pays où cette langue est parlée. Le volume horaire de cours, la durée du séjour, la rémunération et les conditions d’accueil varient en fonction des pays.

Renseignez-vous auprès de France Éducation interna- tional, et n’hésitez pas à contacter d’anciens assistants via les forums spécialisés.

Attention, ne vous engagez pas à la légère car vous ne pourrez, a priori, démissionner qu’en cas de force majeure.

Pendant l’année scolaire 2019-2020, l’Espagne propo- sait le plus grand nombre de postes, soit 403, suivie du Royaume-Uni (271), de l’Allemagne (220) et de l’Italie (101). Pour les pays plus lointains, c’est le Mexique qui est le plus demandeur (90), tandis que les offres sont rares aux États-Unis et au Canada.

Chaque année, environ 1400 postes d’assistant de français sont à pourvoir dans les 27 pays participants.

www.france-education-international.fr rubrique Ser- vices / Devenir assistant de langue française à l’étranger

Programme Vacances Travail (PVT)

Le Programme Vacances Travail (Working Holiday Visa) permet de découvrir un pays étranger tout en y travail- lant grâce à l’obtention d’un permis ou visa de travail de 6 à 12 mois.

Objectifs: voyager sans se ruiner et considérablement progresser en anglais, espagnol ou russe.

Destinations possibles: Australie, Argentine, Brésil, Canada, Chili, Colombie, Corée du Sud,Équateur, Hong Kong, Japon, Mexique, Nouvelle-Zélande, Pérou, Rus- sie, Taïwan, Uruguay.

À savoir: lors de la rédaction de ce dossier, il est encore impossible de s’inscrire au PVT Pérou (à cause de la crise sanitaire) et au PVT Équateur (date d’entrée en vigueur encore inconnue).

Une fois votre PVT en poche, vous pouvez vous rendre dans le pays concerné et y exercer des petits boulots si vous avez besoin d’argent pour financer la suite de votre séjour. Plusieurs options: vous installer durablement dans une grande ville où vous trouverez facilement des jobs et voyager ensuite avec l’argent gagné sur place, ou choisir la mobilité et vous arrêter régulièrement pour des missions de type « fruit picking » (cueillette de fruits), en fonction des opportunités et des bons plans que vous donneront d’autres voyageurs.

Il y a certaines conditions à respecter pour pouvoir bénéficier du PVT: âge (jusqu’à 30 ou 35 ans pour certains pays), assurances, ressources financières dis- ponibles sur votre compte bancaire… Mais elles varient en fonction des pays. Les demandes sont payantes et se font généralement en ligne ou en vous rendant dans l’ambassade concernée.

À noter: certains pays imposent des quotas suivant la règle du « premier arrivé, premier servi ». Le PVT Canada est particulièrement difficile à obtenir, car les visas s’écoulent en un temps record après l’ouverture des inscriptions qui a généralement lieu en novembre.

À l’inverse, d’autres pays les accordent de façon illi- mitée, comme l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Mais les demandes sont tellement nombreuses que l’offre de jobs n’est plus assez fournie, surtout en Australie.

Informations sur le PVT et échanges avec d’autres PV- Tistes: www.pvtistes.net

Je suis parti en 2018 lorsque le PVT Brésil a été inauguré. J’ai eu la chance de trouver un emploi de professeur de français à l’Alliance française de São Carlos dans l’État de São Paulo, une ville universitaire du sud du pays. Je suis arrivé en pleine période de recru- tement. J’ai trouvé un logement à un quart d’heure de mon lieu de travail. Ça n’a pas été difficile, j’ai même eu le choix entre une dizaine de colocations !

Témoignage

Julien, 25 ans, a fait un PVT au Brésil

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Wwoofing : votre aide contre le gîte et le couvert

Wwoofing vient de l’acronyme Wwoof pour World Wide Opportunities on Organic Farms : opportunités dans des fermes bio du monde entier. Si cette pratique existe dans de nombreux pays, elle est particulièrement répandue en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Canada.

Comment ça marche?

Le principe du wwoofing est simple: vous aidez une famille en moyenne 5h par jour, 4 à 6 jours par se- maine pour de multiples tâches; en échange, elle vous loge, vous nourrit et vous fait partager son quotidien.

Les offres et le descriptif des missions sont dispo- nibles sur les sites des organisations Wwoof propres à chaque pays.

Listes des pays et de leurs sites: www.wwoof.net Vous payez une cotisation de 15 à 30€ selon les pays pour y avoir accès et vous pouvez ensuite envoyer vos candidatures aux familles avec les dates souhaitées.

Comme elles reçoivent des appréciations au fur et à mesure des séjours, celles qui en ont de très bonnes peuvent être particulièrement sollicitées. Essayez de les contacter le plus tôt possible et soignez votre lettre pour mettre toutes les chances de votre côté.

Une fois le contact établi, n’hésitez pas à demander des informations sur les tâches à effectuer, les chambres, les congés… pour éviter les mauvaises surprises.

Immersion dans la culture locale, nets progrès en langue, acquisition de nouvelles connaissances, voici quelques-uns des bénéfices du wwoofing!

À savoir: sur un principe similaire, workaway propose de partir en tant que volontaire auprès d’hôtes dans 170 pays.

www.workaway.info

Un bon plan pour dépanner

Financièrement, le wwoofing ne vous rapporte rien, mais permet de séjourner à l’étranger sans trop dé- penser. À part la cotisation, vous ne paierez que vos transports et vos loisirs personnels.

De nombreux Français voyageant avec un Visa Va- cances Travail ont recours au wwoofing quand ils ne trouvent pas de job.

Des petits travaux écolos

Pour faire du wwoofing, il est quand même préfé- rable d’avoir une certaine sensibilité écolo. Les hôtes recherchent généralement des personnes qui s’inté- ressent à l’écologie même s’ils ne sont pas eux-mêmes des spécialistes. Parfois, ils apprécieront d’ailleurs que vous ayez des compétences liées à leur projet, mais il arrive aussi qu’ils acceptent des débutants et les forment, ce qui explique les durées minimales par- fois imposées par ceux qui vous reçoivent.

On pourra vous demander de faire du jardinage, de vous occuper des animaux, de faire de l’écoconstruction…

Mais vous pouvez aussi être sollicité pour d’autres tâches, moins liées à l’écologie, comme le bricolage ou la cuisine.

Attention aux jobs déguisés!

L’expérience plaît généralement, à condition que les règles soient respectées des deux côtés. N’acceptez donc pas n’importe quels petits travaux ou horaires.

Vos missions et conditions de travail dans le cadre du wwoofing ne doivent pas être celles d’un véritable job rémunéré.

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rouver un emploi

Des opportunités à saisir

Travailler à l’étranger pour fuir le chômage ou booster sa carrière… nombreux sont ceux à vouloir tenter l’expérience.

Les opportunités existent, tout dépend des langues maîtrisées, du domaine d’activité et des pays visés.

Les secteurs qui recrutent à l’étranger

Évidemment, les secteurs pour lesquels le savoir-faire français est reconnu mondialement restent ceux qui sont le plus susceptibles de recruter à l’étranger: c’est notamment le cas des métiers de bouche (boulanger- pâtissier, cuisinier…) et des métiers du bâtiment (cou- vreur, tailleur de pierre…), mais aussi ceux liés à la mode ou au cinéma d’animation.

Par ailleurs, certains professionnels sont recherchés un peu partout dans le monde, comme les profession- nels de santé (infirmiers, médecins spécialistes…), de l’énergie (pour travailler sur les plateformes pétro- lières…), du tourisme, de l’hôtellerie-restauration, de l’animation, du sport – même si, dans ces derniers secteurs, les emplois sont souvent saisonniers.

Pensez aussi à l’enseignement: les professeurs de FLE (français langue étrangère) sont particulièrement recherchés en Amérique latine et en Chine. Vous par- tez donc avec un avantage si vous connaissez l’anglais, l’espagnol ou le chinois. Il y a également des possibi- lités en Afrique, notamment au Maroc, en Europe, en Turquie et en Russie.

> Cf. dossier Travailler à l’étranger n°8.21.

Des destinations à privilégier

En matière de démarches administratives, il est plus simple de travailler en Europe qu’ailleurs dans le monde. En juillet 2021, la République tchèque, l’Alle- magne, la Pologne et les Pays-Bas sont les pays les moins touchés par le chômage. La Grèce et l’Espagne sont les plus durement touchés.

Si vous souhaitez sortir d’Europe, sachez que de nom- breux Français tentent leur chance dans les pays du Golfe et au Canada, qui recrutent encore des étran- gers. Vous pouvez aussi chercher du côté des pays émergents, ou ceux dont la croissance est repartie en Asie et en Amérique latine: ils manquent souvent de main-d’œuvre qualifiée.

Expatriation ou contrat local?

Même si l’expatriation est souvent la formule la plus intéressante, puisque vous conservez les conditions de travail et le salaire français dans des pays où le coût de la vie sera parfois nettement inférieur à celui de la France, elle est de moins en moins proposée par les entreprises françaises dans le contexte de crise actuel… sauf à quelques cadres expérimentés ou à de jeunes ingénieurs et techniciens envoyés pour experti- ser des problèmes techniques.

Il n’est pas évident non plus d’intégrer une entreprise locale, à moins de pouvoir convaincre le recruteur de la plus-value de votre profil et de votre connaissance du pays, de sa culture… Si vous y parvenez, vous signez un contrat de droit local, ce qui signifie que vous serez logé à la même enseigne que les travailleurs locaux pour la rémunération, les congés… Vous devrez égale- ment vous renseigner pour les cotisations-retraite.

Attention aux professions réglementées!

Avant de vous lancer, vous devez aussi savoir que tous les métiers ne peuvent pas être exercés partout. Dans de nombreux pays, certains postes sont réglementés et les étrangers ne peuvent pas y postuler.

Pour connaître la liste des professions protégées dans le pays que vous visez, adressez-vous aux ambassades ou aux consulats.

T

TROUVER UN EMPLOI À L’ÉTRANGER

Un projet d’expatriation se prépare. Vous devez avant tout clarifier vos objectifs et être au clair avec les raisons qui vous poussent à chercher un emploi à l’étranger. Ensuite, récoltez un maximum d’informations sur la destination choisie, sur les perspectives d’emploi, les usages en vigueur dans le monde professionnel et dans votre secteur d’acti- vité, afin de voir si votre profil est bien adapté.

Cf. dossier Travailler à l’étranger n°8.21.

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evenir volontaire

Bénévolat ou volontariat ?

Les bénévoles remplissent des missions éducatives, scientifiques, sociales, humanitaires ou sportives dans des organismes à but non lucratif sans être rémunérés, tandis que les volontaires s’engagent, au sein d’associations ou d’entreprises, dans des missions définies dans la durée, et pour lesquelles ils sont indemnisés.

Chantiers de jeunes bénévoles

La première étape est de bien définir vos critères de sélection, afin de choisir un chantier qui correspond à votre désir: voulez-vous rester en France ou partir à l’étranger? Pour combien de temps? Sur quel type de chantier?

Pour certains pays ou projets, vous devez bien consi- dérer les risques: les situations sociales, politiques ou sanitaires peuvent présenter des dangers sérieux.

La plupart des chantiers à l’étranger ne vous seront ac- cessibles que si vous avez au moins 18 ans. La durée moyenne est de 2 à 3 semaines et vous travaillez de 20 à 35h selon votre âge.

Le transport vers le chantier est à votre charge et une participation vous sera demandée pour couvrir la pen- sion complète, l’assurance et l’adhésion à l’association.

Choisir votre chantier: www.cotravaux.org; www.

clong-volontariat.org; https://europa.eu/youth/home_fr rubrique Partir à l’étranger / Bénévolat

> Cf. dossier Les chantiers de jeunes bénévoles n°5.611.

Corps européen de solidarité (CES)

Initié et financé par l’Union européenne, le corps euro- péen de solidarité s’adresse aux jeunes de 18 à 30 ans.

Le volontariat s’effectue dans un État membre de l’UE ou dans un pays partenaire et dure entre 2 semaines et 12 mois.

Vous partez pour une mission à portée solidaire: lutte contre les exclusions, éducation, aide aux demandeurs d’asile, aide alimentaire, soins de santé, aide pour re- construire une école suite à un tremblement de terre, protection de l’environnement, culture, etc.

Chaque participant bénéficie d’un soutien linguistique, d’un séminaire à l’arrivée et à mi-parcours, d’un tutorat en ligne ainsi que de la prise en charge des frais de voyage aller et retour.

Si vous êtes intéressé, il est possible de s’inscrire sur le

et monter votre dossier, même s’il faudra attendre d’avoir 18 ans pour effectuer un projet de CES.

À votre retour, un conseiller vous aidera à valoriser cette expérience pour la suite de votre parcours étudiant ou professionnel.

Partir en tant que volontaire ne requiert pas de di- plôme ou de formation spécifique. C’est la motivation qui prime.

Les frais de transport et de logement sont pris en charge et vous recevez de l’argent de poche (montant variable en fonction du pays d’accueil) pour vos dépenses quoti- diennes ainsi qu’une allocation nourriture.

Avant votre départ, votre structure de soutien vous affi- liera à une assurance qui fera office de complémentaire santé (frais médicaux, assistance rapatriement et res- ponsabilité civile).

Pour en savoir plus: www.corpseuropeensolidarite.fr

Comment participer?

Vous devez vous enregistrer sur le portail européen de la jeunesse

https://europa.eu/youth/SOLIDARITy_fr

Après l’inscription, vous y trouverez des offres de volon- tariat publiées par des organismes agréés et auxquelles vous pouvez postuler. Ces mêmes organismes peuvent aussi vous contacter après avoir consulté votre profil.

Une fois votre candidature retenue, vous devez contac- ter une structure de soutien de votre région. Cette structure vous accompagne avant votre départ et as- sure un suivi durant votre projet CES et également à votre retour. Liste sur www.erasmusplus-jeunesse.fr/

map_contacts.html

Volontariat de solidarité internationale (VSI)

ONG, hôpitaux, établissements d’enseignement… le VSI permet de vous engager en Afrique, Amérique la- tine, Asie, Europe de l’Est, pour des missions au sein de l’une des associations françaises agréées par le mi-

D

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Le dispositif est assez sélectif: on vous demandera d’indiscutables qualifications et compétences pro- fessionnelles, un réel esprit d’engagement et un bon niveau en langues étrangères. Mieux vaut également être en excellente forme physique, avoir un bon sens de l’organisation, beaucoup de sang-froid et une grande capacité d’adaptation.

Le contrat dure jusqu’à 6 ans maximum et vous béné- ficiez d’une indemnité mensuelle minimale de 100€, d’une couverture sociale et du paiement des frais de voyage.

Plus d’infos: www.clong-volontariat.org; www.france- volontaires.org

> Cf. dossier Le volontariat international n°8.26.

Volontariat international en entreprise ou en administration

Malgré leur appellation, le VIE et le VIA ne proposent pas des missions de volontariat à proprement par- ler, puisqu’il s’agit de postes indemnisés au niveau d’une rémunération d’emploi et qui sont souvent sans rapport avec la solidarité internationale. L’indemnité mensuelle fixe de 723,99€ est accompagnée d’une indemnité supplémentaire en fonction du pays de la mission. Destinés aux jeunes de 18 à 28 ans, ils durent de 6 à 24 mois et peuvent être un véritable tremplin professionnel.

À votre retour, vous obtenez votre certificat d’accom- plissement du volontariat international, nécessaire pour retrouver vos droits à la Sécurité sociale et valider votre mission au titre du régime de retraite.

Offres et informations: mon-vie-via.businessfrance.fr; www.businessfrance.fr

> Cf. dossier Le volontariat international n°8.26.

Autres pistes

D’autres formes de volontariat existent, notamment le volontariat franco-allemand (VFA) et le volontariat des Nations unies (VNU).

https://volontariat.ofaj.org/fr, www.unv.org/fr

Vous souhaitez effectuer une mission de volontariat à l’étranger ? Vérifiez que l’organisme qui vous intéresse est agréé par le ministère correspondant à son secteur d’acti- vité. Consultez le site internet de l’organisme pour voir si le logo du ministère y figure ou si l’agrément est spécifié dans la présentation. Si ce n’est pas le cas, renseignez-vous sur ses objectifs, son mode de travail et ses conditions d’ac- cueil, et prenez un maximum de garanties avant de partir:

couverture sociale, assurance rapatriement…

La rédaction du CIDJ Conseil

Volontariat: les précautions à prendre

tudier ou faire un stage

Choisir l’Europe

Pour un séjour d’études ou un stage, les démarches sont facilitées si vous choisissez un pays européen.

Partir en solo ou via un programme

Pour effectuer un séjour d’études ou un stage, opter pour un pays européen peut être une bonne solution.

Vous pourriez profiter du programme européen Erasmus+. Ainsi, votre établissement – ou si vous n’êtes plus étudiant, votre organisme d’envoi – s’occupera d’une partie des démarches. Cela rendra votre départ plus simple (le logement peut parfois être prévu) et votre retour (reconnaissance des diplômes…).

Il existe également le programme Eurodyssée, dédié aux demandeurs d’emploi de 18 à 30 ans.

> Cf. dossiers Étudier en Europe n°8.52; Les pro-

grammes européens n°8.53; Partir en stage à l’étran- ger n°8.22.

Partir en solo reste possible, mais vous devrez tout prendre en main, ce qui n’est pas toujours évident sans forcément connaître d’interlocuteurs sur place. Pour le stage, sachez que si, en France, il s’inscrit dans une formation, dans la majorité des pays, il s’apparente

É

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Sortir d’Europe

Intégrer une école étrangère ou effectuer un stage n’est pas possible partout. Renseignez-vous minutieusement, notamment auprès des ambassades, afin de bien choisir votre destination.

Accord d’échange ou en solo?

Pour étudier ou faire des stages dans des pays hors Europe, l’échange est encore la solution la plus simple, notamment pour vous éviter une partie des démarches qui peuvent vite devenir un vrai casse-tête. En solo, il vous faudra également payer les frais de scolarité qui peuvent être, dans certains pays (notamment aux États-Unis), beaucoup plus élevés que dans les uni- versités françaises.

Cf. dossiers sur les pays hors Europe.

Programme d’échanges du BCI (Québec)

Le Bureau de coopération interuniversitaire est un regroupement d’universités québécoises ayant mis en place des partenariats avec des établissements à l’étranger, dont la France avec 150 grandes écoles et universités partenaires.

HEC à l’étranger

HEC Paris a signé des accords de diplômes conjoints et/ou de doubles diplômes avec des partenaires aca- démiques européens comme la London School of Eco- nomics & Political Science ou l’université Bocconi à Milan. L’école permet aussi des échanges en Amérique du Nord et latine, en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie avec pas moins de 85 partenaires académiques.

Sciences Po

La troisième année à Sciences Po s’effectue à l’étran- ger. Les étudiants ont le choix entre une année com- plète en séjour d’études dans l’une des 470 universi- tés partenaires de Sciences Po ou une année mixte avec un semestre de stage. Par ailleurs, l’école pro- pose des doubles diplômes internationaux avec par exemple Columbia University (New York, USA), Uni- versity of California Berkeley (USA), Freie Universität Berlin, Keio University (Tokyo)…

Bourses et aides financières

Si vous partez dans le cadre de vos études, rensei- gnez-vous auprès de votre établissement pour savoir s’il a noué des partenariats avec des universités hors Europe.

Pour un projet dans un pays hors de la zone Europe mais partenaire de l’UE, vous pouvez, sous certaines conditions, bénéficier de la bourse Erasmus+.

https://info.erasmusplus.fr

N’hésitez pas à vous renseigner auprès des collectivi- tés locales, des fondations ou auprès des ambassades pour connaître les éventuelles bourses accordées par le pays de destination.

plutôt à une courte période de travail, pas nécessaire- ment liée à un cursus et pas toujours rémunérée.

> Cf. dossiers sur les différents pays européens.

Des aides à la mobilité européenne

Un an d’études à l’étranger revient à 6000€ mini- mum, sans compter le voyage. Pour les stages, tout dépend de la durée et de votre rémunération.

Il existe des aides à la mobilité européenne, notam- ment les bourses Erasmus+, mais aussi celles des ministères chargés de l’Éducation nationale et des Affaires étrangères, des collectivités locales et des pays d’accueil.

> Cf. dossier Étudier en Europe n°8.52.

SÉJOURS LINGUISTIQUES

C’est l’occasion d’allier cours de langues, détente et décou- verte. Vous pouvez aussi opter pour une formule de cours intensifs dans le but de passer un test de langue (TOEFL, TOEIC, ZMP…).

Pour le logement, optez pour une famille si vous voulez une vraie immersion, ou pour un collège si vous préférez côtoyer d’autres jeunes.

Les séjours en Europe durent de 2 à 3 semaines en moyenne;

les séjours hors Europe, de 4 à 8 semaines. Les tarifs varient de 800 à 5 000 €.

Cf. dossier Les séjours linguistiques à l’étranger n°7.6.

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Un coup de pouce pour trouver un stage

De nombreux organismes, privés ou publics, gratuits ou payants, informent et/ou proposent des offres de stages à l’étranger.

À qui s’adresser?

Les possibilités sont multiples: vous pouvez contac- ter des organismes spécialisés par secteur d’activité ou par pays (Association européenne des étudiants en droit…), des organismes intergouvernementaux (Office franco-québécois pour la jeunesse…), le mi- nistère chargé des Affaires étrangères, les institutions européennes et organisations internationales, ou en- core des agences spécialisées dans la recherche de stages à l’étranger.

> Cf. dossier Partir en stage à l’étranger n°8.22.

Soyez attentif aux tarifs

Attention tout de même, quand les services sont payants, les tarifs grimpent vite! Les agences spécia- lisées demandent en général de 400 à 1000€ selon les destinations pour organiser votre séjour (de la de- mande de visa à l’achat des billets d’avion) et trouver une entreprise qui vous accueillera. Renseignez-vous sur le sérieux de ces agences en scrutant les réseaux sociaux et Internet, en en parlant autour de vous…

N’avancez pas d’argent avant qu’elles ne vous trouvent un stage.

Parfois, les organismes de séjours linguistiques pro- posent aussi des stages en entreprise dans le cadre de diverses formules payantes. N’hésitez pas à comparer avec la concurrence tout en demandant à quoi corres- pond exactement la somme demandée.

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LISTE 1

Sites de référence

https://agence.erasmusplus.fr Édité par : Agence Erasmus + France Éducation Formation

Sur le site : toute l’information sur le programme Erasmus + : objectifs, bénéficiaires, pays participants, types de projets, résultats… Actua- lités, agenda, ressources (outils, publications…).

https://europa.eu/youth Édité par : Portail européen de la jeunesse

Sur le site : informations pour les jeunes sur l’engagement, les études, le travail, les stages, le volontariat, les voyages dans un pays de l’UE, les programmes spécifiques de l’UE pour les jeunes. Base de données des offres de volontariat dont le corps européen de solidarité. Témoignages, actualités, agenda.

https://mon-vie-via.businessfrance.

frÉdité par : Mon volontariat interna- tional

Sur le site : informations sur le volon- tariat international en entreprise (VIE) et en administration (VIA), base de données des offres, accès direct aux offres urgentes, témoignages, actualités.

https://reopen.europa.eu/fr Édité par : Re-open-EU Sur le site : informations sur les mesures de réouverture des frontières dans l’UE.

www.decouvrirlemonde.jeunes.

gouv.fr

Édité par : Découvrir le monde Sur le site : portail pour trouver des idées afin de partir à l’étranger : étude, stage, volontariat…, présentation des dispositifs de mobi- lité européenne et internationale, structures d’aide pour organiser son séjour, témoignages, actualités.

www.diplomatie.gouv.fr Édité par : France diplomatie Sur le site : informations et outils pratiques sur l’expatriation, conseils et fiches par pays, guide en ligne du « Voyage à l’étrange », accès à la plateforme Ariane et au compte twitter @conseilsvoyages pour rester informé par le ministère, accès aux offres d’emploi et aux concours du ministère.

www.eurodesk.eu Édité par : Eurodesk

Sur le site : informations en anglais sur les programmes de mobilité en Europe, les bourses, le volontariat, les stages, listes des sites essentiels par pays, actualités, newsletter.

www.expat.com/fr

Édité par : Expat.com - Réussissez votre expatriation

Sur le site : dossiers pays avec informations sur l’expatriation, le marché de l’emploi et les adresses utiles, publication d’un guide de l’expatrié, offres d’emploi, plateforme communautaire avec blogs et petites annonces.

www.loffice.org

Édité par : Office national de garantie des séjours linguistiques et éducatifs Sur le site : liste des organismes et garanties (suivi, transport, héber- gement) labellisés par l’Office pour les séjours linguistiques et voyages scolaires éducatifs pour l’apprentis- sage du français en France ou d’une autre langue étrangère à l’internatio- nal (choix étendu), outil de recherche et conseils pour choisir, financer et préparer son séjour, offres et formules pour tout profil d’apprenant (tout âge, niveau scolaire, adulte…), jobs et stages à l’étranger, FAQ.

www.teli.asso.fr Édité par : Le Club Teli Sur le site : accompagnement des adhérents pour leur projet de mobilité internationale ; offres de stages, d’emploi, de jobs d’été et de séjours au pair à l’étranger réservées aux adhérents pour 45 par an.

www.ufaap.org Édité par : Ufaap

Sur le site : liste des organismes membres de l’Ufaap proposant des séjours au pair, charte qualité, FAQ.

www.ufe.org

Édité par : Union des Français de l’étranger - UFE

Sur le site : informations sur l’expa- triation à destination des étudiants, des actifs, des familles et des retraités, conseils pour le retour en France, dossiers par pays.

Carnet d’adresses

Références

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