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PÔLE MER BRETAGNE ATLANTIQUE. Dix ans d innovation pour le développement de l économie maritime

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Academic year: 2022

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PÔLE MER BRETAGNE ATLANTIQUE

Dix ans d’innovation pour le développement de l’économie maritime

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Sommaire :

Le Pôle Mer Bretagne Atlantique, un label de développement de

l’économie maritime P 4

3 questions à Dominique Sennedot, président du Pôle Mer Bretagne Atlantique P 6

Le Pôle Mer, accélérateur d’innovation P 8

Un accompagnement décisif des PME et start-up P 10

Contact presse : Nisha Le Joliff – Tél : 06 88 84 48 22 – nisha.lejoliff@polemer-ba.com

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Le Pôle Mer Bretagne Atlantique, un label de développement de l’économie maritime

L’économie maritime française représente aujourd’hui 53 milliards d’euros de chiffre d’affaires et emploie 300 000 personnes.

Deuxième ZEE (Zone Économique Exclusive) mondiale avec une surface maritime de 11 millions de km2, la France a une véritable carte à jouer pour capter une part significative de ces marchés en expansion. De nouvelles activités, qui n’existaient pas il y a dix ans, représentent aujourd’hui près de 190 milliards de dollars.

D’ici 2020, ces marchés émergents tels que l’extraction de minéraux marins, les énergies marines, les biocarburants d’origine algale, l’aquaculture, etc., devraient générer près de 450 milliards de dollars de chiffre d’affaires annuel mondial.

Dans ce contexte, le Pôle Mer Bretagne Atlantique se positionne en facilitateur du développement du dynamisme de l’économie bleue. En rassemblant les différents acteurs publics et privés du secteur maritime autour d’une thématique commune, le Pôle Mer Bretagne Atlantique, dont le siège se trouve à Brest, illustre la volonté d’une grande région maritime, Bretagne - Pays de la Loire.

Stimuler l’économie maritime en soutenant l’innovation

Extraire des molécules prometteuses dans la lutte contre le cancer en étudiant le requin roussette, améliorer les carènes des navires pour les rendre économes en énergie, affiner le dessin des chaluts pour une meilleure sélectivité des prises et une bonne gestion de la ressource, concevoir et réaliser des infrastructures portuaires… en dix ans, le Pôle Mer a labellisé 226 projets innovants.

Faciliter le financement des projets innovants

Depuis dix ans, le Pôle Mer Bretagne Atlantique accompagne les entreprises en valorisant les produits et services issus des projets labellisés, par un accompagnement au financement de leur industrialisation et de leur commercialisation.

Cette ambition, qui se traduit dans la feuille de route stratégique du Pôle Mer Bretagne Atlantique, élaborée dans une démarche concertée avec le Pôle Mer Méditerranée, se décline en trois grandes orientations :

-Être un des principaux leviers de la politique maritime intégrée.

-Être une référence internationale dans le domaine maritime et littoral et valoriser leurs membres et leurs territoires à travers la marque « Pôle Mer ».

-Être un moteur de la compétitivité des entreprises.

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EN BREF : le Pôle en chiffres

. 332 adhérents dont 194 représentants des PME/PMI, 52 des universités et grandes écoles, 45 de grandes entreprises et 41 issus d’organisations professionnelles.

. 226 projets labellisés pour un investissement de 752 millions d’euros de R&D . 210 millions d’euros d’aides publiques débloqués en dix ans

. Six grands domaines d’actions : la sécurité et sûreté maritimes, le naval et nautisme, les ressources énergétiques et minières marines, les ressources biologiques marines (pêche- aquaculture et biotechnologies bleues), l’environnement et l’aménagement du littoral les ports et infrastructures et transports maritimes.

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Trois questions à Dominique Sennedot, président du Pôle Mer Bretagne Atlantique : (photo)

« Les acteurs du secteur maritime se sont appropriés ce bel outil »

Dominique Sennedot, cinquante-huit ans, ingénieur de formation, est le directeur du site brestois de DCNS et le président du Pôle Mer Bretagne Atlantique.

Quel bilan faites-vous des activités du Pôle durant ces dix dernières années?

En 10 ans, le Pôle Mer Bretagne Atlantique a labellisé 226 projets représentant un budget global de 752 millions d'euros de R&D. L’équipe du Pôle regroupe une trentaine de personnes mises à disposition par les membres du Pôle pour accompagner les projets du Pôle. Depuis 2005, cela représente 17000 jours de travail ce qui montre l’investissement de chacun !

La mise en place du Pôle Mer Bretagne Atlantique a facilité la cohésion des acteurs du secteur maritime. Faire travailler ensemble les PME, les grands groupes industriels et la recherche est un véritable challenge. La mobilisation des acteurs est aujourd’hui très forte et les relations plus fluides et plus efficaces.

Notre travail a également permis de faciliter les effets de levier. Le Pôle accélère la « co- construction » de projets et facilite l’accès au soutien financier que ce soit de l’Etat, les collectivités ou d’investisseurs privés.

Enfin, en dix ans, la promotion de l’économie maritime a porté ses fruits puisqu’elle est aujourd’hui valorisée dans des outils de financement notamment à travers le Programme d'Investissement d’Avenir (PIA) autour des thématiques comme le navire du futur, les biotechnologies marines ou les énergies marines renouvelables (EMR).

Quel avenir pour le Pôle Mer Bretagne Atlantique ?

La France connaît aujourd’hui des réformes importantes notamment celle des collectivités territoriales qui impactera directement la politique des pôles de compétitivité. Nous devons accompagner ces changements et nous adapter aux évolutions futures pour continuer à innover et conduire le développement des projets ce qui est le cœur de notre métier. Enfin, le maritime est aujourd'hui un enjeu incontournable, aux niveaux énergétique (notamment les ressources minières profondes et les EMR) et alimentaire mais tout ceci doit être fait de

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7 manière constructive et raisonnée.

Quels sont pour vous les prochains enjeux maritimes ?

Des étapes ont été franchies en dix ans et les six domaines d'actions du Pôle définis en 2005 sont aujourd’hui confirmés.

Au niveau sécurité, il y a de plus en plus d'activités en mer ce qui en fait un lieu sensible pour la sécurité humaine mais aussi pour la souveraineté. Le naval sera fortement impacté avec le projet « navire du futur » qui n'en est qu'à ses débuts.

Les énergies marines fossiles représentent un enjeu considérable puisque nous avons besoin d'aller toujours plus loin pour exploiter les ressources minières présentes dans les profondeurs. Les énergies marines renouvelables sont en plein boom mais le vérifiable défi de demain est de réussir à créer une filière économiquement viable.

Nous devons également accompagner un développement raisonné de la pêche. Le modèle actuel doit évoluer d'où le développement de filières complémentaires comme l'aquaculture.

Mais l'enjeu est de concilier un équilibre économique entre les besoins alimentaires des populations et la préservation de la ressource.

Les biotechnologies marines restent un enjeu essentiel que ce soit dans le domaine cosmétique que dans celui de la santé, qui n'en est qu'à ses prémices.

Avec la forte concentration des populations sur les zones littorales, la montée des eaux et les changements climatiques, l’aménagement du littoral connaît et connaitra des bouleversements considérables. Enfin, les ports sont des interfaces économiques en termes d'activités qui évoluent. Les ports de commerce de demain vont devenir des plateformes, loin des côtes. Le développement des énergies marines renouvelables deviendra par exemple un enjeu pour alimenter ces plateformes en mer.

Ces six domaines* que nous avions définis il y a dix ans se confirment donc aujourd'hui comme leviers de développement. Et même si le Pôle Mer est le fruit d'une politique d'État, on voit bien que les acteurs du maritime ont compris le potentiel et sont aujourd’hui au rendez-vous de la croissance bleue.

* la sécurité et sûreté maritimes, les ressources énergétiques et minières marines, les ressources biologiques, les ports et infrastructures, le naval et nautisme, l’environnement et l’aménagement du littoral.

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Le Pôle Mer, accélérateur d’innovation

Le Pôle Mer Bretagne Atlantique a fait un pari : rassembler des entités très différentes. Son conseil d’administration est constitué de représentants de quatre collèges représentant les forces vives du territoire maritime « Bretagne - Pays de Loire » : les grands groupes industriels, les PME, le monde universitaire et les organisations professionnelles.

Avec 226 projets labellisés en 10 ans, le Pôle Mer Bretagne Atlantique joue pleinement son rôle d’accélérateur et de catalyseur de l’innovation. L’effet cluster fonctionne aussi bien au niveau des coopérations entre laboratoires publics et entreprises que dans le croisement des filières. Cette dynamique est renforcée par l’incitativité de l’aide publique : l’effet « levier » est de 3 à 4 € privés investis pour 1€ public.

Focus sur un projet labellisé par le Pôle : Sabella

En 2005, lors de sa création, le Pôle Mer choisit d’investir dans les énergies marines renouvelables. Sabella, pionnier de l’hydrolien sous-marin, sera l’un des premiers projets labellisés du Pôle. Jean- François Daviau, président de Sabella et administrateur du PMBA, mesure ce que le label Pôle Mer a apporté à l’entreprise :

« Avant tout une visibilité forte, un soutien des acteurs territoriaux, et l’introduction auprès des financeurs. En terme de R&D, le réseau de relations dans le monde universitaire et de la recherche (ENSTA, ISEN, Technopoles, Oceanopolis, Parc Marin d’Iroise, etc.) nous a été précieux. »

Sabella, qui compte aujourd’hui 12 ingénieurs, va immerger au printemps prochain son hydrolienne « D10 » (10 m de diamètre) dans le Fromveur, zone de forts courants à la pointe du Finistère. Pour ce projet de 12 millions d'euros, elle a réuni 4,3 millions en juin 2014.

L'entreprise dispose déjà d'aides publiques et privées à hauteur de quelque 6,5 millions d'euros. Elle planifie une nouvelle levée de fonds significative à l’horizon de septembre 2015 pour financer son développement commercial à l’international et poursuivre le développement technologique de sa « D15 ».

Une exploitation industrielle se dessine à moyen terme, le potentiel mondial étant de l’ordre de 50 gigawatts, dont 3 gigawatts en France.

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9 Innover pour être acteur de la politique maritime

Le Pôle Mer embrasse un spectre large de l’économie maritime avec ses six grandes filières : la sécurité maritime, les ressources minières marines, les ressources biologiques, les ports et infrastructures, le nautisme, l’aménagement du littoral.

Depuis sa création, le Pôle a travaillé à la reconnaissance du secteur maritime en France pour aider son développement dans une économie mondiale de plus en plus compétitive.

Plusieurs thématiques identifiées par l’association sont aujourd’hui reconnues comme programmes prioritaires : la sécurité et sûreté maritimes, le naval et nautisme, les ressources énergétiques et minières marines, les ressources biologiques marines (pêche-aquaculture et biotechnologies bleues), l’environnement et l’aménagement du littoral les ports et infrastructures et transports maritimes.

Accompagner l’attractivité internationale des entreprises

Depuis dix ans, le Pôle Mer augmente sa visibilité et sa notoriété pour faciliter l’accès des PME à l’international mais aussi attirer des projets sur son territoire. Le Pôle a organisé à ce jour plus de 38 missions à l’étranger pour accompagner des PME et des universitaires.

Ainsi se développe leur reconnaissance à l’international et s’ouvrent de nouvelles coopérations à l’export pour les produits ou à travers des brevets. Au niveau national, 25%

des projets labellisés ont généré des innovations (source AFPC) et au sein du pôle, plus de 40 brevets ont déjà été déposés.

C.Ris Pharma : un projet labellisé en 2006 par le Pôle Mer

Créée en 2003, C.Ris Pharma est une filiale du Groupe CELLIS PHARMA, société spécialisée dans la recherche sur des molécules issues du monde marin pouvant intervenir dans des thérapies innovantes. Une piste de recherche s’est avérée particulièrement prometteuse en étudiant le requin roussette pour créer des molécules spécifiques afin de lutter contre certains cancers.

Ce projet, baptisé Sealacian, a été labellisé par le Pôle Mer Bretagne Atlantique en 2006. Y ont participé le laboratoire de biologie marine de Caen, associé à l’Ifremer, ainsi que la PME Innova Proteomics de Rennes et l’École nationale supérieure de Chimie de Rennes.

« La labellisation par le Pôle Mer nous a permis de trouver des financements, essentiels pour avancer dans nos recherches. Nous avons déposé un brevet sur cinq produits en cours de développement. Il s'agit de peptides qui pourraient notamment intervenir sur le traitement du cancer du colon, avec des molécules très actives qui seraient beaucoup moins nocives que les chimiothérapies. », explique Pierrick Auvray, directeur de C.Ris Pharma.

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10 Pour faire naître des projets coopératifs transnationaux, mieux comprendre les mécanismes d’accès à chaque marché national et organiser des rencontres B to B, le Pôle Mer Bretagne Atlantique a également noué des partenariats avec des clusters étrangers :

• Marine South East (Angleterre)

• Cluster maritime de Schleswig Holstein (Allemagne)

• Créneau marin québécois

• District des technologies marines de Ligurie (Italie)

• Fondation franco-norvégienne

• Océanopole de Tan-Tan (Maroc)

• ONIP et SubSea Cluster RJ (Brésil)

Un accompagnement décisif des PME et start-up

Très axé sur la R&D collaborative à ses débuts, le Pôle Mer accompagne de plus en plus les porteurs de projets lorsque ceux-ci aboutissent à un nouveau produit ou un nouveau service.

Cela passe principalement par la promotion des produits, via son site Internet, mais aussi avec la presse, les salons, et valorise ses partenariats à l’international pour en faire bénéficier les PME du Pôle. En dix ans, le Pôle a publié 400 articles scientifiques et plus de 600 communications orales en congrès scientifiques ou en salons professionnels ont été réalisées.

Faciliter l’accès au financement

Le Pôle accompagne aussi les entreprises dans leur développement en leur facilitant l’accès à des capitaux d’investisseurs ou à un système bancaire classique.

Focus sur le projet Optipêche labellisé par le pôle en 2005

Le projet OPTIPÊCHE du groupe iXBlue avait pour objectif la création de nouveaux outils visant à réduire les coûts d'exploitation, l'impact des engins sur les fonds, mais aussi d'améliorer la sélectivité des captures et d'accroître la sécurité des marins à bord. Il a permis le développement d'un « double » sondeur multifaisceaux, le SeapiX, permettant l’analyse volumique 3D de la biomasse de la colonne d’eau et de cartographier l’habitat sous-marin jusqu’à 300 m.

«SeapiX offre des marges d’amélioration économique conséquentes pour les armements, par la réduction du temps de pêche à volume de capture équivalent, tout en renforçant la sécurité de l’équipage face aux risques de croches », explique Christophe Corbières, responsable commercial pêche.

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11 Ce projet a permis de déposer quatre brevets, de soutenir quatre thèses et de publier deux communications scientifiques internationales. La synergie entre intervenants académiques (ici l’ENSTA de Brest, Ifremer Brest, l’Institut Maritime de Prévention à Lorient, Télécom Bretagne, à Brest) et industriels (iXSea à Brest, iXTrawl à Pont-l'Abbé, Le Drezen au Guilvinec, Morgère à Saint-Malo) lui donne cohérence et crédibilité.

D’un budget total de 4 713 000 €, le financement a été assuré par plusieurs organismes contactés et rassemblés par le Pôle Mer : Feder 319, Oséo, le Conseil régional de Bretagne, les Conseils généraux du Finistère, du Morbihan et d'Ille-et-Vilaine

Les financeurs publics sont principalement l’État et ses agences spécialisées (Agence Nationale de la Recherche, Agence de la maîtrise de l’énergie et de l’environnement) auxquelles s’ajoutent systématiquement des co-financements des collectivités territoriales, en premier lieu desquelles les Régions. Le Pôle Mer cherche à diversifier les financements publics vers de nouvelles sources comme les Investissements d’avenir ou les Plans industriels, ainsi que vers l’Europe. Grâce à son Club Partenaires, de plus en plus de solutions privées s’intéressent au maritime, et la notoriété du Pôle joue à plein pour crédibiliser les projets et les entreprises qui les portent.

En dix ans, le Pôle a contribué à débloquer environ 210 millions d’euros d’aides publiques au profit des 226 projets labellisés. En moyenne, chaque projet permet de commercialiser 1 à 2 nouveaux produits.

Les réseaux de financement impliquent une vraie synergie entre les différents organismes du maritime et un lobbying constant auprès des instances européennes. Le PMBA a ainsi joué un rôle décisif dans la programmation de la politique maritime européenne. Citons par exemple son engagement dans le programme européen EMSAC pour le développement des marchés économiques liés aux activités maritimes en zone côtière.

Le Projet OPTNAV : Optimiser les performances hydrodynamiques des navires

Start-up issue de l’École Centrale de Nantes, la société HydrOcean réalise des études industrielles et de R & D en hydrodynamique à l’aide d’outils de simulation innovants pour l'industrie offshore, navale, nautique et les énergies marines.

Prise de conscience écologique, augmentation du prix des carburants fossiles : on veut désormais disposer de navires propres et performants. Architectes et chantiers doivent recourir à des outils de simulation numérique et à des méthodes d’optimisation automatiques des formes de carènes, en complément ou en remplacement d’essais en bassin longs et coûteux.

Les partenaires du projet OPTNAV (la société HydrOcean, porteuse du projet, le chantier de construction naval STX France, l’École Centrale de Nantes, le Bureau Veritas et la société

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12 Sirehna de Nantes) développent une chaîne d’optimisation incluant ces outils et utilisable sur n’importe quel type de navire sans limitation particulière.

Le projet OPTNAV, a été labellisé par le Pôle Mer Bretagne en 2009.

« Dès lors, les résultats obtenus ont dépassé les espérances des partenaires. HydrOcean est devenu un des leaders mondiaux dans le domaine de l’optimisation des performances hydrodynamiques. STX s’est aussi positionné comme un chantier particulièrement performant au niveau des performances hydrodynamiques de ses navires, avec à la clef, de nouvelles commandes de paquebots. Forts de ce succès, les partenaires vont poursuivre leur collaboration autour d’un nouveau projet de R&D incluant notamment l’optimisation des performances du navire en opération », conclut Erwan Jacquin, président d’HydrOcean.

Références

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