SOCIETE DES GRANULATS DE L ILE DE FRANCE
COMMUNES DE MOISSON (YVELINES)
DEMANDE D'EXTENSION DES SABLIERES DE LA SOCIETE DES GRANULATS DE L ILE DE FRANCE
IMPACT HYDROGEOLOGigUE HYDROLOGIQUE ET HYDROCHIMIQUE
par
G. BERGER
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45060Orléans Cedex - Tél.: (38)63.80.01
Service géologique régional ILE DE F R A N C E
65, rue du général-Leclerc - B.P. 3 4 , 77170 Brie-Comte-Robert Tél.: (6)405.27.07
RAPPORT DU B.R.G.M.
82SGN319IDF
Brie-Comte-Robert, avril 1982La dzÁCAlptlon gzotoglqaz dz¿ a¿¿l¿z¿ aílavlatzÁ zt cAayzubQ¿
dz tx Boaclz dz Mol¿¿on z¿t zxpo¿zz avzc dztall dan¿ l'ztudz d'.Impact AzalUzz poA la Soclztz dz¿ GAanatat¿ dz l'Ilz dz FAancz zn uae dz I' z.x- tzn¿lon dz¿ ¿abllzAz¿.
A la dzmandz dz czttz ¿oclztz, Iz BaAzaa dz RzchzAchzA Gzotoglqaz¿
zt MIyi1zaz¿ (B.R.G.M.), SzAvlcz gzotoglqaz Azglonat d'Ilz-dz-FAancz, a ztz
cliaAgz d' zxpllcltzA czAtaln paAagAaphz¿ conczAnant pla¿ poAtlcatizAmznt tz¿ pAobtzmz¿ d'hydAodynamlimz, d'hydAoiX}glz
zt
d'hydAochlmlz.I. - PIEZOMETRIE
1. 1 APERCy_GENERAL_DE_LA_PIEZOMETRIE_ACTUELLE
En raison du manque de points de mesure, le tracé des isopièzes
au droit de la Boucle de Moisson est illusoire. Il semble cependant que la surface de la nappe soit assez plate avec un gradient dirigé du Sud vers
le
Nord d'environl°/oo.
La dzÁCAlptlon gzotoglqaz dz¿ a¿¿l¿z¿ aílavlatzÁ zt cAayzubQ¿
dz tx Boaclz dz Mol¿¿on z¿t zxpo¿zz avzc dztall dan¿ l'ztudz d'.Impact AzalUzz poA la Soclztz dz¿ GAanatat¿ dz l'Ilz dz FAancz zn uae dz I' z.x- tzn¿lon dz¿ ¿abllzAz¿.
A la dzmandz dz czttz ¿oclztz, Iz BaAzaa dz RzchzAchzA Gzotoglqaz¿
zt MIyi1zaz¿ (B.R.G.M.), SzAvlcz gzotoglqaz Azglonat d'Ilz-dz-FAancz, a ztz
cliaAgz d' zxpllcltzA czAtaln paAagAaphz¿ conczAnant pla¿ poAtlcatizAmznt tz¿ pAobtzmz¿ d'hydAodynamlimz, d'hydAoiX}glz
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d'hydAochlmlz.I. - PIEZOMETRIE
1. 1 APERCy_GENERAL_DE_LA_PIEZOMETRIE_ACTUELLE
En raison du manque de points de mesure, le tracé des isopièzes
au droit de la Boucle de Moisson est illusoire. Il semble cependant que la surface de la nappe soit assez plate avec un gradient dirigé du Sud vers
le
Nord d'environl°/oo.
- 2
De Méricourt aux carrières de Freneuse, les niveaux piézométriques s'établissent de la cote 16 (influence de la retenue amont du barrage :
+ 17,13 NGF) à la cote + 12,0, en équilibre avec le niveau de la Seine.
Du fait de l'élévation rapide du toit de la craie, l'extension
des alluvions mouillées se limite à une bande étroite en bordure du fleuve dont la largeur varie entre 200 et 800 m. Au centre de la boucle, le niveau piézométrique de la nappe se situe entre 15 et 30 m de profondeur, soit
10 à 25 m environ sous le toit de la craie.
1 2 Lè_EÎEZgtffiTRIE_ET_L_;_EXTENSION_PREVyE_DE_lA_SABLIERE
Les carrières situées au SE immédiat de Moisson sont en eau ;
par analogie, il est vraisemblable qu'une partie du gisement alluvionnaire qui jouxte le CD 114 soit baignée par la nappe.
La demande déposée par la Société des Granulats de l'Ile-de- France spécifie que l'exploitation sera conduite hors d'eau. Il est
donc nécessaire de se fixer une cote plancher afin que la nappe ne soit
pas atteinte.
En fonction d'un léger gradient de la nappe de direction SE-NW,
et d'une cote nominale de la Seine de + 12 NGF, la cote plancher de 1 'exploi tation peut être fixée à + 12,50 NGF.
- 2
De Méricourt aux carrières de Freneuse, les niveaux piézométriques s'établissent de la cote 16 (influence de la retenue amont du barrage :
+ 17,13 NGF) à la cote + 12,0, en équilibre avec le niveau de la Seine.
Du fait de l'élévation rapide du toit de la craie, l'extension
des alluvions mouillées se limite à une bande étroite en bordure du fleuve dont la largeur varie entre 200 et 800 m. Au centre de la boucle, le niveau piézométrique de la nappe se situe entre 15 et 30 m de profondeur, soit
10 à 25 m environ sous le toit de la craie.
1 2 Lè_EÎEZgtffiTRIE_ET_L_;_EXTENSION_PREVyE_DE_lA_SABLIERE
Les carrières situées au SE immédiat de Moisson sont en eau ;
par analogie, il est vraisemblable qu'une partie du gisement alluvionnaire qui jouxte le CD 114 soit baignée par la nappe.
La demande déposée par la Société des Granulats de l'Ile-de- France spécifie que l'exploitation sera conduite hors d'eau. Il est
donc nécessaire de se fixer une cote plancher afin que la nappe ne soit
pas atteinte.
En fonction d'un léger gradient de la nappe de direction SE-NW,
et d'une cote nominale de la Seine de + 12 NGF, la cote plancher de 1 'exploi tation peut être fixée à + 12,50 NGF.
C o m m u n e de Moisson »Extension de carrière envisagée par les GranuLats de L'Ile de France
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Piézomètre éventuel
Dans la zone sud de l'exploitation' et en particulier au Sud du
chemin des Brûlins, la nappe doit se situer à plus de 6 m en-deçà du toit de
la craie, soit à plus de 10 m de profondeur par rapport au terrain naturel actuel. On peut donc considérer que l'exploitation envisagée n'aura aucune
incidence sur le niveau même de la nappe. De plus, en ce secteur, une zone
forestière sera laissée en état et le réaménagement prévu par l'exploitant est
un réaménagement en boisement et parcours forestiers.
II. - L£S CRUES ET LE REAMENAGEMENT
Depuis 1970, date de la dernière grande crue de la Seine, on s'était habitué à dire que le fleuve était régularisé, qu'une inondation du type 1910
était exclue et que l'inondation de référence devait être celle de 1955. Ces
réflexions durèrent jusqu'en 1978.
On avait oublié que le régime hydraulique du bassin Seine-amont avait quelque peu changé. De fait, les barrages réservoirs pouvaient écrêter les crues, mais de grandes surfaces avaient été déboisées pour faire place '
à la culture et des milliers d'hectares avaient été drainés. De plus, l'imper¬
méabilisation des grands secteurs urbanisés accentuaient le ruissellement.
Les crues du fleuve devenaient soudaines, répétitives, mais de
faible
durée. Cefurent
les crues de : Mars 1978 Mars 1979Février 1980
Janvier 1981 Octobre 1981
Dans la zone sud de l'exploitation' et en particulier au Sud du
chemin des Brûlins, la nappe doit se situer à plus de 6 m en-deçà du toit de
la craie, soit à plus de 10 m de profondeur par rapport au terrain naturel actuel. On peut donc considérer que l'exploitation envisagée n'aura aucune
incidence sur le niveau même de la nappe. De plus, en ce secteur, une zone
forestière sera laissée en état et le réaménagement prévu par l'exploitant est
un réaménagement en boisement et parcours forestiers.
II. - L£S CRUES ET LE REAMENAGEMENT
Depuis 1970, date de la dernière grande crue de la Seine, on s'était habitué à dire que le fleuve était régularisé, qu'une inondation du type 1910
était exclue et que l'inondation de référence devait être celle de 1955. Ces
réflexions durèrent jusqu'en 1978.
On avait oublié que le régime hydraulique du bassin Seine-amont avait quelque peu changé. De fait, les barrages réservoirs pouvaient écrêter les crues, mais de grandes surfaces avaient été déboisées pour faire place '
à la culture et des milliers d'hectares avaient été drainés. De plus, l'imper¬
méabilisation des grands secteurs urbanisés accentuaient le ruissellement.
Les crues du fleuve devenaient soudaines, répétitives, mais de
faible
durée. Cefurent
les crues de : Mars 1978 Mars 1979Février 1980
Janvier 1981 Octobre 1981
La dernière crue, celle de janvier 1982, atteignit et dépassa même
sur certains biefs les cotes de 1955 ; elle dura plus de 8 jours et ses ré¬
percussions étaient encore sensibles au début de mars 1982.
N'oublions pas de plus qu'en ce qui concerne la Boucle de Moisson, la nappe étant réalimentée par le fleuve, il se crée pour chaque crue de
Seine une crue de nappe qui ne se résorbera complètement qu'après l'abais¬
sement complet du bief aval à la cote 12 NGF.
Il sera donc nécessaire de considérer la crue 1955 comme une crue de retour 20 ans, voire dorénavant 10 ans, et de fixer la cote plancher de réaménagement en fonction des cotes de 1955 qui étaient les suivantes :
- La Roche Guyon 17,50
- Freneuse ; 16,98
- Bonnières 16,74
La cote plancher du réaménagement doit donc être fixée à + 17,50 NGF.
S'il s'avérait
qu'une remontée exceptionnelle des eaux de la nappe ennoie la partie basse du réaménagement en bordure du CD 114, les aménagementset en particulier le tapis drainant mis en place par l'exploitant facilite¬
ront l'évacuation
rapide des eaux versle fleuve.
La dernière crue, celle de janvier 1982, atteignit et dépassa même
sur certains biefs les cotes de 1955 ; elle dura plus de 8 jours et ses ré¬
percussions étaient encore sensibles au début de mars 1982.
N'oublions pas de plus qu'en ce qui concerne la Boucle de Moisson, la nappe étant réalimentée par le fleuve, il se crée pour chaque crue de
Seine une crue de nappe qui ne se résorbera complètement qu'après l'abais¬
sement complet du bief aval à la cote 12 NGF.
Il sera donc nécessaire de considérer la crue 1955 comme une crue de retour 20 ans, voire dorénavant 10 ans, et de fixer la cote plancher de réaménagement en fonction des cotes de 1955 qui étaient les suivantes :
- La Roche Guyon 17,50
- Freneuse ; 16,98
- Bonnières 16,74
La cote plancher du réaménagement doit donc être fixée à + 17,50 NGF.
S'il s'avérait
qu'une remontée exceptionnelle des eaux de la nappe ennoie la partie basse du réaménagement en bordure du CD 114, les aménagementset en particulier le tapis drainant mis en place par l'exploitant facilite¬
ront l'évacuation
rapide des eaux versle fleuve.
III. - HYDROCHIMIE
Au plan hydrochimique, le seul point de référence existant est le captage qui alimente Moisson en eau potable. Les eaux d'exhaure sont bicar¬
bonatées calciques légèrement sulfatées.-
Une analyse,de septembre 1980, donne les résultats suivants :
- pH
- TH
- Cl
- SO4
-
NOo7,5 25°3 30,5 mg/l 63,7 mg/l
0 mg/l
-NO3 -NH4 - Fe
- Mn
=
=
=
=
14,70 mg/l 0,01 mg/l 0,03 mg/l 0,01 mg/l
Après et lors de l'exploitation, il peut y avoir un risque de pollution des eaux de l'aquifère crayeux soit par accidents, déversements d'hydrocarbures par exemple, soit après réaménagements par épandages de
produits nécessaires à l'agriculture du type engrais ou pesticides.
Dans le premier cas, il importe que l'exploitant soit très vigi¬
lant tant sur l'état des véhicules que sur celui des points d'entretien et de maintenance du matériel.
Dans
le
deuxième cas,il
est à noter que les réaménagements sont uniquement des espacesverts et
des parcoursforestiers,
ce qui amoindrira les quantités d'engrais épandus, d'où lespollutions.
III. - HYDROCHIMIE
Au plan hydrochimique, le seul point de référence existant est le captage qui alimente Moisson en eau potable. Les eaux d'exhaure sont bicar¬
bonatées calciques légèrement sulfatées.-
Une analyse,de septembre 1980, donne les résultats suivants :
- pH
- TH
- Cl
- SO4
-
NOo7,5 25°3 30,5 mg/l 63,7 mg/l
0 mg/l
-NO3 -NH4 - Fe
- Mn
=
=
=
=
14,70 mg/l 0,01 mg/l 0,03 mg/l 0,01 mg/l
Après et lors de l'exploitation, il peut y avoir un risque de pollution des eaux de l'aquifère crayeux soit par accidents, déversements d'hydrocarbures par exemple, soit après réaménagements par épandages de
produits nécessaires à l'agriculture du type engrais ou pesticides.
Dans le premier cas, il importe que l'exploitant soit très vigi¬
lant tant sur l'état des véhicules que sur celui des points d'entretien et de maintenance du matériel.
Dans
le
deuxième cas,il
est à noter que les réaménagements sont uniquement des espacesverts et
des parcoursforestiers,
ce qui amoindrira les quantités d'engrais épandus, d'où lespollutions.
- 7
VI. - L EXPLOITATION ET LES CAPTAGES POTENTIELS
D'après la carte de synthèse relative à l'étude géophysique par prospection électrique réalisée par la C.G.G. pour le compte de la Direc¬
tion départementale de l'Agriculture des Yvelines, en vue de recherches de sites de captages dans la Boucle de.Moisson, il apparaît qu'aucun point ne
figure au droit de l'extension de l'exploitation sur le territoire de la '
commune de Moisson.
Néanmoins, s'il s'avérait nécessaire de créer des ouvrages de captage dans ce secteur, le fait d'avoir exploité les sables et graviers susjacents à la craie n'est pas une gêne. On peut très bien envisager des captages en bordure de la forêt à l'aplomb des sites réaménagés.
V. - CONCLUSIONS
L'exploitation des sables et graviers, au droit de la commune de Moisson devant se faire hors d'eau, ne peut apporter de ce fait aucune per¬
turbation au plan hydrogéologique.
Cependant, certaines précautions devront être prises comme celles
de maintenir le plancher bas de l'exploitation à la cote 12,50 NGF et celui
du réaménagement à la cote 17,50 NGF.
- 7
VI. - L EXPLOITATION ET LES CAPTAGES POTENTIELS
D'après la carte de synthèse relative à l'étude géophysique par prospection électrique réalisée par la C.G.G. pour le compte de la Direc¬
tion départementale de l'Agriculture des Yvelines, en vue de recherches de sites de captages dans la Boucle de.Moisson, il apparaît qu'aucun point ne
figure au droit de l'extension de l'exploitation sur le territoire de la '
commune de Moisson.
Néanmoins, s'il s'avérait nécessaire de créer des ouvrages de captage dans ce secteur, le fait d'avoir exploité les sables et graviers susjacents à la craie n'est pas une gêne. On peut très bien envisager des captages en bordure de la forêt à l'aplomb des sites réaménagés.
V. - CONCLUSIONS
L'exploitation des sables et graviers, au droit de la commune de Moisson devant se faire hors d'eau, ne peut apporter de ce fait aucune per¬
turbation au plan hydrogéologique.
Cependant, certaines précautions devront être prises comme celles
de maintenir le plancher bas de l'exploitation à la cote 12,50 NGF et celui
du réaménagement à la cote 17,50 NGF.
De plus, si l'on désire avoir des données précises sur le site,
données piézométriques et hydrochimiques, en particulier, il est nécessaire
de foncer quatre piézomètres aux endroits suivants ;
1 - point côté 29 route du Grand Veneur,
o _ Il " "^7 " " "
3 - à mi-chemin, entre les points côtés 19 et 21 du CD 114 4 - carrefour à l'amont du château du Chalet.
Ces ouvrages auraient plusieurs buts ; ils permettraient :
- d'effectuer, avant exploitation, le point zéro piézométrique et hydro¬
chimique ;
- de suivre, durant l'exploitation, l'évolution de la piézométrie et du chimisme des eaux de la nappe ;
- d'établir un constat après réaménagement.
Si, dans l'avenir, il s'avère nécessaire d'implanter de nouveaux captages destinés à l'alimentation en eau potable des collectivités, les mesures effectuées sur ces piézomètres seront d'une grande utilité.
De plus, si l'on désire avoir des données précises sur le site,
données piézométriques et hydrochimiques, en particulier, il est nécessaire
de foncer quatre piézomètres aux endroits suivants ;
1 - point côté 29 route du Grand Veneur,
o _ Il " "^7 " " "
3 - à mi-chemin, entre les points côtés 19 et 21 du CD 114 4 - carrefour à l'amont du château du Chalet.
Ces ouvrages auraient plusieurs buts ; ils permettraient :
- d'effectuer, avant exploitation, le point zéro piézométrique et hydro¬
chimique ;
- de suivre, durant l'exploitation, l'évolution de la piézométrie et du chimisme des eaux de la nappe ;
- d'établir un constat après réaménagement.
Si, dans l'avenir, il s'avère nécessaire d'implanter de nouveaux captages destinés à l'alimentation en eau potable des collectivités, les mesures effectuées sur ces piézomètres seront d'une grande utilité.
BIBLIOGRAPHIE
DSGR 66 A 65 Etude hydrogéologique de la région de Moisson et comparaison avec les captages d'Aubergenville m. ALLARD, BERTON, DUBUS et MEGNIEN
71 SGN 234 BDP Etudes préliminaires des gisements de sables et graviers dans les Boucles de Moisson et de Guernes en vue de l'aménagement d'une base de plein air et de loisirs - Aspects hydrogéologiques
G. RAMPON
Décembre 1971 Etude préliminaire des gisements de sables et graviers
SOFRECAREX
Décembre 1971 Etude hydrogéologique de la Boucle de Guernes CaiPAGNIE GENERALE DES EAUX
73 SGN 187 BDP Reconnaissances hydrogéologiques à la craie sur le territoire de la commune de Freneuse
Ph. DIFFRE et P. PILET
80 SGN 030 IDF Etude hydrogéologique des Boucles de Moisson et de Guernes
M. GAGEONNET
1981 DDA YVELINES "Prospection
électrique
dans les régionsde Moisson et Guernes
COMPAGNIE GENERALE DE GEOPHYSIQUE
BIBLIOGRAPHIE
DSGR 66 A 65 Etude hydrogéologique de la région de Moisson et comparaison avec les captages d'Aubergenville m. ALLARD, BERTON, DUBUS et MEGNIEN
71 SGN 234 BDP Etudes préliminaires des gisements de sables et graviers dans les Boucles de Moisson et de Guernes en vue de l'aménagement d'une base de plein air et de loisirs - Aspects hydrogéologiques
G. RAMPON
Décembre 1971 Etude préliminaire des gisements de sables et graviers
SOFRECAREX
Décembre 1971 Etude hydrogéologique de la Boucle de Guernes CaiPAGNIE GENERALE DES EAUX
73 SGN 187 BDP Reconnaissances hydrogéologiques à la craie sur le territoire de la commune de Freneuse
Ph. DIFFRE et P. PILET
80 SGN 030 IDF Etude hydrogéologique des Boucles de Moisson et de Guernes
M. GAGEONNET
1981 DDA YVELINES "Prospection
électrique
dans les régionsde Moisson et Guernes
COMPAGNIE GENERALE DE GEOPHYSIQUE