Tisserand J.-L. (ed.).
Le lait dans la région méditerranéenne Paris : CIHEAM
Options Méditerranéennes : Série A. Séminaires Méditerranéens; n. 6 1989
pages 17-21
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--- Papaioannou A. La politiqu e laitière de la Commu n au té Econ omiqu e Eu ropéen n e. In : Tisserand J.-L. (ed.). Le lait dans la région méditerranéenne. Paris : CIHEAM, 1989. p. 17-21 (Options Méditerranéennes : Série A. Séminaires Méditerranéens; n. 6)
---
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http://om.ciheam.org/
i
A. PAPAIOANNOU
COMMISSION DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (DG VI) BRUXELLES (BELGIQUE)
-
Le constitue avec 20 % le poste de la de la C. E. E. est dede la Communauté à l'exception des pays de la depuis les années 1970
a imposé de quotas à de la campagne 1984/1985, venant à une politique à
les stocks sans le mondial. Cette politique a abouti à la de 5 millions de (20 % du cheptel) et à une baisse de 12 % de la avec 92 millions de tonnes. s'ensuit la quasi totale des stocks de
la C. E. E. Toutefois, la Communauté le plus de du avec 75.000 tonnes de de la
Nouvelle-Zélande et 100.000 tonnes de en C. E. E., quota
-
is in the first rank C. agriculturalproduction with a 20 Ss,being a characteristic production
increase in production since the 70's brought about the introduction a milk quota in the season 1984/1985, that added to the intervention policy in view decreasing stocks without disturbing world market. This policy has lead to the disparition 5 rnillion milk cows (20 %
the total) and a decrease od 12 Sb milk production, with 92 million tons. The disparition the almost total stocks has followed.
And nevertheless, the Community the most important importing country the world market, with 75,000 tons butter from and tons cheeses from third countries.
words: the C. C., milk quota, intervention, market.
Tant son ensemble que
-ces des aliments de base la consommation humaine- sont dans la vie économique et sociale et conséquent dans la vie
politique de la quand on
de non-
on pense à la à la
n'y a pas lieu de
mécanismes qui des
de est
à l'annexe nous
quelques données de le
la Communauté. On tout de suite dans la
d'un
il y ou ans.
Evolution de la production du secteur laitier
Une façon de est
la place occupée
aux la de la
au 20%,
ils au niveau Etats
la situation est la-même ou la annexe
Une façon de du est de
25 % du total
dépenses de tous les du
de d'un
L'augmentation de la production
au début des années 1970, le des
demande -en une stagnation démo-
et diététique- est en de vitesse
à qui
d'un sans
à tous niveaux- se développe. On assiste à une augmentation annuelle de la de 1,5 %. La
1970, on
augmentation annuelle de la plus élevée:
2,5 %. On
la les
-
-
n . O 6-
1989: 17-22de aux
occasionnés de
que de
En 1982, le niveau d'augmentation annuelle de la 3,5 % et en 1983, avant
système de quotas, il est même de 4 %! annexe
Les quotas laitiers
de
est devenue inévitable. ont à de la
campagne 198411985 Cette de
finalement la à
date la Communauté (Commission, Conseil)
C'était des
elle était au niveau politique comme la solution la
plus acceptable à d'une baisse de
(et
Le mécanisme actuel de
l'établissement d'une quantité de exploitant ou annexe En cas de dépassement des quantités de qui lui sont allouées, l'exploitant ou la
est obligé de un s'élevant à 100 du du de base).
de la
campagne 1984185 mais pendant la campagne
1987188, un de l'évolution de la
décisions a suivi fin 1986: nouvelles le de quotas, notamment des
d'application jusqu'au 31 1992) et une de la possibilité de
achats de et de lait en à
publique.
Les mesures d'intervention
dès dedu soutien du
un la
avec la volont6
de ne le mondial avec des
excessives, 1986,
les stocks publics de ont atteint 1.300.000 de tonnes
et ceux de 800.000 tonnes
En même temps et vu
le de la Communauté a décidé la mise en
le financement d'un de
1987 et 1988
-
1.000.000 de tonnes de Le actions distinctes:
-
mondial du dégagement de de vieux
-
Utilisation du vieuxd'aliments le bétail, une action qui
non d'une
à (!).
- Utilisation du vieux à (sans succès), et finalement.
ou
- des con-
Consequences
- 1984 et 1989, le de la C. E. E.
de de 20 cent, soit de de 5 de
de la moitié du des USA.
-
La collecte de lait de 103,7 en 1983 à 92 en 1989, soit une baisse de11,3 la
dans le passé, si la Communauté n'avait pas mis en place les quotas, la collecte de lait atteint 121
en 1989.
-
de 1989 de600.000 tonnes à celles de 1983 (à
que le mondial du est
de 1
En plus, fin 1988, on se dans une situation où les stocks publics de atteignent seulement 100 à 150.000 tonnes et les stocks publics de en sont
à mais aussi le
mondial des une bonne
à
Les mondiaux des sont depuis un
an en augmentation constante, le du
en La Communauté les systèmes de quota et le
destokage a sans doute à
de la situation du
de on
que le fait qu'à peine 10 à 15
% de la totale de la Communauté
son le la Communauté a été
et est de de le plus
dans le monde V).
On ne non plus que la Communauté
était et le du monde en ce qui
an quelque
100.000 tonnes de d'un
de de 75.000
tonnes de de la Nouvelle Zélande. Cette 18
-
1 soumis à commune des marchés Seigle
Avoine
Tabac d'olive
Légumes
et légumes' Vin et moûts Vin de qualité Semences Lait Viande bovine
Viandes ovine ettapine
Oeufs Volaille
soie
Sous total sans organisation com- rnrrse de marché
de
sous total Total
-
12 anemark Allemagnl
4 5
3,5 5,O
1,2 0,9
0,3 6,7 2,9
0,O 0,6 0,o 0,o
2,O 3,8
0,o 0,l
-
4,4 1,5
0,5 4,5
1,6 1,9
2,l 0,o
7,2 6,2
-
- - - -
4 0
0,O 0,4
24,l 27,l 9,2 16,6
28,O 17,4
.O,O 0,3
1,0 3,l
1,7 1,9
0,o 0,o 93,5 94,3
1,l 1,5
5,4 4,2
6,5 5,7
Y
6.545,O 27.581,C
-
C o m p t e s et Commisions des C.E.(1) s'agit de de l'ánnexe du (CEE) n? 72
(2) Légumes secs
- tuxem-
11
1040 172,O
:
I
94,2que la Communauté de cet assainissement sont
a assumé un de la
au sein du GATT, ses instances politiques, cela un
but de la succès de la politique
de
de de tous
les
On peut donc en soulignant
que de la de Annexe
le
le plus difficile à 1.
toutes les hésitations politiques et les échecs initiaux, il a pu du lait et des le (C.
- 19-
E. E.) n.O 804/68. En vue un de le en
à la un de seuil.
il existe un
-
à de la Commyauté
, 3. application d'un
non à
à
nant les échages au sein du GATT o 2.
-
Fixation institutionnelleAnexe BASE
&exploit. laitières Cheptel de vaches laitières (mio têtes)
(kg/an)
Collecte de lait de vache (mio de t) de beurre (mio de t)
(mio de t) de fromages (mio de t)
-
(1.000 t)-
(1.000 t)1973
2.432,O 25,7 3.600,O 80,4 197 128 298
-
(1 .O00 t) dont- en (1.000 t)
dont
A (Dkponibles)
-
(1 .O00 t)160,O
-
(1.000 t)120.0
1983
1.621,O 25,9 4.400,O 109,2
293 295 492
105,O 1 O0
355,O 334,O 192,O 119,O
1984
25,O 4.200,O 107,7
2,1 2,1 494
90,O 104
379,O 235,O 312,O 145,O
1985
1.379 24,3 4.300,O 105,s
221 199 435 80,8 112
387,O 173,O 307,O 183,O
1986
23,9 4.500,O 107,O
2 2 2 2 425 85,O 98
331,O 191,O 267,O 169,O
850,O
1
770,OI
520,O620,O
1.300,O 1.000,O
1987
79,O 100
I
622,O 280,O 390,O 280,O
1988
*
98,s*
1,7*
1,4*
4,7*
110,o---t--
470,O
*
Estimation-
20-
Annexe
(1) (Fixée pour la période du 1.e' avril 1988 au 31 mars
1992) (en 1.000 t)
Allemagne Espagne
3.121.861 4.735.540 22.753.310 520.890 4.560.500 24.964.980 5.121.600 8.534.060 257.050 11.619.630 14.869.687
VENTES
380.809 970 93.100
. 44.620 677.500 747.780 15.520 1.082.520 970 92.150 383.563 3.519.502
3.502.670 4.736.510 .22.846.410 565.510 5.238.000 25.712.760 5.137.120 9.616.580 258.020 11.711.780 15.253.250
(1) Ces ne tiennent pas compte de la suspension des quantités de de 5,5%, à de la campagne 1988/1989.
Annexe .V
(1)
CEE Suisse
(1) de l'Est USA Canada Nouvelle Zélande
TOTAL
Beurre et
Lait écrérne Année 1985 Butteroil
en poudre
% ' . %
45
-
29- - -
-- 5 28 '5
3 ..
5 . -
- 7 6 .
7 8
30 16
3 3
100 100 (1) A l'exception du
Lait en poudre
% %
64 48
8 2
. 6
-
4 75
6 2
2 1
4 9
18 10 4 100 100
-
-
Lait condensé
%
68 3 4 .l 18 1 5 100
- -
-
