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LA SYMBOLISME EN PSAUMES

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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LA SYMBOLISME EN PSAUMES

Avant tout, les Psaumes relèvent de la poésie. Ils sont des chants lyriques et musicaux. Ces lyriques sont racinés dans la profondeur de l’humanité avec des structures symboliques, imaginaires, et poétiques. Nous ne pouvons pas ignorer da force de provocation de cette grande symbolisme. Pour les bien comprendre, il faut structurer et classifier ces images denses et abondantes.

Louis Monloubou dans son livre « L’imaginaire des Psalmistes, Psaumes et symboles » classifie tous les symboles à partir de différent postures de l’Homme. Il les classifie sous 3 positions de l’homme dans des psaumes : 1. L’Homme au debout ; 2. L’Homme Assis ; et 3. L’Homme en marche. Parfois, nous trouvons tous les trois attitudes de l’homme dans le même psaume, par exemple, le premier Psaume : Nous trouvons dans un seul verset, tous les trois actions : aller ְ֮ ך ַל ָה (halak), se tenir debout ד ָ֑ ָמ ָע (amad) , s’asseoir ׃ב ָָֽׁשָי (yashab) V.1 , et puis se lever

וּמ ֻ֣ קָי (qum) V.5.

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Les memes verbes nous trouvons dans le Ps 26 : aller (V.1,11), se

tenir debout (v.12), s’asseoir (v.4), et dans le Ps. 122 : aller (v.1), se tenir debout (v.2),s’asseoir (v.5). Dans le Ps 139, des synonymes sont utilisés ; se lever (qum)V.2, faire route (‘arakh) V.3, s’asseoir (yashab) et se coucher (raba’)v.3. Et en Ps 101 : aller (halak) v.6, s’asseoir (yashab) V.6,7, se tenir femement (kun) V.7

)

Donc l’auteur Louis Monloubou regroupe et organise tous les symboles et l’imaginaire des psalmistes autour de ces trois thèmes fondamentaux. Ces thèmes pourraient bien être la clé des jeux subtils que mènent entre eux, les rapprochements ou les oppositions des images psalmiques.

10.08.2020 Méditation-3

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L’HOMME DEBOUT

L’expérience primordiale de la station debout impose à l’homme une représentation des choses et organise en lui l’imaginaire. Parce qu’il se perçoit vertical, l’homme repart sur son chemin avec cette image verticale, l’homme debout. Cette position debout est significative presque dans tous les domaines, soit politique que religieux. Etre debout est un véritable symbole de la vitalité. Celui qui ne peut pas se lever est proche de la mort. En même temps, la station debout a une signification polémique, On se lève pour s’opposer, rebeller et accuser, et pour Juger. 1. L’homme debout est établi à un univers qui l’agresse, qui terrorise et qui cherche à le dévorer et l’homme fait face à cette réalité. 2. L’Homme debout comme la montagne, il illumine, 3. L’Homme debout avec une séparation des autres, il s’oriente vers la transcendance.

1. L’Homme debout face à ceux qui lui dévorent : La Bestiaire :

Qui dévore l’homme ? Les psautiers montrent principalement la Bestiaire qui cherche à dévorer l’homme. Ils utilisent une variété des images des animaux et oiseaux pour raconter le monde qui terrorise l’Homme de Dieu. La Bestiaire du Psautier est richement pourvu. Animaux, poissons et oiseaux : L’aigle, la cigogne, le passereau, le corbeau, la hulotte, l’hirondelle, le pélican, les cailles ; le bétail domestique : Taureaux et bœufs, chèvres et brebis, boucs et béliers, chevaux et mulets, chiens ; Bêtes sauvages : Lion, lionceaux, biche, chamois, onagre, chacal, gerboise ; reptiles ; le ver, la vipère, le serpent et la limace, l’aspic, le crocodile ; En fin animaux fantastique : dragon et kérubim.

Tout d’abord, animal est celui qui est animé, en mouvement. Si un animal est immobile, ça va ! Si un animal se bouge, ça va encore, car c’est la nature de la vie.

Mais si un animal a un mouvement désordonné, l’homme debout se prépare pour se défendre et se protéger.

Le Cheval : L’un des animaux qui revient souvent dans des psaumes, c’est le cheval.

Cet animal est doté d’une symbolique négative. Son bruit et sa rapidité provoquent l’effroi. Sa course et son véhicule violent dépassent la possibilité humaine. Souvent il est lié avec des tonnerres pour sa rapidité d’éclair. Symbole de rapidité, de changement, cet animal devient ensuite le symbole de la cruauté, de l’agressivité.

Le cheval est aussi symbole de la perplexité. Les psuamistes sont bien convaincus que Dieu qui ‘dsipense au bétail sapature et se plait à nourrir les petits du corbeau qui crient’, n’ aime pas le cheval à cause de sa force sans une orientation.

-L’autre animal qui apparait comme cheval, c’est le bovin. L’image de ces deux animaux est liée à une certaine angoisse, une angoisse qui est lié à la vie et profession de ces animaux, la guerre, la mort et l’inondation. Les chiens et les lions entrent dans le même rang. La difficulté de rattraper ces animaux renvoient à

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l’aspect de la fugace et la négativité instable et la mort. Plusieurs animaux du psautier sont marqués par ce symbolisme : taureaux nombreux, chiens, jeune fauve, lionceaux etc.

-Le mulet n’est pas mieux que le cheval. Mulet comme le cheval sont connus pour leur esprit intempestif, parfois dépourvu/manque de sens/orientation sans la bride et le mors (32,9). Ils sont alors, l’image du Pécheur qui ne se laisse as instruire par Dieu et comprend difficilement l’appel de Dieu et se bouche l’oreille comme le serpent sourd 58,5.

2. L’Homme debout terrorisé :

La nuit : L’obscurité est l’origine de toutes les frayeurs. Bien sûr, le noir est bien pour dormir une nuit. Si on est fatigué le même noir est un plaisir pour continuer notre sommeil. Mais la nuit prolongée, les ténèbres sont sans doute nous bousculent. On n’est plus sur de ce qui existe, de ce qui nous arrive. Dans le folklore, la nuit laisse de nombreuses traces terrifiantes : C’est l’heure où les animaux maléfique et les monstres infernaux s’empare/possède violemment de nos corps et de nos âmes. La tombée de la nuit donne à toutes les bêtes de la foret le signal de l’agitation et les lionceaux commencent de rugir après leur proie. Ps 104,20.

L’Eau : A ce phénomène de la nuit et obscurité, se joint souvent l’Eau. Les Ténèbres rapprochées de l’eau, est une image terrifiante. Oui, c’est vrai que pendant l’été, le tourisme se tourne autour des plages, on cherche des fontaines, de l’eau fraiche etc.

L’eau est jolie mais elle a un autre visage, elle est dense, elle est noir. L’eau est l’image de celui qui coule, celui qui s’enfuit. Il y a un dicton, «Jamais deux fois, on ne se baigne dans les mêmes eaux du fleuve. » Elle est l’élément minéral qui se mélange à tout avec plus facilité. Notre âme, parfois prend cette dimension de la fuite, du mélange avec tout jusqu’au point de nous perdre, car, de l’eau est la maison de la bête et du dragon.

Le psautier chante de l’eau qui coule des yeux et qui arrosent le lit. Quelle est la source de cette Eau qui coule des yeux. Ce n’est ni la terre ni le ciel. La source de cette eau c’est notre âme. L’âme appartient à Dieu, c’est la demeure de Dieu. Si cette demeure produit l’eau qui arrose notre nuit, si cette eau ne nous permet pas de dormir, et si cette eau des yeux rend la lumière du matin, noir, là c’est les ténèbres qui règnent le cœur. Cela ne signifie pas que notre âme est devenue une bête. Non ! Cela signifie que notre âme est entourée par des bêtes, par des mensonges, par des gossips, par des désespoirs. L’eau de nos yeux sont très cher au Seigneur.

-L’eau dans le psautier a une autre signification du temps insaisissable. Nous ne pouvons pas le garder pour nous dans notre poche.

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La Fosse :

L’Homme debout est terrorisé par la Fosse. La Fosse pour le psalmiste, c’est l’Eloignement de Dieu, perdre l’amitié avec Dieu, l’hostilité, la demeure des impies, la descente aux enfers, c’est la mort.

2. L’HOMME DEBOUT, C’EST LE PRESTIGE DE LA HAUTEUR.

LE sommet du corps humain, c’est la tête (ro’sh). Quand quelqu’un se met debout, on aperçoit tout d’abord sa tête.

Le psalmiste utilise ce sommet, la tête, dans différents psaumes. Il l’utilise dans différent concepts abstraits : « les cheveux de ma tête » 40,13 ; « Ephraïm, l’armure de ma tête » 60,9 ; 108,9 ; Il utilise les sommets cosmiques « la tête des montagnes » 72,16 ; ainsi que le point le plus élevé et le plus important « la tête de l’angle » 118,22, les sommets politiques, « tu me mets à la tête des nations » 18,44, ou l’intensité maximum des sentiments « le sommet de ma joie » 137,6.

- La tête dévoile des sentiments cachés (hocher la tête 109,25 ; élever la tête 27,6 ; redresser la tête 3,4, enfoncer la tête 68,22). La tête ne révèle pas seulement ses moments et expression mais elle révèle également des attitudes psychologiques.

- La tête est aussi le symbole de la dignité : sur sa tête, couronne d’or fin21, 4.

Le Psalmiste utilise différents symboles pour la Hauteur :

Montagne : La montagne attire l’attention à cause de sa hauteur. La hauteur donne une impression de grandeur et d’immensité. Elle suggère la stabilité et l’immutabilité. Montagne très élevé, est un lieu pour se cacher et pour retirer, est un lieu retiré et séparé des autres. Dieu se localise et il habite sur la montagne. Il faut noter tout de suite de ne pas associer immédiatement l’image que toutes les montagnes et toutes les hauteurs sont divines. Dieu en choisit un. Parfois, notre une hauteur n’est pas la sainteté mais l’orgueil.

L’Oiseau : Même si ce sont des oiseaux qui mangent des cadavres, le thème de l’oiseau est habituellement lié à la montagne. La montagne étant un lieu retiré et éloigné de toutes bassesses et infériorités, est réservé à tout ce qui est « au- dessus » des réalités mauvaises. Comme l’oiseau peut atteindre ces lieux inaccessibles, devient le symbole du refus de ce qui est mauvais, inférieur et bas.

L’oiseau est lié à son aile. « Yahvé s’élance sur les ailes du vent » PS 18,11. Donc, l’oiseau devient une image de la fuite. Les croyants se libèrent de l’oppression de leurs adversaires. Souvent le psalmiste voudrait voler plus loin. L’aile de l’oiseau est symbolique de purification, écrit G. Durand. L’aile est synonyme d’angélisme. La pureté céleste est le caractère de l’envol est symbolisé dans les ailes. Elle symbolise aussi la vertu morale et une élévation spirituelle. Ainsi l’oiseau devient le symbole de la liberté et de la pureté. Si nous constatons bien l’oiseau, ses ailes se renouvellent, ainsi, ils sont symbole de la jeunesse.

La Lumière : Entre les thèmes de la hauteur, la lumière a sa place dans les psaumes.

Lumière vient d’en haut et elle descend vers l’homme, afin de le faire monter et le conduire sur la montagne où il rencontrera Dieu. La lumière est souvent invoquée

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en opposition à la ténèbres. La lumière ne se limite pas à celle qui vient d’en haut mais celle qui vient de l’intérieur de chaque personne. La lumière est le métaphore de la Vie. La lumière est source de tranquillité et paix. La lumière est également source de la sécurité et de la joie. Enfin, le salut et la force du Seigneur sont comme la lumière. Chaque fois que la lumière est employée dans des psaumes, c’est pour nous rappeler combien nous sommes dépendants de Dieu.

Le Soleil : L’autre symbole associé étroitement à la hauteur, c’est le soleil. La vie biologique est réglée entre le mouvement du soleil et la lune. Le soleil occupe la place divine parmi les contemporains du Psalmiste. Pourtant, le psalmiste reconnait la place Juste de Yahvé le créateur de tout l’univers. C’est grâce au Soleil nous pouvons regarder, notre voir et apercevoir de la réalité est nettement lié avec le Soleil. Notre voir la réalité nous aide à entrer en dialogue et relation avec ce qu’on voit. Le symbole du soleil c’est la vie biologique et aussi la relation et la fidélité du Seigneur.

Dieu : Enfin, le sommet du thème hauteur est Dieu même. Dieu est « le très élevé » Alla hu Akbar, ربكا الله . L’homme debout reconnait en Yahvé Roi, juge et Père qui est en haut. L’homme debout, qui est la tête de toute la création élève ses yeux à regarder le Dieu très haut, Dieu très saint, Dieu très loin, Dieu transcendant. Dieu est assis sur son trône du jugement. L’homme debout, l’homme qui rebelle demande à Dieu de juger le monde, les impies, d’invoquer la vengeance. La réponse de Dieu est tout d’abord, la purification de notre cœur. En regardant le Dieu très haut, il aperçoit sa condition fragile d’homme. Pourtant le psalmiste reconnait en ce Dieu très haut, le Père qui partage son héritage avec son peuple. Dieu est comparé à un Père et le thème paternel est complété par la tendresse (rekhem) Ps 103,13. Voilà le prestige de la hauteur dans des psaumes. A travers différents symboles de la hauteur, Psalmiste nous conduit à la grandeur et la transcendance de Dieu.

2. L’HOMME ASSIS

La Deuxième attitude est représentée par la ligne horizontale. A cette attitude corporelle correspond aussi le schème d’intimité, de maison, de temple, d’être en compagnie. Le verbe d’être assis Yashab, correspond aussi au verbe de demeurer.

Dans des psaumes, la position d’être assis signifie la tranquillité ou stabilité ou l’autorité. Dans la mentalité orientale, être assis est identifié à se coucher (shakab), qui évoque les même idées de tranquillité, de paix, une situation calme, stable et définitive.

Les images que le psalmiste associe à s’asseoir :

La Maison : Le lieu où on s’assoit, c’est souvent la Maison. La maison est l’image de l’intimité reposante. St. Thérèse d’Avila, elle parle du château intérieur comme un siège définitif de l’illumination intérieure. L’image de la maison selon psalmiste est un fort symbole de la fidélité et loyauté. « le Seigneur s’est rappelé sa fidélité, sa

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loyauté en faveur de la maison d’Israël » Ps 98,3. Le psalmiste raconte à travers différent Psaumes, l’idée de l’abondance.

Le temple, la maison du Seigneur : Le temple est l’identité du peuple Israël. C’est l’endroit où ils désirent se reposer de leurs fardeaux, demeurer dans la maison du Seigneur est le grand désir du Psalmiste. Le Psalmiste évoque le temple du Seigneur comme son refuge et cachette. C’est dans ce lieu intime, le psalmiste chante la dynamique mystérieuse du Désir du visage de Dieu et Dieu qui se cache.

La coupe et la nourriture : L’Homme assis se trouve à la maison autour de la table.

La table signifie l’abondance et la bénédiction de Dieu. Le Psalmiste utilise les images de la coupe et de la nourriture. La coupe est symbole de la divinisation, de l’alliance et destin.

3. L’HOMME EN MARCHE

Cette attitude indique le déplacement vers un terme déterminé. Elle s’exprime par les verbes de mouvement : aller, venir, monter, et autour de ces verbes différentes autres expressions s’organisent qui exprime le même mouvement de l’Homme en Marche, par exemple : les yeux levés, tendre la main, tourner le visage, etc.

Dans la Bible, l’homme marche. Toute l’histoire d’Israël est une histoire d’une marche, d’un cheminement. Bien sûr, ce n’est pas une question de marcher pour le plaisir, ce n’est pas une balade du soir, comme dans le livre de Genèse où Adam et Eve marchent avec Dieu, mais c’est le départ d’Abraham et l’Exode d’Israël. Il s’agit d’aller quelque part. La marche doit avoir un but précis.

Le Chemin : L’image de Chemin revient dans des psaumes 60 fois. Quand on va, on va sur un chemin. Si on est perdu, on cherche tout de suite un chemin. Le Chemin désigne le Comportement. Yahvé a bien définit son Chemin pour Israël. En faisant le Chemin, le psalmiste comprend qu’il ne pourra jamais saisir les Chemin de Yahvé. Le Psalmiste fait très attention à la géographie spirituelle, car il y en a beaucoup de mauvais chemins. Chaque Chemin c’est un aller vers. Toutes fois qu’on trouve le mot ‘vers’ aller vers, tourner vers, regarde vers, tendre vers, etc., le Psalmiste raconte l’histoire de la Marche, d’un but, d’une orientation.

Monter : Oui, Israël marche, mais il monte aussi. Divers thèmes symbolique sont regroupés autour de ce terme de monter. Si le but de la marche d’Israël est vers Dieu, alors, souvent c’est un monter sur la montagne et Temple du Seigneur. Après être monté on monte au Seigneur les Sacrifices. Le nom de l’holocauste, olah, est rattaché à la racine ‘alah qui veut dire monter.

S’approcher: Homme en marche, sur son chemin, est obbligé de s’approcher à des personnes et des réalités bonnes et mauvaises. Dans des pasumes il y en a des méchants qui s’approchent pour dévorer. Et le Psalmiste cherche à s’approcher de Dieu. Le Verbe s’approcher est le mot technique pour dire la dé,arcrch liturgique du pretre devant Dieu. L’homme en marche sur le chemin, le verbe s’approcher implique que psalmiste fait le choix et décide d’y demeurer. Voilà s’approcher implique un choix et une décision.

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Conclusion:

Les psuames, sont un univers des symbole avec une signification profonde. On peut les classer et identifier en 3 gestes de l’homme. 1.Homme debout, 2. Homme assis et 3. Homme en marche. Pourquoi c’est nécéssaire de les identifier? C’est pour entrer dans le monde du Psalmiste, pour chanter avec lui, pour sentir avec lui et pour integrer tout l’univers dans notre prière et surtour pour integrer notre totalité en prière: notre corps, nos sentiments, nos orientations et nos désirs.

Méditation Personnelle:

1.Homme debout:

Quel est la ténèbre qui me terrorise le plus, ou bien j’essaie de l’ignorer? Prenons un peu de temps pour contempler notre rester debout devant le Père qui reste debout devant toi!

2. Homme Assis:

Nous sommes tous ici pour laisser reposer et charger notre ame. Comment vais-je fructifier ce temps de l’intimité avec le Seigneur? Prenons un moment pour penser le meilleur part de notre vie et remercions le Seigneur pour cette meilleur part de notre vie ou ame.

3. Homme en Marche:

Homme qui marche a toujours un but et une orientation VERS…….Dans cette dernier temps, sans doute, nous avons constaté une nouvelle tendence en nous, la joie, la sérénité, une préoccupation, l’oubli etc. Offrons-les à l’Esprit Saint. Il s’occuperà d’eux. Mais identifions-le et lui donnons un nom.

Références

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