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Moyenne d'une përiode de cinq jours

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EXPÉRIMENTATION DE DIFFÉRENTES TECHNIQUES POUR LA CAPTURE D'OISEAUX RAPACES

1996-1997

par

Alain Desrosiers'

Raymond McNicolli et

Gilles Lupien2

'Direction de la faune et des habitats Service de la faune terrestre

'Direction régionale du Saguenay-Lac-Saint-Jean Service de l'aménagement et de l'exploitation de la faune

janvier 1998..

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2 1.0 INTRODUCTION

Le secteur des dunes de Tadoussac, dans le parc du Saguenay, est maintenant reconnu comme un site exceptionnel pour observer la migration automnale des oiseaux rapaces au Québec. Depuis 1992, une moyenne de 15 000 oiseaux sont dénombrés chaque automne, par une équipe d'observateurs permanents, dont plus de 20 000 en 1995 (lbarzabal 1995).

Ce site présente donc un intérêt particulier pour le ministère de l'Environnement et de la Faune (MEF) car il pourrait permettre de suivre les tendances des populations de différentes espèces d'oiseaux rapaces dont il a la juridiction. Nous avons profité de l'endroit pour expérimenter différentes techniques de capture de ces oiseaux, de les baguer et de récolter des échantillons de sang pour analyser l'exposition des oiseaux de proie aux pesticides (Rodrigue 1996). Comme ces oiseaux proviennent du nord, on considère qu'ils devraient être faiblement exposés aux pesticides (principalement les immatures), et pourraient servir d'échantillons témoins par rapport aux résultats récoltés ailleurs au Québec.

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3 2.0 BUTS

Ce projet avait pour buts :

1. D'expérimenter et de mettre au point différentes techniques de capture pour les oiseaux de proie ;

2. De contribuer, par le baguage d'oiseaux rapaces, au suivi des populations de ces espèces de juridiction provinciale ;

3. De développer des techniques de capture et de baguage pour diversifier les activités de l'Observatoire d'oiseaux de Tadoussac ;

4. De récolter des échantillons sanguins pour mesurer l'exposition des oiseaux de proie aux pesticides.

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4 3.0 MÉTHODES

Notre expérimentation s'est déroulée sur deux périodes, soit du 30 septembre au 4 octobre 1996 et du 14 au 24 octobre 1997. Les différentes techniques utilisées furent le filet japonais, la cage suédoise (Swedish goshawk trap), la cage à collet (Bal-chatri), et le filet- trappe (Bow-net).

3.1 Le filet japonais

Les filets japonais utilisés ont une maille de 60 mm et mesurent 2,1 m de hauteur par 9,1 m de longueur. Les espèces visées par cette technique de capture étaient les faucons, les éperviers et les buses.

Un pigeon biset (Columba IMa) servant de proie est maintenu au sol à l'aide d'un harnais, et placé au pied du filet. Selon la direction du vent, le pigeon est placé d'un côté ou de l'autre du filet de façon à obliger l'oiseau rapace à passer dans le filet pour atteindre sa proie. En 1997, nous avons expérimenté une variante de cette technique, en disposant trois filets en triangle et en plaçant deux ou trois pigeons ou un lapin au centre des trois filets.

32 La cage suédoise (Swedish goshawk trap)

Cette cage, constituée de deux parties, soit la cage pour les oiseaux-appâts et la trappe elle-même, est principalement adaptée pour la capture de l'autour des palombes (Accipiler gentilis) (Meng 1971).

La cage pour les oiseaux-appâts est construite de broche grillagée de 2,5 x 2,5 cm.

Elle mesure 90 cm de largeur, par 90 cm de longueur, par 30 cm de hauteur. La trappe, construite en bois et recouverte de filet de pêche, est montée par dessus la cage qui retient les oiseaux-appâts. Cette trappe, constituée de deux portes, munies de pentures à ressorts, ouvre vers le haut. Ces portes sont maintenues ouvertes à l'aide de deux tiges de bois reliées ensemble par une penture. Ainsi, lorsque l'oiseau de proie voit les oiseaux-appâts, il s'approche de la cage et se pose sur les tiges de bois qui retiennent les portes en position ouvertes. Les tiges basculent sous le poids de l'oiseau et ainsi, les portes se referment sur ce dernier.

3.3 La cage à collets (Bal-chatri)

Tout comme pour le filet japonais, les différentes espèces susceptibles d'être capturées par ce type de trappe sont les faucons, les éperviers et les buses.

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Ce type de trappe consiste en des cages de différentes formes et grandeurs, faites de broche grillagée de 1,25 cm x 1,25 cm, ou de 2,5 cm x 2,5 cm. Une série de collets d'un diamètre approximatif de 7,5 cm et faits de monofilament de 13,6 à 18,1 kg de résistance, sont attachés directement sur les cages. Des proies vivantes étant placées dans les cages, l'oiseau rapace, attiré par les proies, se pose sur la cage et se prend les pattes dans les collets.

3.4 Le filet-trappe (Bow-net)

Ce type de trappe est destiné surtout à la capture de petits oiseaux rapaces comme la crécerelle d'Amérique (Falco sparverius) ou l'épervier brun (Accipiter striatus).

Il consiste en une plate-forme de 60 cm x 75 cm, construite avec une broche grillagée de 2,5 cm x 2,5 cm, sur laquelle est monté un arc de cercle recouvert d'un filet de pêche. Une proie vivante, une souris ou un petit oiseau, est retenue à la plate-forme, près du déclencheur. Lorsque l'oiseau rapace vient pour bondir sur la proie, il actionne le déclencheur, ce qui a pour effet de rabattre le filet par dessus lui.

Ce piège a été modifié en 1997. Nous avons retiré le déclencheur. La trappe était déclenchée à distance par un observateur. Un pigeon servant d'appât était fixé sur une corde qui se déplaçait d'un poteau au piège. Ce proCédé rend l'oiseau mobile et plus facilement repérable par les rapaces en quête de nourriture.

Lorsqu'un oiseau était capturé, nous procédions à la détermination de son âge et de son sexe, en mesurant la queue, l'aile et en examinant des caractères externes (SCF et USFWS 1977). Ensuite, l'oiseau était bagué et un échantillon de sang était prélevé.

Les échantillons de sang prélevés sur les oiseaux ont été envoyés au Centre national de la recherche faunique (CNRF) pour déterminer l'activité de la cholinestérase, ce qui permet d'étudier l'exposition à des pesticides. Les échantillons de sang sont déposés en trois cercles sur un papier filtre selon la méthode développée par le CNRF et sont séchés ainsi avant d'être expédiés.

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Engins de capture

Cage suédoise Filet japonais

• Cage à collets A Filet trappe

Figure 1. Localisation des sites d'installation des différents engins de capture pour les oiseaux rapaces en 1996.

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Engins de capture

Cage suédoise Filet japonais

• Cage à collets A Filet trappe

Figure 2. Localisation des sites d'installation des différents engins de capture pour les oiseaux rapaces en 1997.

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4.0 RÉSULTATS

Nous avons capturé sept oiseaux de proie au cours de la session de 1996 et un seul en 1997. Sur les quatre types de trappe expérimentés, deux seulement nous ont permis de faire des captures. Ainsi, deux faucons émerillons (Faim columbarius), un autour des palombes et une buse pattue (Buteo lagopus) ont été capturés dans les filets japonais, tandis que quatre autours des palombes ont été capturés dans les trappes suédoises (tableau 1 et 2).

Les filets japonais, avec des pigeons ou un lapin servant d'appâts, ont été en opération de jour seulement. Cinq trappes suédoises, en 1996 et six en 1997, contenant des pigeons ou des lapins pour attirer les oiseaux rapaces furent en opération jour et nuit. De plus, en 1996, une sixième trappe, où des cailles (Coturnix sp.) étaient placées comme substituts aux pigeons, a été active de jour seulement. Les cages à collets ont également été installés de jour uniquement, avec des souris de laboratoire, des cailles ou des pigeons comme appâts en 1996 et avec seulement des pigeons en 1997. Un maximum de quatre cages à collets ont été en opération en même temps en 1996 et une seule en 1997. Deux filets- trappes ont été installés à chaque jour avec une souris ou une caille comme appât pour la saison 1996. En 1997, nous avons opéré seulement un filet-trappe avec un pigeon, parce que la présence d'un opérateur était requise continuellement.

Nous avons récolté cinq échantillons de sang sur les quatre autours des palombes et sur un faucon émerillon. Nous avons profité de notre présence sur le site pour prélever également des échantillons sanguins sur deux petites nyctales (Aegolius acadicus) et sur trois nyctales de Tengmalm (Aegolius funereus). Ces oiseaux ont été capturés dans des filets japonais par l'équipe de baguage de l'Observatoire d'oiseaux de Tadoussac.

L'analyse de ces prélèvements devrait nous parvenir au cours de l'hiver.

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9

Tableau 1. Résultats de capture des oiseaux rapaces à Tadoussac du 30 septembre au 4 octobre 1996.

NOMBRE DE NOMBRE CAPTURES TYPE DE PIÈGE NOMBRE JOURS/ DE

CAPTURES

PAR JOUR/

TRAPPE TRAPPE

Filet japonais 2 10 4 0.4

Trappe suédoise 6 29 3 0.1

Cage à collets 4 15 o o

Filet-trappe 2 o o

TOTAL 14 62 7 0.11

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10

Tableau 2. Résultats de capture des oiseaux rapaces à Tadoussac du 14 octobre au 24 octobre 1997.

NOMBRE DE NOMBRE CAPTURES TYPE DE PIÈGE NOMBRE JOURS/ DE

CAPTURES

PAR JOUR/

TRAPPE TRAPPE

Filet japonais 10 77 0

Trappe suédoise 6 55 1

Cage à collets 1 7

Filet-trappe 1 9 0

TOTAL 18 148 1 0.007

0

0.02

o

0

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11.

5.0 DISCUSSION

Les conditions météorologiques jouent un rôle des plus importants dans le déroulement de la migration des oiseaux rapaces, influençant par la même occasion les probabilités de capture. Ainsi, lorsque le vent provient du sud, comme cela fut le cas durant deux jours en 1996, et plusieurs autres jours en 1997, les oiseaux n'effectuent presque pas de déplacements. Par contre, lorsque les vents sont du nord-ouest, la migration des oiseaux est très importante, surtout si cela survient après quelques jours où les conditions météorologiques ont perturbé la migration. Toutefois, si le vent est violent, les oiseaux volent très haut dans le ciel et ne semblent pas en chasse. Ils profitent sans doute de l'occasion pour couvrir de longues distances.

Ainsi, les meilleures conditions météorologiques pour la migration d'oiseaux rapaces qui planent (buses, éperviers et aigles), sont des vents du nord-ouest avec une vélocité moyenne(20 à 30 km/h). Les faucons, étant de meilleures voiliers, vont migrer sous diverses conditions de vent.

En 1997, la migration des oiseaux de proie fut bien différente de celle observée en 1996 et pour les années antérieures (figure 3). À partir du début du mois d'octobre, les températures ont été supérieures aux moyennes de saison et les vents non favorables à la migration. Les décomptes d'oiseaux ont d'ailleurs été très faibles pendant plusieurs jours.

Lorsque, vers la fin du mois d'octobre, les températures sont devenues plus froides, les oiseaux qui semblaient être stationnaires depuis une certaine période, ont repris leur activité de migration, à la faveur des vents propices, mais à des altitudes très importantes.

Les observateurs avaient de la difficulté à les voir à l'oeil nu et devaient effectuer leur décompte aux jumelles ou même au télescope. Ainsi les oiseaux à cette hauteur effectuaient de grands déplacements migratoires et ne cherchaient pas à s'alimenter, ce qui réduisait les chances de capture.

La vélocité du vent influence aussi l'efficacité des pièges puisque à plusieurs reprises, les bourrasques de vent ont déclenché les cages suédoises. Nous avons dû apporter une modification à ces cages pour réduire le déclenchement par le vent. Malgré tout, dans des conditions extrêmes, il demeure difficile de garder en opération ce type de cage qui doit être placé dans des endroits dégagés où le vent a souvent une bonne emprise. De plus, avec de forts vents, les filets japonais sont continuellement en mouvement et deviennent ainsi repérables très facilement.

L'emplacement des pièges semble également jouer un rôle très important dans le succès de capture. Généralement, plusieurs oiseaux rapaces ont besoin d'espaces ouverts pour attraper leurs proies. Ainsi, les dispositifs installés dans un éclairci dans le

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Période du 10 au 24 octobre

•••• •••

—6- moyenne 93-96 - - - 1997

il il Ili ri ri il i 1 19-1• 4`, 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21

Moyenne d'une përiode de cinq jours

Figure 3. Nombre de rapaces observés par période de cinq jours entre 1993 et 1996 et en 1997.

source: J. Ibarzabal

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couloir de migration, nous ont permis de capturer deux faucons émerillons, un autour des palombes ainsi qu'une buse pattue. De même, comme nous avions noté que les oiseaux arrivent au dessus de la montagne et qu'à cet endroit, ils sont très bas, des pièges installés directement sur cette montagne nous ont permis de capturer quatre autours des palombes.

Un autre site semble également avoir un bon potentiel, soit la rivière Moulin à Baude.

Souvent, nous avons observé des oiseaux rapaces descendre vers la rivière après avoir franchi les montagnes, pour longer celle-ci vers le nord et traverser ensuite vers une autre série de montagnes plus à l'ouest. Toutefois, en 1997, nous avons installé une cage suédoise à cet endroit, mais sans succès. tl se peut que les conditions météorologiques défavorables aient changé le comportement des oiseaux à ce site.

En 1996, plusieurs dispositifs ont également été installés sur les dunes parsemées d'arbustes. Cependant ces endroits ne semblent pas du tout appropriés, puisqu'aucune capture n'y a été faite et que très peu d'oiseaux rapaces, mis à pari quelques éperviers bruns, ont été vus dans ces milieux. Nous n'avons pas utilisé ce secteur en 1997 concentrant plutôt nos efforts de capture sur trois montagnes à l'est de la rivière, sur les berges de la rivière ainsi que dans trois champs à l'ouest et à proximité des montagnes et de la rivière (figures 1 et 2).

À partir de la figure 3 et des données fournies par Jacques lbarzabal en 1995 pour chacune des espèces d'oiseaux de proie, nous constatons qu'il y. a trois pics dans la migration des oiseaux rapaces à Tadoussac. Entre le début et le milieu du mois de septembre, on note en abondance la crécerelle d'Amérique, la petite buse (Buteo plaiypterus), le busard Saint-Martin (Circus cyaneus), l'épervier brun et le faucon émerillon.

Le deuxième pic, au début du mois d'octobre on observe encore la crécerelle d'Amérique, et l'épervier brun, ainsi que le balbuzard pêcheur (Pandion haliaetus). La troisième période, soit de la mi à la fin octobre, on retrouve l'autour des palombes, la buse pattue, le faucon émerillon, le pygargue à tête blanche (Haliaeetus leucocephalus), l'aigle royal (Mulla chrysaetos) et l'espèce la plus abondante, la buse à queue rousse (Buteo jamaicensis).

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6.0 RECOMMANDATIONS

Pour permettre un meilleur succès de capture en terme de nombre d'oiseaux, il est évident qu'une plus longue période de piégeage devient nécessaire. Ainsi il faudrait travailler à la même période sur deux à trois semaines pour espérer capturer plus d'oiseaux. 11 serait également possible de travailler sur deux périodes de façon à viser des espèces différentes puisque la migration automnale diffère selon les espèces d'oiseaux de proie. En 1997 nous avons travaillé sur une période de deux semaines. Cependant, les conditions météorologiques ont été défavorables à la migration des rapaces au cours de ces deux semaines. Il faudrait prévoir plus de flexibilité dans le choix de la période.

Les engins de capture qui ont permis le plus de succès sont la trappe suédoise et les filets japonais. Ces types de pièges devraient être réutilisés de façon prioritaire en les disposant aux endroits convenables selon leur configuration. Toutefois, les cages à collets devraient de nouveau être expérimentées puisque, selon la littérature, ces engins sont efficaces et se manipulent facilement. Le filet-trappe tel que modifié en 1997 devrait être plus prometteur.

À Tadoussac, les secteurs prioritaires qui devraient recevoir le maximum d'effort de piégeage sont les montagnes, les champs en friche et la rivière. Le secteur des dunes ne nous apparaît pas propice étant donné le peu d'observations d'oiseaux dans ce secteur et les résultats négatifs de capture en 1996.

Le secteur de Tadoussac est un endroit où on observe un grand nombre d'oiseaux de proie en migration. Après la saison 1997, nous croyons que la majorité de ces oiseaux de proie sont de passage et non en alimentation. Il est donc difficile d'attirer les oiseaux vers nos engins de capture lorsqu'ils volent à des altitudes importantes. Les conditions météorologiques peuvent sûrement influencer ce comportement, puisqu'en 1997, lors de notre passage, les conditions n'ont pas favorisé la capture de rapaces. Si le secteur de Tadoussac est principalement un endroit de passage pour les rapaces en migration, nous devrions donc chercher des secteurs où les oiseaux seraient plutôt en chasse (alimentation) pour favoriser la capture. Des terrains agricoles ou des plaines en friche seraient sans doute plus convenables. La prochaine saison, il faudrait, lors de conditions défavorables à Tadoussac, effectuer des recherches dans les terrains ouverts environnants pour localiser des secteurs d'alimentation des rapaces, effectuer des séances d'observation les jours de migration et tenter de les capturer dans ces secteurs.

Pour vérifier l'efficacité des méthodes de capture et raffiner leur mise au point, nous pourrions également faire des essais de capture dans des secteurs agricoles de la rive sud de Québec, là où nous avons observé plusieurs oiseaux de proie en chasse lors des migrations du printemps. La région du Bic est également reconnue comme secteur important de migration printanière des oiseaux de proie.

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15 7.0 RÉFÉRENCES

Berger D. D. and F. Hamerstrom, 1962. Protecting a trapping station from raptor predation. J. Wildl. Manage. 26(2) :203-206.

Clark W. S., 1981. A modified Dho-gaza trap for use at a raptor banding station. J.

Wildl. Manage. 45(4) :1043-1044.

lbarzabal, J., 1995. Dénombrement des rapaces à Tadoussac et projet de création d'une station de dénombrement d'oiseaux. Présentation à l'atelier petite faune à Québec le 6 décembre 1995. MEF. 9 p.

Meng, H., 1971. The Swedish Goshawk Trap. J. Wildl. Manage. 35(4) :832-835.

Rodrigue, J., 1996. Étude de l'exposition des oiseaux de proie aux pesticides. Projet.

SCF, Québec. 3 p.

SCF et USFWS, 1977. Techniques nord-américaines de baguage des oiseaux. Volume 2. Environnement Canada et U.S. Fish and Wildlife Service.

Tordoff, H. B., 1954. An automatic live-trap for raptorial birds. J. Wildl. Manage.

18(2) :281-284.

Thorstrom, R. K., 1996. Methods for capturing tropical Forest birds of prey. Wildl. Soc.

Bulletin 24(3):516-520.

Wegner, W. A., 1981. A carrion-baited noose trap for American Kestrels. J. Wildl.

Manage. 45(1) :248-250.

Références

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