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Ne touche pas à ma locomotive!

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Academic year: 2022

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Ne touche pas

à ma locomotive!

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André FONNET

N e touche pas

à ma locomotive!

Scènes de la vie de Marcel Péroche, ancien mécanicien de l'Orient-Express

EDITIONS FRANCE-EMPIRE 68, rue Jean-Jacques-Rousseau - 75001 PARIS

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DL-07 02199 0-0 0 2 5 6

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que vous trouverez chez votre libraire

© Editions France-Empire, 1990.

Tous droits de traduction, de reproduction et d'adaptation réservés pour tous les pays.

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A Claire.

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NOTE LIMINAIRE

Il est arrivé à madame Péroche de confectionner, à l'aide de draps de lit, de bleus de travail pour son époux. Le tissu était teint, découpé, cousu et le résultat dépendait de l'habileté de la couturière.

Il en va un peu de même pour cet ouvrage.

Marcel Péroche m'a confié deux cahiers remplis de sa fine écriture régulière.

— Je te donne la matière. Tu es du métier. Débrouille- toi !

Son texte c'est le drap. Le livre achevé c'est le bleu de travail. J'ai teint, taillé, découpé, cousu.

Le fond est de Péroche et la forme de moi. Toutes les histoires que je mets dans sa bouche sont de lui. Il les a écrites ou il me les a racontées. Il mérite donc d'être le héros de cet ouvrage dont la qualité primordiale est d'être vrai.

Si le bleu de travail était bon et solide c'est parce que la couturière experte avait utilisé un tissu résistant.

Puisse ce récit défier le temps, et dans cet espoir je rends à César ce qui lui appartient, c'est à-dire je rends à Marcel tout ce qu'a dit et écrit Péroche.

A. F.

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PREMIÈRE PARTIE UN HÉROS DE ROMAN

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Chapitre premier QUI TENTE D'EXPLIQUER A LA SUITE D'UN APPEL TÉLÉPHONIQUE,

POURQUOI UN SECOND LIVRE

EST PLUS DIFFICILE A RÉDIGER QU'UN PREMIER C'est dans ses mémoires qu'un écrivain met le moins de souvenirs

Georges DUHAMEL.

Ce soir-là, j'étais occupé à classer quatre volumineux dossiers remplis de pages découpées, extraites de la revue La Vie du Rail. J'essayais de regrouper dans des chemises aux couleurs différentes les reportages touristiques, les inter- views, les études littéraires et les randonnées insolites que j'eus l'occasion de rédiger pendant le quart de siècle où je fus reporter à l'hebdomadaire ferroviaire. J'avais là, envi- ron deux mille articles, soit la valeur d'une bonne vingtaine de volumes.

Bien entendu je flanais avec délices en relisant un texte puis un autre, rêvant à tous les voyages que j'avais effectués en service.

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Je fus tiré de cette agréable occupation, par la sonnerie du téléphone :

— Allô... André ? Bonjour mon vieux !

Je reconnus la voix de Marcel Péroche. Il n'y a que lui, mon aîné de vingt ans, pour m'appeler ainsi.

— Salut Marcel. Tu as des ennuis ?

— Non... J'ai besoin d'un conseil. Tu sais que depuis la sortie de mon livre de mémoires, j'ai reçu beaucoup de lettres... et quelques-unes signées par de hautes person- nalités.

— C'est ça la gloire, mon cher !

— J'ai une lettre signée du président de la République, une de Jacques Chaban-Delmas, une de...

— Je veux bien te croire... mais je suppose que tu ne me téléphones pas depuis Saintes pour me citer la liste de tes correspondants illustres.

— Non. Rassure-toi ! Mais comme j'ai reçu beaucoup de lettres de gens qui me réclament une suite à mes mémoires, je m'y suis remis. J'avais encore des choses à dire... et j'ai rempli deux gros cahiers... Je voudrais bien que tu les lises et que tu me dises franchement ce que tu en penses.

— Je le veux bien... mais permets-moi de te faire remar- quer que tu te lances dans une aventure périlleuse.

— Pourquoi ?

— Parce qu'il est plus difficile de réussir un second livre qu'un premier. Là, tous les jaloux vont t'attendre au virage pour te critiquer.

— On ne peut pas dire que tu m'encourages beau- coup... Je sais bien que, devenu gloire locale, j'ai suscité des jalousies... on m'a accusé de n'avoir pas écrit mon livre... et pourtant l'éditeur a reproduit en photo une page de mon manuscrit... De toute façon j'ai rédigé d'autres sou- venirs. Ils devraient bien intéresser un autre éditeur. Car autant te dire que le premier ne continue plus la collection dans laquelle j'étais paru. Je voudrais donc que tu lises

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mon texte et que tu me dises ce que je peux espérer. Tu me connais, je ne fais pas de littérature je raconte simple- ment ce que j'ai vécu. Je suis fier, moi un gars de la base, d'avoir expliqué des choses de mon métier à des gens qui les ignoraient. Je ne sais pas inventer... et si je le faisais je suis sûr que cela n'intéresserait personne. Toi, tu peux.

Elève et successeur de Vincenot tout t'est permis.

— Ecoute, n'en rajoute pas. Envoie-moi ton manuscrit et comme je dois descendre à Angoulême à la fin du mois je ferai un crochet par Saintes. Je te dirai ce qu'il est pos- sible de faire de ton œuvre.

— Merci mon vieux ! Je n'en attendais pas moins de toi. Je te poste mes cahiers dès demain matin.

Je raccrochai, puis allai inspecter les rayons de ma bibliothèque pour en extraire Les Mémoires de Marcel Péro- che, sénateur du rail 1 En les feuilletant je pensais qu'après tout, rien ne m'empêchait d'aider ce brave homme à publier la suite de ses souvenirs ferroviaires.

Je connaissais fort bien le monde qu'il évoquait. Mon père travaillait aux chemins de fer de l'Est, et j'ai passé ma jeunesse dans un immeuble élevé au bord de la voie ferrée et tout proche de la gare. Jouant dans la cour avec d'autres enfants de cheminots, nous en voyions revenir à toute heure de ces pères qui travaillaient soit au dépôt, soit aux ateliers du matériel, soit à la gare, soit au triage.

Noisy-le-Sec, en ce temps-là, était un grand centre ferroviaire.

Plus tard, je fus moi-même comptable aux ateliers de cette cité. Un comptable doublé d'un journaliste, puisque j'y fus également correspondant de La Vie du Rail.

Aussi quand je fus muté au siège de la revue, le voca- bulaire des chemins de fer n'avait plus de secret pour moi.

De reportage en reportage je pus approfondir mes connais- sances. Je montai sur différents types de locomotives, par-

1. Ed. Berger-Levrault.

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courus des kilomètres avec diverses équipes de conduite, interrogeai les différents corps de métier, du lampiste au chef de division, du chef de train au chef de gare, du garde- barrière à l'ingénieur. J'appris à apprécier les beautés tou- ristiques de mon pays en sillonnant toutes les régions à bord des trains les plus divers. A la veille de prendre ma retraite, quand il me fut demandé d'écrire le texte d'un album de photographies destiné à vanter les mérites de « la France pays du rail », je rédigeai plus de deux cents pages en un temps record. Je n'avais qu'à transcrire mes sou- venirs sans effort. Les mêmes qui me reviennent en mémoire en feuilletant le moindre indicateur des chemins de fer. Aussi, sans trop savoir ce qu'avait bien pu raconter Marcel Péroche dans les cahiers qu'il m'allait adresser, j'ima- ginais déjà une présentation du personnage pour ses nou- veaux lecteurs. L'idée d'un tome II me gênait, surtout si le livre trouvait un autre éditeur. Il valait mieux penser à une œuvre autonome, à une histoire indépendante de la première, mais pouvant néanmoins lui servir de suite.

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Chapitre 2

OU L'ON JETTE UN COUP D'ŒIL

SUR LES MÉMOIRES D'UN SÉNATEUR DU RAIL ET OU L'ON ÉVOQUE UN MÉCANICIEN

SURNOMMÉ LE RAT-BLANC

Ce ne sont pas les titres, mais les écus qui font estimer.

Carlo GOLDONI.

Marcel Péroche est né à Saintes en 1907. Il y a connu une jeunesse assez malheureuse.

Son père parti à la guerre, sa mère restait seule pour s'occuper de quatre enfants et d'une grand-mère à charge.

Ils devaient vivre avec une maigre allocation de l'Etat...

aussi souffrirent-ils de la faim.

En 1917, les soldats américains apparurent au jeune Marcel comme des envoyés du paradis. Ils distribuaient des boîtes de conserve et parfois des briquettes de charbon.

L'écolier Péroche ne fut pas des plus studieux, il passait plus de temps à la recherche de victuailles qu'à la réso- lution des problèmes de mathématiques. Heureusement que

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sa nullité en calcul était compensée par une manière agréable de s'exprimer en tournant bien ses phrases. Bon en rédac- tion et passable dans les autres matières, il décrocha tant bien que mal son certificat d'études. Après quoi, il entra dans une école d'apprentissage. Pour s'y rendre il devait emprunter un petit train à vapeur. Il montait toujours dans le premier wagon (aujourd'hui on dit « voiture » — mais en ce temps-là le mot wagon ne choquait pas les suscep- tibilités... on parlait de wagons-lits et de wagons-restaurants).

De là, il pouvait observer la cabine de conduite de la loco- motive et les gestes du chauffeur et du mécanicien. Pour le garçon, ces deux hommes paraissaient être des surhommes, et dans son for intérieur il enviait leur métier, or, il était entré à l'école pour apprendre celui d'ajusteur. Il l'apprit d'ailleurs, et fort bien. En même temps, il découvrit les règles du jeu de rugby et se passionna pour ce sport quelque peu violent.

A dix-huit ans, il fit la connaissance de celle qui allait devenir la compagne de sa vie : Antoinette. Peu de temps après leurs épousailles en 1929, il commença à monter sur les locomotives, d'abord comme chauffeur, puis comme mécanicien. Pendant toute sa carrière il conduira de puis- santes machines (se payant même le luxe, en 1939, de se trouver à la tête du prestigieux Orient-Express, dans un décor des mille et une nuits). Une fois retraité, il est évident que le roulant s'habitue mal à une vie sédentaire trop calme.

Pour tromper son ennui il décide d'écrire ses souvenirs dans de grands cahiers d'écoliers. Par chance, il trouve un éditeur et connaît un succès certain. La gloire ne lui monte pas à la tête. Il est ravi d'avoir réussi un tant soit peu, à montrer quelle était la grandeur de la tâche de ces hommes qui conduisaient les trains en fabriquant eux- mêmes leur énergie avec de l'eau et du charbon.

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En feuilletant son livre, je songeai à cet autre méca- nicien de la région de l'Est, surnommé le Rat-Blanc, et dont Etienne Cattin fut le chantre aussi admiratif qu'indul- gent. Ce Rat-Blanc se tirait avec panache de toutes les situations délicates. Les locomotives semblaient le connaître et il est parti en retraite sans avoir eu jamais la moindre anicroche. Et pourtant...

Il lui arrivait, en pleine marche, de faire le tour de sa locomotive pour réparer une pompe à air ou tout autre appareillage extérieur accessible. Parfois, complètement nu dans la cabine de conduite, il lavait ses bleus avec son chauffeur qui en faisait autant. Toutefois, parce qu'il connais- sait parfaitement son métier, il bénéficiait de l'estime de ses chefs. Un autre que lui aurait connu mille déboires en essayant de faire seulement le centième de ses extravagances.

Mais voilà ! Le Rat-Blanc... C'était le Rat-Blanc ! On pourrait en dire tout autant de Marcel Péroche qui connaissait admirablement sa locomotive et son métier... et qui, certains jours n'était pas tellement sage... Certes, ses fantaisies n'ont qu'un lointain rapport avec celles du Rat- Blanc... encore que...

Pour vous permettre de juger, voilà deux aventures dont il fut le héros et qui montrent tout à la fois son obsti- nation, sa fierté et son courage.

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Chapitre 3 OU L'AUTEUR,

POUR BROSSER UN PORTRAIT EN DEUX HISTOIRES, SE FAIT SON PETIT CINÉMA

Qui suit une voie insolite, s'expose au danger de l'orgueil, et l'orgueil même à la désobéissance.

Gertrude VON LE FORT.

En 1944, vers la fin de l'été, Marcel Péroche est envoyé à Bordeaux avec une machine haut-le-pied. La sienne, la 230.045. Il en est le titulaire et il lui fait confiance. Il doit aller tirer un train omnibus jusqu'à Beillant. En ce temps-là, les trains sont surchargés. C'est une locomotive puissante qui a été réclamée. Celle de Marcel ne l'est pas suffisamment.

Il s'est entêté. Il a juré qu'elle ferait l'affaire. On l'a laissé partir, mais le chef lui a dit :

— Tu as intérêt à ce que tout marche bien... sans quoi...

Le mécanicien a compris la menace cachée, mais il sait que sa 230.045 se montrera à la hauteur de la situation.

Elle est donc accrochée à Bordeaux, et part avec un train.

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Un peu après Jonzac, suite à un petit ennui, Marcel effectue une visite rapide et, en ouvrant la boîte à fumée, décèle une voie d'eau.

Il ne peut y faire grand-chose et cela le contrarie. Le train arrive cependant à Beillant. Là, Péroche apprend qu'il doit repartir avec un autre convoi de voyageurs.

— Pas question de reprendre ta locomotive ! lui dit-on.

Jette ton feu et va prendre une 230 800.

Marcel s'obstine. Il ne veut surtout pas que son chef se moque de lui en le voyant revenir avec une autre machine.

Il décide d'étancher la fuite. On le lui interdit. Des ordres sont donnés pour qu'une 230 800 soit mise en tête du train prévu. Péroche, têtu comme un mulet persiste à vouloir réparer lui-même. Si c'est un écrou desserré il va le resser- rer. Certes, si c'est une pièce cassée ou fendue il risque d'aggraver la chose et de surcroît, de périr ébouillanté dans la boîte à fumée, où il règne déjà une température d'environ 70 degrés.

Qu'importe ! Il se munit d'une clé à molette dont il a réglé l'ouverture, prend trois ou quatre torchons et pénètre dans ladite boîte à fumée à l'avant de la locomotive. Tous- sant, crachant, ruisselant de sueur, il cherche l'écrou, le crochète avec sa clé, serre doucement, puis plus fort. La fuite s'étanche. Il sort comme un fou de son enfer et se jette à terre où il reste allongé quelques instants. Le temps de reprendre ses esprits.

Il vient de jouer sa vie à quitte ou double.

Mais il va pouvoir rentrer dans son dépôt, avec sa locomotive, sans avoir à subir les sarcasmes de ses chefs.

Ah ! mais !...

La seconde histoire montre bien l'attachement du méca- nicien pour la machine dont il est le titulaire. On pourrait

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presque commencer par cet extrait de La Bête humaine d'Emile Zola.

« Il l'aimait d'amour sa machine depuis quatre ans qu'il la conduisait. Il en avait mené d'autres, des dociles et des rétives, des courageuses et des fainéantes. Il n'ignorait point que chacune avait son caractère, que beaucoup ne valaient pas grand-chose, comme on dit des femmes de chair et d'os ; de sorte que, s'il l'aimait celle-là, c'était en vérité qu'elle avait des qualités rares de brave femme. Elle était douce, obéissante, facile au démarrage, d'une marche régulière et continue grâce à sa bonne vaporisation. » Puisque La Bête humaine est aussi le titre d'un film, j'ai envie de conter l'aventure de Péroche comme si c'était un court-métrage.

En voilà donc le découpage et les dialogues. A vous d'imaginer après lecture, sur l'écran de vos paupières bais- sées, une histoire authentique dont le titre pourrait être :

NE TOUCHE PAS A MA LOCOMOTIVE

• SÉQUENCE 1.

Au dépôt de locomotive de Saint-Mariens, Marcel Péro- che qui a fini sa journée et préparé sa locomotive pour le lendemain, passe devant le bureau de la feuille. Le patron qui se trouve devant la porte, hèle le mécanicien, et lui annonce :

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Marcel Péroche, en conduisant les trains rapides, a connu la vie rude et exaltante des mécaniciens de locomotives à vapeur.

Une fois en retraite, se trouvant quelque peu désemparé, il décide d'écrire ses mémoires de « roulant », sur un grand cahier d'écolier. Il les confie à un éditeur et le livre sort. « LES MEMOIRES DE MARCEL PEROCHE, SENATEUR DU RAIL », connaissent un franc succès.

Sollicité par ses amis de continuer, l'ex-mécanicien reprend la plume. Mais ses souvenirs ne sont pas à géométrie variable, et refusant d'inventer, il fait appel à un ancien journaliste de

« LA VIE DU RAIL », André Fonnet, rompu au jeu de l'interview.

Ce dernier se penche sur le manuscrit de Péroche, remanie le plan, coupe ici, resserre là, déplace un chapitre, change le temps d'un autre, recoud, découpe et conçoit un ouvrage dans lequel Péroche conteur, cède la place au Péroche interrogé, puis au Péroche raconté.

Ses amis vont retrouver le mécanicien qu'ils ont connu, revivant au fil de pages imprégnées d'une atmosphère de fumée, de charbon et d'huile chaude.

Le livre est émouvant parfois, drôle par moment, mais vrai toujours. Péroche n'a pas été trahi dans ses propos. Ce qu'il dit, ce qu'il fait est rigoureusement conforme à ce qu'il a raconté.

Tel quel, cet ouvrage où Péroche devient quasiment un héros de l'époque héroïque des Chemins de Fer, plaira à tous ceux qui ont gardé un petit train dans un coin de la mémoire...

C'est-à-dire à beaucoup de monde...

André FONNET : Ancien reporter à LA VIE DU RAIL.

Auteur de « LA FRANCE, PAYS DU RAIL », Ed. Vie du Rail.

Rédacteur en chef adjoint de LA REVUE INDEPENDANTE.

Occupe ses loisirs de retraité en écrivant des pièces de théâtre pour les comédiens amateurs.

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