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NOTES POUR UNE ALLOCUTION DE M ME MONIQUE F. LEROUX, PRÉSIDENTE ET CHEF DE LA DIRECTION DU MOUVEMENT DES CAISSES DESJARDINS

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NOTES

POUR UNE ALLOCUTION DE

MME MONIQUE F. LEROUX,

PRÉSIDENTE ET CHEF DE LA DIRECTION DU MOUVEMENT DES CAISSES DESJARDINS

DANS LE CADRE DES

4èmes RENCONTRE FINANCE FRANCE-QUÉBEC

AU CERCLE DE L’UNION INTERALLIÉE PARIS, 29 OCTOBRE 2012

(La prestation peut différer du texte ci-joint)

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Monsieur Pierre Maynard, Président de la Chambre de commerce France-Canada, Monsieur Jacques Girard, Président du Centre financier international de Montréal, Distingués invités,

Mesdames, Messieurs,

J’aimerais, d’entrée de jeu, remercier la Chambre de commerce France-Canada pour l’organisation de cet événement. Il s’inscrit d’admirable façon dans la volonté mutuelle de renforcer nos liens économiques, tout particulièrement à travers l’axe Montréal- Paris.

En juillet dernier, le premier ministre canadien Stephen Harper venait rencontrer le président de la République nouvellement élu, M. François Hollande. Puis, il y a 2 semaines, la nouvelle première ministre du Québec, Mme Pauline Marois, était à son tour reçue à l’Élysée, à peine un mois après sa nomination.

Ces événements témoignent de la force et de la diversité des liens qui nous unissent et qui touchent tous les secteurs de notre vie économique et sociale.

Les correspondants d’Alphonse Desjardins

On pourrait même dire que le Mouvement Desjardins est, en partie, un des fruits de cette longue relation.

C’est en effet en Europe, et plus particulièrement en France, que notre fondateur, Alphonse Desjardins, a trouvé l’inspiration et les conseils qui l’ont guidé dans la création de la première coopérative d’épargne en Amérique du Nord.

Il avait noué une relation épistolaire avec quelques coopérateurs français. Pensons à Louis Durand, pionnier du Crédit Mutuel. Ou encore à Charles Rayneri, président de la Banque populaire de Menton. Celui-ci aura été pour Alphonse Desjardins plus qu’un guide, mais un maître à penser et un ami précieux.

C’est d’ailleurs le texte d’une des conférences de Charles Rayneri qui a inspiré la rédaction des règlements de la caisse populaire originelle de notre Mouvement, qui a ouvert ses portes à Lévis en 1900.

Voilà pour l’histoire.

Ma présentation d’aujourd’hui se fera en trois volets.

Je ferai quelques commentaires sur la situation économique.

Je vous présenterai le Mouvement Desjardins.

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Et je vous parlerai aussi des atouts de Montréal comme place financière.

Un monde de vases communicants

La situation économique mondiale demeure extrêmement préoccupante.

On parle maintenant d’une croissance triple BBB pour « brittle, bumpy, below », c’est-à- dire fragile, chahutée et insuffisante.

À partir des travaux de notre service d’études économiques, je vous propose un palmarès des croissances économiques telles qu’elles nous apparaissent pour l’année 2012.

Pour l’économie mondiale, notre projection se situe à 3,0 %.

Le Canada et les Etats-Unis devraient connaître le même niveau de croissance : 2,2 % Au Québec, ce sera plus faible : 0,8 %

Et qu’anticipons-nous pour vous? Nous voyons d’un œil particulièrement inquiet la zone euro qui est entrée en récession avec un recul anticipé de son PIB de 0,4 %. Toutefois, l’engagement de la Banque centrale européenne à préserver l’euro a contribué à tempérer l’instabilité sur les marchés financiers.

La situation économique mondiale a un impact chez nous.

Le cours de plusieurs matières premières extraites au Québec et au Canada a fléchi.

Également, nos exportations se sont repliées. C’est vrai vers l’Europe, mais surtout vers les États-Unis, notre premier partenaire commercial.

En 2002, les États-Unis étaient la destination d’environ 85 % des exportations canadiennes et québécoises. En 2011, c’était une quinzaine de points de moins.

Certaines de nos industries, comme le bois d’œuvre, en souffrent beaucoup.

Il est vrai que le Québec a relativement bien résisté à l’éclatement de la crise en 2008.

Nous avions trois atouts qui continuent de nous fournir une certaine protection.

 Le gouvernement du Québec a mis en branle un plan d’investissement massif dans les infrastructures publiques qui apporte un soutien à l’activité économique et à l’emploi.

 L’économie québécoise est bien diversifiée et dispose de matières premières en demande, même si les cours ont baissé.

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 Et la solidité du système financier canadien a fait que nos institutions, comme Desjardins, ont pu continuer de servir leur clientèle normalement.

Dans cette mouvance, l’enjeu pour le Québec est triple :

 Premièrement, nous devons tirer profit de la croissance des pays émergents.

Bien qu’elle ait faibli, elle a de quoi nous faire rêver. D’ailleurs le développement durable du Nord québécois s’inscrit dans cette optique.

 Deuxièmement, nous devons stimuler nos partenariats économiques et notamment faire grandir la relation avec l’Europe. Desjardins appuie par exemple les initiatives visant à élargir le pont transcontinental. Je pense ici :

o au projet de partenariat économique entre l’Union européenne et le Canada.

o et aux initiatives de mobilité, comme l’entente France-Québec sur la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles.

 Puis troisièmement, nous devons, au plan interne, stimuler l’innovation et l’entrepreneuriat. Nous devons capitaliser sur ce que nous faisons de bien, sur nos créneaux d’excellence dont font partie les services financiers et les coopératives.

L’étonnant pouvoir des coopératives

Il apparaît clair toutefois que le rétablissement de l’économie mondiale sera long.

Dans ce contexte, où les leaders économiques de partout cherchent des solutions, un phénomène intéressant s’est produit. Nous avons vu émerger un intérêt renouvelé pour les coopératives.

On découvre – ou redécouvre – que ces entreprises à gouvernance démocratique résistent mieux aux intempéries de façon étonnante. Au Québec, par exemple, les quelque 3 000 coopératives (non financières) sont demeurées en croissance en 2009, alors que la crise était à son apogée. Pour illustrer leur dynamisme, sachez que sur la période 1999-2009 le chiffre d’affaires des coopératives québécoises (non financières) a progressé de 85 %.

Vous comprendrez que je veuille dire quelques mots sur le sujet.

Dans le cadre de l’Année internationale des coopératives, les villes de Québec et de Lévis ont été, au début du mois d’octobre, le lieu de rencontre du mouvement coopératif et mutualiste international.

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Nous avons accueilli 2 800 participants de 91 pays. Je tiens d’ailleurs à saluer le Crédit Mutuel et le Crédit agricole qui ont été de précieux partenaires pour la tenue de cet événement.

Le Sommet international des coopératives a mis en lumière, non seulement la robustesse et la résilience des coopératives, mais aussi leur poids économique.

Un million de coopératives sont en activité dans le monde. Elles répondent aux besoins d'un milliard de membres et procurent un emploi à 100 millions de personnes.

Les 300 plus grandes coopératives, tous secteurs d'activités confondus, génèrent un chiffre d'affaires global de près de 1 600 milliards de dollars. C'est un poids économique comparable à celui de la 9e économie mondiale en importance.

Chez Desjardins, nous croyons qu’une meilleure reconnaissance des coopératives et un plus grand développement de ces entreprises contribuera à bâtir une économie plus équilibrée. Ce qu’on appelle une économie plurielle, qui place côte à côte, des entreprises, disons-les « traditionnelles », des coopératives, puis des entreprises d’État dans une émulation performante et innovante.

Un mouvement solide, en croissance et en santé

Desjardins représente tout à la fois la solidité du système financier canadien et du secteur coopératif.

Nous sommes le premier groupe financier coopératif au Canada avec des actifs de 200 milliards de dollars.

Nous avons quelque 5,6 millions de membres et clients, 45 000 employés, plus de 5 000 dirigeants élus et près de 400 caisses au Québec et en Ontario.

Desjardins est un groupe financier qui compte une vingtaine de filiales actives au Canada, aux États-Unis et sur la scène internationale.

Nous sommes un des premiers investisseurs en capital de développement au Québec avec près de 1,5 milliard de dollars d’actifs sous gestion.

Dans l’ensemble, au Québec, nous sommes :

o le 1er prêteur hypothécaire résidentiel;

o le 1er assureur de personnes;

o et le 1er prêteur aux entreprises.

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5 Nous accompagnons 400 000 entreprises. Cela représente un financement cumulé de près de 40 milliards de dollars. Parmi ces entreprises se trouvent le Cirque du Soleil;

RONA, leader canadien de la rénovation; Québecor, l’un des géants canadiens des médias; la coopérative Agropur, l’une des plus grandes entreprises laitières de notre pays et Coast Capital Savings de Vancouver, la deuxième credit union en importance au Canada.

Desjardins peut donc accompagner une entreprise française désireuse de prendre pied chez nous où que ce soit au Canada, comme elle le fait avec l’ensemble de ses membres et clients entreprises.

Notre mouvement est en croissance. En 2011, nos revenus ont progressé de 14 %.

Notre mouvement est en santé. Notre ratio de capital de première catégorie était de 16,1 % au 30 juin dernier.

Notre mouvement est solide. Le dernier classement du magazine américain Global finance mettait Desjardins au 16e rang des institutions financières les plus sûres du monde. En Amérique du Nord, nous sommes troisièmes.

Le Mouvement Desjardins met en œuvre une stratégie de croissance en trois axes.

 Croissance interne : c’est-à-dire le développement de nos activités dans nos marchés. Nous voulons d’abord accroître le nombre de nos membres. Nous voulons améliorer la qualité de la relation que nous avons avec eux.

Parallèlement, nous voulons développer la clientèle de nos filiales d’assurance, de services de cartes de paiement et de gestion de valeurs mobilières.

 Croissance par acquisitions. Par exemple, en 2011, nous avons acquis Western Financial Group. C’est le plus important réseau de courtiers d’assurances de l’Ouest canadien avec plus de 500 000 clients.

 Puis, nous grandissons par des partenariats avec d’autres entreprises coopératives dans le domaine des services financiers. Nous le faisons au Canada avec les credit unions. Nous avons aussi conclu une alliance stratégique avec le Crédit mutuel que vous connaissez bien. C’est une entente de développement des affaires au bénéfice de nos membres et clients respectifs.

Je vous en dis un mot.

Dans le cadre de cette entente :

 Desjardins a ouvert un bureau de représentation à Paris, à même les locaux du Crédit Mutuel. Et réciproquement, le Crédit Mutuel a ouvert un bureau de la Banque transatlantique au centre-ville de Montréal, dans un immeuble appartenant à Desjardins.

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 Nous terminons la mise sur pied d’un fonds conjoint de capital de risque, qui investira dans des entreprises technologiques au Québec. Il est déjà capitalisé à près de 50 millions de dollars.

 Puis, nous travaillons à renforcer notre présence dans le marché des solutions de paiement et de la monétique en Europe, en Amérique du Nord et dans le monde.

Desjardins est un groupe financier coopératif de premier plan. Capable d’appuyer les entrepreneurs et les entreprises, mêmes les plus grandes. Également nous voulons être le partenaire financier de choix des coopératives et mutuelles au Canada et contribuer à leur essor. Cette appartenance a pour nous un sens profond. D’ailleurs, nos aviseurs financiers pour nos émissions de dettes en Europe sont des groupes coopératifs. Par exemple Crédit agricole, BPCE-Natixis et DZ Bank.

De fait, nous avons à cœur la portée et le développement du secteur coopératif à l’échelle mondiale, comme en témoigne le fort leadership que nous avons exercé dans l’organisation du Sommet international des coopératives évoqué plus tôt.

L’axe Paris-Montréal

Parlons maintenant du corridor économique dynamique qui nous unit.

Depuis 2001, les échanges commerciaux annuels entre la France et le Québec oscillent entre 2 et 2,5 milliards d’euros.

La France est le 2e investisseur étranger au Québec, devancé uniquement par les États-Unis. Réciproquement, en 2012, la France est la première destination européenne des exportations québécoises.

De l’Oréal à Ubisoft et de CGI à Bombardier, c’est un partenariat qui touche tous les secteurs.

Cette relation se déploie principalement dans l’axe Paris-Montréal, un axe important, celui des deux plus importantes villes francophones de la planète.

Parlons un peu de Montréal.

Vous avez souvent entendu parler de Montréal dans les derniers mois. Peut-être pas toujours pour les bonnes raisons.

Pourtant, il y a plein de bonnes raisons de parler de Montréal. D’ailleurs, les services économiques de Desjardins publieront demain un portrait de la situation économique de Montréal.

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7 Notre métropole est l’une de celles qui ont le mieux résisté à la crise en Amérique du Nord et qui s’en sont le plus rapidement relevées.

Montréal c’est :

 une main-d’œuvre multilingue;

 des coûts totaux d'exploitation inférieurs de 5 % à la moyenne des RMR (régions métropolitaines de recensement) de l'Amérique du Nord en 2011;

 un « coût moyen » en recherche et développement inférieur de 14 %, selon KPMG.

Cet avantage par les coûts permet à Montréal de bien tirer son épingle pour attirer et retenir les entreprises sur son territoire.

Montréal est une ville de projets. Deux nouveaux hôpitaux universitaires y sont en construction. De fait, on prévoit des investissements de près de 18 milliards de dollars à Montréal d’ici 2017. Et près de 150 000 emplois y seront à combler au cours des trois prochaines années.

Montréal est une ville de culture. Montréal a frappé le monde des arts par son audace il y a trois ans. En pleine crise économique, on y amorçait la construction de la Maison symphonique, une salle de concert. La qualité de ce lieu a été saluée par la critique mondiale depuis son inauguration.

Et, ce qu’on sait trop peu, c’est que Montréal est une ville universitaire. Elle est dans le top 3 des métropoles intellectuelles d’Amérique du Nord avec 170 000 étudiants universitaires.

Montréal présente aussi des créneaux économiques d’envergure internationale.

 C’est l’un des trois pôles internationaux de l’aérospatiale avec Toulouse et Seattle et un haut lieu des sciences de la santé. Chacun de ces secteurs compte plus de 40 000 emplois;

 Et c’est aussi une des grandes métropoles mondiales en technologies de l’information : 120 000 emplois. On surnomme d’ailleurs Montréal la Hollywood du jeu vidéo.

Montréal place financière

Puis, Montréal ajoute à ses créneaux d’excellence avec une offensive particulière dans le secteur financier.

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L’industrie rassemble 3 000 entreprises et représente un poids économique de 15 milliards de dollars (150 000 emplois au Québec, dont les deux tiers à Montréal).

Dans les dernières années, le secteur financier québécois s’est donné les moyens et les outils pour grandir.

Il s’est donné un levier de promotion internationale pour attirer de nouveaux joueurs de l’industrie financière mondiale. C’est le Centre financier international.

Il s’est regroupé entre autres au sein de Finance Montréal avec la mission de stimuler la création et le développement des entreprises financières à Montréal. Et la région de Québec compte sur « Puissance Onze », un regroupement actif de grandes sociétés d’assurances.

Une stratégie de développement a été lancée. Elle mise sur les forces distinctives de l’industrie financière québécoise.

 Comme la gestion des produits dérivés : la Bourse de Montréal jouit déjà d’une renommée internationale en ce domaine. Et pour renforcer ce leadership, la bourse de Montréal, HEC Montréal et Finance Montréal ont créé un nouvel Institut de la finance structurée et des instruments dérivés.

 Autre domaine : le développement de technologies appliquées à la finance. Ici, c’est un maillage stratégique entre l’industrie financière et celle du logiciel appuyé par le caractère compétitif de Montréal. C’est-à-dire qu’à Montréal, les coûts en technologies de l’information sont les plus bas parmi les villes comparables en Amérique du Nord. La différence peut atteindre jusqu’à 15 %.

 Autre exemple des créneaux montréalais de la finance. La gestion des caisses de retraite. Dans un contexte de vieillissement de la population, la pression sur les régimes de retraite est forte. Vous en savez quelque chose, en Europe.

Montréal abrite quelque 200 caisses de retraite, dont la Caisse de dépôt et placement du Québec, l’une des plus importantes du monde. Montréal a un savoir-faire à partager.

 C’est vrai aussi en matière de capital-développement. Montréal et le Québec assument un leadership certain à cet égard.

Le Mouvement Desjardins participe activement au développement de notre industrie financière. Pour ma part, je préside le chantier des ressources humaines au sein de Finance Montréal. Notre objectif est de faciliter le recrutement et la venue au Québec d’étudiants, de stagiaires et d’experts d’à travers le monde.

Il va de soi que nos cousins français sont les bienvenus!

Notre industrie financière a de l’ambition.

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9 Montréal poursuit son ascension parmi les meilleures places financières du monde.

Le dernier classement du Global Financial Centres Index (GFCI) a placé Montréal au 17e rang des meilleures places financières mondiales. C’est 8 marches plus haut qu’il y a 5 ans.

Pour dire vrai, le défi de Montréal comme place financière n’est pas du côté de l’expertise. Il est en matière de promotion de cette expertise. C’est-à-dire qu’il faut parvenir à sortir de l’ombre de notre voisine, Toronto, à qui nous n’avons rien à envier sur le plan de la compétence.

Notre volonté est ferme. Nous voulons faire du secteur financier un des secteurs de marque de Montréal et du Québec au même titre que l’aérospatiale, les technologies de l’information et les sciences de la santé.

Un corridor transatlantique parmi les plus dynamiques Mesdames, Messieurs,

Nous évoluons dans un contexte économique chargé de défis.

Mais nous savons que même les situations les plus adverses comportent des occasions à saisir.

L’axe France-Canada, par ses ancrages Paris-Montréal est un des corridors économiques transatlantiques les plus dynamiques. Il comporte d’innombrables occasions d’affaires et de coopération dans des domaines économiques où bourgeonne l’avenir.

Ce corridor, de surcroît, est irrigué par une amitié séculaire qui facilite les partenariats.

Multiplions les initiatives de coopération, comme ces rencontres France-Québec.

Élaborons des projets.

Investissons conjointement.

Arrimons nos créneaux d’excellence.

Innovons ensemble.

C’est par ces moyens que nous allons ramener les beaux jours pour le mieux-être de nos concitoyens de part et d’autre de l’océan.

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Et le Mouvement Desjardins est enthousiaste à l’idée de dynamiser la relation d’affaires avec nos amis français pour stimuler la reprise.

Notre histoire a des racines communes.

Notre avenir sera fait de projets communs.

Merci.

Références

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