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Le rôle des cavernes et des souterrains dans la guerre des partisans

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Le rôle des cavernes et des souterrains dans la guerre des partisans

PITTARD, Jean-Jacques

PITTARD, Jean-Jacques. Le rôle des cavernes et des souterrains dans la guerre des partisans.

Revue polytechnique , 1943, p. 1-19

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:142131

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SOCIÉTÉ SUISSE DE SPÉLÉOLOGIE

Le rôle des cavernes et des souterrains

dans la guerre de partisans

par

Extrait de La Revue Polytechnique,

Bulletin de la Société Suisse de Spéléologie, du 25 décembre r943

GENÈVE

IMPRIMERIE DE LA TRlBUNE DE GENÈVE Rue du. StDnd 42

1943

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Le rôle des cavernes et des souterrains dans

la guerre de partisans

par

J.-J.

PITTARD

1 . Buts de la spéléologie militaire

Dans plusieurs pays, les Etats-majors ont créé des services spéléologiques ayant divers buts:

I. Emploi de cavernes comme postes d'observa- tion ou de combat lorsque ces dernières dominent un terrain propice.

2. Utilisation de grottes assez vastes pour ser- vir d'abris permanents à des troupes ou à des che- vaux.

3. Installation d'hôpitaux et d'ateliers souter- rains.

4. Création de magasin_s pour vivres, munitions, habillements ou carburants.

5. Les cavernes situées à proximité d'une ville sont utilisées par les services de la défense aérienne passive.

6. Une troupe en manœuvre peut avoir avantage, dans des régions inhabitées, à trouver sous terre des abris temporaires, se mettant ainsi à couvert et bravant les intempéries.

7. Le Service de renseignements et la Police doi- vent également connaître la position de grottes

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La Wehrmacht contre les partisans en Yougoslavie Une caverne utilisée depuis un certain temps par des troupes de

partisans a été découverte par les services d'exploration de la Wehrmacht.

Le terrain environnant ayant été étudié avec soin, l'assaillant va s'approcher de la grotte qui n'est pas gardée.

(Cliché ob ligeamment prêté par le journal « La Suisse».)

pouvant servir de lieux de retraite à des agents de l'ennemi ou à des conspirateurs connaissant bien le pays.

8. Connaissance du territoire souterrain artificiel (tunnels, souterrains, etc.) en vue d'empêcher des actes de sabotage, ou, au· contraire, de les exécuter facilement.

Pour ces raisons diverses, il est nécessaire de re- connaître sur place, non seulement les cavernes natit- 1'elles, mais enc:ore les mines en exploitation ou aban- données, les soitterrains divers (historiques ou non), les anciens égouts, de même que ceux qui sont en service actuellement (à condition qu'ils soient pra- ticables) , les chambres soitterraines du téléphone, les fenêtres d'accès aux canaux d'amenée des usines hydro-électriques et les autres travaux souterrains

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de ces entreprises (timnels de dérivation, tunnels d'inspection, et c.), certains tunnels de chemins de fer et leurs dispositifs d'aération, les galeries de captage des importantes sources d'eau potable ou d'eau industrielle, les carrières soitterraines et enfin cer- taines caves creusées dans le rocher.

Il faut mentionner encore les gorges étroites, les failles importantes, de même que les vastes abris sous roche (barmes) .

La question primordiale de l'eau potable, si im- portante pour une armée, soit que l'on veuille éviter sa pollution, soit au contraire que des partisans ou des émeutiers désirent l'empoisonner, nécessite

La Wehrmacht contre les partisans en Yougoslavie L'assai llant, ayant décidé de s'emparer de la caverne, envoie des pion niers d' infanterie placer des charges explosives à l'entrée de la grotte. Les hommes à qui cette mission incombe sont natu- rellement placés hors de la vue des occupant s de l'abri et sous

la protection des armes de leu rs camarades.

Les charges font exp losion, neutra lisant les défenseurs dans la zone de l'entrée.

Si la caverne a un tracé en zig zag, l'assaillant rencontre évidemment bea ucoup plus de difficultés à en forcer l'entrée, les défenseurs se

trouvant à couvert dans des ang les des pa rois de rochers.

(Cliché ob ligeammen t prêté par le journal «La Suisse ».)

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L'entrée de la caverne aya nt été neutrali sée par les charges d'explosif, une troupe de choc, composée de chasseurs alpins, pénètre dans le repaire pour le « nettoyer ».

Etant donné les sin uosités possibles de la grotie, l'emp loi de lance-nammes peut randre de grand; services.

(Cliché obligeamment prêté par le journal « La Su isse ».)

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la connaissance du réseau hydrographique souter- rain, qui, en pays calcaire, est souvent très com- pliqué. Une grande contribution à la solution de ce problème sera donnée par l'étude des gouffres et des abîmes, de même que par celle des puits à neige et des glacières naturelles ou encore des pertes de ruisseaux ou de rivières et des 1'ésurgences. ·

Comme on le voit par cette simple énumération, Je territoire souterrain à explorer, à étudier et à connaître, peut être très vaste et très varié.

2. Le Rôle des partisans

La guerre actuelle voit se développer de plus en plus les organisations de partisans. Ces derniers, dont les groupements augmentent sans cesse, dis- posent de moyens d'action modernes, variés et iné- dits. Comme on le sait, ces groupes peuvent entraver le travail et les mouvements de l'ennemi d'une façon considérable. Il n'est pas dans notre intention de parler ici des nombreux exploits des détachements de guérilla actuellement parfaitement organisés. La presse de divers pays, de même que des organes mili- taires, ont souvent exposé les méthodes employées et les résultats obtenus par ces troupes spéciales.

Nous donnerons cependant un exemple montrant bien l'aide que les partisans peuvent apporter à l'ar- mée régulière pour laquelle ils combattent:

«Les attaques contre les voies ferrées en territoires occupés peuvent s'effectuer plus économiquement et avec plus d'efficacité, de terre, par des francs-tireurs que par l'aviation. Les agences nous révèlent journelle- ment l'activité et l'audace de cette forme peu classi- que de la guerre, et son incontestable rendement.

Un avion de bombardement léger, comme ceux qu'emploie l'aviation de bombardement stratégique,

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Utilisation du territoire souterrain

Caverne uti lisée par des troupes de la Wehrmacht en Yougoslavie comme dépôt d'armes et de munitions et comme cantonnement. Les abords de la grotte ont été aménagés en vue de ce t emploi .

(Cliché obligeamment prêté par le journal « La Suisse».)

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La Wehrmacht contre les partisans en Yougoslavie

Une compag nie part pour attaquer une grotte servant de repaire à des parti sans. La cavern e, située dans la forêt, sur les flancs de la montag ne, doi t être cern ée de tous côtés.

(Cliché obligeamment prêté par le journal « La Suisse ».)

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ne peut que difficilement identifier un train, atteindre un aiguillage, obstruer un tunnel.

Le cas du viaduc d'Anthéor, sur la ligne Mar- seille-Nice, est typique. Un objectif pareil, en bordure immédiate de la mer, semble avant tout justiciable des canons d'un ou plusieurs croiseurs embossés à quelques milles au large. En fait, le commandement allié préféra envoyer des bombardiers d'Afrique du Nord opérer la destruction. Sur un aussi long par- cours, le tonnage des projectilf!s emportés est réduit.

L'attaque échoua. Quelques villas du voisinage furent seules soufflées. Une deuxième attaque, menée par des bombardiers lourds partis probablement de Corse (600 kilomètres de parcours au lieu de 1600) fut encore insuffisante, bien que les avions aient pu descendre jusqu'à zoo mètres au-dessus de leur objectif.

Enfin, les journaux nous apprennent que, le 14 novembre 1943, des partisans ont fait sauter trois arches du pont d'Anthéor. Ce résultat prouve que la répartition des missions entre les moyens que le commandement a à sa disposition est la condition première d'une saine économie des forces. Les deux premières expéditions aériennes, coûteuses, n'ont pas atteint leur but. La troisième, exécutée de terre, a été plus efficace et ne se solda par aucun frais inutile.» (Extrait de l'article Stratégie et tactiqiie du Journal de Genève du 19 novembre 1943.)

Ce simple exemple permet de concevoir com- bien les partisans ont avantage· à pouvoir se dissimuler daIJ.s un territoire souterrain sûr et connu d'eux seuls où ils peuvent attendre tranquille- ment la meilleure occasion d'agir.

Un cas de sabotage où seuls les guérilleros peu- vent obtenir un succès en pays occupé est l'interrup- tion de lignes souterraines de t éléphone ou de télégra-

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Utilisation du territoire souterrain

En Italie méridionale, les Anglai s utilisent un tunnel demeuré intact pour faire passer des chars d'assaut.

(Cliché extrait de la presse suisse.)

phe que ne peuvent découvrir les aviateurs. Mais pour cela il leur faut connaître exactement les positions et les entrées des chambres souterraines du t éléphone où la rupture des câbles peut s'effectuer en toute tranquillité.

(Ces chambres du t éléphone sont établies à certaine distance les unes des autres pour la surveillance et pour les embranchements des lignes télépho- niques souterraines. Ces excavations, situées géné- ralement en bordure de route, ne sont pas visibles dans la plupart des cas : seuls les agents des P.T.T.

les discernent et comme il s'en trouve dans des régions éloignées de toute surveillance, il n'est pas difficile à ceux qui savent leur emplacement exact d'accomplir la mission reçue.)

L'interruption momentanée ou définitive de nom- breuses exploitations que l'on peut atteindre par le sous-sol n'est de même pas très difficile. Citons

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en premier lieu les usines hydro-électriques et leurs nombreuses installations souterraines (tunnels de dérivation où il est facile de s'introduire, l'existence de ces derniers étant souvent oubliée par les exploi- tants ou leur personnel; tunnels d'amenée, fenêtres d'accès, souterrains conduisant aux châteaux d'eau ou aux chambres de vannes ; galeries pénétrant sous les barrages, etc.)

Les nombreuses galeries de captage des eaux alimentant une ville ou une garnison peuvent aussi donner lieu à des travaux de destruction faciles à faire dans la nuit et le silence.

Une habile obstruction d'un égout important peut déclencher une épidémie ... et les surveillants d'un égout n'y vont pas tous les jours !

Les lignes de chemin de fer d'un certain âge peu- vent être atteintes dans plusieurs tunnels grâce à des travaux oubliés dont il ne reste même plus de traces visibles de l'extérieur (souvent à cause de la végéta- tion), tels que galeries de décharge ou canalisations provisoires pour l'évacuation des eaux.

Les grosses conduites de gaz, provenant d'usines envoyant leur produit au loin, peuvent, en certains endroits, être atteintes dans des chambres souter- raines de contrôle.

Enfin cette liste des principales possibilités de sabotage par voie souterraine ne serait pas com- plète si nous ne citions pas les mines dont l'arrêt de l'exploitation est relativement facile à obtenir (si la surveillance est insuffisante) grâce à des éboule- ments, des inondations, etc.

Ces quelques considérations nous montrent bien tout le parti que peuvent tirer les guérilleros d'une connaissance parfaite d'un territoire souterrain per- mettant de graves destructions.

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Grotte-refuge en Italie

Les populati ons civiles de l' ltali2 méri dionale uti li sent fréquemment des grottes pour éviter les effets des bombardements aéri ens. Dans le cas par.ti culier, cette caverne sert à ab ri ter, outre les habitants, divers

objets religieux.

(Cliché extrait de la presse suisse. )

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Utilisation du territoire souterrain

Dissimulés dans des trous et des abris naturels, des fantassins allemands attendent l' ordre de passer à l'attaque. (Photo prise sur lè front de l'Est.)

(Cliché extrait de la presse suisse.)

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3. Les cavernes et le terrain

Dans une région montagneuse, l'existence des cavernes est généralement peu connue : seuls des chasseurs, des braconniers, des bergers et quelques rares touristes en savent la présence. Quant à la position et aux dimensions de ces grottes, les rares indications fournies par· les quelques habitants du pays qui sont au courant sont presque toujours fan- taisistes : on conçoit dès lors la grande difficulté que présente le repérage de ces abris en période troublée, les enquêtes se heurtant à l'ignorance ou au mau- vais vouloir de la population. Et chercher au hasard dans d'immenses territoires montagneux et forestiers est une opération longue, périlleuse et décevante ...

On voit tout l'avantage que peuvent tirer de telles conditions des partisans connaissant bien le pays.

Ils peuvent se cacher dans des abris connus d'eux seuls, y accumuler des vivres, des armes et des muni- tions. L'entrée est souvent petite; des broussailles y poussent quelque fois en abondance et camouflent ainsi naturellement la grotte : de là, on peut voir sans être vu !

Certaines de ces cavernes, placées à la base <i.e parois de rocher, dominent de vastes étendues de plaine, constituant de splendides postes d'observation. L'en- trée, fréquemment cachée par des arbres ou des ressauts de rocher, est très difficile à voir, même d'un avion.

Si, pour des raisons tactiques, les partisans doivent abandonner temporairement leur refuge, l'ennemi a moins de chance de découvrir une grotte qu'un cha- let (ce dernier est indiqué sur les cartes, ce qui n'est généralement pas le cas pour les grottes ignorées même des topographes), et s'il la découvre, il ne peut pas l'incendier à titre de représailles !

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4. Les cavernes et la guerre

Nous avons vu, d'une manière très succincte, tout le parti que peuvent tirer les guérilleros de la connais- sance parfaite et de l'emploi judicieux du sous-sol, tant des grottes, gouffres et cavernes que des travaux souterrains artificiels tels que tunnels, galeries, etc.

Il est évident que ce même territoire souterrain peut être exploité par les armées régulières. C'est ainsi qu'en 1939 les grandes mines se trouvant près de la frontière franco-allemande ont été le théâtre

Les combattants du « maquis » en France

Grotte servant d'abri à de jeunes Français ayant pris le « maquis»

dans les montagnes de la Haute.Savoie.

(Cliché extrait de la presse suisse.)

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Les combattants du « maquis » en France Grotte utilisée comme refuge et comme cantonnement par les partisans en Haute-Savoie. Cette grotte, dominant une importante

vallée, a servi également de poste d'observation.

(Cliché extrait de la presse suisse.)

de multiples travaux d'approche entre des unités qui semblaient devoir être immobilisées dans une guerre de position. A ce sujet on se souvient des nom- breux épisodes de la guerre souterraine, de la guerre de sape, durant les années r9r4-r918.

Dans la bataille actuelle, les cavernes jouent aussi un rôle, rôle qui peut être actif ou passif.

En Crimée, les Allemands utilisèrent de vastes abris sous roche pour protéger leur matériel de la vue et des coups de l'aviation adverse.

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A Sébastopol, les Russes se servirent de nom- breuses cavernes pour se cacher, d'abord, puis pour attaquer brusquement leur ennemi sur ses arrières.

Lors de la bataille de Salerne, les Allemands se dissimulèrent dans les nombreuses grottes du pays (ainsi que le relate une dépêche Exchange du r5 sep- tembre 1943), évitant ainsi le bombardement massif

(bombardement combiné par marine et aviation) des troupes canadiennes ; puis, tombant brusquement sur leur ennemi qui ne les avait pas vus, ils le for- cèrent à reculer.

Avant la bata.ille d'Italie, la Wehrmacht installa des ateliers souterrains dans de vastes cavernes des Apennins du sud, afin d'y réparer du matériel lourd et d'y procéder au montage de moteurs à l'abri des bombardements.

Des cavernes ont été aménagées par les Allemands en Yougoslavie pour y cantonner et s'y dissimuler:

de là ils organisent des expéditions contre les groupes de partisans.

En Haute-Savoie, comme dans d'autres parties de la France, de nombreux groupes appartenant au mouvement de la cc résistance » utilisent de semblable façon de multiples grottes.

Dans ce pays aussi, la Wehrmacht se sert égale- m.ent du territoire souterrain.

En France encore, on vient de. découvrir une imprimerie clandestine installée dans une caverne rocheuse profonde de 30 m. Cette entreprise, dont le bruit n'était pas perceptible, éditait des tracts et des journaux interdits.

La population civile, de son côté (et cela est im- portant dans la conception de la guerre totale) tient à se réfugier dans ces abris naturels défiant tous les bombardements, ainsi que nous l'apprennent de nom-

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Souterrain aménagé sur le front français en 1939

Une «cagna » dan s une forêt '.front françai s de 1939). Il s'agit de l'aménagement de la surface du terrain au point d'entrée d'un souterrain.

(Cliché extrait de la presse .suisse.)

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breuses informations de presse provenant d'agences diverses.

La connaissance, l'utilisation et l'adaptation au terrain est pour une armée une question essentielle.

En pays de montagne le terrain prend une impor- tance plus grande encore.

C'est pourquoi, et surtout dans la guerre de chasse (au moment où le combat rapproché reprend une extensi·on que la période 1914-1918 lui avait en grande partie enlevée), l'emploi judicieux du sous-sol, lors- qu'il est possible, présente de grands avantages. Et c'est ainsi que les armées les plus modernes et les mieux équipées doivent tenir compte de ces cavernes, d'où ceux qui n'ont pas voulu se soumettre, peuvent porter des coups répétés et quelquefois très coûteux.

Pitblication autorisée N° 680/2475.

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