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L E VERBE LATIN - VALEURS ET EMPLOIS - par Jacques PERRET Professeur à la Sorbonne

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L E V E R B E L A T I N - VALEURS ET EMPLOIS -

par Jacques PERRET Professeur à la Sorbonne

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TABLE DES MATIERES

CHAPITRE I - Les catégories verbales .., 1

Structure interne des catégories, p. 3 - rapports des catégories les unes avec les autres, p.5 - au- cune de ces catégories- n'est liée nécessairement au verbe, p.8*

CHAPITRE II - La distinction du nom et du verbe 9 La phrase verbale issue de la phrase nominale,

p.10, - la ségrégation des noms de procès, p.14.

CHAPITRE III - Les phrases sans verbe . . 20

Phrase noainale et phrase à verbe être, p.20 - les phrases sans verbe du latin, p. 23 0

CHAPITRE IV - Les emplois impersonnels. Pluit, paenitet, i t u r . . . 27 Unipersonnel et impersonnel, p027 - survivances im- personnelles en latin, P4300

CHAPITRE V - Les emplois impersonnels,» L'infinitif centre de

phrase 38

L'infinitif exclamatif, p.39 - l'infinitif de narr ration, les distinctions nécessaires, p.40, - l ' i n - finitif de narration, le problème des origines,p.42.

CHAPITRE VI - Les voix. Problèmes généraux, la constitution de

l'actif 47

Le problème de l'origine des voix, p.48 - le pre- mier type de phrase personnelle, p.51 - consti- tution de l'actif, p.54

CHAPITRE VII - Les voix. Les formes en ^r , valeurs moyennes et

valeurs réfléchies . 57

Formes en -£ et valeurs moyennes, p.57 - formes en -r et valeurs réfléchies, p.60.

CHAPITRE VIII - Les voix. Les formes en -r: le passif 64 Genèse du passif, p.65, - place du passif dans

l'histoire du verbe, p.67; - les incertitudes du passif latin, p.70.

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V A L E U R S ET E M P L O I S . D U V E R B E L A T I N

Chapitre I LES CATEGORIES VERBALES

Des les débuts de 1*apprentissage du latin, l'analyse des valeurs xiuj^xxqueeB aans une forme verbale nous «^ovenier ia plupart des élé- ments sur lesquels devra s'exercer notre réflexion.

Dans une forme verbale on peut reconnaître généralement une valeur sémantique par quoi le verbe éveille en nous une image lexicale distincte : une forme quelconque de lego (dire) se distingue par là d'une forme quelcon- que de audio (entendre) « Puis nous distinguons personne, nombre, temps, mode, voix; enfin un type de construction (potior se construit avec le génitif, utor avec l'ablatif, imitor avec l'accusatif) qui est généralement en rapport avec le plus ou moins d'étroit esse des liens du verbe à ses déterminants.

Vos progrès en latin au cours de votre scolarité secondaire vous ont, je suppose, rendus attentifs à deux éléments encore :

On peut dans la plupart des formes verbales reconnaître un aspect.

C'est-à-dire que, indépendamment de la section de la durée (passé - présent - futur) où est situé par rapport au moment du discours ltensemble du procès exprimé par le verbe, ce procès lui-même est implicitement analysé et telle x. manière d'en faire un objet de pensée ou telle de ses phases se trouve en-

visagée, mise en relief, de préférence aux autres. C*ebz l'opposition - entre nosco "je cherche à connaître" ( nosce animum tuum, apprends à connattre ton âme) et noui, la connaissance est acquise, "je sais".

- entre facio, je fais, et oonficio, "je faie mais c'est la dernière étape du faire : j'achève".

A côté de ces problèmes d'aspect qui sont une des conquêtes de la philologie du dernier siècle, vos maîtres ont attiré votre attention sur le problème d'ordre des mots. En ce qui concerne le oas particulier du verbe latin, nous verrons que selon qu'il est placé dans la phrase ici ou là 1- valeur du procès au 'il signifie se fait différente : disons-le dès maintenant d'un mot, l'antéposition du verbe est, au même titre que le subjonctif, un instrument de subordination.

Enfin les linguistes attribuent à juste titre une très grande im- portance d la fonction actualisante de la plupart des formes verbales. Ils veulent dire par lâ que c'est par une forme verbale très fréquemment que les éléments lexicaux sont organisés en un unique objet de pensée :

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"cheval", "cheval gris", "cheval bleu" sont des mots ou des groupes de aots; par le verbe ces mots deviennent éléments d'une pensée :

Je vois un cheval*

Le cheval est-il gris

Il n'existe paa de cheval bleu.

Je voudrais un cheval bleu.

L'infinitif est tantôt actualisant, tantôt ne l'est pas. Il ne l'est pas dans :

Gémir, pleurer, prier est également lâche furpe est mentiri

II l'est au contraire dans les phrases latines à l'infinitif de narration ou dans des énonoés te±s que :

Que dire ?

Moi, le faire empereur! Ingrat, l'avez-vous cru ?

Valeur sémantique, valeur de personne, temps, mode, aspect, voix, nombre, rapport plus ou moins étroit avec des déterminants éventuels, mise en situation du procès à l'intérieur d'un énoncé plus vaste, présence ou absenoe de valeur actualisante, c'est par ce qu'elles sont à tous ces points de vue qu'en chaque cas les formes verbales concourent. à la signification de l'énoncé, c'est tout cela que nous allons avoir à considérer.

Il suffit d'énumérer successivement toutes oes déterminations si nombreuses pour voir quelle est l'étendue de la tâche qui nous incombe.

Pour ne pas risquer le danger de spéculer sur des abstractions, fruit de plus de deux millénaires d'enseignement grammatical, pour nous pré- parer une pensée suffisamment souple et docile aux faits, i l convient d'exa- miner de plus près la nature de ces catégories (personne, temps, mode, eto..) que nous venons de rappeler et dont nous aurons continuellement à nous servir.

La présente leçon, à tout le moins, sera consacrée à cet examen : trais séries d'observations nous paraissent ici nécessaires s

I - relatives à la structure interne de ces catégories,

II - relatives à leur rapport réciproque à l'intérieur du système verbal, III - relatives à leur liaison à un type de mots spécial qui serait le verbe.

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I. - Structure interne des catégories.

Le fait fondamental est que chacune de ces catégories ne prend vie que par l'existence d'un système d'oppositions; on peut même dire que ces systèmes d'oppositions constituent toute leur réalité. Soit, par exemple, la catégorie des temps : un présent n'est un présent que s ' i l a auprès de lui un prétérit ou un futur; dans une langue où i l n'y aurait pas de prétérit ni de futur, i l n'y aurait pas non plus de présent; et donc pas d'expression du temps. S'il n'existait pas d'oppositions organisées, la catégorie elle-même disparaîtrait.

De même pour les modes : pas d'indicatif s ' i l n'y a à côté un sub- jonctif et pas de subjonctif s ' i l n'y a un indicatif auquel i l puisse s'op-

poser. ^

Chacun des termes de l'opposition est la condition de l'existence de l'autre; c'est à eux tous qu'ils font exister une modalité spécifique de l'expression.

Le principe est simple : son application requiert cependant un exa- men très attentif et un sens affiné des nuanoes. Les difficultés proviennent de ce qu'on n'est jamais assuré de la manière dont i l convient de délimiter l'ensemble des faits qui ont été sentis par l'usager comme formant système.

Nul ne doute que capiebat ou cepit prend.son sens vis-à-vis de capit; i l est moins assuré que oeperit ou caperet se définissent par rapport à capiat et moins assuré encore que la série des temps du subjonctif ait tendu à s'orga- niser à l'image de celle des temps de l'indicatif et comme pour lui servir de vis-à-vis, de répondant, de repoussoir.

Ces oppositions à deux ou trois termes ne sont jamais symétriques.

(Sur cette dissymétrie qui leur est essentielle, voir J. KURYLOWICZ, La nature des procès dits "analogiques", Acta Linguistica, V, 1945-19499 P* l5-371. Il Y a toujours un terme de base, une forme de fondation comme on dit quelquefois, et une forme fondée, ou marquée, ou caractérisée. La forme fondée ou marquée est seule susceptible d'une définition directe; l'autre, quoique fondamentale, ne se définit que par rapport à la forme fondée et négativement : elle est tout ce que n'est pas la forme fondée. Chacune tend à empiéter sur l'autre, mais par des moyens différents : la forme fondamentale est riche de sa plas-

ticité, de son indifférenciation, de la multitude des emplois auxquels elle se prête; la forme fondée, ou marquée, est riche d'une caractérisation souvent impressive.

Il est des oas où les faits sont assez simples : dans les opposition de modes, l'indicatif est en latin la forme fondamentale, le subjonctif la forme marquée. Du subjonctif seul on peut donner une définition directe : le mode de l'éventualité, de la virtualité; l'indicatif, c'est tout le reste : le mode de la réalité, comme on dit souvent, mais aussi bien celui dtt l'hy- pothèse, de l'interrogation, c'est-à-dire d'attitudes absolument opposées à

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l'affirmation d'un réel. L'indicatif ne peut être défini que comme un non- subjonctif*

Dans l'ordre des temps de l'indicatif, c'est le "présent" qui est la forme non marquée par opposition aux prétérits et aux futurs. Ainsi s'em- ploie-t-il souvent en fonction du prétérit ou du futur, tandis que l'inverse est beaucoup plus rare et doué d'une forte valeur stylistique.

Au subjonctif, le plus-que-parfait est marqué par rapport à l'im- parfait; très mal représenté dans les origines de la langue, i l finit à l'épo- que romane par le supplanter entièrement.

Parfois les faits sont plus divers. L'oppositior du duratif au mo- mentané semble avoir été fondamentale en indo-européen; elle se oontinue en grec par l'opposition de l'imparfait et de l'aoriste, en latin par celle du présent historique et du perfectum. Mais i l est impossible de dire, en géné- ral, quelle est de ces deux formes, la forme fondamentale 'et la forme fondée.

Si l'on suppose qu'à l'origine du moins la forme fondée se recon- naît à la présence d'affixes supplémentaires, i l semble que, selon le sens des radicaux, le système puisse être inversé.

Dans le verbe "jeter", de valeur sémantique. êvlàeimuvnx, momentanée.fa tarmt fondamentale est un aoriste ieoi.; en latin (comme en grec) le présent form4 à l'aide d'affixes secondaires, suffixe -y en latin,redoublement en greo est la forme fondée 1ao10..

Inversement, dans le verbe "aller", de valeur sémantique évidemment dura- tive, la forme fondamentale est un présent eo; c'est l'aoriste qui est formé

par recours à des affixes secondaires iui.

Mais i l peut y avoir des flottements. Dans le verbe "donner", le latin et le grec distribuent différemment leurs formes opposées. La forme radicale, fondamentale semble-t-il, donne en latin un présent, mais en grec un aoriste damus = edomen ; 1 A af fixée, fondée, est en latin un aoriste dedi, en grec un présent didSmi»

Même quand les faits sont à peu près clairs à l'intérieur d'un état de langue donné, i l faut prendre garde qu'au cours de l'évolution historique, les rôles ont pu être échangés entre deux tours ou deux formes inclus dans le même système d'opposition. Ce qui, à une époque donnée, fonctionne comme fondé marqué, a pu antérieurement fonctionner canine fondamental, et réciproquement.

Nous verrons que selon toute apparence, dans l'opposition facit / fecit, o' est fecit (passé) qui est marqué, du point de vue du système t-emporel de l'époque historique, vis-à-vis de facit (présent); mais i l est à peu près

* assuré qu'à une étape antérieure, c'était facit (duratif) qui a été marqué vis à-vis de te01 t (momentané).

De même, dans l'opposition de l'indicatif au subjonctif : à l'époque his- torique, c'est le aubjonctif qui est la forme marquée; mais nous verrons que selon toute apparence l'indicatif est né par spécialisation à partir de formes modalement indiffére»«i£ea où prévalaient alors certaines des valeurs lue oonserve le subjonctif classique.

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\ -

La dissymétrie qui existe entre forme fondamentale et forme fondée a pour eifet que les formes'fondamentales transcendent dans une certaine mesu re le système d'oppositions auquel elles appartiennent.' Et elles peuvent être employées de la sorte. Dans une langue cornue le latin i l y a ainsi des

"présents qui n'ont aucun caractère temporel, ni de passé, ni de présent, sans aucune détermination du point de vue du temps, oomme si ni prétérits ni futurs n'existaient dans le verbe auprds d'eux. De même certains subjonc- tifs parfaits ne semblent avoir aucune détermination quand si l'aspect « Cer- taines troisièmes personnes, au pluriel notamment, sont étrangères à toute détermination personnelle, comme le "on" du français qui peut être aussi bien un tlje", un "nous", un "tu", un "vous", un "118"0 De ce fait, le sys- tdrne. de la lantue, plus confus pour l'analyste, est pour, .celui qui parle beaucoup plus simple, plus maniable que ne le suggéreraient la multiplici- té des systèmes d'oppositions qui en sont cependant le fondement.

II. - Rapports des catégories les unes avec les autres.

Les catégories que nous venons de distinguer, puis de classer, ré- pondent à des réalités dont les Latins eux-mêmes avaient le sentiment, puisque leurs propres grammairiens les avaient distinguées. Pourtant, elles ne 'répon-- dent pas à des êtres de raison qui seraient absolument distincts. Cela tient à oe que le système de la langue évolue et qu à chaque étape de réamenage- ment les éléments antérieurs, la disposition antérieure des éléments subsiste en rémanence. Cela se manifeste de trois manières:

Tout d'abord, ces catégories empiètent souvent les unes sur les au- tres et - manifestation plus caractéristique encore de leur commune indis- tinction il n'en est aucune oiî le jeu des oppositions s'établisse dei façon totalement autonome, indépendamment des autres caractères qui résultent des oppositions impliquées dans la même forme. Nous verrons-par exemple qu'il est souvent à peu près impossible de distinguer l'aspect êt le temps.

Dans une phrase de Sénèque (Ep. 9 7) le philosophe compara l'état d'esprit de deux hommes, l'un est en train d'acquérir (parat) un ami,

l'autre s'est acquis (parauit) un ami, -

l'opposition est-elle de l'ordre de l'aspeot, ou de ceïttï du temps ? L'un de oes deux hommes A fait dans le passé une action que l'autre fait dans le pré- sent; mais aussi ces deux hommes sont tous deux dans le présent de Sénèque, se trouvent simultanément devant lui.

Mais i l ne s'agit pas seulement de nuances : en dépit de la be-le régularité des grammaires et du quadrillage rassurant sous lequel elles nous présentent le tableau des formes verbales, on ne peut se dissimuler que dans le latin le plus classique, temps et modes interfèrent souvent. Sans classer

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l'expression de l'agent du verbe passif introduit par ab est très rare. Dans le Mies, il n'en est qu'un exemple au v. 1202, nunquam ego me tam sensi aman quan nuno ab illa muliere.

La tendance à employer le passif avec valeur d'impersonnel manifeste également le '* désordre, la disharmonie, le contresens qu'il introduit dans le système verbal, et un essai pour en pallier les inconvénients. Dans un grand nombre des phrases où intervient un de oes passifs encore plus ou moins en- gagés dans les catégories du réfléchi ou du quasi-réfléchi existe une incura- ble ambiguïté sur le véritable agent du procès ;

statua ornatur a aacerdote nauis fertur uentis ..

maerore conficior • ' , 5 1 - , Haec a uaesare geruntur .

Un seul point reste net : le procès ; aussi n'est-il pas étonnant que la phrase tende à s'y réduire ; aperitur cela s'ouvre, dabitur cela pourra se donner = on donnera; fide non me,-Îlus ,oreditur (Po 890) quelqu'un ne se confie pas avec plus de sûreté à la Bonne Foi elle-même; Male dictitatur tibi uolgo in sermi- nibus (Tn 99) des bruits, des choses se disent défavorablement de toi. Nous

là l'équivalent de nos "ça vaw, et autres expressions familières.

Po 035 tenebrae, latebrae, bibitur estur quasi in poplna> obscurités, recoins boisson se boit, nourriture se mange comme au cabaret.

Ces impersonnels sont à interpréter comme représentant, à l'origine, de quasi-réfléchis ou de vrais passifs. Mais de proche en proche -l'emploi a pu s'étendre à des verbes dont le sens excluait qu'ils fussent jamais au pas- sif ou au réfléchi. On peut se représenter ainsi les progrès de l'analogie :

praeclarum facinus narratur, une belle action 'se raconte, est racontée, praeclare factum esse narratur, à l'origine -praeclare factum esse est entendu comme sujet de narratur; mais,-d'après l'analogie de phrases comme praeolare faotum esse narrant, le groupe à l'infinitif peut être conçu comme complément, non plus comme sujet; narratur apparaîtra alors se suffire pleine- ment à lui-même, en sorte qu'on puisse dire tout aussi bien t

praeclare fecit Horatius. Ita narratur. Narratur apparaîtra comme une ma- nière d'exprimer l'indéfini, l'équivalent de narrant ; et c'est d'après ce modèle que seront créés curriturt uenitur au sens de sunt qui ourrant, ueniant

L'évolution, comme le fait remarquer WISTRAND (p. 94-95) tout à fait du même type que celle qui dans un autre secteur de la grammaire a éter du l'emploi du verbe "avoir" à partir de phrases où il a son sens propre d'a- voir en mains, posséder (j'ai écrit une lettre = j'ai en Mains une lettre écrite), jusqu'à des phrases où il.n'est plus qu'un morphine du passé (j'ai dormi).

Tout ceci sans exclure que dans*le développement de ces emploi.

d'autres facteurs aient interféré que nous aar on s spécialement étudiés à la fin du chapitre IV.

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