• Aucun résultat trouvé

La Traduction entre la Néologie et l’Emprunt

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "La Traduction entre la Néologie et l’Emprunt"

Copied!
8
0
0

Texte intégral

(1)

La Traduction

entre Ia Néologie et I'EmPrunt

Ottissent 7'A{iH,43II

Llniversiré

d'Orun

/:rvant d'i'tborder ie problème dc ia iei'minologie cians la trailuction cJe

rertes

scienriliclucs et tecl:niqucs. ti con'.,ienl cie iappclcr qL;e l'ob.lectif iie notre coi'nmunicatit)n

iniittilée

<<

[.a Tracluction

entre ta Néologie et l'ErnprunÉ ri es'i ci'évoquer. 1a nécessité d'une vraig poiitiquc de création et Ce trorn.izriisatlort

de

néologisrres

pour

cor.nbier

le

retard linguistique

de ia

langue araL'e par

rapporl aur langues technologiqueinqnt plus avaltcées .

.La

lnédiation interlinguistic.lue qui perr,ret de faire passer Lin nlessage

d'une

langue- source dans r:ne langi-re-cible est devenue une tâche di1'tlcile. et

parfois

impossible. pour Ies traducteurs de texies scientiliques et techniques en

a;:abe.

Les

lacunes terminologiques.

de pius en plus

nombreuses. dans ics registres spécialisés

sont

devrr'nues une sériertse menace

pour ie

fuiLrr de la

« convergence linguistique », car

il

ne faut pas oulrlier qtle l'al'enir des langues

cst iié à leur

capacité à exprimer et à riiflfuser les réalités et les recherehes les plus complexes dr-r Irtonde moderne(l) ,

Airiourd'hui

au

XXI

ème siàcle, rievani le fait qLre les pays arabes ne

-(oltt ni

inciustrialisés. ni exportâtcur"s Ce technoiogie. les terminologues cioivent

laire

Lin effr-,it consiCirabie pottr pt'éservi:r i'inte'Jrité de la iarl!:ue ai-abe tace à

des inCLrstries et iles lalgues plLrs riévcioppées. conrirte I'angiais oLr le lriilrçiris

Il ne

laut pas oLil:lier ctLre ceiLri clui conirôle le savoir et la technoiogic'contr'Ôie.

sùuvent. ia termrnolcgie. Ceia n'esl saits tio,.ite pas noli!'JaLl pûul- une langue de

vieiile

civilisatioit con.inie la nJtre. qiii a introiiurt

ians

!e ieriqLrr.'universel des ternres conrnle

Àlgoriihme oii

Algèbre,

llelas. attiourd'hui cn est

passé de

producteurs à

conscmnrateu,rs

cie ternrinologie. Souvent, dt

n-raiii ais consommateurs

qui font de

l'a'osence C'Lrne

politique de

neciogie

et

de nornralisaticn un préter.le pour ailuser de l'usage i1^entprunts

tt

ele qalclr-les.

AÉ. MUTfINëIM I\I'T TANS.

'UIP{

E§Ol 51

(2)

O- TOUITAMI

Ln alabe on pe ut distitrguer'l.rois t\pcs ri curpruirts :

l-Les

ernprunts n0n a«laptés: Dont l'usage est sou\/ent criticlué, pour

le fàit d'être

des tern.ies introduits

en

arabe avec

leur

forme graphique et

phonétique

criginale, Leui: usase esi très fi'équent dans le

langage de

I ' infolmat ique.

2-Les emprunts adaptés : qui se divisent eit dcux Eroupes ;

a-Les emprutrts aciaptés

au

systèrne graphioue arabe : Des terrnes transcriis

en

arabc selon

leur

prononciation

orisinale.

contme par erernple:

(lnternet,;-;i

I

( MODEM.:3.)

b-[-es emprunts adaptés au svsiènre graphique et phonétique arabe :

Des

iermes iranscrits

en

arabe selon son s),stèma pitonétic1,,re.

cotnrte

par exr'mple : tDoLrblage

.;or':) (lcôrrc

.;-

*.i)

Sans doute. la technique la plus utilisee par

les traducteurs.

aujourd'hui, pour faire

face

au

manque

de lcrique

spécialisé est celle ciu

calque

I

c'est-à-dil'e la traduction littérale, r,crs l'arabe. d'un terrre <;u enscinblc de tei'mes :

illlectionic

i\1ail .-._,

-tl

-,r

r)

(F'ile Server

JiJr .i!.)

Le calque,

devenu l:abituel chez ies rraduc:ieurs i,ers i'arabe. esr !lne technique qui menace sérieusement ie futur de la langue poLir Ceur raisons :

*Elle

n'encouraqe

guèrc le travail cie néologie basé sur

la

coopération entre néologucs. terminologues. lingiirstes.

traducterirs eI scicntifiques.

uElie cree rrne iei"minoloeie parailèle. souvrt':lt non norntalisée,

i-'usace exagéie ii'elnprunts et de calques dans le

langage

scieniiiiclue

ei

teclinique

arabe.

r"eflète clairement I'in-rpuissance de !a langue.

ou

pirriôt. des organisntes et i!-rstitu!ions riui « veilient )) sur son deveiopperrent à r,.rode rniser le iangage

I

es

acaiéir jes

de

iangue ne manquent pouitant pas dans les pa.,,s

arabes: l'Académie Ce

Langue

Arabe de l)arr:as, créée en

l9l9

: i'AcaCémie

de

LEr:cLie

Arabe cir caire.

créée

en

19'i2. Plusieirrs autres instirutions.

préiendcnt, iravaiiii:i-eiies:ir.rssi +n iiirsLiistiqLre ei r'n

ieirrincioqi*

: Les agenccs

régicnales spécialisés. releviint ou noit ie !a L.igue Arabe.

corr-lre i'Organisatiori ;\rabe des Sciences ile l'.lrcir.rinisir.atii'ln

{;\OÂSi. i'l,inion

Arabt:

52 AT.- MËTTÂNGIM

H"l

'AÀTV- 'UEH SO§I

(3)

In'fraduction

cntre la Néologie ct I'Emprunt

des

Télécommunications

(UAT),

diverses unions nationales

ou

ré{:ionales

(lJnion

des Ingénieurs,

Union des

Médecins, etc.) .

ll

y a désol'rnais aussi les

organismes

nationaux de

non.nalisation.

liés à l'Organisation Arabe

de Nonralisatron.

On ne saurait

passer sous silence

les

activités de toutes sortes

d'instances nationalcs, professionnelles et universitaires qui

oeuvrent

chacune de son côté dans l'ignorance involontaire ou.,,r,olontaire

des

travaux qui sont faits ailleurs dans les mêntes domaines...lllais

ta

dispersion

des

efforts,

l'absence

de

rnéthodologie,

de coordination

et de

planification, l'absence aussi de professionnalisme en matière

de

linguistique. qui

présiclent à bon nombre de ces

tral'aux ÿont trop

souvent

:i l'eucontre du but poursuivi en

entretenant

-

r.,oire en accroissant- une instabilité linguistique ch ronique(2).

On

constate, donc.

que ies

cieux principaux problèmes de néoloeie dan: lc rnbnde arabe sont :

l) Le

manque de profèssionnels;2) Le manque de nonnalisation et Je coordination entre les institriiions.

En ce qui

concerne le premier poirrt.

il

est evident que ia iorntation cn néologre est fondamentale pour cieux raisons :

a-[)arce

que

la néoiogie esi une discipline organisée oui ne peirt êrre irn prov isÉe.

b-Parce que nul ne

peut exercer

de

néologue. sans

avoir

reçu

auperavanl, uire

lbnration

ihéoriclr,rc et pratictue adéquate .

Dans

Ie

monde arabe. devant l'inexistence d'une vraie politiqLre cie

création de

iexique spécialistl,

cn

se rùtrouve soLrrÈnt

arcc tlois tipes

de néolcgues:

+ Iles

irailucïcurs (irrl ir'oni i-eçu a-uctine folu-iation en terntinolosit-.

et ilui ne

disposeni pas ci'Lrne iarse connaissilltc!'iccitno-scicntifique, mais qui sont obltgés. devant

l'iner

isieitce

de

dictior^rna:res spécialises et de bases de données,

à

créer Icurs propres giossaires.

[,n travail à ia

ibis nécessaireet

périlleux puisctu'ii pernlet, ,J'un côté. aii traductcur tje

sLtrirûnter mcmentanérirent I'iiar:dicap

de

1a ternriitoiogie, nrais d'un autre côté. et vu ie ceractère

indiviiuel

cie la <i iecherche ».

ii

i-eDrestnte une vraic iiierirce pour la standardisation aie

la

iangue ar.abe.

pi:isqu'oii

arrive à retrouver^ parlris, une

infiniié de

iernres ailtocr'ées

potir

déstgner

ie rrênte

calncept.

lJn iait

uur

AI.

ÀTUTARàIM

N"I

'AiIV- IUIN

S§§! 53

(4)

O. TOUIIA]III

s'oppo-§e avec

i'une dcs

principaies conditions cle néologie screntillque et tcchnique. qrrr est le precisicn

"

De-s iinguistcs-teminologues

qui

nlaîtrisent ies règles tiréonques

de forrnation

de néolosisr.nes. mais qui ne dispose ni pas du niveau scicntifique et t.chn jque nécessaire pour cr"éer un lexiqiie spéciaiisé.

*Des

spécialistes

.'n scien.c .,

1..i111ologie

qui n'ont

pas de corrnaissances linuuistiqiies adéquate s pour la criation de terrninologie.

Therfore, lnodern terminology worl< requires the rvork of terminologl

comission lvhich shoukl be composeti of the

lbllorling

types

of

specialists

: l)

The specialists of the subject field roncerned...2) A specialisl

for the application of terminological principies and ol'methods

in term inographv(3 ).

Selon Felber la

terminologie moderne

est liée à la

créa1ron de commissions

de

terminologre composées

par

les spécialistes suivants: a) L)es

spécialistes en science et technologie ; b) Des spécialistes en terminologie,

Ii

est certain que

le futur de la

terminologie passe par la créatir)it d'oi:servatoires

de néologie(a) el de

con.u.nissions

de

terminologie qui regroupent ditferents spécialistes. dont les traducteurs. inluster.nenr écartés par

I- elber

ll ne faut

pas oiiblier que ie groupe d'usagers de ia terminologie est

intégré par des usagers directs. comlre sont ies scientifiques et les techniciens ;

des inte rnrcjdiajres. conime

soni

Ies tradLrcteurs

et

Ies interprètes : ct par des usagers indirects. c'est-à-dire ies terminologucs et ies néoloclres.

Les traducteurs

sont.

sans aucun doute. le,s usagers ies pius affectés

par ic

problèrne

de la

terrninologie, pLrisqLre

lerir

l'cnction Li'interrréditiru.;

linguistiques. ies

confronte cruoticiiennsraent

aux

iacunes

dii

lc..iic1ue

et

les

,-;biige a les résoirire.

En patlilnt

Cu principc elue Ie traducteur est Ie p.reinier

ilaillon

dune

chaîne dc

prol'essionnels eoncelnés

par le

problènre

de la

termrnologie. i1

devrait donc dlsposer de plus de jiberté au sein

des coiur.nissions de tcrminologie.

54 AI.. MEIÏARGtrM N"I

IAIIV.

'UIN

2OOI

(5)

La Traduction entre la Néologie et I'Emprunl

En ce qui conccrne le

deuxième

point, celui du

manque de

coortlination et de normâlisation des

néologismc§, on peut

affirmer qu'il

est dû principalement âu manque de professionnalisme'

Lcs

études précétlentes sur divers phénomènes lexicaux rér'èlent

que,

cle maniène quasi consiante. le vocabulaire scientil'ique arabe souffre

d'une absence de normalisation qui a

des causes

diverses:

initiatives dispersées

des auteurs de lexiques

ou de dictionnaircs, divergences entre

les disciplines et même à I'intérieur d'une tnême discipline

pour

I'identification

de concents identiques, référence à des langues européennes

diflérentes.

[,'absence

de

consensus est

particulièrenlent

ser-rsible dans les méthodes

de traitemcnt du voeabulaire savant pou lequel

les obstacles

siructurels du lexique arabe nécessiteraient une véritable

ingénierie

terminologique

concertée el non des

initiatives

de fortune. faites en ordres

dispersés et remises en cause par chaquc nouvel auteur ou

groupe

d'a uteu rs(5).

PeLrt-on

vraiirent

espérer une nortralisation de la terntinolosie si on n'e

st pas

an

ir,é, au Ittèrne Irillénaire. à irortraliser la

transcription des caractères arabes au lalin ?

Llertes, I'Organisation de la Ligue Arabe pour l'Education, ia Culture

et la

Science

a

appi'ouvée

durant

le Cor.rgrès de Tunis (2-4

févrieri9Sl).

une méthodologie de transcription des caractères ar;ibes. Mais n'a t-on.ianrais pensé

que la dilflculté de

reprocluction

graphique de

certaines transcrlptior,s approuvées ciurant le Congrès. sont.justernent ia principale cause du problènte.

puisq,.re pJusieurs d'e'ntre eiies con.iiits.

,*r\ ,,,"o

ne soni pas représentées dans

les

claviers standards

de

ia dact-v-iographie et de I'inlbrniatique. ce qtii pousse

les

ilsager's ii optci poul d'autr;s nietlr,.-,.ics

je

ir;trt.rcriptions plLrs sinrples. rrais non noruralisies.

En ce qui

concerne

ia

norntaiisation cies rreoiogismes

qui

se fait durant

les

Congrè,s

d'.\rabisaiir:n

oi-sanisés

plr

l.'Eiurea.Lr de Coordination dc'

i'Arabisation. il laut

signaler qLle

la

rréthodclt-.gre

de treicil

crJnsiste tctit sirrplement

à tairc

adopt:r-

pr! i.s

pii..icip:nis

en;roins

d'une ser:rainc (cino

jours

ouvrables.

soii

qucictues tretrte

à

quâranIc

ircLii.s

dù travail)

piusi:ur:

nrilliers de

teinies tcciiniques rians

dir'rrscs

ilrsciplrnes dLt savoir sLri-la Lrase

AI.- MUTÂNèIM

N"I

TAT{V- ITUN SO§I 55

(6)

O- TOU}LâMI

d'équivalents

en

langue anglaise et /ou françaisc. c'est-à,dire adopter queiclues milliers de « iraduct!ons ».

Cette méthtrdologie

simpliste prouve, une

fois de

plus,

que

les personnes

qui

sont

à la

tête

de

ces organisrnes n'accordent pas i'impor-tance nécessaire aLr problèrre de la néologie er de la terrninoLr .gie. I1 est ét ident qu,il n'cst guère possible dc résoudre Ie problème du lerictue dans ile rels ibrurrs.

Comnient

veut-Lrn

améliorer la

qualite

du

lerr.ne scientifiqLre et

technique arabe.

si Ie travail

des institutions se linrrre à adoptcr des calclu,rs a par-tir cls bases dc données anglaises ou tiançaises ,,

La néologie aral're ne peul se pcnltcttre de _ce lint jter ii i'c-nrpruirt ct au

calque,

car nctre

iangue disprose de plusieuls autres outils de création. dont la dérivation.

Le

manque

de

normalisation

fait que Ie

traducteur de textes

spécialisés vers l'arabe ne

sache

plus à quel

organisnre

diriser

ces

consultations. Devons-nous

dire .-^---:-

_,i ,.

r

.-, aJ:rr,,r pour nous rélérer à

l'uraniunt

appar-rvi-i

?

Devons-nous

dire

;-.ç)U

_,i

;;>u .rilpour

désigner la

fièvle

aphteuse

? Ou

dcvons-nous, sirnplernent,

nous

conten{er de l,entprunt non adapté E.SB pour désigner l'Encéphalopathie Spongifornte Bovine 'l

Souvent Ies rraducteurs se retrouvent avec un ensentble de termes qui désignent

le

même concept.

et que

chacun de ces termes est utiiisé dans unc

région concrète. La

difiërence s'accentue spécialentent

enlre

ies pavs du Maghreb

et du l\1o'en

Orient poirr Ie,.ir tendance à tro.Lrver de s éqilit aicnts e n

arabe par rappoi"t à Ia Iangue anglaise ou française. Des ternres cornnte :

;1*< j\-:. Ji_* ;;;

,

.'i

--'l»sOnt urre pteq\e irréfirtable.

Ceite politique de

rerrninologie parallèle"

lait que ia

crÉation de lexiqrLe dans

le

lan-ilage scientifique et techniqiie arabe se base principalenrent sur i'emprunt ct le cait;Lre.

Le lxanquc cie

prolè_<sionneis

et,je

nornraiisation, conllrnie

l'incxistence d'une vraie

polirique

dc créltion de

terntes dans

le

Iangage

spécialisé arabe,

50 AI.. MUTARGII}I NOt TANV-

'UIN

2§oI

(7)

Iâ Trôduction entre Ia Néologie et I'Emprunt

Si

cn compare I'activité ternrincilos,ique d'un pay's colnnte le Canada avec i'activité terininologiqite d'un pavs arabe, on constatera que ce rt'est pas Ia

grande

distancc qui différencie une politique d'une autre. sinon les ob.iectif-s, le suivi et les mo1'ens rriis à 1a disposition des chercheurs.

Au

contraire

de

ce qui se passe au Canada, dans les pa;"s arabes, les ob_iectif-s

i,arient d'un

congr'ès

à uii

auire. tandis clue

les

movens

rnis à

la disposition des chcrchcrirs

sorli

presque

iidicuies. On ne

peut pas parler de

neologie

si on ne

dispose pas

de

I'ini-r'astructure nécessaiie. c'est-à-dire les observatoires

de

néoiogic. l-'irnpoÉance de ces obsen'aioires vient du fait que Ier-rr travail se liase sur" :

La détection dcs néL-losisir.s dairs ie lanqagc à

irar

ers

lc

dépouillerrent cie textes.

i-'analyse des néologisnres et de leur fbrmation.

'L'introduclion

des néologismes dans des bases

de

données, pour fàciliter leurs accès aux spéciaiistes. ainsi que leur dithrsion dans ia langue.

Les

observatoires

à i'instar

des autres in{iastrr-rciures. sont des instrurrents indispensabies

pour ia

recherche

en

néologic. A rnon avis,

il

est

r:rand

temps de passer, dans les pa1,s arabes. de la théorie à I'application, c est-

à-ciire des bcaux discours des Congrès d'Arabisation à la fonnation

et nonnal isation de terrres.

Pour conclule,

je vciidrais dire que le dirigisme

lexical acruel ne résoudra .jainais

ie

problème de la terminologie dans ie langage scientifique et

technique arabe, Çar

le futur

ciu iexique dépenii, sans aucr-rn

doi:ie.

rje ces usagers iiirects et indirects.

A,T,- MUTAAGIilI N.É

IÂflV-

IUIÊ.2§OI 57

(8)

O. TÛUHAMI

RE FF]

RÈ]I{CES

I] I B [, I OG ITA

}'H

I Q LTI| S

1-

Sci.it r,:nrr"

t ..

i-a France drvant le:; QLtesrions ['cnlinoicricprc:,.

Terminolosics ?6.

irali:.

[.a l,4aisiirr di: l)i<:iioitnaire

.

i97'.].

pp

26-2t)

l- Richelt.

tr-.. Arabisatiurr et l-echnoiogie . Rabat. Ilrl?u\, i987. pp .

i4-35

l- ielber.

H..

I

rririrn,.llor,\ Manuri.

I,;r'is I le\i(r-ir)iiltenlr.

lrrB;

4- Parnii les

imocrrtants cbselr,aloir'e:;

de

néologie

eir

Europe.

I'Observatoire cie

r.\e

oiogie .le l'lnstilut Unii,ers:i;iire de

Lin.-euistirluc Âppiiquee (lLii,A^) de I'Université I)ornpeu Fabra de Ilarcclcne. rtui travaille sui l'anai1'se du pjrénomène des neoiogisnies ciarrs 1a presse

i:irilsnole

ei cataianc.

5-

Richert,

N..

Arabisarlcn

ii

J ecitlt0iu!.ic.

i{ab;il. lEIii\,

I 981.

p.402

A consulter

:

Cabré,

i\,1.T'..

La

terminoiogia. Teora, merodoiosia. aplicaciones.

Barcelona. Antarlida/Ernpuries. 1 993.

I{ichert, N.. Arabisation er Technologic. Rabat. iERA.. i987

Scrrivencr.

C. I-a

Fr.ance der.,ant les euestions Ternrinoloeiqucs.

Ternrinoiogies 76, Parrs. l-a \,laison du Dicricnnaire. I979.

'l-orlhami.

O.. La

creacion

de

neologisntos

en

arabe. Lrnilersidad Autonoma de Barcelona. These de Doctorat. 1998.

58 AL.

MUTÀRéI}I

N"I T^ANV-

'UIN

2OOI

Références

Documents relatifs

Les chiens guides d’aveugles et chiens d’assistance sont présents pour vous apporter, eux aussi, leur aide si précieuse dans l’ac- compagnement des personnes en situation

Le dispositif créé par décret, le 3 juillet 1996, comprend une Commission générale de terminologie et de néologie, qui travaille en collaboration étroite et

Au terme de cette approche des variations du sémantisme de casbah lors de son emprunt par le français à l’arabe, quelques enseignements nous paraissent pouvoir être retenus. a) A

Le dispositif créé par décret, le 3 juillet 1996, comprend une Commission générale de terminologie et de néologie, qui travaille en collaboration étroite et

Pour ce faire, nous allons recueillir notre corpus dans la wilaya de Tizi-Ouzou qui est parmi les régions kabylophones les plus concernées par le processus de

Ainsi, c'est avec le contenu orthodoxe que la mise en scène ARG produit le plus l'impression d'un « discours politique », comprendre : stratégique,

Question 5 : en ne considérant que les 5 mois d’hiver (novembre à mars), donner une estimation de la production d’énergie électrique sur une année pour l’ensemble

Guilbert (1976, pp.89) Certains linguistes considèrent l’emprunt comme une néologie externe parce qu’il s’agit de l’intégration définitive d’une unité étrangère