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Fonctions numériques : dérivation

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Fonctions numériques : dérivation

Table des matières

I Notion de tangente à une courbe. . . 1

II Nombre dérivé def enaet fonction dérivée : . . . 2

III Tableau des dérivées usuelles : . . . 4

IV Dérivées et opérations : . . . 5

V Dérivée de la composée de quelques fonctions : . . . 5

V.1 Dérivée dex7→p u(x) . . . 5

V.2 Dérivée dex7→un(x),n∈N . . . 6

V.3 Dérivée de la fonctionx7→f(ax+b) . . . 7

V.4 Dérivée de sinuet cosu . . . 7

V.5 Dérivée de fg . . . 7

VI Application de la dérivabilité : . . . 7

VI.1 Utilisation du nombre dérivé pour le calcul de certaines limites : . . . 7

VI.2 Sens de variation d’une fonction : . . . 8

VII Rappels sur les fonctions cosinus et sinus : . . . 9

VII.1 Radian . . . 9

VII.2 Cosinus et sinus d’un anglex . . . 10

VII.3 Dérivée de cos(u) et de sin(u). . . 11

VII.4 Cercle trigonométrique . . . 12

I Notion de tangente à une courbe

Soitf une fonction définie sur un intervalleI de courbe représentativeCf et soitAun point fixe deCf. SoitMun point variable deCf. On trace la droite (AM) qui est sécante àCf. On fait tendreM versA. Si, lorsque M tend versA, la sécante admet une position limite, on dit que cette limite est tangente àCf.

1 2 3 4 5

−1

−2

1 2 3 4

−1

−2

−3

−4

−5

bA bM

Cf

1

(2)

1 2 3 4 5

−1

−2

−3

1 2 3 4

−1

−2

−3

bAb

M

Cf

1 2 3 4 5

−1

−2

−3

1 2 3 4 5

−1

−2

−3

−4

−5

bbM=A

Cf

II Nombre dérivé de f en a et fonction dérivée : Définition

Notonsal’abscisse deAetxl’abscisse deM. Le coefficient directeur de la sécante (AM) est : f(x)−f(a) xa . Dire que la sécante a une position limite qui est la droite tangente àCfen Asignifie que lim

xa

f(x)−f(a) xa existe.

Si ce nombreexisteet s’il estfini, on pose :f(a)=lim

xa

f(x)f(a)

xa et ce nombre est lenombre dérivéde f en a.

On dit alors que f est dérivable ena.

Remarque :

En posantx=a+h, on obtient :f(a)=lim

h0

f(a+h)f(a)

h .

Exemple :f(x)=x2.

(3)

Pour touta∈R: f(a+h)f(a)

h =[a+h]2a2

h = a2+2ah+h2a2

h =2ah+h2

h =2a+h.

Par conséquent : lim

h0

µf(a+h)f(a) h

=2a.

f est dérivable enaet f(a)=2a

Par définition, f(a) estle coefficient directeur de la tangenteàCf ena.

Propriété

L’équation de la tangente est alors :y=f(a)(x−a)+f(a).

Démonstration :

Rappel : la droite, de coefficient directeuraet passant par le pointM0de coordonnées¡

x0; y0¢

a pour équation yy0=a(x−x0).

En effet, l’équation est de la formey=ax+b.

CommeM0appartient à cette droite, ses coordonnées vérifient cette équation, doncy0=ax0+b.

Par conséquent :

½ y = ax+b y0 = ax0+b .

Par soustraction, on obtient :yy0=a(x−x0).

Pour la tangente, on obtient donc :yyA=f(a)(x−xA) qui donney=f(a)(x−xA)+f(a).

Définition

f est dérivable sur un intervalle ouvertI sif est dérivable en toutadeI.

Remarque

La dérivée fde f est elle-même une fonction. Si elle est dérivable, on appelle f′′sa dérivée (dérivée se- conde de f).

Cette dérivée seconde peut elle-même être dérivable et ainsi de suite. Les dérivées d’ordren, avecnÊ3, se notentf(n).

Ainsi :f′′f¢

; f(3)f′′¢

et plus généralementf(n+1)f(n)¢

Exemples :

1. Soitf(x)=3x4+5x2+2x+1.

On a : f(x)=12x3+10x+2 ; f′′(x)=36x2+10 ; f(3)(x)=72x : f(4)(x)=72 ; f(5)(x)=0 et les dérivées suivantes sont toutes égales à la fonction nulle.

2. Soitf(x)=sinx.

Alors : f(x)=cosx; f′′(x)= −sinx; f(3)(x)= −cosx; f(4)(x)=sinx= f(x). On retombe sur la fonction initiale.

3. Imaginons qu’il existe une fonction f définie et dérivable surRtelle que, f(x)=f(x). f est-elle dérivable à l’ordre 3 si oui, que vautf(3)?

Réponse :f=f doncfest dérivable et f′′=(f)=fet de même f(3)=f.

On pourrait alors montrer par récurrence, que la fonctionf vérifie alors : pour toutn, f(n)=f. On étudiera cette fonction plus en détail dans un prochain chapitre.

(4)

Exercices

• Montrer que la fonctionx7→ |x|n’est pas dérivable en 0.

• Étudier la dérivabilité de la fonctionx7→x|x|en 0.

Solutions :

• Soitf la fonctionx7→ |x|.

x6=0, f(x)−f(0)

x−0 =|x| −0 x−0 =|x|

x . Six<0,|x|

x =−x

x = −1 et pourx>0, |x| x =x

x=1.

On en déduit que : lim

x0 x<0

f(x)−f(0) x−0 =lim

x0 x<0

(−1)= −1, alors que lim

x0 x>0

f(x)−f(0) x−0 =lim

x0 x>0

(1)=1.

La limite à gauche et à droite n’est pas la même, donc la limite en 0 n’existe pas ; f n’est pas dérivable en 0 (mais l’est à gauche et à droite) ; on dit que la courbe admet une demi-tangente à gauche et une demi-tangente à droite.

• Soitg :x7→x|x|. Cette fois, on a : lim

x0

g(x)−g(0) x−0 =lim

x0

x|x| x =lim

x0(|x|)=0 ; la limite existe, donc la fonctiong est dérivable en 0 et la courbe représentative deg a une tangente en 0.

Voici les deux représentations graphiques de f et deg.

1 2

1

1 2

1

2

3

1 2

1

1 2

1

2

3

III Tableau des dérivées usuelles :

Fonctionfdéfinie par : Fonctionfdéfinie par : Domaine de décidabilité de validité

f(x)=k∈R f(x)=0 R

f(x)=xn(n∈N) f(x)=nxn1 R f(x)=1

x f(x)= −1

x2 R

f(x)= 1

xn =xn(n∈N, nÊ2) f(x)= − n

xn+1 = −nxn1 R f(x)=p

x f(x)= 1

2p

x ]0 ;+∞[

f(x)=cosx f(x)= −sinx R

f(x)=sinx f(x)=cosx R

(5)

IV Dérivées et opérations :

Soientu,vdeux fonctions dérivables sur un intervalleI etkun réel.

• (ku)=ku

• (u+v)=u+v

• (uv)=uv+uv

• µ1

u

= −u

u2,u(x)6=0

³u v

´

=uvuv

v2 ,v(x)6=0 Exemples :

Théorème (admis)

Soit f une fonction définie sur un intervalle ouvertIet dérivable enaI; alors,f est continue ena

Attention, la réciproque est fausse ; une fonction peut être continie ena, mais pas dérivable ; exemple, la fonction x7→ |x|en 0.

V Dérivée de la composée de quelques fonctions :

V.1 Dérivée dex7→p u(x)

Propriété

Soituune fonction définie, positive et dérivable sur un intervalle I., de fonction dérivéeu. La fonction f définie sur I parf :x7→p

u(x) est dérivable en tout nombrextel queu(x)6=0 et f(x)= u(x)

2p u(x). Démonstration :

Démonstration :

SoitxItel queu(x)>0. Soit J un intervalle de I contenant I.

Soithun réel non nul, tel quex+hJ.

SoitA(h)=

pu(x+h)u(x)

h et on étudie la limite quandhtend vers 0.

A(h)=

£pu(x+h)−p u(x)¤

×£p

u(x+h)+p u(x)¤

£pu(x+h)+p

u(x)¤ = u(x+h)u(x) h£p

u(x+h)+p

u(x)¤(avecp

u(x+h)+p

u(x)>0).

Or, lim

h0

µu(x+h)u(x) h

=u(x) ; lim

h0u(x+h)=u(x) par continuité deudonc lim

h0

hpu(x+h)+p u(x)i

=2p x.

On en déduit que lim

h0A(h)= u(x) 2p

u(x)cqfd.

(6)

Exemple :f(x)=p

3x2+5x+7 définie surR. f(x)=p

u(x) avecu(x)=3x2+5x+7 etu(x)=6x+5.

Alors : f(x)= 6x+5 2p

3x2+5x+7 .

V.2 Dérivée dex7→un(x),n∈N

Propriété

Soitu une fonction définie et dérivable sur un intervalleI. Soitusa fonction dérivée. et soitn un entier relatif non nul.

La fonctionunest dérivable et¡ un¢

=nu×un1.

DémonstrationSoitA(h)=un(x+h)un(x)

h . On doit étudier la limite deA(h) quadhtend vers 0.

On a vu en première que la fonctionf :x7→xnest dérivable et que f(x)=nxn1. Cela signifie que lim

h0

(x+h)nxn

h =nxn1. En changeant de lettre, on a : lim

k0

(z+k)nzn

k =nzn1 Posonsε(k)=(z+k)nzn

knzn1. On a lim

x0ε(k)=0. On obtient, après transformation :

(z+k)nzn

k =nzn1+ε(k) donc (z+k)nzn

nzn1+ε(k)¢

×k On pose alorsu(x)=zetu(x+h)=z+k.

un(x+h)un(x)=(z+k)nzn

nzn1+ε(k)¢

×k

nun1(x)+ε(u(x+h)u(x))¢

×(u(x+h)u(x)).

On en déduit : un(x+h)un(x)

h

nun1(x)+ε(u(x+h)u(x))¢

×u(x+h)u(x) h On a : lim

h0

µu(x+h)u(x) h

=u(x) car la fonctionuest dérivable.

La fonctionuest continue, donc lim

h0u(x+h)=u(x) donc lim

h0[u(x+h)u(x)]=0.

Alors : lim

h0

ε(u(x+h)u(x))=lim

k0

ε(k)=0 en posantk=u(x+h)u(x).

Par conséquent : lim

h0

¡nun1(x)+ε(u(x+h)u(x))¢

=nun1(x).

Alors : lim

h0

µun(x+h)un(x) h

=nun1(x)×u(x). Exemples :

1. Soitf :x7→¡

3x2+5x−7¢5

; f =u5avecu(x)

3x2+5x−7¢5

. On a alorsf

u7¢

=7uu71=7uu6 avecu(x)=6x+5.

Par conséquent : f(x)=7(6x+5)¡

3x2+5x−7¢6

. 2. Soitf :x7→ 1

¡x2+x+1¢5 surR.

(7)

On af(x)=¡

x2+x+1¢5

donc f =u5avec

½ n= −5

u(x)=x2+x+1 . f=nuun1= −5uu6= −5u

u6 avecu(x)=2x+1.

Par conséquent :f(x)= − 5(2x+1)

¡x2+x+1¢6

V.3 Dérivée de la fonctionx7→ f(ax+b)

Propriété

Soientf une fonction définie surRet deux nombresaetb.

La fonctiong :x7→ f(ax+b) est dérivable surRet a pour dérivéegx7→a×f(ax+b).

Démonstration g(x+h)g(x)

h = f(a(x+h)+b)f(ax+b)

h = f(ax+b+ah)f(x)

h =a× f(ax+b+ah)f(x)

ah .

Or : lim

h0

µf(ax+b+ah)f(x) ah

=lim

k0

f(ax+b+k)f(ax+b)

k =f(ax+b).

On en déduit : lim

h0

g(x+h)g(x)

h = a×f(ax+b).

Exemple : Soitf :x7→cos(2x+3) ;f(x)=2 cos(2x+3)= −2 sin(2x+3). V.4 Dérivée desinuetcosu

Propriété admise : siuest dérivable, sinuest dérivable et cosuest dérivable.

• (sinu)=u×sinu=ucosu

• (cosu)=u×cosu= −usinu Exemple : soitf(x)=sin¡

x2¢ . f =sinuavecu(x)=x2.

f=ucosuavecu(x)2xdonc f(x)=2xcos¡ x2¢ V.5 Dérivée defg

Théorème admis

Soitg une fonction définie et dérivable sur un intervalleI et à valeurs dans J et f une fonction définie et dérivable surJ.

Alors fg est dérivable et¡ fg¢

=gס fg¢

. Pour toutxI

fg¢

(x)=g(x)×f(g(x)).

VI Application de la dérivabilité :

VI.1 Utilisation du nombre dérivé pour le calcul de certaines limites : On sait que si f est dérivable ena, alors lim

xa

f(x)−f(a)

xa =f(a).

(8)

Exemple :sinx

x =sinx−sin0

x−0 donc lim

x0

sinx x =lim

x0

sinx−sin0

x−0 =sin(0)=cos0=1.

VI.2 Sens de variation d’une fonction :

Théorème (admis

Soit f une fonction dérivable sur un intervalleI. Si f=0 surI, alors f est constante surI.

Si fest strictement positive surI sauf éventuellement pour un certain nombre fini de valeurs o˘ elle s’an- nule, alorsf est croissante surI.

Si fest strictement négative surIsauf éventuellement pour un certain nombre fini de valeurs o˘ elle s’an- nule, alorsf est décroissante surI.

Exemple :

Soitf la fonction définie par :f(x)=x3définie surR.

f(x)=3x2≥0 etf(x)=0 pourx=0.

On en déduit que la fonctionf est strictement croissante surR.

Exemple :

1. Étudier le sens de variation de la fonction f définie surRpar : f(x)=2 cosx−2+x2. 2. En déduire la comparaison des fonctionsx7→cosxetx7→1−x2

2 . Solution :

1. f est dérivable surRet f(x)= −2 sinx+2x. Pour étudier le signe def(x), dérivonsf.f′′(x)= −2 cosx+2= 2(1−cosx)≥0.fest croissante surRet commef(0)=0, on en déduit le signe de f.

On en déduit que f est décroissante sur ]− ∞;0[ et croissante sur [0 ; +∞[.

2. Le minimumf(0) vaut 0, donc :∀x∈R, cosx≥1−x2 2 .

(9)

VII Rappels sur les fonctions cosinus et sinus :

VII.1 Radian

Définition

On appelle cercle trigonométrique le cercle de centreOet de rayon 1 unité.

Soit C un cercle trigonométrique, muni d’un repère orthonormal

³ O;−→

i ; −→ j ´

.

Soit A le point tel que→−

i =−−→O Aet D la droite tangente au cercleC passant parD.

Soit I le point de la droiteDtel que AI = 1 (I au-dessus de A).

On définit ainsi un repère surD.

On enroule la droiteDautour du cercleC, la demi-droite supérieure s’enroulant dans le sens inverse de rotation des aiguilles d’une montre, qu’on appelle aussisens directou senstrigonométrique.

SoitM un point quelconque deD; il vient se placer après enroule- ment enM.

La longueur du segment [AM] surD est alors égale à longueur de l’arc de cercle—AM

Si AM =x, la longueur de l’arc de cercle —AM mesure aussixunités et l’angle au centre correspondantAOMƒmesurexradians.

Définition

1 radian est donc la mesure de l’angle au centre d’un arc de cercle de longueur 1 unité.

Remarque: quand on fait un tour de cercle complet de longueur 2π (périmètre du cercle), l’angle au centre correspondant mesure donc 2πradians.

Par conséquent, on a la correspondance : 360˚= 2πradians.

Angle en ˚ 0˚ 30deg 45˚ 60˚ 90˚

Angle en radians 0 rad π

6 rad π

4 rad π

3 rad π

2 rad

O −→

i

j −→ j

b A

b M

bM xx

C

I

Remarques :

• la droiteDétant illimitée, quand on l’enroule autour du cercle, elle décrit une infinité de tours de cercle.

• Tous les points deD espacés d’une longueur égale à 2πse retrouvent au même endroit sur le cercle trigono- métrique ; à un même point du cercle trigonométrique correspond donc une infinité d’angles, deux mesures consécutives différant de 2πradians.

(10)

VII.2 Cosinus et sinus d’un anglex

SoitM un point du cercle trigonométrique muni d’un repère orthonormal³ O; −→

i ;→− j ´

et soitxune mesure en radians de l’angleƒAOM.

Définition

On appelle cosinus dexet sinus dexles coordonnées du pointM dans le repère³ O; −→

i ;→− j

´. On note :M(cos(x) ; sin(x))

Remarques :

¿ chaque pointM du cercle correspondent plusieurs angles ; en effet, quand on enroule la droiteD autour du cercle C, des points viennent se superposer, espacés d’une longueur sur la droite de 2π; les angles diffèrent donc de 2π.

Sixest une mesure de l’angle en radians,x+2πaussi et plus généralementx+2kπ,k∈Z.

On écrit souvent cosxet sinxà la place de cos(x) et sin(x).

On a donc cos(x+2π)=cosxet sin(x+2π)=sinxpour toutxréel.

On dit que les fonctions cos et sin sont périodiques, de période 2π.

O

i

j

x

cos(x)

sin(x) M

O−→ i

j

π 2

π 3π 2

2π

(11)

VII.3 Dérivée decos(u)et desin(u)

On a : (cos(u))= −usin(u) et (sin(u))=ucos(u).

Exemples :

1. f(x)=cos(2x+3) ;f =cos(u) avecu(x)=2x+3.

f= −usin(u) avecu(x)=2 donc f(x)= −2 sin(2x+3).

2. f(x)=sin¡ x2¢

; f =sin(u) avecu(x)=x2.

f=ucos(u) avecu(x)=2xdonc f(x)=2xcos¡ x2¢

.

(12)

VII.4 Cercle trigonométrique

π 0

1 2

p2 2

p3 2 1

2 p2 2 p3

2

π 6 π 4 π 3 π

2

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