Mission d ’ animation régionale des PLEE et des PCET
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éréunion réseau PLEE-ASTER / 3
éréseau PCET
Accueil à la Communauté d’Agglomération de Fréjus Saint-Raphaël
Le 27/09/2011
2
Accueil - Rappel du timing
9h30 Accueil des participants
9h45 Introduction, définition et principes de la concertation Albane Gaspard, Service Economie et Prospective, ADEME 12h15 Illustration par Jean-Michel Picazo, ARPE PACA
12h40 Présentation de la page PCET du site Internet de la DREAL Frédéric Berlioz, DREAL PACA
12h55 Baptême du réseau PCET 13h00 World Lunch
14h00 Financement des actions des PCET
Alice Croizé, Françoise Réfabert, ADEME 16h45 Evaluation et conclusions
17h00 Fin de la journée
3
Rappel du timing
9h30 Accueil des participants
9h45 Introduction, définition et principes de la concertation Albane Gaspard, Service Economie et Prospective, ADEME 12h15 Illustration par Jean-Michel Picazo, ARPE PACA
12h40 Présentation de la page PCET du site Internet de la DREAL Frédéric Berlioz, DREAL PACA
12h55 Baptême du réseau PCET 13h00 World Lunch
14h00 Financement des actions des PCET
Alice Croizé, Françoise Réfabert, ADEME 16h45 Evaluation et conclusions
17h00 Fin de la journée
La concertation dans les PCET
Albane GASPARD –ADEME
27 septembre 2011
Introduction
Pourquoi faire appel à la concertation dans les PCET ?
Définition de la concertation (1/3)
• Définition
La concertation peut se définir comme les « processus et procédures qui passent par, ou visent à, une participation du public, d’acteurs de la société civile ou d’acteurs
institutionnels aux processus de décision sur le
développement durable. Entrent dans son champ les consultations, enquêtes publiques, instructions mixtes, débats publics, conférences de citoyens, négociations associées aux processus de décision, dispositifs de discussion électronique, etc. » (Mermet, 2008)
• Concertation grand public et concertation « acteurs »
Définition de la concertation (2/3) La concertation au cœur du principe de développement durable
Déclaration de Rio (1992) - Principe 10 : « la meilleure façon de traiter les questions d’environnement est
d’assurer la participation de tous les citoyens concernés » Convention d’Aarhus (1998) – Article 6: « dans le domaine
de l’environnement, un meilleur accès à l’information et la participation accrue du public au processus décisionnel permettent de prendre de meilleures décisions et de les appliquer plus efficacement »
Circulaire du 13 juillet 2006 sur les Agendas 21 et autres projets locaux de développement durable : fait de la
participation des acteurs et de l’évaluation partagée des
éléments déterminants de la démarche à conduire pour de
tels projets.
Définition de la concertation (3/3)
Informer Consulter Impliquer Collaborer Codécision
Objectif Fournir au public une
information neutre et objective pour l’aider à comprendre le problème, les alternatives et les solutions proposées.
Obtenir un retour du public sur l’analyse ou les décisions (ponctuel).
Travailler directement avec le public tout au long du processus pour s’assurer que ses inquiétudes sont comprises et prises en compte de manière continuelle.
Établir un partenariat avec le public dans chaque aspect de la décision (notamment le développement
d’options et
l’identification de la solution préférée)
Décider ensemble en prenant en compte les points de vues de toutes les parties prenantes.
Promesse au public Nous vous tenons
informé
Nous vous tiendrons informés, écouterons vos inquiétudes et vous dirons comment cela a influencé la décision finale.
Nous allons travailler avec vous pour nous assurer que vos inquiétudes sont directement reflétées dans le développement d’alternatives, et nous vous dirons comment cela a influencé la décision finale.
Nous nous tournerons vers vous pour un conseil direct et une source inspiration pour formuler les solutions.
Nous incorporerons votre avis et vos recommandations dans la décision le plus possible.
Nous mettrons en œuvre ce que nous déciderons avec vous.
La concertation dans les PCET : pourquoi ?
• Transversalité : la concertation comme un
mécanisme de gestion de la complexité moderne
• Coordination : la concertation comme mode de coordination entre acteurs sur le territoire
• Anticipation et gestion des difficultés de mise en
oeuvre
Outil de gestion de la complexité environnementale
?
Outil de coordination entre les acteurs du territoire
Dispositifs de planification territoriale (pré-Grenelle 2) Politique énergie - climat
Agenda 21
PCET Dispositifs réglementaires, contraignants et opposables
Convention des maires Dispositifs d'appui avec engagement volontaire
Cit'énergie - eea Démarche volontaire et structurante
Schéma de service collectif de l'énergie Qualité de l'air Plan régional de la qualité de l'air
Plan de protection de l'atmosphère Déchets
Plan régional d'élimination des déchets dangereux
Plan départemental d'élimiation des déchets ménagers et assimilés Energies renouvelables
Zone de développement éolien
Plan bois-énergie et développement local
Urbanisme et aménagement Directive territoriale d'aménagement
Plan local d'urbanisme / Carte communal Schéma de cohérence territorial
Programme local de l'habitat
Transport Plan de déplacement urbain
Source : adapté de Chanard, 2009
• Multiplicité des acteurs,
enchevêtrement de territoires et d’organisations non
hiérarchisées
• Besoin de « relais »
• La nécessité de partenariats sur le territoire
• Besoin de coordination
Outil d’anticipation et de gestion des difficultés de mise en œuvre
• « La concertation n’est que trop rarement l’occasion de formuler et d’arbitrer les contradictions
inhérentes au développement durable »
• « Force est de constater que la lecture de plusieurs Agendas 21 témoigne (…) de visions harmonieuses et consensuelles du développement durable (…)
reléguant la gestion des contradictions à l’étape de la mise en œuvre des projets, quitte à rester,
parfois, au stade de l’effet d’annonce »
Source : Commet et Etcheverry (2011), L’ingénierie du territoire
à l’épreuve du développement durable
En résumé :
Pierre, 2011
Ateliers
Thème 1 – Quel objectif assigner à une concertation ?
Thème 2 – Comment choisir les modalités de
mise en œuvre ?
Ateliers
Thème 1 – Quel objectif assigner à une concertation ?
Thème 2 – Comment choisir les modalités de
mise en œuvre ?
Thème 1 – Quel objectif assigner à une concertation ? Se coordonner avec les autres parties prenantes
………...
. ………...
. ………...
.
Être plus intelligents ensemble, améliorer le PCET
………...
. ………...
. ………...
.
Anticiper les difficultés de mise en œuvre du PCET
………...
. ………...
. ………...
.
Thème 1 – Quel objectif assigner à une concertation ?
Mobiliser
les parties prenantes ………...
………...
………...
Sensibiliser
les parties prenantes ………...
………...
………...
Persuader
les parties prenantes ………...
………...
………...
Comprendre
les parties prenantes ………...
………...
………...
Informer
les parties prenantes ………...
………...
………...
Thème 1 – Quel objectif assigner à une concertation ?
• Ne pas demander à la concertation plus que ce qu’elle peut apporter
• Concertation et consensus :
La concertation ne permet pas d’éviter les conflits, mais peut les révéler et les expliciter.
La concertation permet - sous certaines conditions - d’améliorer la qualité de certains éléments des projets et des plans mis en débat.
• Concertation et changement de comportement :
Donner de l’information n’équivaut pas à modifier les comportements.
La concertation permet - sous certaines conditions - de renforcer la capacité de participation des citoyens.
• Concertation et mobilisation
La concertation comme une des modalités de mobilisation.
Le long processus d’acculturation…
• Prendre le temps de réfléchir à l’objectif que l’on assigne à
la concertation avant de se lancer
Ateliers
Thème 1 – Quel objectif assigner à une concertation ?
Thème 2 – Comment choisir les modalités de
mise en œuvre ?
Les principales instances de concertation en environnement (Source : Revue Territoires, 2011)
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ? Écueil 1 – La sur sollicitation des parties prenantes
« Difficulté de maintenir la mobilisation (lassitude, disponibilité limitée notamment de la part des entreprises) » (Pas de Calais)
« Difficulté d’impliquer concrètement les habitants » (Pays des Six Vallées)
« Difficulté de mobiliser le grand public sur les thématique Énergie et Climat » (Communauté Urbaine de Bordeaux)
« Bien cibler les acteurs clés de la mobilisation » (CAP Climat)
« En termes de mobilisation, il est parfois plus pertinent d’avoir peu
d‘actions à concrétiser qu’un catalogue trop important » (Pas de Calais)
« La participation aux rencontres PCE Haut-Jura est très fluctuante et il s’agit de veiller à ce que chaque partenaire trouve un intérêt direct à la coopération » (Haut-Jura)
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ? Écueil 2 – La sous mobilisation des parties prenantes
Le choix des modalités de mise en oeuvre de la concertation (qui associer ? quels dispositifs choisir ? quelle méthode utiliser ?) dépend de trois éléments :
L’objectif assigné au processus : selon l’objectif poursuivi, la nature des acteurs et la forme prise par les dispositifs seront différentes.
Le contexte local : le processus doit s’adapter à l’histoire locale et au jeu d’acteurs. Pour cela, étudier le contexte du territoire est essentiel pour identifier tous les acteurs, leurs caractéristiques, la nature des relations entre eux et des représentations qu’ils ont les uns des autres.
Les ressources internes à la disposition de celui qui organise la concertation. Cet aspect est crucial pour ne pas se lancer dans un dispositif surdimensionné.
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ?
Le choix des modalités de mise en oeuvre de la concertation (qui associer ? quels dispositifs choisir ? quelle méthode utiliser ?) dépend de trois éléments :
L’objectif assigné au processus : selon l’objectif poursuivi, la nature des acteurs et la forme prise par les dispositifs seront différentes.
Le contexte local : le processus doit s’adapter à l’histoire locale et au jeu d’acteurs. Pour cela, étudier le contexte du territoire est essentiel pour identifier tous les acteurs, leurs caractéristiques, la nature des relations entre eux et des représentations qu’ils ont les uns des autres.
Les ressources internes à la disposition de celui qui organise la concertation. Cet aspect est crucial pour ne pas se lancer dans un dispositif surdimensionné.
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ?
Le choix des modalités de mise en oeuvre de la concertation (qui associer ? quels dispositifs choisir ? quelle méthode utiliser ?) dépend de trois éléments :
L’objectif assigné au processus : selon l’objectif poursuivi, la nature des acteurs et la forme prise par les dispositifs seront différentes.
Le contexte local : le processus doit s’adapter à l’histoire locale et au jeu d’acteurs. Pour cela, étudier le contexte du territoire est essentiel pour identifier tous les acteurs, leurs caractéristiques, la nature des relations entre eux et des représentations qu’ils ont les uns des autres.
Les ressources internes à la disposition de celui qui organise la concertation. Cet aspect est crucial pour ne pas se lancer dans un dispositif surdimensionné.
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ?
Qu’est-ce qui, selon vous, dans le contexte local (acteurs, histoire, appui politique…), peut être important à prendre au compte au moment de choisir la forme à donner à la
concertation ?
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ?
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ?
• Identifier les parties prenantes
• Qui est directement responsable des décisions prises dans ce domaine ?
• Qui a de l’influence localement ou dans l’organisation considérée ?
• Qui sera affecté par les décisions prises (individus et organisations) ?
• Qui est à la tête d’organisations qui ont un intérêt dans les décisions prises ?
• Qui a de l’influence dans ce domaine ?
• Qui peut faire obstacle à la décision s’il n’a pas été associé
• Qui a été associé sur ce sujet dans le passé ? ?
• Qui aurait du être associé sur ce sujet dans le passé ?
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ?
• Comprendre les parties prenantes
• Son intérêt pour la question du changement climatique
• Son expérience de la question du changement climatique
• Son rapport à la politique locale actuelle
• Son rapport au territoire
• Son rapport aux autres parties prenantes
• Son expérience passée de la participation
• Sa motivation pour participer à cette concertation
• A-t-il un pouvoir décisionnel ? D’obstruction ?
• Les obstacles spécifiques à sa participation
• Quel serait l’intérêt d’associer (ou non) cette partie
prenante à la concertation ?
Les élus locaux et la concertation
• Les élus dans la concertation : élus motivés, élus obligés
Des élus motivés, en position de chefs de file Des élus obligés et suspicieux
• Les « plus » possibles de la concertation pour les élus : quelles motivation ?
La légitimité comme objectif : se légitimer, légitimer la décision
En matière d’environnement : faire face à des difficultés de gestion et au risque décisionnel
La concertation ou la peur du conflit
• Les multiples ambiguïtés de la concertation, telle qu’elle est vécue par les élus locaux
Une injonction, mais pas de balises et rien pour définir le « hors jeu »
Qui suis-je dans la concertation ? Égalité de parole et inégalités de pouvoirs
Entre le local et le global, l’intérêt local et l’intérêt général : une autre ambiguïté de posture
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ?
Le choix des modalités de mise en oeuvre de la concertation (qui associer ? quels dispositifs choisir ? quelle méthode utiliser ?) dépend de trois éléments :
L’objectif assigné au processus : selon l’objectif poursuivi, la nature des acteurs et la forme prise par les dispositifs seront différentes.
Le contexte local : le processus doit s’adapter à l’histoire locale et au jeu d’acteurs. Pour cela, étudier le contexte du territoire est essentiel pour identifier tous les acteurs, leurs caractéristiques, la nature des relations entre eux et des représentations qu’ils ont les uns des autres.
Les ressources internes à la disposition de celui qui organise la concertation. Cet aspect est crucial pour ne pas se lancer dans un dispositif surdimensionné.
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ?
Source : Décider Ensemble, 2011
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ? Les ressources internes (1/3)
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ? Les ressources internes (2/3)
• Les ressources en termes de temps
« la mobilisation des acteur demande beaucoup de temps » (Forum Angevin du Climat)
« Mobilisation de moyens humains et financiers suffisants pour ne pas créer un décalage entre les résultats obtenus et les attentes des partenaires » (Mulhouse Alsace Agglomération)
« Manque de moyens humains pour piloter la concertation » (Gironde)
« L’organisation et l’animation d’atelier sont très consommateurs
de temps et de moyens humains » (Communauté Urbaine de
Bordeaux)
Thème 2 – Comment choisir les modalités de mise en œuvre ? Les ressources à disposition (3/3)
• Les ressources financières
« le recours à un prestataire a permis à la collectivité de bénéficier des
services d’un professionnel de l’animation. De plus, le prestataire apporte une vision nouvelle sur le territoire et sur l’identification de certains acteurs du territoire » (Communauté Urbaine de Bordeaux)
Quelle est votre expérience de l’utilisation de bureaux d’études pour mener à bien la concertation avec les habitants ?
Quelles sont selon vous les bénéfices et les limites d’un appel à un bureau d’étude ?
Le recours aux bureaux d’étude :
• Des consultants : d’abord militants … ou d’abord consultants
• Les effets d’une concurrence accrue
• La consultance est-elle le format
d’intervention adapté à la concertation
?
Merci pour votre attention !
albane.gaspard@ademe.fr
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Rappel du timing
9h30 Accueil des participants
9h45 Introduction, définition et principes de la concertation Albane Gaspard, Service Economie et Prospective, ADEME 12h15 Illustration par Jean-Michel Picazo, ARPE PACA
12h40 Présentation de la page PCET du site Internet de la DREAL Frédéric Berlioz, DREAL PACA
12h55 Baptême du réseau PCET 13h00 World Lunch
14h00 Financement des actions des PCET
Alice Croizé, Françoise Réfabert, ADEME
17h00 Evaluation et fin de la journée
Les pratiques de la concertation dans les démarches d’Agendas 21
Illustrations - Exemples
27/09/2011
Une exigence propre à la démarche
Une classification des dispositifs de démocratie participative
Une classification des dispositifs de démocratie participative
Tous sont invités à participer à l’élaboration de
l’agenda 21 local
La concertation… avec qui ?
Habitants
Acteurs
économiques Acteurs
associatifs
Agents
collectivité
Elu(e)s
collectivité
Personnes
Publiques Associées
autres…
Partenaires sociaux
Experts
thématiques
Les élus locaux dans la concertation Plusieurs niveaux de freins repérés
Les freins externes locaux
• Des élus réticents : le problème de la décision (transversalité) ; la question de la mobilisation / obligation
• Le risque de l’instrumentalisation du processus participatif par le pouvoir politique local
• Le déficit de relations et de dialogues formalisées entre élus locaux et groupes participatifs
• Le déficit de dispositifs pérennes de participation
• Réduction des logiques de projet à la gestion technique et financière
Les forces de la concertation dans une démarche de développement durable
Concertation Agenda 21
outil de gestion de la complexité du
« durable » (environnementale, sociale, économiques)
Ne pas demander plus que l’apport d’un processus de concertation dans notre contexte de société actuel prendre le temps de réfléchir aux objectifs et
résultats attendus
outil de coordination entre les acteurs du
territoire (comité de pilotage élargit…)
Choix des modalités de mises en œuvre de la concertation
Mise en œuvre :
qui ? pourquoi ? comment ?
• cibler les acteurs clés : contexte local
• objectifs visés (et résultats attendus)
• mobiliser et maintenir la dynamique
• ressources internes à disposition
• impliquer réellement :
• les Groupe de Travail d’Acteurs Locaux
• Les commissions « extra-municipale »
•
définir une méthode (être concret) :• BET ou qui d’autre ?
• Charte de la concertation citoyenne
•
exemple : jeu de la concertation (ARPE)Méthode d’engagement : Charte de la participation citoyenne
Méthode d’animation : Jeu de l’oie de la concertation DD
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Rappel du timing
9h30 Accueil des participants
9h45 Introduction, définition et principes de la concertation Albane Gaspard, Service Economie et Prospective, ADEME 12h15 Illustration par Jean-Michel Picazo, ARPE PACA
12h40 Présentation de la page PCET du site Internet de la DREAL Frédéric Berlioz, DREAL PACA
12h55 Baptême du réseau PCET 13h00 World Lunch
14h00 Financement des actions des PCET
Alice Croizé, Françoise Réfabert, ADEME
17h00 Evaluation et fin de la journée
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Les pages PCET
du site internet DREAL PACA
www.paca.developpement-durable.gouv.fr/
Rubrique climat / plans climat-énergie territoriaux
ou lien direct
www.paca.developpement-durable.gouv.fr/plans-climat-energie- territoriaux-r190.html
ou Google
Chercher « pcet paca »
www.paca.developpement-durable.gouv.fr/
Détail de la rubrique « climat »
L’agenda des PCET
Ressources pour les PCET
Le réseau régional des PCET
MISE A JOUR 4 AOUT 2011
Collectivités obligées (>50 000 habitants)population 2007 bilan GES
service bilan GES territoire
délibération lancement
PCET préfiguration diagnostic
(profil climat) construction mise en
œuvre correspondant technique élu référent
CA Riviera Française 69 568
CU Nice Côte d'Azur 535 543 bilan C (2011) bilan C (2011) 16/01/09 X X Marie TATIBOUET / Ludivine MUNTZERHervé PAUL
Nice 352 338 bilan C cf bilan NCA janv 2011 X en cours Julie LETSCHERTVéronique PAQUIS
Cagnes sur Mer 49 551
CA Sophia Antipolis 178 035 bilan C Energ'Air 11/04/11 X en cours Benoit FERRY Thierry OCELLI
Antibes 76 778 bilan C Energ'Air 17/06/11 X en cours Marion KOBER PatrickDULBECCO - Carine CURTET
Cannes 71 790 Energ'Air Silvia PELEGRI
CA Pôle Azur Provence 76 081 bilan C BilanC+Energ'Air 25/03/11 en cours Julien JAMET Marc COMBE
Grasse 51 294 Energ'Air
CA Fréjus Saint Raphaël 88 244 Frédéric FERRERO
Fréjus 53 286 28/09/11 Julien LYAN Mme CARRIER
CA Dracénoise 95 869 en projet Laurence RICHARDGeorges ROUVIER
CA Toulon Provence Méditerranée 429 390
Toulon 168 768
La Seyne sur Mer 59 032
Hyères 56 199
CA Pays d'Aubagne Etoile 102 196 pas fait bilan C (2009) ? X X en cours Christelle DEBLAIS
CU Marseille Provence Métropole 1 048 719 bilan C (2010) bilan C (2010) 22/06/09 X X Aline GRAPIN Pierre SEMERIVA
Marseille 860 363
CA Pays d'Aix en Provence 364 402 en projet bilan C(2009) 04/02/10 X Corinne PINA Jean-Pierre SAEZ
Aix en Provence 146 690 Christine GILLETVictor TONIN
CA Salon Etang de Berre Durance 121 842
SAN Ouest Provence 99 523 19/11/09 X en cours Marie-Claude DHO FIANDINO
CA Ouest Etang de Berre 135 261 X en cours
CA Arles Crau Camargue Montagnette 79 852
Arles 53 293
CA Grand Avignon 181 056 Louis COSTEPLANE
Avignon 93 566
CA Ventoux Comtat Venaissin 68 315 bilan C (2010) bilan C (2010) 12/10/09 X X en cours Julien DE MICHELEAndré AIELLO
CG 04 161 054 en cours Energ'Air 29/04/11 X Chrystelle POIROTPierre-Yves VADOT
CG 05 137 528 en projet Jean-Yves DUSSERRE
CG 06 1 097 046 bilan C (2006) bilan C (2007) dec-07 X X X mars-09 laurence DALSTEIN RICHIEREric CIOTTI
CG 13 1 985 193 Delphine VITALI
CG 83 1 013 458 en cours ? M BRUN
CG 84 550 568
CR PACA 4 944 847 en cours en cours 07/12/09 X en cours Dominique FLAHAUTAnnick DELHAYE
Autres collectivités volontaires
Gap 37 785 Jérôme MAZET
Gardanne 20 903 Bernard BASTIDE
Vitrolles 37 479 Philippe GARDIOL
SM Pays d'Arles 157 733 Laure BOU Hervé SCHIAVETTI
PNR Alpilles 65 655 Julien BRINET
PNR Verdon 24 811 Dominique IMBURGIA
PNR Camargue 54 311
Etat d'avancement du PCET
Etat d’avancement des PCET
Décret PCET
« Art. R. 229-52. − (…) Lorsque la collectivité engage l’élaboration du plan climat-
énergie territorial, elle en informe par écrit le préfet de région ainsi que le représentant des organismes mentionnés à l’article L. 411-2 du code de la construction et de
l’habitation.
« Dans les deux mois à compter de cette notification, le préfet de région transmet à la collectivité l’ensemble des informations et des données dont il dispose relatives au schéma régional du climat, de l’air et de l’énergie.
Informations et
données également disponibles dans les mêmes pages
« Art. R. 229-53. − Le projet de plan est soumis pour avis au préfet de région (…) Ces avis sont réputés favorables s’ils n’ont pas été notifiés par écrit dans un délai de deux mois.
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Rappel du timing
9h30 Accueil des participants
9h45 Introduction, définition et principes de la concertation Albane Gaspard, Service Economie et Prospective, ADEME 12h15 Illustration par Jean-Michel Picazo, ARPE PACA
12h40 Présentation de la page PCET du site Internet de la DREAL Frédéric Berlioz, DREAL PACA
12h55 Baptême du réseau PCET 13h00 World Lunch
14h00 Financement des actions des PCET
Alice Croizé, Françoise Réfabert, ADEME 16h45 Evaluation et conclusions
17h00 Fin de la journée
Baptême du réseau
• Suite au vote de la dernière réunion, le réseau PLEE-ASTER-PCET s’appelle désormais officiellement
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Rappel du timing
9h30 Accueil des participants
9h45 Introduction, définition et principes de la concertation Albane Gaspard, Service Economie et Prospective, ADEME 12h15 Illustration par Jean-Michel Picazo, ARPE PACA
12h40 Présentation de la page PCET du site Internet de la DREAL Frédéric Berlioz, DREAL PACA
12h55 Baptême du réseau PCET 13h00 World Lunch
14h00 Financement des actions des PCET
Alice Croizé, Françoise Réfabert, ADEME 16h45 Evaluation et conclusions
17h00 Fin de la journée
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Rappel du timing
9h30 Accueil des participants
9h45 Introduction, définition et principes de la concertation Albane Gaspard, Service Economie et Prospective, ADEME 12h15 Illustration par Jean-Michel Picazo, ARPE PACA
12h40 Présentation de la page PCET du site Internet de la DREAL Frédéric Berlioz, DREAL PACA
12h55 Baptême du réseau PCET 13h00 World Lunch
14h00 Financement des actions des PCET
Alice Croizé, Françoise Réfabert, ADEME 16h45 Evaluation et conclusions
17h00 Fin de la journée
Fréjus, le 27 Septembre 2011
59
TROIS ENJEUX MAJEURS POUR APPREHENDER LE FINANCEMENT DES ACTIONS
Fréjus, le 27 Septembre 2011
60
Forte demande d’information sur les
nouveaux dispositifs financiers
• Questionne la mise en place d’un système de veille et de diffusion
Anticiper et avoir une vision claire des besoins
de financement
• Renforcer les logiques transversales entre les services et les élus
• Renforcer les connaissances et
l’accompagnement des collectivités en termes de mutualisation
Mobiliser en interne les compétences et les
moyens humains
• Dans le champ des interventions
techniques
• En matière
d’ingénierie
PRÉSENTATION DE QUELQUES DISPOSITIFS SUSCEPTIBLES DE PORTER SUR :
Les mesures d’atténuation
Réhabilitation du patrimoine
bâti des collectivités Les politiques
d’économies d’énergies et de production
d’ENR
Fréjus, le 27 Septembre 2011
61
DES PISTES DE RÉFLEXION POUR :
62
• Exemples de
réorientation ou de
capitalisation des budgets Mobiliser la
ressource financière existante
• Outils de financement et moyens d’intervention innovants
Réduire l’appel aux subventions
Fréjus, le 27 Septembre 2011
Fréjus, le 27 Septembre 2011
63
Mobiliser les ressources locales
• Les fondes de concours
intercommunal
• Système de
financement en Intracting
Fonds et
instruments financiers européens
• JESSICA
• ELENA
• EEE-F
Partenariats Publics Privés
• Contrat de performance énergétique
• La question du tiers
investissement
FONDS DE CONCOURS INTERCOMMUNAL ET RETOURS D’EXPÉRIENCES
Fréjus, le 27 Septembre 2011
64
Crée par la Loi du 12 juillet 1999 « Loi Chevènement », le fond de concours intercommunal est un mode de
coopération versé par un EPCI à une ou plusieurs des
communes membres ( ou inversement) pour la réalisation
ou le fonctionnement d’un équipement.
Originalité de la démarche
• Satisfaire des objectifs de solidarité et d’équité .
• Attribution des fonds de concours aux projets s’inscrivant dans une
démarche de DD affirmée.
• respect des orientations du plan climat,
• constructions HQE
• majoration pour les projets qui contiennent une dimension ENR
Avantages et inconvénients de la démarche
• Meilleurs association entre l’Agglo et ses communes.
• Liens plus étroits entre techniciens et élus.
• Logique de mutualisation de l’ingénierie.
• Nécessite une enveloppe financière conséquente.
Facteurs clés de réussite et conditions de mise en œuvre
• Forte volonté politique et vision stratégique
commune.
• Les fonds de concours portent la stratégie du territoire.
• Répondent à des objectifs de long terme.
• Font l’objet d’une
demande de la part des communes .
• Les exigences portent sur le contenu des projets.
REX DE LA COMMUNAUTÉ D’AGGLOMÉRATION ARTOIS FLANDRES :
Fréjus, le 27 Septembre 2011
65
COMMUNAUTÉ DE COMMUNES ARTOIS FLANDRES : RÉFLEXION SUR UN FONDS DE CONCOURS EN FAVEUR DES INVESTISSEMENTS DURABLES.
Fréjus, le 27 Septembre 2011
66
Le projet :
une proposition de techniciens dans le cadre de la mise en œuvre du PCET pour inciter les communes à se doter d’équipements en énergies nouvelles.
Avantages mentionnés :
« Par rapport à une solution classique de subventionnement, le fonds de concours permet de démultiplier l’action communautaire ».
Difficultés rencontrés :
-Réticence du président de l’EPCI qui se méfie d’une relation de
dépendance financière vis-à-vis des communes et des dérives souvent
attribuées aux fonds de concours (écueil du guichet et du bon point).
Crise de l’énergie : Stuttgart se dote d’une structure
chargée de la gestion de l’énergie à
l’échelle communale.
Le Département de la gestion de
l’énergie ) est
intégré au service de protection de l’environnement de la municipalité .
1995 : le
Département pour la gestion de l’énergie et l’administration des finances
communautaires introduisent
conjointement un système de financement au sein de la
collectivité.
SYSTÈME DE FINANCEMENT EN INTRACTING : L’EXEMPLE DE STUTTGART
Fréjus, le 27 Septembre 2011
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OBJECTIF DU PROJET:
Fréjus, le 27 Septembre 2011
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Un système de financement pour mettre en œuvre des projets économiquement rentables à brève
échéance et susceptibles d’engendrer des
économies d’énergie.
FONCTIONNEMENT :
Fréjus, le 27 Septembre 2011
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Département pour la gestion de l’énergie : un rôle d’ingénieur
Fonds de remboursent
Administration des finances communales
CO- CONTRACTANTS :
Services techniques*
Régies municipales Budget
Mesures d’économie d’énergie Financement : prêt à taux zéro
SERVICE DE PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT
INTRACTING opérant avec des fonds budgétaires municipaux
Rex
• 40 % d’économies sur les consommations de chaleur.
• 15 %sur les consommation d’électricité.
• Phase et financement de démarrage de 5 ans
• Depuis, les projets sont exclusivement financés par les économies
d’énergies
• Temps de retour actuel de 4,5 ans
Avantages
• véritable transversalité des projets
• Forte réduction des coûts administratifs et de transaction
• Frais réels transparents
• Importants pouvoirs conférés à la cellule énergie vis-à-vis des exploitants
Conditions de mise en œuvre
• Modification des compétences et des responsabilités
• Le Département assure en interne la prestation d’ingénieur
RETOUR D’EXPÉRIENCES
Fréjus, le 27 Septembre 2011
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JESSICA
• Joint European for
Sustainable Investments in City Areas
• Mécanisme permettant de transformer des fonds structurels en
fonds propres, emprunts ou garanties.
ELENA
• European Local Energy Assistance
• Système de subvention destiné à accélérer les programmes
d’investissements .
EEE-F
• European Energy Efficiency Fund
• Fonds européens
destiné à faire décoller les projets énergétiques dans le secteur public .
FONDS ET INSTRUMENTS FINANCIERS EUROPÉENS : DES LOGIQUES DIFFÉRENTES
Fréjus, le 27 Septembre 2011
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Se destine à des projets d’aménagement urbain
Un fonds de Développement Urbain n’à pas vocation à proposer des subventions
Permet un effet de levier sur les subventions :
en permettant aux autorités de gestion des fonds structurels d’utiliser une partie des subventions de l’UE pour procéder à des investissements
remboursables dans des projets relevant d’un plan intégré de développement durable.
En France, JESSICA est amenée à poursuivre un double objectif de développement durable, et de cohésion sociale et territoriale.
Un rapport de la BEI sur le développement de JESSICA en France souligne les potentialités des Programmes opérationnels FEDER 2007-2013.
JESSICA : L’ESSENTIEL
Fréjus, le 27 Septembre 2011
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EN FRANCE, UN FONDS DE DÉVELOPPEMENT URBAIN POURRAIT ÊTRE AMENÉ À PRENDRE LA FORME D’UNE SIR DANS LE CADRE DE LA LOI SRU
(Rapport de la BEI sur le déploiement de JESSICA en France mené par le BE Renaissances Urbaines)
Fréjus, le 27 Septembre 2011
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Exemple du Nord Pas de Calais avec BATIXIA : première SIR pour le Renouvellement Urbain.
Un PPP qui permet d’apporter des financements publics à des projets immobiliers privés dans les sites urbains en difficulté.
A suivre: JESSICA fait l’objet une réflexion en cours dans le Nord Pas de Calais
entre l’ADEME et le SGAR.
ELENA
Mécanisme d’assistance technique dans le cadre du programme
« Énergie Intelligente Europe » .
Accélérer les programmes d’investissement : couvre une partie des frais d’assistance technique induits par la
préparation, la mise en œuvre et le financement des programmes d’investissement.
Destinés à être reproduits dans d’autres collectivités.
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L’ESSENTIEL UN EFFET DE SEUIL DISUASIF ?
Destinée à des programmes
d’investissement supérieur à 50 M EUR.
Seuil récemment revu à la baisse.
Regrouper des projets locaux dispersés pour en faire des investissements
rentables.
LA CRÉATION D’UNE ÉQUIPE POUR LE MONTAGE DE PROGRAMME D’INVESTISSEMENTS
INNOVANTS
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PARIS
• Création d’une équipe de projet composée de 3 employés
supplémentaires
MILAN
• Création d’une équipe
composée et former autour du personnel existant
VILLA NOVA DE GAIA
• Création d’une
« équipe ELENA »
qualifiée et sous traitance
d’experts ( aide technique,
juridique et
contractuelle)
Fréjus, le 27 Septembre 2011
76 EFFICACITE ENERGETIQUE :
KFW ELENA : Mécanisme pilote pour des prêts globaux pour des services de développement
de projets et l’octroi de crédits carbone
PRECARITE ENERGETIQUE : CEB ELENA : Services de
développement de projets dans le domaine du logement social
ENR : EEE-F : faire décoller les projets énergétiques dans le
secteur public en ciblant les investissements de petite
dimension
INTERROGATIONS SUR LE DEVENIR DU PROGRAMME EIE
: les instruments innovants pourraient se retrouver dans les
programmes LIFE +ou les programmes de recherche
2011
: ACTUALITÉ RICHE POUR LES INSTRUMENTSEUROPÉENS
CPE ET PPP : ILLUSTRATION À TRAVERS LE REX DE LA RÉGION CENTRE
Fréjus, 27 Septembre 2011
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Recours à la procédure de Partenariat Public Privé via une procédure de dialogue compétitif.
Intégration du CPE comme un outil de la gestion patrimoniale.
POURQUOI LE CPE ?
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• Accélération de l’investissement.
• Une garantie d’économie d’énergie : passage d’une logique de moyens à une logique de résultats.
• Un contrat global qui incite à raisonner en coût global
• Une vraie gestion partagée
• Un niveau de performance élevé (savoir faire des entreprises)
• …
LE PERIMETRE
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• 20 lycées
• 340 000 m² de Surface Hors OEuvre Nette
• Facture énergétique 3,3 M€/an
• Travaux sur: isolation, éclairage, GTC, équipements de chauffage, photovoltaïque, PAC, chaufferies bois, …
• Exploitation – Maintenance sur la durée du contrat (15 ans)
• Gros Entretien Renouvellement sur les ouvrages touchant aux
consommations énergétiques
LES RESULTATS
Année universitaire 2010-2011
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• Objectifs atteints :
• 38 % du Grenelle,
• 10 % d’ENR,
• CO2 / 2.
• Fin du mythe de l’auto-financement:
• Part des loyers financée par les économies= ~20 %,
• Part des investissements (hors financement) couverte par les
économies d’énergie= ~40 %.
LES PRINCIPALES QUESTIONS SOULEVEES
Avant le projet :
Les coûts de transaction engendrés par le CPE,
Le gisement d’économies d’énergies,
…
Fréjus, le 27 Septembre 2011
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Les questions qui restent en suspens :
Généralisation à l’ensemble du parc,
Moyens humains
nécessaires au suivi du contrat,
Impact organisationnel
CONCLUSION
Fréjus, le 27 Septembre 2011
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Une réflexion sur les modes de financement peut être l’occasion de mener une réflexion sur les modes
d’organisation
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MERCI POUR VOTRE
ATTENTION !!!
Réunion de travail du réseau des chargés de missions
PLEE et PCET
Conception d’un nouveau Service Public Local de l’Efficacité Energétique dédié à l’habitat privé
Fréjus, le 27 septembre 2011
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LE CONCEPT DU SERVICE PUBLIC DE
L’EFFICACITÉ ENERGÉTIQUE
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Le SPEE s’attaque aux complexités du secteur de l’habitat privé
En France comme ailleurs
1:
Les économies d’énergie ne constituent pas une préoccupation suffisante des consommateurs
L’argument du confort est bien plus puissant ;
Les propriétaires surestiment la qualité de l’isolation de leur logement ;
Le montant à investir est un facteur de blocage, face à un bénéfice sous-évalué ;
Les mesures incitatives telles que l’ECO-PTZ ont un effet d’aubaine plutôt que d’incitation.
Pour passer à l’acte :
L’initiative doit être prise par une organisation de référence
Fournir aux consommateurs des informations facilement accessibles et les expliquer ;
Coût d’accès au nouveau service inexistant ou très bas ;
Permettre aux consommateurs de réaliser des économies (de temps, d’argent ou d’effort).
Cf. enquête RénovEnergie menée très récemment en Allemagne, Espagne, France, Italie et Suisse sur le poids des facteurs socio-économiques dans la réalisation des opérations de rénovation énergétique performantes
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Le SPEE : une approche adaptée à un marché de détail
Le SPEE : une logique innovante :
Programme de travaux conforme aux Meilleures pratiques de rénovation thermique
Effet de levier sur les décisions individuelles
Audit thermique, conseils, accompagnement,
communication engageante au nom de la collectivité Un parcours de service complet :
Financement attaché au bâti Adossé à des redevances de long terme,
≤ l’économie d’énergie réalisée grâce aux travaux
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Schéma du Service Public de l’Efficacité
Energétique
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Exemple d’une maison
Plan de financement : Non éligible aux subventions ANAH, des redevances d’un montant de départ de 713 €, inférieure à l’ économie d’énergie liée au programme de travaux
Consommation énergétique estimée à 58 473 kWhep/m².an
Volume estimé des émissions de gaz à effet de serre : 39kg.CO2/m².an
Dépenses de chauffage et eau chaude estimées à 1 050€ TTC/an
Consommation énergétique estimée à 27300 kWhep/m².an
Volume estimé des émissions de gaz à effet de serre : 17 kg.CO2/m².an
Dépenses de chauffage et eau chaude estimées à 1
058 € TTC/an A V A N T
720 € TTC d’économie / an A P R E S, conso : D émissions CO2 : D Exemple à Soissons : maison individuelle - 63,7 m² , Parois Brique Pleine,
Toit ardoise, Plancher ancien, 3 habitants, occupation permanente, absence pendant la journée, Chauffage électrique
Isolation par contre cloison,
Plancher polyutéthane
Tuile LV300
Chaudière Gaz à condensation
Radiateurs haute
température avec robinets thermo-statiques
Pas de programmation
VMC simple flux Hygro A
Travaux : 13 180 € TTC
AVANT, conso : F, émissions CO2 : G
Hypothèses : plan de financement sur 25 ans intégrant :
•prêt à taux zéro, durée 12 ans
•Financement complémentaire à 5% sur 25 ans
•progression de la redevance (1,5% par an)
•Une tranche à 15 ans (32%), une tranche à 25 ans (68%) en fonction de la durée de vie respective du système de chauffage+ventilation et de l’isolation
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Un dispositif à adapter aux différents segments de l’habitat diffus
Propriétaires de maisons
individuelles
7,9 millions de maisons*
Habitat collectif
Habitat individuel
Occupant
= financeur Occupant
≠ financeur
Propriétaires Bailleurs en copropriété
3 millions d’appartements*
Propriétaires occupants en co-propriété
5,1 millions d’appartements*
Logements sociaux 2,85 millions de logements *
Sources : INSEE, Compte du logement 2007, ADEME, Interview de M. Buzy- Cazeau, pdt de l'ESPI et ex-pdt de la FNAIM
Inv. Institutionnels 0,46 millions de logements*
Résidences secondaires
2,1 millions de logements*
SECTEUR DE L’HABITAT PRIVE DIFFUS
Propriétaires Bailleurs 1,2 million de
maisons*
* Logements construits avant 1990
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Schéma adapté aux copropriétés
Service public de l’efficacité énergétique (SPEE)
Copropriétés ayant adhéré au programme local Collectivité
Banques
Programme de travaux conforme aux
objectifs de long terme du
SPEE Plan de
financement pour chaque copropriétaire
(y compris subventions et
financement pour le SPEE)
Entreprises locales
1- Création du SPEE par la collectivité. Organisation sous
forme de régie, EPL ou opérateur d’une délégation
de service public
Financement des travaux par le SPEE
puis paiement par les particuliers d’une contribution
attachée à la propriété
Maintenance, Conseil sur les
usages, Suivi de la consommation 2- Information, sensibilisation, accueil du public
4 – intermédiation du SPEE pour le paiement
des prestations de service et des travaux 2- Bis : Concertation avec
les entreprises pour la réalisation des travaux conformes aux objectifs du
SPEE
3– Réalisation des prestations de
conseil et des travaux en direct ou
en sous-traitance
5- Financement à long terme adossé à la
perception des contributions.
La collectivité ou l’opérateur (EPL…) est l’emprunteur vis-à-vis
des prêteurs Audit
thermique Proposition
de travaux sur parties communes et privatives
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De nombreuses questions à traiter en perspective d’une opération pilote
• Notamment :
– La TVA applicable aux contributions du SPEE – L’intégration des aides et de l’ECO-PTZ dans le
dispositif
– La publicité de la créance du SPEE lors d’une mutation immobilière
– Utilisation du logiciel Dialogie de l’ADEME dans
l’habitat individuel
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LA DÉMARCHE DE
VESTA CONSEIL&FINANCE
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