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Huitième exposition nationale suisse des Beaux-Arts à Lausanne

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Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

La Chronique des arts et de la

curiosité

(2)

La Chronique des arts et de la curiosité. 1904/09/24.

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(3)

val (pass. cité) de 25 sous

par

jour,

et ceux du

Boc-cador de 400

livres

par

an (1). Ainsi le

premier

recevait

plus

que le second. Joignez qu'on le

nomme

avant

lui. C'est assez

pour

conclure que,

depuis

juin

1534, Chambiges

avait

remplacé

Boc-cador comme

architecte

du

bâtiment

.(1" Mém.,

p. 18). Cette conclusion

passe

chez M. Vachon

pour

certaine.

Je

réponds. M. Vachon est-il

sûr

que le Boccador

n'avait auparavant rien

touché

pour la fourniture

des

plans

et

pourtraits

de l'édifice ?

Payé

de 400

livres

sur

le

fait précis

des

travaux

en cours à

l'Hôtel

de ville, où voit-on que cela signifie que

l'Hôtel

de ville ne lui

rapporta rien

de

plus?

Je ne

parle pas

de ses gages de valet de

chambre

de la

reine, qui

faisaient un premier

fonds à ce

qu'un

homme

aussi

considérable que le Boccador gagnait

en affaires

particulières. Je

me

permets d'avertir

l'auteur

que ces questions de paye au seizième siè-cle sont une chose

très

délicate,

quand

des hommes

de

pareil

emploi et de même

rang

ne sont

pas

ce

qu'on compare. Sauvai

assure

que Chambiges était

l'entrepreneur

du

bâtiment,

«

tailleur

de

pierres,

dit-il, maçon et

conducteur

des ouvriers » (pass.

cité). Au

contraire,

Boccadoren est dit

l'architecte.

Un fait est

certain

ici, c'est qu'on

payait

le Bocca-dor à l'année, et Chambiges à

la journée. Entre

ces deux sortes de gages,

nul

doute que le

pre-mier ne

passe l'autre,

au moins en dignité et en

sécurité.

Il

m'a paru

que M. Vachon calculait

l'année

de Chambiges comme

s'il n'y

eût eu ni

dimanches, ni fêtes, ni chômages, dont le déchet

au

moins

n'atteignait pas

le Boccador.

Enfin, le

fait

est que le Boccador

était

l'auteur

des

plans

et

l'architecte.

Cela se

trouve marqué

aux

pièces originales. M. Vachon l'avoue, mais

seulement, dira-t-il, avant

l'événement que

je

rap-porte. Je

réponds

:

avant

quoi ? Où

trouve-t-il

que

les

payes

du Boccador et de Chambiges

furent

changées ? A-t-il le moindre avis

direct

que celle

du

premier fut plus grande avant

juin

1534, temps

auquel

M. Vachon place sa

«révolution»?

Sauvai,

qui cite ces chiffres,

donne-t-il

à

supposer

qu'elles

aient

changé ?

En

nomme-t-il moins le Boccador

l'architecte

du bâtiment ?

Et

si cette qualité se

trouve unie à cette paye

dans

le document qui

la

rapporte,

où prend-on le

droit

de les

séparer

et de

supposer

que

l'une n'allait pas

avec

l'autre

?

Je

vois que M. Vachon

fait état

en cet

endroit

d'un

excellent

petit

opuscule du vénéré M.

Char-vet (2). «

Il

est

certain aujourd'hui,

dit-il

d'après

cette

autorité

(1er Mémoire, p. 17),

par

les

travaux

des

érudits,

que

dans

les

travaux

de

construction

du temps,

seuls

recevaient des gages les

architec-tes et non les

entrepreneurs.

»

Il

conclut de là que

Chambiges, qui recevait de gages 25 sous

par

jour,

ne

pouvait

être que

l'architecte. En

ce cas je

de-mande si le Boccador, qui recevait de gages 400

livres l'an, n'était pas aussi

l'architecte ?

Et

Asse-lin, nommé

par

Sauvai le «

surintendant

de la

char-penterie

», qui

touchait

75 livres de gages, n'était-il

pas l'architecte

pareillement ? Total,

trois

architec-(1)

L'auteur

se réfère de cette

assurance

à des

comptes

qu'aurait

publiés Leroux

de Lincy.

Je

n'ai

pu les

retrouver

chez ce

dernier.

(2)

L'Architecture au point

de vue

artistique

et

pratique

pendant

les

xvie,

xvii*

et

xvme

siècles

en

France

(Réunion des Sociétés des

Beaux-Arts

des

départements,

annéo 1899, p. 286).

tes. M. Vachon me croira-t-il, si

je lui

dis

que

n'est

certain aujourd'hui

en ces difficiles matiorc^

M. Charvet, qui

là-dessus

en

sait plus

que

sonne, est le

premier

à

parler

avec d'exti't-1'11

réserves. M. de Geymûller, dont

l'important

Ope vrage

sur

la Benaissance française corrig0 .1C11'S

sais combien des idées de

Palustre

auxq»cg

M. Vachon

parait

tenir

le

plus, n'est

point

cflC

fixé

sur

le mode d'emploi, de compétence, diB ~~,

vention et de paye des

ouvriers

du

bâtiment

d

Tout, à cet égard, est remis en question. On

c

mence à peine à

revoir

clair. Dans le texte que CI

sans

guillemets (2" Mémoire, p. 17) M.

V

M.

Charvet

commence ainsi

:

En règle

.(I('n

Au

contraire,

notre

auteur

écrit:

Il

est défindt' le

ment établi.

C'est une différence sensible, CJiU

texte de Sauvai, d'où l'on

tire tout

ce

point,

eS

à

prouver,

comme on voit,

qu'il faut

quclqn

précautions

à

appliquer

cette règle. J}S

Quant au

rang

que

tient

le nom du Boccador < •flS

le document ci-dessus, que

l'auteur

appelle il](",,C, temer.t « une liste officielle », je me bornerai :l ja' question suivante. M. Vachon a-t-il quelque escncc pie

d'une

préséance de nom

dans

une pièce C'eç;'il

genre, signifiant une préséance de fonctions ?

en a,

qu'il

veuille bien le

produire,

nous ne

mandons qu'à

le

discuter.

S'il n'en

a

Pas'

souffre

qu'on

lui dise que la

fantaisie

de son

ln :c

prétation

ne

peut aucunement servir

de

Pr

Pourquoi

ce nom en queue ? Mais

pour

rien, Pnlc0

qu'il

est

ainsi

venu sous la plume du scribe a'ce

ce document de mince objet, ou,

s'il

veut,

00

que

la

fonction de

surveiller

les

ouvriers

e

éloignée de

la

dignité do

l'architecte

plus

que

ce

entrepreneurs,

le Boccador

vient

le dernier

a

on-poste vulgaire, comme il eût été le

premier

à U101"

neur.

J'ajoute

que je ne tiens point du tout à

CC

raison.

'[¡¡-Ainsi, comme il

est établi

que le plan de

la.

pisserie n'a

contenu

la

figure

d'aucun

trois"-Hôtel de ville, comme il

est établi

que cet Hotc

n-ville, qui

jamais

n'exista, ne

fut pas

démoli 1,^

reillement

il n'y a

pas la

moindre

raison

de croire

que Chambiges fut ni

l'architecte d'un

batnut

qu'on y eût

substitué,

ni

l'auteur

de ce qui SCncé

dans

la

suite des

temps

au

monument

coiniuc

par

le

Boccador.

(A

suivre.)

L.

Dimier-CORRESPONDANCE

DE

SUISSE

HUITIÈME EXPOSITION NATIONALE SL"I*ëË

DES BEAUX-ARTS, A LAUSANNE

Le 20 août s'est ouverte à

Lausanne

cette

'15,

tième Exposition

nationale suisse

des

eail-somptueusement

installée dans le palais de

l IltC

mine, qui

s'inaugure ainsi

par

une

très

brll a

manifestation,

,

orc

L'école suisse, qui

pour

bien des gens vit eu 1>c

dans Calame, s'est reconstituée. Malgré les

iQ^

ces

française,

allemande et italienne qui se

rév

lent indéniablement,

on voit

surgir

des ta

19

originaux. Ferdinand

Hodler, de

Genève, en

jg

preuve.

Il

a une

cinquantaine d'années

et

.,

t5

longtemps

il

lutte contre les

sarcasmes;

de rt-'CL jg

succès à Berlin et à Vienne ont été enliu la

rec

(4)

Ise

e

à

Lausanne

bénéficieront

certaine-cette vogue étrangère, et le public

helvé-"'nprendra peut-être que, en dépit de

s

voulues, ces tableaux sont

l'œuvre

d'un

t

le Guillaume Tell

hurlant,

qui s'avance

ateur,

est

un

morceau décoratif

sans

mais

,

d'une belle robustesse

mon-représentative d'une époque grandiose

et

e,

4.

la

vive clarté, d'une salle élégante,

t

11,

avec ses

heurts

violacés,

n'est

guère

a:ce;

il lui faudrait

la, pénombre discrète

'tHe

élevée

pour qu'il fût

mis

en valeur.

t

p

sage, un

lac

très

'bleu, environné

d'ar-1

es,

est

un

morceausolide et vigoureux.

es.t

dans le Jeune homme admiré

par la

A'e

se

résument

toutes les qualités de.

U 'sommet d'une montagne-

jaune,

parci-~M

Qt

tachée de touffes

d'herbe

et de

fleu-M

"Voit

quatre

jeunes .femmes; elles sont

~-

urnent

la

tête

pour sourire à un éphèbe,

c'aste

nudité, qui vient de

passer

de-es

t

regarde

l'infini. Les personnages sont

N

P.

le

nature

et remplissent cette immense

déments

bleus, rompus do vert, des

pposent

au

corps

ambré

du jeune

le

!r

tout

se détache

sur

le sol de

la

mon-dans sa simplicité, est

fort

noble,

Snue

par

Je beau caractère du dessin,

rjonnance

très

harmonieusement

symétri-Q,l:'

la

franchise de la

couleur.

On pense,

e

toile,

-

bien qu'eile soit

très

person-Andrea del Càstagno ou à Signorelli.

Il

Lhaiter

que Hodler envoyât ce tableau

~NN"

IS

expositions

parisiennes

et

que, moins

x

tue

Bcecklin,

il

ne.

se contentât

pas

~M

Ses de ses compatriotes ou de ses voisins

8.

~M'

ûd

est

un peu

des nôtres

:

il a

tra-avec

Cabanel. On voit à

Lausanne

'acer

dotale,

que nous avons vue à

t

deux

intéressants paysages.

Du moins,

a.:t.{i

ite

est-il

très

Suisse

par

les

sujets

alpes-avec sagesse et

par la

conviction

ique

de

sa Sainte

Cène.

~N

es

artistes

moins connus, il

faut

citer

let,

,

de

Berne, qui

suit

les traces de Charles

servilité, et

n'est

guère

qu'un

anar-t

E. froid

;

on

peut

préférer à M. Amiet

Qois,

d'Yverdon, dont le

Portrait

de

t

très

franchement traité, dans une note

console

de

la triste

monotonie

et

de

la

-

banalité

de

la

Famille bâloise de

8

Giron, de Vevey, ou du

Portrait

du

'lr

R.

de M. de M.

Ernest

Biéler.

M pistes

sont beaucoup mieux inspirés,

et

leurs montagnes

trouvent en eux

S

es

souvent

très intéressants

— c'esten

aie

peinture nationale, et ilest curieux

ment,

peut-être

guidée

par

Segantini,

elle

moderne laisse loin derrière elle

la

~Mt

dramatique

des Calame

et

des Diday.

B

•Lehmann,

,

rgmeier,

d'Aarau, Emile Cardinaux,de

Charles

L'Eplattenier,

de la

'*ds,

Fritz Widmann,

de Rûschlikon,

e,

de

Genève,

Mlle Bally, nous donnent

es

qui

font bien

augurer

des efforts

~~gt~

Un

art

renouvelé et individuel.

re

de genre, en revanche, est

abah-:ce

qui

la

remplace, ce sont des scènes

familières, généralement de

grandeur naturelle,

comme les Politiciens de M. Max

Buri,

de Brienz, ou le

Pays

natal

de M.

Hans

Wieland, le

pays

natal

symbolisé

par

un

berger qui, sa

journée

fi-nie, regarde

l'«

Alpenglùhn », ce moment féerique où le glacier rosit, tandis quele crépusculeenvahit

les sommets moins élevés. M. Jeanneret, de

Neu-châtel, réveille

la

peinture dite d'histoire avec sa

Terre promise et Midas découvrant ses oreilles,

mais c'est M. Alexandre Cingria, de Genève, qui

le

plus

franchement reste traditionaliste avec sa

Famille

de

Darius aux pieds

d'Alexandre

;

il se

contente d'un

sujet

tombé dans le domaine public,

et cherche une composition neuve à laquelle il

donne le charme, de

la

couleur, à défautde

la

cor-rection du dessin.De M. Chiesa,

un

joli triptyque

:

Fête

au

village, mérite aussi une mention

plus

qu'honorable.

-Les dessins, pastels et aquarelles sont

nom-brrux

:

M.

Paul

Bouvier, de Neuchâtel, est

fort

habile, ainsi que M. Marcel Chollet. Mme Caroline

Cingria expose La Soupe d'une

pauvresse,

ravis-sant

dessin

rehaussé

de couleur, et Mi Morérod

un Orateur

anarchiste très

enlevé.

La

sculpture

tient une assez petite place. Aciter

les

envois de M. de Niederhausern (buste de M., F.

Hodler),de M. James Vibert (bustede M. Alcanter

de Brahm,

avec, sur

le socle, le « point d'ironie »),

et enfin l'exposition posthume de quelques belles études .du regretté Hugues Bovy.

Casimir STRYIENSKI.

REVUE

DES

REVUES

Kunst und

Kunstler

(janvier). —

Considé-rations

de M. A.

Lichtwark

sur

ce que doit être

Le

jardin

moderne.

.-

La 8e

Exposition

de

la

Sécession

à

Berlin,

par

M. E. Heilbut (26 reprod., dont 2

hors

texte

eit

couleur, d'après deux

aquarelles

ae M. Max

Sle-vogt et de M. Rodin).

(Février).

L'Art

de

l'Islam

en Perse,

par

M. F. Sarre (16 reprod.,dont 1 en couleurs d'après

un

tapis en soie du XVIe siècle).

— Suite de l'étude de M. A.

Lichtwark sur

les

jardins.

— Un mot

sur

Millet,

par

le peintre Jozef

Israels

(avec 4 reprod. d'œuvres du maître fran-çais).

— Le comte

Harry

Kessler,

qui a défendu

der-nièrement,

-

dans les circonstancesque nous avons

dites (1), les droits de

l'art

libre en Allemagne, expose les

raisons

de la création du nouveau

Künstlerbund

allemand et

son

programme.

— Notes sur le peintre Gérôme, à propos

de

sa

mort,

par

M.

E. Heilbut

(1 grav. d'après le

buste

du

peintre par

Carpeaux).

(Mars).

Étude

de M.

E. Heilbut sur

diverses

œuvres du

peintre

berlinois MaxSJevogt (10repro: ductions).

Sans-Souci,

par

M.

F.

Rumpf

(7

grav.).

.(1) V. Chronique des

Arts

des 30

janvier

et 12

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