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Exercices PDF / Lecture efficace / 5. Saisir les idées dans la phrase / 6. Types de phrases

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Texte intégral

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Saisir les idées dans la phrase

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Leçon 6 – Types de phrases

Avertissement

La présente leçon montre comment interpréter le choix des différents types de phrases dans la construction du sens d’un texte en fonction du rapport particu-lier qu’ils établissent avec le lecteur.

Elle s’inscrit dans un ensemble qui montre comment l’observation des différents constituants d’une phrase, de leur ordre, de leur hiérarchie et du type de lien qui les unit permet au lecteur d’élaborer avec précision et nuance l’idée véhicu-lée dans le paragraphe, voire dans le texte.

Les leçons se partagent en trois groupes :

• les éléments de base du sens de la phrase et leur enrichissement (leçons 1 et 2) ;

• l’enrichissement du sens des phrases par divers procédés de jonction de sous-phrases (leçons 3 à 5) ;

• les transformations qui mettent en valeur un point de vue (leçons 6 à 9).

Au moment de formuler son idée, l’auteur a le choix entre diverses façons de dire ce qu’il pense et de le mettre en valeur. Le type de phrase qu’il adopte est un des procé-dés qui suggèrent sa position par rapport aux idées qu’il énonce et l’attitude qu’il solli-cite du lecteur.

LES QUATRE TYPES DE PHRASE

La phrase déclarative exprime une idée de façon affirmative ou négative. C’est le type de phrase le plus fréquent. Il devient significatif dans un texte, par opposition aux autres types de phrase ou par son absence.

– La phrase déclarative se construit selon l’ordre suivant : groupe nominal sujet + verbe + complément de verbe ; s’il y a un complément de phrase, il peut être placé en fin de phrase (a), précéder le groupe sujet (b), être intercalé entre celui-ci et le verbe (c).

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a) La lecture d’un poème (sujet) sollicite notre imagination (verbe et son com-plément) grâce à son vocabulaire imagé (complément de phrase).

b) Grâce à son vocabulaire imagé, la lecture d’un poème sollicite notre ima-gination.

c) La lecture d’un poème, grâce à son vocabulaire imagé, sollicite notre ima-gination.

La phrase impérative donne à l’idée la valeur d’un conseil, d’un souhait, d’un vœu, d’un ordre, d’un principe, d’une loi. Entre deux personnes, elle devient tantôt un signe de complicité, tantôt une marque d’autorité.

– Quand le verbe est au mode impératif (autorité), l’énoncé de base commence par le verbe dont le sujet, absent, doit être interprété en fonction du contexte ; quand le verbe est au mode subjonctif, l’énoncé commence par la conjonction que.

– La phrase impérative se termine souvent par un point d’exclamation lorsqu’on veut lui donner un tour émotif.

Soyez (impératif) à l’heure !

Que (conjonction) vous réussissiez (subjonctif) me rendra fière de vous ! Lisez (impératif) le chapitre deux pour le prochain cours.

La phrase interrogative énonce une question. Elle sollicite l’attention et la partici-pation du destinataire. Dans un dialogue, elle engendre une interaction des person-nages.

– La phrase interrogative commence généralement par un marqueur interrogatif (un déterminant, un pronom ou un adverbe) ; elle inverse le verbe et le sujet ou ré-pète le sujet par un pronom placé après le verbe ; elle peut recevoir plus d’une marque d’interrogation.

– La phrase interrogative se termine par un point d’interrogation.

Que (pronom interrogatif) voulez-vous (inversion) dire ?

Pierre douterait-il (sujet répété) que la lecture efficace favorise le succès

sco-laire ?

Pourquoi (adverbe) la lecture peut-elle (sujet répété) m’aider à mieux

réus-sir mes études ?

La phrase exclamative révèle une émotion – joie, peur, colère, regret, amour, etc. – de la personne qui s’exprime. Elle s’adresse à la sensibilité du destinataire et sollicite ses réactions affectives.

– La phrase exclamative commence par un adverbe, un pronom ou un détermi-nant exclamatifs ; parfois elle se réduit à quelques mots constituant une phrase non verbale ; des interjections s’ajoutent parfois à une phrase pour lui donner une valeur exclamative.

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– La phrase exclamative finit par un point d’exclamation.

Quelle (déterminant exclamatif) joie de vous revoir ! Quelle splendeur, ce spectacle ! (phrase non verbale)

Hélas ! (interjection) j’ai terminé la lecture de ce roman grandiose.

Remarque :

Une phrase sans mot interrogatif ou exclamatif et qui comporte un point d’interro-gation ou d’exclamation prend une valeur interrogative ou exclamative. Le lecteur doit ici être attentif à la ponctuation, qui devient le seul signal du sens que l’auteur a voulu donner à sa phrase déclarative.

DU POINT DE VUE DU LECTEUR

Lire, c’est décoder un message et l’intention qui le motive. Pour entrer dans la dynami-que du texte, le lecteur doit s’interroger sur le traitement des phrases choisi par l’auteur, car une phrase ne naît pas du hasard, mais d’une recherche pour disposer les mots en fonction de l’effet à produire. Par son activité, le lecteur peut dégager des indices

signi-ficatifs au regard du sens du texte et varier son mode de lecture. Il peut, en particulier :

Reconnaître les différents types de phrases pour adapter son interaction avec le texte : – les phrases déclaratives énoncent le ou les points de vue présentés ; le lecteur y

cherchera avec soin ce qui en constitue le fondement ;

– les phrases interrogatives ou de valeur interrogative attirent son attention sur un aspect ou un argument, forcent sa réflexion et sollicitent son point de vue per-sonnel ;

– les phrases impératives provoquent une réaction, une action du lecteur voulue par l’auteur ;

– les phrases exclamatives ou de valeur exclamative font appel à sa sensibilité.

Dégager les intentions de l’auteur vis-à-vis de son lecteur : veut-il l’informer, le con-vaincre, l’émouvoir, le faire agir ? À partir de son analyse des intentions, déterminer si le type de texte est informatif, explicatif, prescriptif, argumentatif, expressif, nar-ratif.

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Consignes

• Dans le texte, encerclez les marques de l’interrogation, de l’exclamation ; soulignez les verbes au mode impératif et séparez par une barre oblique les phrases qui com-posent chaque réplique.

Sur la fiche de travail, pour chaque réplique :

1. Inscrivez qui parle ;

2. Inscrivez les marques de l’interrogation et de l’exclamation repérées ou les ver-bes à l’impératif soulignés dans le texte. Pour les répliques ne contenant que des phrases déclaratives, inscrivez « aucune marque ». Traitez les répliques 12 et 14 globalement en indiquant ce qui caractérise l’ensemble des phrases.

3. Déterminez le type ou la valeur de chaque phrase distincte de chaque réplique. Inscrivez plusieurs types lorsque c’est nécessaire. Pour les répliques 12 et 14, indiquez globalement le type de phrases concernant l’ensemble de la réplique.

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Texte

À l’époque où Voltaire écrit ce texte (XVIIIe siècle), il est d’usage, dans

les familles riches de la haute société, de confier l’éducation des en-fants à des nourrices, à des gouvernantes puis à des religieuses. Par ailleurs, les parents choisissent l’époux de leur fille et les règles de la bienséance obligent les enfants à se vouvoyer. Les deux jeunes filles que nous présente Voltaire parlent entre elles de mariage.

1 MÉLINDE: Éraste sort d’ici, et je vous vois plongée dans une rêverie profonde. Il est jeune,

bien fait, spirituel, riche, aimable, et je vous pardonne de rêver.

2 SOPHRONIE: Il est tout ce que vous dites, je l’avoue.

3 MÉLINDE: Et de plus, il vous aime.

4 SOPHRONIE: Je l’avoue encore.

5 MÉLINDE: Je crois que vous n’êtes pas insensible pour lui.

6 SOPHRONIE: C’est un troisième aveu que mon amitié ne craint point de vous faire.

7 MÉLINDE: Ajoutez-y un quatrième ; je vois que vous épouserez bientôt Éraste.

8 SOPHRONIE: Je vous dirai, avec la même confiance, que je ne l’épouserai jamais.

9 MÉLINDE: Quoi ! votre mère s’oppose à un parti si sortable1?

10 SOPHRONIE: Non, elle me laisse la liberté du choix ; j’aime Éraste et je ne l’épouserai pas.

11 MÉLINDE: Et quelle raison pouvez-vous avoir de vous tyranniser ainsi vous-même ?

12 SOPHRONIE: La crainte d’être tyrannisée. Éraste a de l’esprit, mais il l’a impérieux et

mordant ; il a des grâces, mais il en ferait bientôt usage pour d’autres que moi : je ne veux pas être la rivale d’une de ces personnes qui vendent leurs charmes, qui donnent malheureusement de l’éclat à celui qui les achète, qui révoltent la moitié d’une ville par leur faste, qui ruinent l’autre par l’exemple, et qui triomphent en public du malheur d’une honnête femme réduite à pleurer dans la solitude. J’ai une forte inclination pour

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Éraste, mais j’ai étudié son caractère ; il a trop contredit mon inclination : je veux être heureuse ; je ne le serais pas avec lui ; j’épouserai Ariste, que j’estime, et que j’espère aimer.

13 MÉLINDE: Vous êtes bien raisonnable pour votre âge. Il n’y a guère de filles que la crainte

d’un avenir fâcheux empêche de jouir d’un présent agréable. Comment pouvez-vous avoir un tel empire sur vous-même ?

14 SOPHRONIE: Ce peu que j’ai de raison, je le dois à l’éducation que m’a donnée ma mère.

Elle ne m’a point élevée dans un couvent, parce que ce n’était pas dans un couvent que j’étais destinée à vivre. Je plains les filles dont les mères ont confié la première jeunesse à des religieuses, comme elles ont laissé le soin de leur première enfance à des nourri-ces étrangères. J’entends dire que dans nourri-ces couvents, comme dans la plupart des collè-ges où les jeunes gens sont élevés, on n’apprend guère que ce qu’il faut oublier pour toute sa vie ; on ensevelit dans la stupidité les premiers de vos beaux jours. Vous ne sor-tez guère de votre prison que pour être promise à un inconnu qui vient vous épier à la grille ; quel qu’il soit, vous le regardez comme un libérateur, et, fût-il un singe, vous vous croyez trop heureuse : vous vous donnez à lui sans le connaître ; vous vivez avec lui sans l’aimer. C’est un marché qu’on a fait sans vous, et bientôt après les deux parties se repentent.

Ma mère m’a crue digne de penser de même, et de choisir un jour un époux moi-même. […] née pour vivre dans la société, elle m’a fait instruire de bonne heure dans tout ce qui regarde la société ; elle a formé mon esprit en me faisant craindre les écueils du bel esprit2; elle m’a menée à tous les spectacles choisis qui peuvent inspirer le goût

sans corrompre les mœurs, où l’on étale encore plus les dangers des passions que leurs charmes, où la bienséance règne, où l’on apprend à penser et à s’exprimer. […] Enfin, ma mère m’a toujours regardée comme un être pensant dont il fallait cultiver l’âme, et non comme une poupée qu’on ajuste, qu’on montre, et qu’on renferme le moment d’après.

Voltaire, « L’éducation des filles », dans Mélanges, 1765

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Fiche de travail

Réplique Qui parle ? Marques du type de phrase Type des phrases 1 Phrase 1 : Phrase 2 : 2 3 4 5 6 7 Phrase 1 : Phrase 2 : 8 9 Phrase 1 : Phrase 2 : 10 11 12 13 Phrase 1 : Phrase 2 : Phrase 3 : 14

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Corrigé

Réplique Qui parle ? Marques du type de phrase Type des phrases

1 Mélinde Phrase 1 : aucune marque déclarative Phrase 2 : aucune marque déclarative 2 Sophronie aucune marque déclarative 3 Mélinde aucune marque déclarative 4 Sophronie aucune marque déclarative 5 Mélinde aucune marque déclarative 6 Sophronie aucune marque déclarative 7 Mélinde Phrase 1 : Ajoutez-y… (verbe à l’impératif) injonctive

Phrase 2 : aucune marque déclarative 8 Sophronie aucune marque déclarative 9 Mélinde Phrase 1 : Quoi ! (mot exclamatif et exclamative

point d’exclamation)

Phrase 2 : votre mère s’oppose… ? déclarative à (point d’interrogation) valeur interrogative 10 Sophronie aucune marque déclarative 11 Mélinde quelle raison pouvez-vous avoir… ? interrogative

(mot interrogatif, inversion du sujet et point d’interrogation)

12 Sophronie aucune marque déclarative 13 Mélinde Phrase 1 : aucune marque déclarative Phrase 2 : aucune marque déclarative Phrase 3 : Comment pouvez-vous… ? interrogative (mot interrogatif, inversion du sujet et point

d’interrogation)

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GUIDE POUR LA CONSTRUCTION DU SENS

Observation des données

• La plupart des phrases du texte sont de type déclaratif.

• Seul le personnage de Mélinde utilise des phrases d’autres types qui donnent ainsi une valeur expressive au texte : à la réplique 7, elle utilise une phrase injonctive pour amorcer sa réplique ; à la réplique 9, elle exprime sa réaction à la réplique de son amie par une exclamation suivie aussitôt d’une question ; aux répliques 11 et 13, elle questionne son amie dont elle ne comprend pas les déclarations.

• Sophronie n’utilise que des phrases déclaratives, notamment dans les longues répli-ques 12 et 14 où elle développe ses idées sur l’éducation des filles.

Contribution des types de phrases au sens du texte

• Tout le texte de Voltaire constitue un dialogue entre deux amies qui discutent amour et mariage. Le lecteur devient ainsi spectateur du débat des personnages : il écoute les secrets qui s’échangent et observe l’alternance des points de vue pour découvrir, finalement, celui de l’auteur.

• Dans les six premières répliques, le lecteur assiste à un échange de brèves phrases déclaratives qui campent la situation d’échange intime sur les amours de Sophronie.

L’incitation de Mélinde, sous forme impérative, à la septième réplique (Ajoutez-y un

quatrième aveu), suivie de la déclaration de Sophronie (Je ne l’épouserai jamais),

in-troduit une rupture logique qui explique la réaction de curiosité incrédule de Mélinde, marquée par les phrases exclamative et interrogative de la réplique 9. Comme Mélinde, le lecteur attend des explications.

• Sophronie, en parfaite maîtrise de son raisonnement, assoit son argumentation, pour refuser l’époux suggéré par Mélinde, sur des phrases déclaratives qui dévoilent son point de vue. La force de sa conviction impressionne Mélinde, qui le souligne à la réplique 13 et relance, par une phrase interrogative, la démonstration des fonde-ments du point de vue de Sophronie. Le lecteur, intrigué lui aussi, se prépare à une écoute attentive.

• Le lecteur qui connaît les orientations philosophiques du XVIIIe siècle, peut voir en

Sophronie la porte-parole des idées de Voltaire sur le mariage et surtout sur l’éduca-tion des filles. Dans ce monologue de Sophronie où toutes les phrases sont déclara-tives, s’exprime une analyse des conditions d’éducation qu’elle dénonce et de celles qu’elle défend ; c’est là un point de vue révolutionnaire à l’époque, qui ne doit pas laisser le lecteur contemporain indifférent.

Ainsi, dans ce texte, Voltaire expose ses conceptions sur l’éducation des filles et le mariage en se servant habilement d’un échange dialogué où, par ses réactions émo-tives et ses questions empressées, Mélinde exprime les idées reçues que l’auteur con-teste. Ce procédé relève de l’ironie et amène Sophronie à élaborer son argumenta-tion dans un enchaînement de phrases déclaratives représentant le point de vue de

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AU TERME DE CETTE LEÇON…

Ce que je retiens

Une phrase ne naît pas du hasard, mais d’un travail pour disposer les mots en fonction de l’effet à produire, selon les règles du code syntaxique. L’observation des types de phrases choisis par l’auteur me permet de mieux jouer mon rôle dans la construction du sens, notamment :

en trouvant dans la diversité des types de phrase un aiguillon à mon activité de lecteur, une source de motivation qui m’incite à entrer en interaction avec le texte ; • en adaptant ma façon de lire pour la rendre plus analytique, plus réflexive, plus

sensible ou plus réactive selon que je suis devant des phrases déclaratives, interro-gatives, exclamatives ou impératives ;

• en observant comment les types de phrases se succèdent dans un texte, ce qui a pour effet d’engendrer une dynamique des idées révélatrice du propos et de l’in-tention de l’auteur.

Je comprends mieux, à présent, qu’un texte est un ensemble d’éléments structurés en fonction d’une intention. Cela explique pourquoi il ne faut pas commencer par exa-miner un texte mot à mot pour en saisir le sens en profondeur. L’examen de son mou-vement d’ensemble, le repérage des éléments de sens plus larges que sont les phrases et l’observation de leurs caractéristiques donnent un cadre général dans lequel peut s’ins-crire ensuite une étude de détails.

Les pistes d’apprentissage qui s’offrent à moi

Pour rompre avec mon habitude de lire pas à pas, qui fait que les arbres me cachent parfois la forêt, je pourrais :

• repérer systématiquement toutes les phrases qui ne sont pas déclaratives pour faire une hypothèse sur l’intention de l’auteur et sur le type de texte ;

• observer la succession des types de phrases pour dégager la dynamique des idées qu’elle engendre dans un texte ;

• relier toutes les phrases déclaratives à un point de vue exprimé dans le texte : celui-de l’auteur, celui d’un personnage, d’une personnalité ;

• exercer mon esprit critique sur les idées exprimées sous une forme déclarative : en fonction du contexte où elles ont été exprimées, en fonction d’ici et maintenant, en fonction de mon contexte personnel ;

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