4031
.Autear
: RobertFAURD.
Philosophe de l,s vie et de laLiberté
Lorsoue
l'on
afait
un serment.il
faut touiours le resnecter.lNous
sornmes restés quetous les
deux,le
procureuret moi
Patricia
sa secrétaire,ce soir
dansle
tribunal pour régler
un
dossierurgent. Pour se
donnerdu
courage...
le
procu
avait
débouché unebouteille de champagne (soit disant) pour arroser une affaire qui venait
de se terminer à son gré, sans envoyez ùrt
fils
à papaconfl,
en prisonpour
avoir
commisun
excès de vitesse pendantl'essai de
sasuper-moto à 180
Km
heure, sur routelimité
à90.
(ilfallait
lefaire...)
Mais
comme d'habitude,
il
m'a
prise
dans
sesbras en
me mangeant la bouche comme un jeune gars qui avait faim de jeune chairfraiche. Puis,
il
m'avait
couchésur
son bureauet
en
a profité
pour s'exciter en se frottant entre mes jambes. Jel'ai
repoussé en ayantl'air
d'une jeunefille
qui résistait à sonflirt.
-
Comme vous êtes pressé ce soir. Je ne vous connaissez pas aussifringant d'habitude
et
il
semble quevous
êtes excité,votre
femme, vous a peut être tourné le dos et vous vouliez prendre un petit acompte.-
Cen'est
pasça... J'ai
seulement envied'un
moment tendre cesoir...
- Je suis fatiguée,
je
peux vous faire une petite branlette...-
Non !
Je préÈrequ'on
fasse «la
caressa », Ilos corpsl'un
contrel'autre
et nos sexesqui
se touche doucement et lorsqueje
n'entre pasen toi, ou alors par derrière...
- Pas 1'un,
ni
l'autre,je
suis fatiguée,je n'ai
pas envie. - Un petit peu et pas longtemps,je
serai rapide...-
Alors
un petitfrotti-frotta
seulement pour vous faire plaisir.Sans attendre, le procu
a
défatt sa ceinture et sa fermeture éclair, sonpantalon est descendu sur ses pieds, immédiatement
il
a remonté majupe
surmon
ventreet
écartantma culotte sur
le
pli
de
l'aine,
il
acommencé à
frotter
sa verge dansla
fente entre les cuisses,elle
étaitencore
pas
tellement
raide,
puis
j'ai
senti
qu'elle
devenait opérationnelle etqu'il
tentait progressivement de la faire entrer dans le vagin, alorsj'ai
pensé : « Ah ! Ce salaud,il
a trop bu etil
est décidé de meprendre mon pucelage sans me prévenir, une
fois
qu'il
sera rentré Ça serafini
pour
moi, mais c'estle
moment dejouer le
dernier acte delo
tragi-comédie que
j'avais
mis au point ».-
Mais
je
vois que vous en profitez, vous
trichez.monsieur
le procureur,il
semble que vous tenter de rentrer votre verge et que vous2
Alors
d'une poussée assez violenteje l'ai
repoussé,il
s'est entravé et afailli
tomber, s'est immédiatement repris etm'a
harponné
dans sesbras nerveux et
m'a
couché sur sa table. Jeme
suis défendu et nous avons roulé tout les deux sur le tapis. Je me battais comme une lionne,pendant
que ce
prétentieux
qui
n'avait jamais était
un lion,
maisl'ombre
de la
justice qui
aboyait en
selevant
derrièreson
bureau(minuscule)
de la salle d'audience et devant le peuple. Un hommeqü
se bardait de ses études acquises grâces aux fonds de son père et decours
particuliers.
Il
voulait
me
prendrede
force,
ayant maintenantappris
grâceà moi,
le
secret des femmeset
commentles
vaincre.Lorsque
je
l'avais
rencontré,
c'était
comme
un
puceau.Il
faisait,jusqu'à ce
qu'il
me
rencontrecofilme les
gens
de
son
milieu
quiavaient une
ligne
devie
bien étâbliequi
étaitloin
de ce1le du peuple.En
ce
qui
me concernait:
frlle
du
peuple,je
n'avais
pas derègle
àsuivre
et
je
ne
faisais
qu'obéir
à
celle
que
me dictait
« l'Eternel-inconnu»4en
ayanttoujours les pieds sur
terre.Voulant
à tout
prisdéfendre mon pucelage et maintenant
je
me trouvais tenue au sol les bras encroix
etlui
bien installé àgenotx
entre mes jambes. Sur de saposition.
-
Laisse-moi te prendre pour de bon, comme une vraie femme.Je
t'en prie...
-
Non
!Non
! Je ne veux pas.I1 a lâché mes bras, et a passé sa main entre mes cuisses.
-
Si,
tu
en
as envie.
Tu
ne peux
pas
dire
le
contraire, tu
mouilles cofilme une soupe. Tu ne peux plus cacher que tu en as envie, laisse
toi
aller. Ca sera bon...-
Non
! Je ne veux pas,je
veux rester vierge.-
Après ce que nous avonsfait,
vierge ou pas viergen'a
plusd'importance. Ce ne sont que des mots des grand-mères, ce n'est plus de notre temps.
-
Vous
avezpromis de
ne pasme déflorer, vous
devez tenirvotre promesse.
J'ai
accepté deflirter
avec vous,moi... je
m'y
tiens...Je pensais calmement
:
«m'sieur
leprocu,
allez-vous résisterencore longtemps
à la
tentation de baiser votre secrétaire
?Je
suis chaude comme dela
braise. Vous me couvrez de votre corps. Vous êtesentre
mesjambes
qui
sont
écartées, majupe
est remontée sous les seîns,mais
qu'est-ce que ÿous attendez dégonflard...Jene
vais pasTarder
à
luifaire
la petite scène quej'ai
en tête...Mais,
il
a repris sasérénade, têtu comme une mule :
-
Tu
peux bien me relever de ma
promgsse.Ca
sera mieuxentre nous, ça sera meilleur.
- Vous parlez pour
vous... Non
! Je ne donnerai mon pucelagequ'à mon mari, vous le savez bien et vous ne voulez pas divorcer.
- Plus
tard... Oui
! Je le lerai plus tard. -A
quand?
Plustard?
d3-
Alors
attendons, ce sera bientôt là, elle vientd'avoir dix
septans.
-
Ca ne sert à rien d'attendre, tu perds beaucoup duplaisir
queje
veux te donner.- Vous parlez encore pour vous. En ce qui me concerne, chaque
fois, vous me donnez beaucoup de caresses.
Moi,
j'avais
envie de voscaresses ce soir, mais pas d'être dépucelé avarfi notre mariage.
Son regard s'est porté vers mes jambes
et
il
s'est aperçu quej'avais
encore une culotte de coton. De suite,il
avoulu
la quitter, maisil
fallait
queje
la garde comme preuve etje lui
ai retenu sa main. Cetteculotte serait la preuve que
je
ne mettais pas des slips à dentelles, pour exciterM'sieur
le procu. J'étais au contraire une pure jeunefille,
avecdes culottes
de petite
fille.
Ha!
Le
salaud.Que
dirait
le
peuple envoyant
et
touchant cette preuve.Violer
une purejeune
fille,
c'était
vraiment un pur salaud...
Il
faut des preuves...-
Non
!
Laissezma
culotte,
laissez cette barrière...Elle
me protège.Depuis quelques temps,
je
prenais des culottes assez usées pour qu'elles ne nous gênent pas.Il
suffisaitd'ailleurs
qu'il
l'écarte. Aussi,en faisant semblant de
la
mettre en place,je lui
ai
donné del'aise.
Il
était chauffé au rouge,
il
ne fallait
pasle
laisser serefroidir.
Sansm'écouter, cofilme
un
âne.Il
apris
son engin etl'a
passé et repassédans ma vallée
d'amour.
Il
avait raison,j'étais
vraimentmouillée,
ça glissait cofilme dansl'huile.
- Oui...
!Oui...
!
C'est
bonvous
savez...La
caressa- coflrme c'est bon...J'étais follement
excitée cejour
là,
paspour
le
sexe, carje
pensais à la proche solution del'affaire
de cevieux
con de possédantdu pouvoir,
problème auquelil
nepouvait
pas penseret
qu'il
seraitincapable de
trouver
la
solution ensuite. Ce même matin,je
lui
avaiscité
quej'avais fait
une lecture dans laquelleun
hommedisait à
songrand
fils qui
avait des problèmes avec sajeune
femme:
« Tu es unhomme,
il faut
te
conduire
en
homme, cheznous
les femmes sonttoujours soumises... depuis
la
nuit
des temps, elles se taisent. Conduittoi
en homme monfils,
tupourras
alors regarder
tonpère
dans lesyel&
». Jelui
avais demandé :- Qu'en pensez-vous ?
-
Oui
!Oui
! Ce ne sont que des histoires. Et pour vous ?-
Cen'est
pas bien, mais ça existe encore chez nous, surtout dans nos campagnes etil
y
a toujoursle
silence. Sil'on
pense à toutesces
affaires
qui
sont
enterrées...On
fait
avec... C'est
des histoires d'hommes.Ils
y en a qui sontviril
etil y
a les autres, c'est souvent desdégonflards.
,Et
vlan
!
Moi, j'avais livré
mon
message.Serait-il pour
unefois
un homme,m'sieur
le procureur...?
Je savais que maintenant,il
4avaitun exemple à suivre,
qu'il en
avait marre de m'épargner etqu'il
pourrait
enfin
regarderson père dans
les yeux
dés
qu'il
m'aurait
possédé,y
compris sa mère et même sa femmequi
allait
passer sanstarder au petit trou, après
qu'il lui
ufait
boire un restant de champagneet qui n'en dirait rien.
S'il
arrivait
à me
baiser,il
serait devenu unhomme et
il
enculerait sa femme sans hésiter. Mêmequ'il
avait essayé(il
mel'avait dit...)
de lalui
mettre au cul, enlui
disant que d'après sesdossiers
:
« C'est ce qui sefaisait
maintenant avec les nouveaux couples, sans risquer d'enfont et sans pilules n. Ca serait une nouvellenuit
de noce et elleil
y prendrait comme une nouveauté,il
fallait
qu'elle
si habitue.Monsieur
le
Procureur, étant devenuun
homme, sa femme devraity
passer... Même si c'est dégeulasse...Il
devait
penserque
s'il
prenaitmon
pucelage,je
n'irai
pasm'en
vanter.C'était
le moment de se conduire en homme.Allait-il
lefaire
? Dans cette affaire, moi,j'allais
perdre mavirginité,
s'il
savaitce
queje
m'en moque.
Depuis longtemps,il
auraitpu
la
prendregratuitement,
s'il
n'avait
pas été bloqué
par son
éducationet
sesprincipes. Maintenant,
ça
allait
lui
coûter cherà m'sieur l'procureur
qui
m'avait
poussé à bout de mes limites, en poussant ces pauvres gensdans 1a misère. Ce sadique intellectuel
méritait pour l'exemple
de saprofession,
d'avoir
un
peu d'indulgence envers ceuxqui
ne
savaient pasqu'il
faisait ce qui est défendu, ou ne pouvait pas se défendre.Maintenant,
il
ne me risquait plus que devérifier
si ce corsaire en puissanceallait
monter à l'abordage de cette frêle embarcation surlaquelle
il
était déjà bien installé etprofiter
de sa passagère quin'avait
qu'à
obéir
et qui n'était
que
son esclave. Jen'avais
rien à
dire.
Jetravaillais pour
lui
et
je lui
donné
du plaisir
gratuitement
depuisquelques temps.
J'étais
payépour
ça,j'étais
à
son
serviceet
à
saportée,
voilà
sa vie et la mienne.Allez,
va y...
on vavoir
si sa marchecette
fois.
Il
avait repris
ta
<< caressq»
et moi j'avais repris
monrefrain.
-
Il
ne fautpas...
!
n
ne faut pas...
! Arrêté,je
vous en prie !Il
nefautpas...
!J'ai
en même temps écarté mes cuisseset offrant
largement ouvert mon sexe à sa porté. Vat-il
résister m'sieur le procu...
? Je vaisen
remettre un
petit
coup...
Si
ça ne
marchepas
ce
coup
ci,
onrecoûrmencera une autre
fois.
Je ne pense pasqu'un
homme puisse résister à la tentation qui est à son porté...-
Ah!
Je
vais
jouir...
Que
c'est
bon!
Vite...
Plus vite...
rr'arrêtez pas,
je
vous
enprie.
« Ha!
Commec'est bon
(a
caressa).Ha
!
Cavient...
».Il
n'a
pas arrêté pendant queje
faisais semblant deprendre mon
pied.
Puis,j'ai
fait
comme sij'étais
dans l'inconscience..
Puis, brusquementun
silence s'estproduit,
tenarrt sa verge dans sa rnain etil
1'a appuyé versl'çntrée
demon
vagin,il
a semblé hésiter un instant...5- T'en pis,
maintenantil
faut
quetu
y
passesma
petite,tu
m'as assez
fait
attendre... Maintenant c'estfini,
tu ne vas pas t,amuser encore unefois
avecmoi, un
homme ne résiste pasà avoir
souslui,
une
femme
dont
la
chatte
glissantequi
ruisselle
de plaisir
et
qui
n'attends que ça...Et
subitement,il
était
comme devenufou.
Un
de
ses grands-pèresavait resurgit en
lui
en hurlant
le cri d'un
corsaire se lançantl'abordage
et
tenant sa verge coülmeun
poignard,il
l'a
rentréd'un
seul coup.C'était
vraimentun
coup de sabre me coupant en deux, cesalaud était
pafii
à I'abordage ou auüol
d'une jeunefille
innocente etsans
défense.De
suite,
c'était
la
grande charge
de
la
cavalerienapoléonienne
qui
galopait ventre
à
terre,
en
poussant
desgrognements
de
sanglierà
mon
oreille...
Ra
houa!
Ra
houa!
Je tetiens petite pucelle,
tu l'as
perduton
pucelage,je
t'ai
eu maintenant, prends 1à ! Prendlà
! Tiens prend tout, prendtout...
Je sentais
qu'il
éjaculait à grands jets. Mais maintenan!c'était
fini...
C'était à
moi
dejouer. J'ai
pousséun
hurlement,suivi
de la plainte d'une bête à l'agonie,je
me suis débattue en criant :-
Salaud,vôus
m'avez
eu.Vous
n'êtes
qu'uo
salaud. Vous aviezpromis et vous
n'avez pastenu votre
promesse. Jene
voulaispas...
Je ne voulaispas-..
Je ne pourraiplus
donner mavirginité
àmon
mari...
Vous
êtesun
salaud,un
vrai
porc.
Vous
m'a,vez blessésans
pitié...
En même temps, que
je
me débattais, mais toujours bien serréecontre son
ventre
entortillant
les fesses,j'ai
sentiequ'il
perdait saflamme. Le
principal
étaitfait...
Maintenantla
seconde partie de monplan:
je
cognaisma tête
contre
sesdents, (elles
ont
du
mefaire
quelques marques)je cognais mes lèvres sur son menton(j'ai
senti du sang dans bouche). I1fallait
laisser des traces.Lui
pendant ce tempsme
retenaitpar
les bras,en
les marquantc'était
str...
(J,ai
la
peausensible, c'est
facile
de mefaire
desmarques) tout
en m,écrasant de son corps. Dansla
bagarre,j'ai
déchiré mon corsage et majupe,
monsoutien-gorge était pendant coflrme un chiffon, pendant que
je
hurlais.-
Vous
n'êtes pasun
homme, vous n'êtesqu'un
dégueulasse. Vous m'avez dépucelée, salaud... salaud... Vous n'êtes pas un hommecivilisé, vous n'êtes
qu'un
sauvage,un
homme préhistorique,
unhomme des
bois...
Pour montrer
qu'il
était bien un homme,il
m,atiré
une supergifle,
j'ai
de suite senti encore du sang dans ma bouche.Il
a eu honte subitement,il
était commeparalyse
et nebougeait
plus. Alors,je
me suis levée etme
suisjetais
sur les boutonspour
ouwir
sa porte etje
suis
sorti
de
son bureau commeune
femmequi vient
de subir
uneagression.
Je
suis
presque
tombé
sur
le
concierge'(un
ancîen gendarme).Il
m'a
pris dans ses bms Gorrlme potlr me protéger etje lui
6- Le salaud,
il
m'a violé. - Qui.-
C'est monsieur le procureur, c'est unfou,
1l était cofilme une bête,il
s'estieté
sur moi etm'a
violé.Le procu est apparu dans
l'entrebail
de sa porte, les cheveux en désordre, unejoue griffee qui
saignait,le
pantalon déboutonné qui laissaitvoir
sa chemise sortie.C'était
vraiment
l'image d'un fou,
il
était
hébété, ne revenant pas de cequi
lui
arrivait.
Le
gendarmen'a
riendit,
il
m'a
pris dans ses bras pour m'emporter chezlui.
I1 a pris le téléphone pour demander une ambulance etpolice
secours. Sa femmem'a
prise en photopour
encas...
Elle
savaitqu'il
fallait
des preuves pour laJUSTICE...
Elle a aussi pris des photos duprocu...
J'avais réussi le premier acte. Maintenant,
il
restaitl'hôpital
etle
dépôt de plainte.Qui
pouvait penser quec'était
une pièce monté etvécue
par
une simple petite
secrétaire.Une pauvre
fille
qui
n'était
qu'une esclave pour les possédants du pouvoir.
A
l'hôpital,
il
afallu
quej'écarte
mes jambes devant un génico.Qui a constaté que
je
venais de perdre mon pucelage sans ménagement(il
apris
quelques photos). I1 arecueilli
un peu de sperme etm'a fait
prendre unepilule pour
éviter une
grossesse.Il
était
sympaet
étaitoutré que le procureur d'une sous préfecture ait
fait ça...
Mais,il
avait vu pire en matière deviol,
surtout chez dejeunes
enfants,lorsqu'il
y aviolence et menace de mort,
il
n'y
a vraiment pas d'excuses. Ce procuétait sans excuse...
J'ai
déposé uneplainte pour
viol
avec abus depouvoir. J'ai
simplement déclaré que
m'sieur le
procureurme poursuivait
depuis quelques temps de ses assiduités et que ce soir 1à,il
avait bu,m'avait
battu, couché et par terre etm'avait violée...
J'avais
un
bon
avocat quej'ai
payéde ma
personne cofllmetoute femme qui a compris la façon de faire et bien entendu obtenu des
dommages intérêts important.
C'était
maintenantbien d'être
devenuefemme. J'avais changé
mon lookmaintenant
quej'étais
à Paris, plusde grosses lunettes, mais des petites à la mode, plus de chignon, mais
des cheveux
blond,
avec quelques nuancesde
roux
qui
entouraient monvisage,
plus detailleur
de secrétaire, mais des robes, beaucoup etassez chère, payées par certains hommes qui était heureux de me sortir en m'amusant de
tous
les dominantsqui
nous entouraientet
qui
mefaisaient
rire.
Plus de
chaussures basses,mais
des
chaussures demannequin;
et
un
sourire
par-dessuscela... Cet
avocat travaillait
gratuitementpour moi (c'était
maintenant unconfrère) etme
donnait duplaisir
en me faisant des cadeaux etil
étaitfière
de m'emmené auresto et en voyage.
J'ai
obtenutrois
années de salaire sans travailler,un
psychiatre dela
bande desinitiés, me
donnaittous
les certificatsque
je lui
demandais,j'étais
d'aprèslui :
dépressiveet
incapable detravailler. Pour passer le temps,
j'ai
suivi
les cours des avocats etje
me suis inscrite dans le conseil de l'ordre,sans problème...Devant les assises,
M'sieur
le procu, n'avait riendit
aux jurés.Trelations
avant
le
crime.
Moi
non plus d'ailleurs... C'était
notre secret,il
ne concernait que nous, ça serait nos souvenirs...I
a compris au moins cettefois,
que les secrets des hommes et des femmesc'était
inviolable.
C'était leurs secrets qui disparaîtraient avec leur mort, mais pas avant.Le
public pouvait
lire
cette aventure d'une bergèredu
Larzacdans la presse pomographique mise entre toutes les mains. Le
liwe
quej'écris,
ne sera pas édité sous mon nom,d'ailleurs
il
nes'agirait
qued'une æuvre de
f
imagination ne mettant pas en cause des faits ou desgens ayant existés.
Ce ne
seraqu'un
vulgaire
romanet
non
un fait
divers relatantl'aventure d'une pauwe et
purejeune
fille,
qui
avait voulu unjour
venger certains pauvres gensqui
étaient cornme des rats quel'on
avaientfait
rentrer dans une cagepom
lesvoir
se demander :« Qu'est-ce que je
faits là
? Etpourquoi
? ».L'avocat
de Monsieur leprocureur, n'avait
plus qu'à plaider : «L'alcool
et un momentdefolie
inexplicable, certainementdufait
que safemme nel'autorisait
qued'avoir
des relations qu'unefois
de temps en temps,alors
que sonclient était
danslaforce
del'âge
etil
l'avait
prouvé étant à bout».Devant
la
cour, sa femmequi
était contente de se débarrassée delui,
a déclaréqu'il
s'acharnait sur elle lorsqu'il était sur un dossier desexe;
mêmequ'il
l'avait
contrainte souvent àboire
du champagne lesoir
et
de
faire
des
choses inavouable.
(C'était
le.ur
secret,
ils
pouvaient
enavoir). Elle a
demandéle
divorce, touchéle
paquet et quelque temps après, elle s'est marié avec un haut magistrat. Même safrlle
est venue seplaindre de
certains gestes..-L'amie
de
sa femme(les femmes se donnent toujours un coup de main dans
leur milieu
ausujet
du
sexe)a
attestéqu'il lui
courait
après,mais
évidement ellel'avait
remis à sa place,qu'elle
disait....
(C'était leur
secret
...àvoir
dans
I'avenir)
J'ai
abandonné1e
secrétariat
de
la
magistrature
pow
la profession d'avocat.Et
suiteà
nombreux articles de presseet
même plusieurs prlssage à la télé,j'ai
de suite eu des dizaines de gros clients :Bien entendu en ce qui me concernait,
je
pouvais plaider avec la vérité,tout le
monde savait quej'avais
étévictime
d'un harcèlement sexuel,suivi d'un
viol
avec violence,
ce
qui
me
permettait
d'un
côté
dedéfendre les pauwes
filles
ou garçons,qui
commemoi,
avaient été lesvictimes d'un être abject,
qui
sous des dehors respectables, parfois descrxés, des cadres d'associations sportives ou de jeunesse, et même des
magistrats et des hommes politiques (Ies célèbres ballets roses et bleus de la 4" république).
Lorsque
je
plaidais,j'étais
aussi redoutable contre I'accusation.Personne autant
que
moi ne
pouvais
partrerde
l'absurdité
du
droit
français
en
la
matière
et
de
la
rouerie
des
magistratset
certainsplaignants
ou
en
généraleplaignantes,
qui
ne
pensait
qu'à
fairecondamner un coupable. r<,Si mon client est lù, dans ce boxe, c'est bien
parce
que ÿaus
nepouvait
le
voir
que
comme couprible,vous
nepouvait
pas
levoir
comme un innoceilt ».Et
coûlme souvent les jurésn'y
comprennent rien,j'avais vite fait
de les retourner contre ledroit
et8fais, car
j'ai
é1éviolée etje
peuxaffirmer
que dans ce dossier queje
plaide
actuellement
devant
vous,
il
n'y
a
pas eu
viol.
Il
faut
comprendre que c'est une affaire de
fomille
et qu'ilfaut
la régler entre eux,car
il
n'y
a pas eu de violence,qui
est responsable de ce qui c'estpassé »
?
Personneparmi
vous ne peutpas dire
qui
est responsable.Ici,
ily
a le peuple, le peuple ne peutrépondre
à cette question. Aussi, sachez que dans certainesaffaires,
un
vieux sage disait:
<< dans cegenre
d'affaire,
il
nefaut
pasy
mettre son nez n. On oublieravite
cetteaffaire....
Etil
y a beaucoup d'autres...N'oubliez jamais
que nous sommestous les
descendantes defemmes
violées
et
d'hommes violeurs.
Personne ne
pourrait jurer
qu'un de ses aî'eux, dans les
dix ou
cent générations passées, dontil
est le descendant ou la descendante,n'ait
pas commis ce crime ouqu'il
l'a
subit
et
pourtant
vous
êtes
1à. Personnen'oserait me prouver
lecontraire, car ce
n'est
pas possible.Vers
les années1990,lors
d'uneguelTe
en
Europe
centrale, lesjournalistes nous
ont
annoncé quecertains soldats,
d'une certaine
armée
combattante,avaient
violé200.000 fetnmes ennemies
pour
leurfoire
des enfants.Du
fait
de leurreligion,
ces femmes ne pouvaient pas sefaire
avorter. Ces femmes ennemies vont donc faire des enfants de leurs propres ennemis... Nous soillmestous,
le bien et le mal, Leyin
et le yang.Alors
demandez-vous,corlme
mele
disait mon professeur deyoga : « lorsque
l'on
tedit,
«fait
ça », demandetoi
toujours, à qui sarapporte ? ».
La
première réponse,qui
vousvient
à
l'esprit
est? La
presse... Pour vendre du papier et de l'audimat.La
deuxième
?
Les
experts: s'il y a
deux,
s'est
lacontradiction...
s'il y
en a
trois...
cela devientdu
cinéma,mais ils
n'oublient
pas de toucher leurs honoraires.La
troisième?
Les
hommesde
loi
(Lesjuges
et
les
avocats)cofllme le disent
les
cartomanciennes.Alors :
<< basta >>... Cette affaire est réglée, (en droitpur,
par
deshommes qui ne se trompe