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j'étais appelé dans les Aurès

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Academic year: 2022

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j'étais appelé

dans les Aurès

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IL A ÉTÉ TIRÉ DE CET OUVRAGE VINGT EXEMPLAIRES SUR PAPIER VELIN DUJARDIN NUMÉROTÉS DE 1 A 20 ET CONSTITUANT L'ÉDITION

ORIGINALE

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Pierre Dreyer

j ' é t a i s a p p e l é

dans les Aurès

la pensée universelle 4, rue Charlemagne - 75004 Paris

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© Pierre Dreyer et la pensée universelle 1984

ISBN 2-214-05817-6

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A mes amis, à tous les militaires d'active ou appelés qui ont combattu en Algérie ; à tous ceux qui n'en sont pas revenus ou qui sont rentrés blessés, je dédie ce livre.

L'armée, par son recrutement, est le reflet de la société qui l'a créée. Comme elle, elle a ses loubards, ses fanatiques aussi. S'il y a eu des excès, faut-il pour autant condamner l'ensemble ?

Dans un monde, où la presse écrite et parlée ne s'intéresse souvent qu'au sensationnel, à tout ce qui peut frapper l'esprit et l'imagination des foules, les événements qui se sont déroulés en Algérie jusqu'à l'indépendance risquent d'être mal interprétés. Que vont en retenir les générations futures si on réduit l'histoire aux excès ?

C'est la République qui a envoyé son armée là-bas.

Pourquoi aurait-on honte ?

J'ai cru bon de raconter simplement ce que fut la vie des jeunes appelés du contingent dans une unité opérationnelle des Aurès.

Toute ressemblance, cependant, avec des person- nages vivants ou ayant vécu serait coïncidence.

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I

LA FEUILLE DE ROUTE

A l'écart de ses collègues, Pierre Damer surveillait la récréation du matin. Blouse grise, sifflet à la main, il observait les quelque deux cents élèves qui se pres- saient, turbulents et joyeux, dans la petite cour de l'école communale. Les enfants, des garçons, jouaient bruyamment. La rumeur de la récréation s'entendait de loin sur la place de Valdoie. Il est vrai que les classes allaient bientôt prendre fin pour les vacances d'été.

Pierre Darner, le jeune maître de service, ce jour-là, était un institeur remplaçant. Il avait passé son C.A.P.

(certificat d'aptitude pédagogique) à Delle deux mois plus tôt. On l'avait envoyé à Valdoie, petite localité proche de Belfort pour y effectuer son dernier rempla- cement de l'année scolaire.

Nous étions fin juin et l'été, qui succédait à un printemps pluvieux, promettait d'être beau.

Il faisait déjà très chaud ce matin-là à dix heures.

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On allait avoir une belle journée et souffrir dans les classes. Les enfants n'avaient plus beaucoup envie de travailler et, à dire vrai, les maîtres plus tellement non plus.

Un bruit de Solex — le vélomoteur courant à cette époque — au-delà des grilles annonce le facteur.

M. Tarde, le directeur, va au-devant de lui en boîtant légèrement. Il a parfois du mal à marcher, le père Tarde, comme l'appellent les élèves. Il s'aide d'une canne qui lui sert, à l'occasion, pour corriger quelques cancres indisciplinés. M. Tarde souffre d'arthrose de la hanche et parfois une sciatique maligne l'oblige à garder la chambre. Dans ces moments-là, pas question pour les élèves de profiter de la situation. Comme l'Administration de l'Education nationale est débordée par le flux de la population scolaire de l'après- guerre, qu'il n'y a pas de remplaçants en nombre suffisant, c'est Mme Tarde qui ouvre la porte de sa classe et distribue le travail que son époux n'a pas oublié de préparer. Tout en faisant classe aux élèves du cours élémentaire, elle va de temps en temps jeter un coup d'œil dans celle de son mari. Elle en connaît tous les élèves, pour les avoir eus elle-même.

Ils sont maintenant en fin d'études. C'est là que vien- nent terminer leur scolarité tous ceux qui ne veulent pas ou qui n'ont pas les moyens de poursuivre des études longues. Il leur faudra « décrocher » cependant le fameux certificat d'études qui permet de valoriser

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sa scolarité primaire. Partout encore, il faut justifier, au moins, de l'obtention du C.E.P., pour ne pas être classé illettré.

M. Tarde, tel un Vatel de la pédagogie, se fait un devoir d'avoir, chaque année, cent pour cent de reçus à l'examen. Il est vrai que, de temps en temps, il refuse de présenter tel ou tel élève qui n'aurait aucune chance...

Comme beaucoup de ses collègues, à l'épo- que, il prépare ses élèves pour réussir, sans se ménager lui-même. Il ne compte plus les heures sup- plémentaires faites avec les « grands ». Il lui arrive de les garder jusqu'à sept heures du soir dans sa classe, parfois dans sa salle à manger quand il a trop de mal à marcher.

Pierre Darner siffle maintenant la fin de la récréa- tion : le bruit décroît rapidement dans la cour et les élèves viennent se ranger par classes devant le préau.

Alors commence la lente ascencion vers les salles, par des escaliers huilés, qui grincent et d'où l'on sent la craie.

Pierre est monté le premier. Le directeur ferme toujours la marche ; le silence enveloppe alors l'école jusqu'à onze heures. Ce matin-là, cependant, la porte de M. Darner s'ouvre alors que le bruit n'a pas tout à fait cessé : le directeur a pris le temps de trier son courrier et les grands en profitent un peu. « Monsieur Darner, dit-il à Pierre en lui tendant

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une carte beige, du courrier pour vous ! Sans être trop indiscret, j'ai reconnu, sur cette carte non cache- tée, votre convocation sous les drapeaux. Vous vous y attendiez, n'est-ce pas ? Afin de vous remercier et fêter, avec vous, ce départ pour un séjour que je souhaite rapide et pas trop désagréable, je vous invite ce soir à un petit repas d'amitié ! »

II LE DEPART

Pierre Darner, en quittant la gare de Belfort, le lendemain repense à cette dernière classe alors que le train s'ébranle en direction de Besançon-Chalon-sur- Saône.

La convocation pour le service militaire ne l'a pas étonné : il a résilié son sursis deux mois plus tôt ; tous ses camarades sont sous les drapeaux à cette époque où la guerre d'Algérie dévore l'essentiel des recrues que lui apportent les classes dites creuses de la Deuxième Guerre mondiale. Ce qui le contrarie un peu, c'est d'être envoyé directement en Algérie, non par peur (il a tellement de camarades là-bas, qu'il souffrait d'avoir l'air d'être planqué) mais il aurait aimé faire ses classes en métropole pour suivre les

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E.O.R. (Ecole d'officiers de réserve) d'artillerie à Châlons-sur-Marne. Il faut dire que, si l'enseignement ne lui déplaît pas, les traitements de début sont minces et, au bout de deux ans d'exercice, Pierre n'a rien économisé, tout a été englouti en déplacements et pensions. Si l'armée voulait bien de lui, il n'hésiterait sûrement pas... Le train roule maintenant en bordure du Doubs et de sa place, Pierre peut apercevoir quelques pêcheurs à la ligne qui tentent leur chance à la pointe du jour.

« Veinards ! » ne peut s'empêcher de penser Darner.

Lui, qui adore la pêche, passe-temps favori de ses jeunes années, sait qu'il ne pourra pas tremper du fil avant deux ou trois ans...

« Vous êtes convoqué au Centre Mobilisateur de Chalon-sur-Saône le 1 juillet 1959 avant 12 heures pour y être incorporé avec la classe 59 1 C à destination de Telergma (Sud-Constantinois) au 1/67 R.A. au titre du 1/9 régiment d'artillerie de marine. »

Après Besançon, le train fonce maintenant en direc- tion de la vallée de la Saône. Quelques nappes de brumes stagnent encore çà et là, s'accrochant aux arbres de la forêt. Le soleil commence à se faire chaud derrière la vitre...

Hormis ses parents, Pierre ne laisse personne à Belfort. Il y a, bien sûr, Françoise, la petite institutrice

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qu'il a connue dans le Haut-Doubs, alors qu'ils occu- paient deux postes voisins, mais il veut l'oublier. Ne lui a-t-elle pas envoyé des lettres délirantes où elle le traitait déjà comme sa propriété ? Tout cela n'avait pas plu à Pierre, de nature un peu sauvage et très jaloux de son indépendance. Non, merci, il n'était pas encore prêt pour faire un fiancé, encore moins un mari.

D'ailleurs, il ne s'était rien passé entre eux et Pierre s'était rapidement méfié de cette jeune fille en quête d'époux. De ce côté-là, il se sentait léger.

La séparation d'avec sa mère, par contre, avait été pénible. Mme Darner avait beaucoup souffert, en 1939, quand elle s'était retrouvée seule, sans emploi ni ressource, avec le petit Pierre âgé de trois ans.

M. Darner avait fait la campagne 1939-1940 en pre- mière ligne puis avait été fait prisonnier et, comme près de deux millions de Français, emmené en Alle- magne dans un Stalag. Mme Darner avait travaillé dur pour subsister et élever son gosse, faisant des ménages de-ci, de-là, chez des gens qui voulaient bien l'employer et parmi lesquels certains ne la payaient pas « en oubliant » de compter ses heures de travail.

Elle avait fait de la dépression et la libération était arrivée juste à temps car il aurait fallu lui retirer Pierre... Puis des temps meilleurs étaient venus, son mari rentré, mais de ce cauchemar, il restait quelques traces... Et voici qu'on lui prenait son Pierre pour la guerre comme vingt ans plus tôt son mari... !

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« Pauvre maman ! » pensait Pierre, alors que Chalon-sur-Saône était annoncée. Pour se donner bonne conscience, il pensa qu'elle avait encore Josette et Christian, sa sœur et son frère nés après la guerre.

C'était une famille modeste que la famille Darner ! Le père, à son retour de captivité, s'était employé comme pompier professionnel à Belfort. Métier rude, avec des risques parfois, toujours des horaires très longs, pour un salaire mensuel assuré, certes, mais peu élevé.

« Chalon, Chalon, dix minutes d'arrêt. Buffet.

Correspondance pour... »

Ce refrain qui s'égrène au milieu du bruit, des jets de vapeur, des coups de sifflet, des wagons qui se tamponnent au cours des manœuvres, des cris, Pierre le connaissait bien pour avoir déjà pris le train souvent. Sur le quai, des jeunes en civil avec des valises semblables à la sienne, des militaires, aussi, de toutes les armes !

Darner descend du train, rejoint un groupe de jeunes « à valises », persuadé que, comme lui, ils sont appelés.

« Dis, mon gars, tu pars en A.F.N. ? dit l'un d'entre eux avec un accent traînant qui fleure bon la Bour- gogne.

— Oui, répond Pierre, pour le 1/9 R.A.Ma !

— Tiens, moi aussi, répond le Bourguignon, un

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jeune homme jovial, au regard franc. En voici un, au moins, je commençais à désespérer ! Ceux-là, dit-il en désignant les autres, ce sont des Parisiens, ils restent en France puis iront en Allemagne. Je m'appelle Claude Jacquiet, je viens de Dijon, et toi ?

— Pierre Darner, je viens de Belfort ! » Ils se serrent la main.

A partir de maintenant, ils sont amis et c'est Pierre Darner qui décide de raconter la suite...

III

PREMIERS CONTACTS AVEC L'ARMEE Devant la gare, des camions militaires attendent : ce sont des G.M.C. conduits par des appelés du Centre Mobilisateur avec un caporal comme chef de convoi.

D'un côté les incorporables en France, de l'autre ceux qui partent en Algérie comme nous. Je découvre que ceux qui se retrouvent avec moi ne sont pas tous de futurs artilleurs : il y a aussi des fantassins pour le 7 Régi- ment de Tirailleurs Algériens mais nous sommes tous pour le convoi de Télergma.

Les incorporés métropolitains nous regardent avec

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un petit air de compassion comme si nous étions déjà promis au casse-pipe...

Nous sommes là, une bonne centaine maintenant, quand le caporal décide de faire démarrer ses G.M.C.

Coups d'accélérateurs dans le vide, jurons des uns, cris des autres, la colonne s'ébranle.

« Tiens, tiens, voilà la quille », commencent à brailler quelques apprentis bidasses excités. D'autres hèlent des jeunes filles ou des femmes qui passent sur le trottoir, en termes parfois obscènes. S'agit-il pour eux de montrer qu'ils ne sont plus des gosses ? Une porte haute en fer forgé sans style, encadrée par des murs sans fin, une cour immense avec, par endroits, des arbres, au fond d'immenses bâtiments aux fenêtres toutes pareilles et qui annoncent l'ennui : c'est le Centre Mobilisateur de Chalon. Les camions viennent s'aligner devant les arbres dans un gémis- sement d'accélérateurs et de freins. Les chants, les gauloiseries ont cessé.

« Tout le monde descend, prenez vos bagages ! hurlent d'autres appelés, déjà en uniforme et dont la tâche est d'accueillir les « bleus ».

— En ligne devant les camions !

« A l'appel de votre nom, vous suivrez le caporal Teude qui va vous emmener au magasin d'habille- ment », dit avec une voix de tonnerre une sorte de

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dogue à képi bleu ciel et croissant or, un adjudant, apprend-on.

L'appel est vite fait, il est vrai que les « coups de gueule » pleuvent de toute part.

Au magasin d'habillement, on nous ordonne de nous dévêtir complètement et de ne garder que le slip.

Dans ce simple appareil et ces mâles odeurs, sans vraiment attacher beaucoup d'importance à la taille de l'homme, on nous lance, à la chaîne, des éléments d'uniformes que nous sommes « priés », militairement, d'essayer le plus vite possible. Un sous-officier d'active, sergent fourrier, surveille, pipe à la bouche, les opé- rations.

Chemise de coton, chaussettes de laine, blouson, pantalon, calot (appelé bonnet de police) en drap, nous sommes, de pied en cap, tout en kaki. L'ensemble est propre mais peu seyant : il s'agit de surplus de la fin de la guerre. J'oubliais, il faut y ajouter une gourde à sangle comme en portaient les poilus de la première.

Il ne nous manque que les bandes molletières et le masque à gaz... « Armée française, esprit jeune, tech- niques modernes », ironise une affiche que j'ai déjà vue devant certaines gendarmeries. Les chaussures sont montantes, pour bien tenir le pied pendant la traversée sans doute, et à clous...

A la sortie du magasin, nous sommes invités à laisser nos adresses : d'autres appelés font des paquets de nos effets civils qui seront renvoyés à nos familles.

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« On a l'air « bien », là-dedans, me chuchote Jac- quiet qui vient de se faire engueuler parce qu'il voulait échanger un pantalon dont il trouvait le bas trop large.

— Des tarés », murmure derrière moi un gaillard de un mètre quatre-vingt-dix auquel on a « refilé » une pointure quarante-quatre mais dont le pied aurait souhaité quarante-six pour être à l'aise.

C'est Sarenroy, un instituteur du Doubs que la perspective de trente mois en A.F.N. ne réjouit pas du tout.

« Prenez vos gamelles et vos couverts, à la soupe ! » Pour la vaisselle, pas de problème, pas de taille, tout est en alliage d'aluminium.

Le repas est simple : un plat unique : des pommes de terre avec du bœuf en sauce. La nouvelle que le vin contient du bromure circule rapidement, de sorte qu'il n'y a pas foule près du pinardier qui distribue le vin.

Avec mes nouveaux camarades, je vais, après le repas, boire une bière au foyer voisin littéralement assiégé par les demandes. Nous sommes, en effet, « libres » jusqu'à quatorze heures mais de toute façon consignés, c'est-à-dire que nous n'avons pas le droit de sortir à l'extérieur de l'enceinte du camp.

La fatigue du voyage, l'accueil tonitruant, la cha- leur qui règne maintenant font que tout le monde est calme.

« Pierre, me dit Claude Jacquiet, ces gars-là, parlant des gradés et plus spécialement des officiers, il faut les

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Pierre Dreyer est né à Belfort. Appelé dans les Aurès pendant la guerre d'Algérie, il publie aujourd'hui ses souvenirs de cette période.

Dans « J'étais appelé dans les Aurès », Pierre Dreyer raconte, sans parti pris, son expérience d'homme de trou- pe dans l'Armée en Algérie. Il veut aussi répondre à cer- tains films, caricaturaux à son avis.

Détaillé et plein d'anecdotes courtelinesques « J'étais appelé dans les Aurès » est un document où les « Anciens » se reconnaîtront.

Un témoignage où émotion, franche rigolade et satire cohabitent intelligemment.

LA PENSEE UNIVERSELLE 4, rue Charlemagne - 75004 Paris - 887 08 21

Diffusion : 4, rue Charlemagne ISBN 2-214-05817-6

F : 57,80 T.T.C.

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