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Délibération portant adoption du procès-verbal de la séance du 12 novembre 2021 de la CFVU

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Séance du 03/12/2021

Délibération n°2021-100

Délibération portant adoption du procès-verbal de la séance du 12 novembre 2021 de la CFVU

Vu les dispositions du code de l’éducation et notamment l’article L. 712-6-1 ; Vu les statuts de l’université Sorbonne Nouvelle.

Article 1

Le procès-verbal de la séance du 12 novembre 2021 est adopté.

Article 2

La présente délibération est adoptée à la majorité des voix (22 oui - 02 abstentions – 0 contre - 24 votants).

Michel MAGNIEN

Président du Conseil Académique,

Vice-Président de la Commission

Formation et Vie Universitaire

(2)

Procès verbal de la Commission de la Formation et de la Vie Universitaire du vendredi 12 novembre 2021

Ordre du jour

Appel aux questions diverses, Actualités du VP CFVU.

1. PV de la séance du 8 octobre 2021,

2. Aide à la réussite : examen des projets retenus par le bureau de la CFVU,

3. Retour, pour le second semestre, en 100 % présentiel des CM dispensés à distance durant le premier,

4. Modification pour la rentrée 2022-2023 des Maquettes d'accréditation : - création de la mineure Théâtre-espagnol et espagnol-Théâtre - affichage des ateliers supplémentaires de Niveau 5 & 6 du DU DULF - modification du nom du parcours du Master de LGC

5. CVEC : approbation de la proposition de ventilation des fonds CVEC 2021-2022, 6. CVEC : Recrutement d’un.e Assistant.e Social.e sur fonds CVEC,

7. CVEC : conventionnement des association étudiantes 2021-2022,

8. Désignation de quatre grands électeurs issus de la CFVU en vue de l’élection au conseil d'administration de l'Établissement Public Campus Condorcet du 16 décembre,

9. Désignation d’un.e représentant.e enseignant.e, Biatss, étudiant.e issu.e de la CFVU et d’un.e pour siéger au conseil de service de santé universitaire (SSU),

10. Convention de cohabilitation entre l’USN et SU :

- adoption de la convention de co habilitation entre Sorbonne Université et l’USN (UFR LLCSE/ Dépt EO),

11. Convention de partenariat :

- adoption de la convention de partenariat entre Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et l’USN (UFR LLCSE/ Dépt MA),

12. Fermeture de la combinaison espagnol/portugais en LEA.

13. ESIT : Admissibilité des candidat·es allophones (Master en traduction éditoriale, économique et technique de l’ESIT),

14. ESIT : Exonération des droits d’inscription aux concours pour les bénéficiaires d’une BCS

15. Cadrage JPO 2022,

16. Questions diverses (5 mn.).

Vice-Président de la CFVU Michel MAGNIEN

Représentant.e.s enseignant.e.s

Anne-Isabelle FRANÇOIS, Hélène JOSSE, Barbara LABORDE, Frédéric MAURIN, Armin OWZAR, Claire TARDIEU. Fabien VAN GEERT,Tommaso ZACCHEO.

Représentant.e.s BIATSS Jeremy NEPAUL, Salwa SALAMA-BOKTOR.

Représentants.e.s étudiant.e.s

Abdoulaye DIALLO, Audrey LOUBIE, Paul MALHERBE, Joanne MICHEL, Jessica PEREIRA-FERNANDES, Benoit SANCHES-TAVARES

Personnalités extérieures - Membre Permanent -

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Invité.e.s permanents Samira BOUMLASSA, Vassiliki DRIANCOURT

Invités Ivan BOTTE, James COSTA, Laetitia FAUDIERE, Cécile LEBLANC, Anne-Marie MILLER-BLAISE, Bénédicte MIYAMOTO.

Procuration Stéphanie LACOMBE et Fabrice ROCHELANDET (procuration à Barbara LABORDE),

Ioana GALLERON (procuration pour Anne-Isabelle FRANÇOIS), Patrick HAUTIN (procuration à Claire TARDIEU ),

Youssouf DIAWARA (procuration à Abdoulaye DIALLO),

Jean-Donald KIPRE (procuration à Benoît SANCHES-TAVARES), Sylvain ANGONIN DE REU (procuration à Michel MAGNIEN), Hélène JOSSE (procurations à Michel MAGNIEN à 10h50 ),

La Commission de la Formation et de la Vie Universitaire est composée de 32 membres. Le quorum est atteint, 24 conseillers étant présents ou représentés.

Michel Magnien ouvre la séance à 9h30. Il remercie les conseillers d'être présents à cette séance coïncidant avec le pont du 11 novembre. Il propose aux conseillers de modifier l'ordre du jour en ajoutant les quatre points suivants :

1. adoption du PV de la séance du 8 octobre 2021,

2. recrutement d’un.e Assistant.e Social.e sur fonds CVEC,

3. désignation de quatre Grands électeurs issus de la CFVU en vue de l’élection au conseil d'administration de l'Établissement Public Campus Condorcet, fixée au 16 décembre au matin, 4. désignation d’un.e représentant.e enseignant.e, d’un.e représentant.e Biatss, d’un.e représentant.e

étudiant.e issu.es de la CFVU et d’un.e représentant.e de la DEVU pour siéger au Conseil du Service de santé universitaire (SSU).

Il met au voix la modification de l'ordre du jour.

La modification de l'ordre du jour de la CFVU du 12 novembre 2021 est approuvée à l’unanimité (24 votants - 24 oui).

Il poursuit la séance en donnant lecture de l’ordre du jour puis procède à l’appel aux questions diverses, qui seront traitées en fin de séance.

Appel aux questions diverses

1. Frédéric Maurin s'interroge sur la date de reprise des cours du second semestre, puisque, manifestement, le déménagement à Nation est repoussé. Quel calendrier adopter ? Celui où la rentrée est prévue au 17 janvier ou le 24 janvier avec un retour à un semestre de 13 semaines (au lieu de 12).

2. Abdoulaye Diallo souhaiterait le retour des rdv en présentiel avec les secrétariats pédagogiques.

3. Barbara Laborde s'interroge sur la campagne des admissions en Master.

4. Paul Malherbe a une question concernant l'accès à la bibliothèque et aux livres.

5. Paul Malherbe signale la présence de nombreux messages fascistes et violents dans les toilettes du 2e étage.

Actualités du VP CFVU.

- Assemblée des Conseils centraux de l'établissement

Conformément à la demande portée par la CFVU du 8 octobre, Michel Magnien annonce que l’Assemblée de l'université se tiendra le vendredi 3 décembre à partir de 16h. Les modalités de remontée des points de l'ordre du jour seront vus lors d'un entretien de la Présidence avec les étudiants la semaine prochaine.

- Centre de Ressources en Langues à la Sorbonne Nouvelle

(4)

Michel Magnien annonce l'ouverture du Centre de Ressources en Langues (CRL) en ligne à partir du lundi 15 novembre à destination des étudiants, grâce au travail remarquable accompli par sa responsable, Céline Thurel, avec l’aide des APP..

- Campus Nation

Michel Magnien informe que la Préfecture de police n'a pas jugé utile que la Commission de sécurité procède à son inspection dans la semaine du 15 novembre, comme convenu au départ avec l'Établissement Public d’Aménagement Universitaire de la Région Ile-de-France (EPAURIF), le maître d'ouvrage. Cette nouvelle est assez inquiétante car la commission de sécurité ne pourra sans doute pas passer tant que le problème de désenfumage de l’amphi de 500 places n’est pas résolu. Cela risque de prendre des semaines voire des mois. Cette nouvelle repousse le déménagement à la rentrée de septembre.

1. PV de la séance du 8 octobre 2021,

Le Procès verbal est adopté à la majorité des voix (24 votants : 22 oui - 1 abstention - 1 ne participe pas au vote).

2. Aide à la réussite : examen des projets retenus par le bureau de la CFVU,

Benedicte Miyamoto et Ivan Botte présentent les 9 projets retenus par le Bureau de la CFVU du 28 octobre : - 2 projets d'expérimentation pédagogique,

- 3 projets de présentiel augmenté, - 1 projet de présentiel inclusif, - 2 projets de remédiation,

- 1 projet de tutorat, selon les termes définis dans le cadrage de l'appel à projets aide à la réussite

porteur date

dépôt Action Code UE tronc

com mun

Lice nce s

nb étu dia nts

nive au dem and é

heure s dema

ndés

descriptif (sauf pour les labels déjà décrits dans

le cadrage)

Avis du bureau de la

CFVU du 28 octobre 2021

1 9-oct.

Expérime ntation pédagogi

que

F6LS002 Oui LLF

L 30 x 12

Réalisation d'une œuvre hypermédiatique tout au long du semestre.

L’objectif est d’appuyer l’apprentissage sur un geste de création qui permette de mobiliser les compétences déjà disponibles ainsi que les connaissances en cours d’acquisition. La création sera visible en ligne, les compétences acquises seront valorisées.

avis favorable à l'unanimité

2 12/10/

2021

Expérime ntation pédagogi

que

Licence1 x ILP

GA 20 1 4

Développement de la capacité à imaginer, compétence importante en Sciences du langage.Les compétences visées par cet atelier sont :Entraîner son imagination, Prendre confiance dans sa capacité à imaginer,

avis favorable à l'unanimité

(5)

S’autoriser à donner libre cours à son imagination, Dépasser la peur de faire des erreurs - l'atelier sera proposé à deux reprise dans l'année.

3 10/4/2 021

Présentiel

Augmenté A2FP001 Oui LLC

SE MA

600 1 8 avis favorable

à l'unanimité

4 10/1/2 021

Présentiel

Augmenté A2FG002 Oui LLC

SE MA

500 1 8 avis favorable

à l'unanimité

5 10/12/

2021

Présentiel

Augmenté X4ES103 Oui LEA 120 1 4 avis favorable

à l'unanimité

6 10/8/2 021

Présentiel

Inclusif F4LT001 Oui LLF

L 45 1 12 avis favorable

à l'unanimité

7 29-

sept.

Remédiati on

Licence anglais Oui

LLC SE MA

800 x 4

Une série d’une dizaine de capsules vidéos d’environ 5 minutes chacune (PowerPoint sonorisés) ayant pour but de combler les lacunes en syntaxe des étudiant.e.s en Licence d’anglais (L1, L2 et L3) sur difficultés d’étiquetage grammatical qui ont été identifiées comme récurrentes et posent typiquement problème aux étudiants

avis favorable à l'unanimité

8 9-oct. Remédiati on

Licence anglais x

LLC SE MA

lice nce enti ère cibl ée, 80- 100

en mo yen ne par an

x 16

Le dispositif tandem face- à-face au second

semestre fonctionne déjà depuis dix ans et le nombre d’inscrits francophones est d’environ 40 à 50 par semestre (40 à 50 paires tandem créées, soit 80 à 100 étudiant.e .s

concernés en tout). Les partenaires anglophones sont soit des étudiant.e.s anglophones venus étudier à la Sorbonne Nouvelle (mobilité

entrante) dans le cadre du tandem face-à-face, soit (depuis 2020-2021) des étudiant.e.s anglophones étudiant le français dans des Universités

partenaires à l’étranger dans le cadre du

avis favorable à l'unanimité

(6)

télétandem (conversations en ligne).

A l’issue de cette présentation, Michel Magnien invite les conseillers à poser des questions à B. Miyamoto.

Helene Josse s'interroge sur la manière dont les collègues ont rempli les formulaires. Elle se demande si les enseignants parviennent à identifier ce qui relève de l'aide à la réussite ou à cibler les difficultés des étudiants.

Bénédicte Miyamoto répond qu'effectivement c’était une difficulté rencontrée avec le premier formulaire. Pour le second appel, celui-ci a été revu : il est plus étoffé, le ciblage des étudiants sélectionnés est plus précis et les moyens de vérifier l'impact de ces actions ont été ajoutés. Elle précise que le bilan apportera des réponses.

Claire tardieu informe que ces précisions ont été apportées, lors du bureau, pour démontrer le bien fondé de toutes ces propositions.

Michel Magnien indique que ces heures allouées aux enseignants porteurs de projets sont payées en EHTD. Barbara Laborde demande si les heures accordées entrent dans le service des enseignants. Helene Josse lui répond que ces heures ne peuvent être intégrées dans les services et sont malheureusement nécessairement des HC car les fonds qui permettent le financement de ces actions ne sont pas pérennes (fonds rectoraux dits ORE).

Paul Malherbe trouve que la mise en place de ce dispositif est bénéfique aux étudiants mais constate qu'il reste méconnu des enseignants. Il l’a évoqué lors du dernier conseil du CAV; or manifestement peu d'enseignants en ont connaissance. Barbara Laborde en a également parlé, mais dans ce département les enseignants sont en “sur- service”.

Michel Magnien ainsi que la CFVU remercient Bénédicte Miyamoto pour ce travail. Il met au voix les 9 projets.

Les projets retenus par le bureau de la CFVU du 28/10/2021 dans le cadre de l’appel à projets

”aide à la réussite''sont approuvés à l’unanimité (24 votants - 24 oui).

3. Retour, pour le second semestre, en 100 % présentiel de tous les CM.

Michel Magnien rappelle que la CFVU du 4 juin dernier a voté la mesure suivante : Pour le semestre 1, les cours qui auraient dû se dérouler en amphi A & B, D02 & D03 passent en distanciel asynchrone car ils impliquent un fort brassage et sont difficiles à aérer. Le 1er semestre arrivant presque à sa fin, la CFVU doit se prononcer de nouveau sur les modalités d'enseignement qui concernent ce type d’enseignement, mobilisant de forts effectifs étudiants.

A ce point, il souhaite agréger la question posée en début de séance par Frédéric Maurin concernant la modification du calendrier universitaire 2021-2022 : puisque la rentrée du second semestre se déroulera à Censier, repasse-t-on à un second semestre de 13 semaines ?

Avant d'ouvrir le débat, Michel Magnien souligne deux points importants :

1. La modification du calendrier entraînera une avalanche d'heures complémentaires car les services des enseignants ont été constitués sur la base d’un second semestre comptant 12 semaines.

2. Le calendrier a été voté par le CA et la reprise des cours est prévue le 24 janvier y est dûment indiquée.

Paul Malherbe demande quel est l'impact d’un semestre de 13 semaines : la reprise des cours se ferait-elle une semaine plus tôt ou une semaine plus tard ? Une semaine plus tôt, répond Michel Magnien. P. Malherbe fait remarquer que les

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étudiants ont déjà aménagé leur intersemestre, voire réservé des billets pour un retour autour de la date prévue. Barbara Laborde ajoute que les personnels ont eux aussi pris leurs billets.

H. Josse se dit être théoriquement favorable à repasser à 13 semaines de cours au lieu de 12, les maquettes étant calculées sur 25 semaines. Elle désapprouve néanmoins la modification du calendrier à la date du 12 novembre alors que la rentrée est prévue pour le mois de janvier.

Fabien Van Geert dit aussi son opposition à la modification du calendrier car les EDT sont faits et les réservations des salles pour le second semestre sont en cours. Avancer d’une semaine risque de totalement bousculer l'organisation du travail.

Paul Malherbe demande pourquoi le calendrier est passé de 13 à 12 semaines. M. Magnien rappelle que c’est en raison du déménagement. Le GT “calendrier” a opté pour un intersemestre plus long afin de pouvoir assurer le déménagement dans les meilleures conditions.

Claire Tardieu rappelle que l’ENEAD a voté un calendrier pour l'examen et la remise des travaux durant l’intersemestre.

Benoit Sanchez fait remarquer de son côté que les étudiants ont prévu de faire leur stage “obligatoire” durant l'intersemestre pour que celui-ci ne chevauche pas avec la période des cours.

Michel Magnien remercie les conseillers pour la qualité de ces échanges et, pour toutes les raisons évoquées, il juge préférable de ne pas modifier le calendrier universitaire à une date aussi tardive. Par conséquent, la reprise des cours s'effectuera le 24 janvier 2022 comme prévu initialement.

Il passe ensuite au retour de tous les CM en 100 % présentiel pour le second semestre. Il donne la parole à Hélène Josse qui rappelle que lorsque la CFVU avait voté les CM en distanciel asynchrone en juin dernier, l'état d'avancement de la vaccination n'était pas connu. Désormais, la couverture vaccinale s’est élargie au plus grand nombre et chacun a eu l’occasion de se faire vacciner. Pour ces raisons, elle estime qu’il n'y a pas de raison de laisser les amphis fermés, d’autant plus que les cours en amphi peuvent représenter presque la moitié des heures de cours dans certaines L1. Par ailleurs, elle déplore l’attitude de certains enseignants qui n’appliquent pas le cadrage voté en CFVU et donnent cours en synchrone, sans mettre rapidement à disposition les enregistrements pour les étudiants qui ne peuvent pas se connecter à l’heure du cours parce qu’ils sont dans les transports ou qu’ils ne disposent pas d’un ordinateur à ce moment là de la journée. Elle suggère de rappeler le cadrage voté en juin (amphis en distanciel Asynchrone) et d’annoncer très vite les modalités d'enseignement des CM pour le second semestre afin que les étudiants comme les enseignants puissent se préparer et que les emplois du temps puissent être finalisés.

Paul Malherbe abonde dans ce sens, il est indigné par le comportement d’un enseignant qui non seulement n’a pas tenu compte des décisions de la CFVU mais l’exprime ouvertement auprès des étudiants via ses courriels.

Fabien Van Geert croit nécessaire de ne pas s'attarder sur le cas de quelques enseignants qui ne seront pas meilleurs en présentiel. Il pense qu’il faut plutôt se focaliser sur la situation sanitaire, il suggère de se garder un filet de sécurité concernant l'annonce du retour des CM en présentiel, car les nouvelles concernant l'évolution de la pandémie ne sont pas positives. Une nouvelle vague risque fort de se déclencher à l'approche des congés de noël.

Paul Malherbe craint que décaler l’annonce de cette information avec “un filet de sécurité” soit floue et mal comprise par les étudiants, il pense que plus vite l'information sera donnée, mieux elle sera assimilée.

Claire Tardieu suggère de l'annoncer très vite et la Présidence de l'université avisera si nécessaire. Hélène Josse abonde dans ce sens et rappelle que dans les moments forts de la pandémie, la CFVU a su réagir. L'idée est de ne rien imposer aux amphis, si une “flambée” survient à nouveau il faudra réagir. De deux choses l’une : soit l'épidémie est gérable, et les CM se déroulent normalement; soit l'épidémie est ingérable, et les CM les plus fréquentés passeront de nouveau en distanciel.

Paul Malherbe fait remarquer que certains cours en amphi sont passés à distance. L’université a ouvert les amphis aux étudiants en tant que salle de travail pour pallier le manque de locaux. Les amphis sont tout aussi pleins. Michel Magnien rappelle que si les cours en amphi sont passés en distanciel asynchrone c’est qu'ils impliquent un fort brassage et sont difficiles à aérer. La fin et le début des cours engendrent un flux important d'étudiants. Lorsque les amphis servent de salle de travail, la circulation des étudiants est plus fluide.

(8)

Fabien Van Geert attire l’attention sur un important problème de salles. Michel Magnien répond qu'il a consulté la DPIL, tous les cours sont placés, mais invite à signaler tout problème résiduel au Service du planning, qui se montre réactif.

Les EDT de l’année 2019-2020 sont transposés à l'identique.

Plusieurs élus proposent d’accompagner l’annonce de la réouverture des amphis de mesures pour limiter le brassage, comme le fait de finir les amphis avec un peu d’avance pour que les deux cohortes ne se croisent pas.

Après ce débat, Michel Magnien met au voix le retour de tous les CM en 100 % présentiel la réouverture des amphis pour y dispenser des cours en présentiel pour le second semestre.

Le retour pour le second semestre, en 100 % présentiel des CM dispensés à distance durant le premier semestre est adopté à l’unanimité (24 votants : 24 oui).

4. Modification pour la rentrée 2022-2023 des Maquettes d'accréditation.

4a. Création de la mineure Théâtre-espagnol et espagnol-Théâtre.

Michel Magnien présente la demande de création de la double combinaison Majeure espagnol/ Mineure Théâtre et Majeure Théâtre / Mineure espagnol. Il explique qu’elle se ferait à coût constant car elle n’inclut que des UE déjà existantes. L’introduction de ces nouveaux parcours n’entraîne aucune création d'UE, aucune modification du volume horaire des UE concernées, et aucune création de TD. Ils en seraient ouverts dès 2022 pour la L1, puis progressivement pour la L2, et enfin pour la L3 lors des deux rentrées suivantes. Les effectifs des étudiants ne sont pas précisés. Il se tourne vers Fabien Van Geert et Frédéric Maurin pour obtenir un ordre d’idée. Fabien Van Geert répond 20 étudiants : 10 étudiants de part et d'autre. Frédéric Maurin indique qu’il s’agit de suivre le même modèle que pour les autres combinaisons majeures/mineures de l’IET.

Hélène Josse met en doute cette présentation à coût constant. Elle explique que le coût zéro n'existe pas lorsqu'une formation est créée. En effet, cela implique que des agents veillent à l’intersection des deux maquettes dans Apogée (les secrétaires pédagogiques et le pôle études), demandent l'ouverture de portail dans Parcoursup et saisissent les données (DEVU), examinent les dossiers d’admission (départements), gèrent les fonds ORE etc.

Elle a lu l'argumentaire disciplinaire de création de cette mineure. Elle rappelle que les étudiants font des études avec un objectif de poursuite d'études et de formation. Or ce point n’est pas identifié dans ce document.

Elle se demande quelle est la valeur ajoutée de ce parcours. Elle donne en exemple la combinaison anglais /théâtre : la première année de licence est un succès mais les effectifs s'effondrent dès la L2, et davantage encore en L3.

Elle trouve que l'université ne cadre pas l'évolution des maquettes et les combinaisons de majeures/mineures.

L’université devrait procéder à un “benchmarking” pour connaître ce qui se fait ailleurs. Dire que ce type de parcours est intéressant pour les étudiants ne suffit pas. Le dossier de cette demande lui semble incomplet.

Elle ajoute qu’ouvrir cette mineure risque d'allonger davantage encore le calendrier des rattrapages surtout si les étudiants sont en AJAC (inscrits sur deux niveaux d'études de la même licence). L'ouverture de cette mineure présente un intérêt intellectuel certain mais elle devrait s’appuyer sur une enquête et un bilan : démontrer la capacité réelle à assurer la mise en œuvre dans une démarche d'amélioration continue au niveau pédagogique et organisationnel.

Paul Malherbe pense que le département de théâtre bénéficie d'une grande attractivité en France et compte nombre d’étudiants inscrits en théâtre. Cette mineure pourrait intéresser ses camarades et répondre à une demande. Hélène Josse lui répond que la mineure anglais/ théâtre compte 4 étudiants inscrits en L3, pourtant le Département du monde anglophone est également un gros département.

Paul Malherbe pense que si l’on ne prend en compte que le calcul des coûts des formations, les départements n’expérimenteront rien et n'ouvriront jamais de nouvelles formations. Hélène Josse lui répond que l’université n'a pas les forces suffisantes pour ce faire; sa mission est d'ouvrir des parcours pour le plus grand nombre et non pas de créer des parcours de niche, destinés à 5 étudiants. Par ailleurs, elle constate qu'il est très facile d'ouvrir une formation mais bien plus difficile de la fermer.

(9)

Tommaso Zaccheo comprend ces arguments, notamment les difficultés administratives. La question des niches et des masses a un sens dans la réalité du terrain mais il redoute la seule prise en compte des coûts et des profits qui aboutit à “se tirer une balle dans le pied”; cela est suicidaire à ses yeux. Les coûts et les difficultés administratives ne doivent pas empêcher de créer des formations. Des solutions doivent être trouvées pour résoudre ces difficultés. L'université doit s’ingénier à impulser l'offre de formation de manière à permettre une liberté pédagogique et à proposer des formations d’excellence.

Anne-Isabelle François admet qu'il ne faut pas ouvrir une formation pour quelques étudiants mais en même temps estime difficile que les départements fassent au préalable un “benchmarking”. Elle propose un compromis : une expérimentation en ouvrant cette formation à condition d'établir un bilan à l'issue de ces deux ans et si cela ne fonctionne pas, la formation ferme. Fabien Van Geert soutient cette proposition.

Hélène Josse, qui n’est pas convaincue de cette proposition, propose pour sa part un moratoire. Anne Isabelle François désapprouve cette idée de moratoire. Elle estime que refuser d’ouvrir des formations ne constitue pas la meilleure des solutions.

Samira Boumlassa informe que les deux départements et les UFR concernés ont scrupuleusement appliqué le cadrage voté en juin dernier. Le coût de cette formation a bien été contrôlé par la DAF et/ou la DRH. Les éléments organisationnels (l’élaboration des EDTS et des examens y compris les chevauchements…) et l'enquête évoqués aujourd'hui n’ont pas été inclus dans le cadrage. Elle précise que les conseils de perfectionnement ont été installés cette année. C’est à ces derniers que reviendrait la réalisation de ces enquêtes.

Helene Josse recommande un moratoire jusqu'à la prochaine accréditation. Michel Magnien rappelle que l'accréditation actuelle court encore sur 2 ans, et que cela fait loin… Frédéric Maurin propose de surseoir au vote. Fabien Van Geert souhaite que cette proposition de moratoire soit appliquée, mais à partir de la prochaine séance seulement.

Claire Tardieu suggère d'écrire aux collègues si la solution du moratoire est retenue.

Michel Magnien demande si ce moratoire s'appliquerait à toute l'offre de formation ou seulement aux combinaisons de majeure/mineure. Il se dit surpris de cette proposition. Hélène Josse souhaite que cela s’applique à toutes les formations.

Vassiliki Driancourt informe que l’HCERES a transmis les documents pour le renouvellement de l'accréditation des formations. Elle se propose d’y revenir lors de la prochaine séance.

Au vu des débats, Michel Magnien met au vote la proposition d’un moratoire à la création de la mineure Théâtre-espagnol et espagnol-Théâtre.

Le moratoire est adopté à la majorité des voix (24 votants : 14 oui - 10 abstentions).

4b. Affichage des ateliers supplémentaires de Niveau 5 & 6 du DU DULF

Michel Magnien rappelle que le DULF est un diplôme semestriel de langue française. II s’adresse à des personnes non francophones. Il compte 130 à 170 inscrits par semestre répartis dans 7 groupes sur 6 niveaux de langue, de A1.1 à C1. Les cours du niveau 5 et 6 existent mais ne sont pas matérialisés dans Apogée.

La modification proposée est d'ordre technique et a pour ambition de faciliter les IP. Elle n'engendre aucun coût. J. Nepaul intervient pour étayer cette présentation et souligner la nécessité d’ouvrir des ateliers supplémentaires dans les plus hauts niveaux de langue

Michel Magnien met au voix l’affichage des ateliers supplémentaires de Niveau 5 & 6 du DU DULF

L’affichage des ateliers supplémentaires de Niveau 5 & 6 du DU DULF est approuvé à l'unanimité (24 votants : 24 oui).

4c. Modification du nom du parcours du Master de LGC :

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Michel Magnien explique que la modification porte sur le nom du parcours du Master LGC, co-accrédité avec l'Université de Paris. Il donne la parole à Anne-Isabelle François. Elle rappelle qu’après trois années successives d’examen des dossiers de candidature, la commission pédagogique (composée de l’ensemble des titulaires du département LGC), constate que de nombreux dossiers déposés font en réalité fausse route, du fait d’une confusion sur l’un des termes du nom actuel du parcours : soit sur « Théorie », qui amène des projets très abstraits, sans aucune étude de corpus, ni prise en compte de la particularité interculturelle et interlinguistique de la LGC, soit, surtout, sur « Traduction », qui suscite des candidatures de pure traductologie, voire de pratique traductive, qui auraient plus leur place à l’ESIT ou en LLCSE qu’en LGC.

L’intitulé « Littératures comparées européennes et extra-européennes » a donc été choisi par le département de LGC (12 votant.e.s, 11 oui, 1 non) en vue de la prochaine campagne « Trouver mon master ».

Michel Magnien met ce changement au vote

La modification du nom du parcours du Master de LGC est approuvée à l’unanimité (24 votants - 24 oui).

5. CVEC : approbation de la proposition de ventilation des fonds CVEC 2021-2022,

Michel Magnien rappelle que la Commission CVEC s’est réunie le mardi 26 octobre pour répartir, à la demande du DGS, les fonds CVEC en pourcentage et non plus par masse monétaire comme cela avait été fait l’année dernière. Cette proposition n’a pas rencontré l'adhésion des étudiants. Elle a été adoptée par 11 voix pour, 5 contre et 1 abstention. Les documents sont disponibles dans l’Intranet.

Vassiliki Driancourt, directrice de la DEVU, rappelle de son côté que les fonds CVEC sont des fonds fléchés.

Lorsque ces fonds ne sont pas dépensés, ils sont reversés dans le pot commun de la CVEC. La baisse de la part dédiée au social n’est pas à craindre. Elle précise que le budget est réajustable lors de la rectification budgétaire (BR).

Abdoulaye Diallo demande pourquoi le conventionnement des associations étudiantes est financé sur fonds CVEC alors qu'auparavant il était financé par l’université. Samira Boumlassa lui explique que le conventionnement des associations était financé par le Fonds de solidarité et de développement des initiatives étudiantes (FSDIE). Ce dernier était alimenté par une partie des droits de scolarité. Seulement l'université n'avait pas la bonne pratique de la circulaire de 2011 qui régit le FSDIE. Le FDSIE sert uniquement à financer 2 volets : l’aide aux projets et l’aide sociale à destination des étudiants de l'université. Le conventionnement des associations ne devait pas être financé sur les fonds FDSIE. Depuis 2018, le FSDIE est alimenté par la CVEC et donc en application des textes, le conventionnement des associations est financé par la CVEC et non plus par le FDSIE.

Barbara Laborde demande qu’est ce qu’ un budget participatif, à quoi est il destiné. Michel Magnien, répond que c’est un dispositif qui permet aux étudiants de proposer des projets via un sondage piloté par le VPE en lien avec la DEVU.

Répartition 2022

BR1 614 754,00 €

FSDIE 30,0% 184 426,20 €

SSU 31,0% 190 281,00 €

REPORT 2020/2021 320 000,00 €

montant avec report et FSDIE et SSU

560 046,80 €

Emplois étudiants 27% 150 000,00 €

(11)

Budget participatif étudiant

5% 26 440,28 €

Santé 10% 55 000,00 €

Social 18% 100 000,00 €

Mission Handicap 11% 60 000,00 €

Culture 13% 75 000,00 €

Sport 12% 70 000,00 €

Conventionnement des associations étudiantes 4% 23 606,52 €

934 754,00 €

Part CVEC/étudiant 2021

42,00 €

nombre d'étudiants 14637

Michel Magnien met au voix la ventilation des fonds CVEC 2021-2022;

La proposition de ventilation des fonds CVEC 2021-2022 est approuvée à la majorité des voix (24 votants : 10 oui - 8 non - 6 abstentions).

Le VPE demande que soit consigné au PV le fait qu’aucun des élus étudiants n’a approuvé cette ventilation.

6. CVEC : Recrutement d’un.e Assistant.e Social.e sur fonds CVEC,

Michel Magnien explique que le CROUS a temporairement suspendu la présence d'assistant.es social.es sur place à Censier. En attendant et pour pallier ce manque, l’université a décidé de recruter un.e AS sur les fonds CVEC.

Michel Magnien met au voix le recrutement d’un.e Assistant.e Social.e sur fonds CVEC.

Le recrutement d’un.e Assistant.e Social.e sur fonds CVEC est approuvé à l’unanimité des voix (24 oui -24 votants).

7. CVEC : conventionnement des association étudiantes 2021-2022,

Vassiliki Driancourt présente ce point. Elle explique que la commission CVEC du 26 octobre 2021 a étudié l’ensemble des dossiers de demande de conventionnements d’associations ainsi que les bilans de l’année 2020/2021. Chaque association a été conseillée et accompagnée pour la rédaction des documents attendus.

Sept candidatures ont été déposées : 1. AREP

2. ATEP3

3. BESIDE LABEL 4. HYSTÉRIQUE

5. JOURNAL DES ASSOCIATIONS DE PARIS 3 (Nouvelles Vagues) 6. PIXEL UP

7. RADIO CAMPUS PARIS.

Les associations Arep, Atep3, Beside Label, Journal des associations de paris 3 (Nouvelles vagues) et Pixel

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Up ont déposé un dossier complet, sauf l'association Radio Campus PARIS (qui n’a pas justifié la totalité de ses dépenses grâce à des justificatifs recevables au plan comptable) et l’association Hystérique, qui n’a pas été en mesure de déposer un dossier de demande de convention dans les temps impartis. Dès lors, il a été proposé en commission CVEC de repousser l’examen de sa demande au 23 novembre prochain.

Michel Magnien Met au vote les demande de conventionnement des 5 associations suivantes : 1. AREP

2. ATEP3

3. BESIDE LABEL

4. JOURNAL DES ASSOCIATIONS DE PARIS 3 (Nouvelles Vagues) 5. PIXEL UP

Le versement de subvention aux cinq associations étudiantes de l’Université Sorbonne Nouvelle, mentionnées ci-dessus, est approuvé à la majorité des voix (24 votants : 10 oui - 8 contre - 6 abstentions).

8. Désignation de quatre grands électeurs issus de la CFVU en vue de l’élection au conseil d'administration de l'Établissement Public Campus Condorcet du 16 décembre,

Michel Magnien explique que l’université doit désigner quatre grands électeurs issus de la Commission de la Formation et de la Vie Universitaire, en vue de l’élection du conseil d'administration de l'Etablissement Public Campus Condorcet du 16 décembre 2021; Ces candidats sont désignés parmi les collèges électoraux suivants : un du collège A, un du collège B, un du collège Biatss et un du collège des usagers.

Michel Magnien et Abdoulaye Diallo proposent respectivement leur candidature pour le collège A et le collège des usagers. Pour le collège B, aucune candidature n’est proposée. Pour le collège des Biatss, Michel Magnien propose la candidature de Sylvain Angonin De Reu.

Michel Magnien met au vote la liste des candidats.

La désignation de quatre grands électeurs au sein de la CFVU en vue de l’élection partielle d’un représentant des enseignants-chercheurs au sein du conseil d'administration de l'Etablissement Public Campus Condorcet :

- Monsieur Michel Magnien, en tant que représentant du collège A, - aucun candidat, pour le collège B,

- Monsieur Sylvain Angonin de Reu, en tant que représentant du collège collège Biatss, - Monsieur Abdoulaye Diallo, en tant que représentant du collège des usagers.

est approuvée à l’unanimité des voix (24 oui -24 votants).

9. Désignation d’un.e représentant.e enseignant.e, Biatss, étudiant.e issu.e de la CFVU et d’un.e pour siéger au conseil de service de santé universitaire (SSU),

la désignation d’un.e représentant.e enseignant.e, d ’un.e représentant.e Biatss et d’un.e représentant.e étudiant.e issu.e de la CFVU et d’un.e représentant.e de la DEVU pour siéger au conseil du Service de santé universitaire (SSU) :

- Monsieur Michel Magnien, en tant que représentant des personnels enseignants-chercheurs, - Monsieur Abdoulaye Diallo, en tant que représentant des étudiants,

- Madame Salwa Salama Boktor, en tant que représentante des personnels BIATSS,

- Madame Vassiliki Driancourt, en tant que représentante du service vie étudiante ou de campus.

est approuvée à l’unanimité (24 votants : 24 oui).

10. Convention de cohabilitation entre l’USN et SU : adoption de la convention de co habilitation entre Sorbonne Université et l’USN (UFR LLCSE/ Dépt EO),

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José Costa, responsable pédagogique des Études hébraïques présente ce point. Il explique que la licence d'études hébraïques de Sorbonne Nouvelle existe dans le cadre d'un partenariat avec Sorbonne Université depuis de nombreuses années. La convention régissant ce partenariat étant caduque, il a été nécessaire de la renouveler. Elle est notamment indispensable à l'inscription des étudiants dans les deux universités (l'une payante et l'autre exonérée de droits). Le texte de la convention a été revu par les services juridiques des deux universités et il a été adopté par le conseil de gestion du département d'Etudes orientales (EO) ainsi que par le conseil de gestion de l'UFR LLCSE.

La licence « hébreu classique et études juives », en collaboration avec l’université Paris Sorbonne, propose une formation littéraire, historique, philosophique solide, associée à l’étude approfondie de la langue, orientée vers la langue et la littérature hébraïques classiques (de l’Antiquité au 19ème siècle). Cette orientation vers les textes anciens, fondements de la culture juive, fait la spécificité de ce parcours.

Abdoulaye Diallo demande le nombre d’étudiants concernés par cette convention. José Costa répond environ une dizaine mais souligne que les études hébraïques font partie des spécialités dites rares.

Abdoulaye Diallo demande si la hausse des frais de scolarité a impacté les étudiants extracommunautaires.

José Costa répond que non car jusqu’à présent les étudiants qui suivent cette formation sont intracommunautaires.

Abdoulaye Diallo souligne que si le cas arrivait, les frais seraient différents selon l’université.

José Costa souhaite attirer l'attention sur la difficulté qu'ont les étudiants de Sorbonne Université à payer leur inscription secondaire à l’USN. Michel Magnien explique que parfois les étudiants oublient de le faire. José Costa explique que ce n'est pas un problème d'oubli mais un problème d'organisation complexe à l’UFR. Il souhaiterait que cette complication récurrente soit résolue.

Anne-Isabelle François fait remarquer que dans l’annexe le nom des enseignants apparaît alors que la convention court pour 4 ans. Les enseignants peuvent changer, notamment les chargés de cours. José Costa adhère à cette remarque tout en précisant que c’est le service juridique qui l’a incité à mentionner les noms des enseignants.

Michel Magnien met au vote la convention de cohabitation entre l’université Sorbonne Nouvelle et la Sorbonne Université.

La convention de cohabilitation entre l’Université Sorbonne Nouvelle et Sorbonne Université concernant les études hébraïques (Licence) est approuvée à l’unanimité (24 votants - 24 oui).

11. Convention de partenariat : adoption de la convention de partenariat entre Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et l’USN (UFR LLCSE/ Dépt MA),

Michel Magnien rappelle que cette convention avait fait l'objet d'une discussion à la CFVU de septembre. Un certain nombre de questions avaient été exprimées concernant le texte. Aujourd'hui, une nouvelle version de la convention est présentée par Anne-Marie Miller-Blaise, responsable du Master Monde Anglophone Langue, littératures et sociétés, à qui il donne la parole. Elle explique les deux établissements souhaitent avancer vers la création d’un master Etudes sur le genre co-accrédité en 2023-2024 et à cet effet, collaborent pour la création d’un parcours Monde anglophone à titre expérimental au sein du master Etudes sur le genre de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, conduit en partenariat avec le Master Langues, littérature et civilisation étrangères et régionales (LLCER) Monde anglophone – Langue, littératures et sociétés (LLS) de l’Université Sorbonne Nouvelle.

L’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne fait figurer dans son offre de formation un master Etudes sur le genre, qui propose 5 parcours. Parmi eux est créé à la rentrée 2021-2022 un parcours Monde anglophone, en Master 1, organisé en partenariat avec l’Université Sorbonne Nouvelle. Le sous-parcours sera ouvert en Master 2 à la rentrée 2022-2023.

Barbara Laborde demande si les étudiants sont inscrits dans leur université respective. Anne-Marie Miller-

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Blaise répond que les étudiants sont recrutés et inscrits à Paris 1, l’USN n’a pas de Master dans cette spécialité. La convention permettra à nos étudiants de suivre les enseignements de Paris1 et permettra aux étudiants de Paris 1 de suivre les nôtres. Les enseignements sont mutualisés sans coût supplémentaire.

Anne-Isabelle François mentionne un passage de la convention “les deux établissements souhaitent avancer vers la création d’un master Etudes sur le genre co-accrédité en 2023-2024 et à cet effet, collaborent pour la création d’un parcours Monde anglophone à titre expérimental au sein du master Etudes sur le genre de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne”. Elle demande, pour bien comprendre, s' il s'agit bien de la création d'un parcours au monde anglophone pour les étudiants de Paris 1 au sein de notre université et dans ce cas, il ne s'agit pas d'un simple échange d'étudiants. Anne-Marie Miller-Blaise répond que c'est bien une création de parcours au sein de notre université pour Paris 1.

Claire Tardieu demande si cette convention a été votée par l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Anne- Marie Miller-Blaise répond qu’elle a bien été votée par les instances de l’université Paris 1 Panthéon- Sorbonne. Elle ajoute que les services juridiques des deux universités ont communément travaillé sur le texte.

Barbara Laborde suggère l'harmonisation du feminin générique dans le texte de la convention. Cette proposition est acceptée par Anne-Marie Miller-Blaise.

Michel Magnien met au vote la convention de partenariat entre l'université Sorbonne Nouvelle et l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

La convention de partenariat entre l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et l’Université Sorbonne Nouvelle est approuvée à la majorité des voix (24 votants : 23 oui - 1 abstention).

12. Fermeture de la combinaison espagnol/portugais en LEA,

Cécile Leblanc, directrice du département LEA, présente ce point. Elle explique que les enseignants d’espagnol et de portugais de LEA ont constaté depuis longtemps que ce couple de langue constituait une impasse pour les étudiants qui, sans apprentissage de l’anglais, se ferment nombre de portes en Masters d’une part, sur le marché de l’emploi d’autre part. Or ce sont souvent des étudiants qui ne sont pas très au fait des meilleures stratégies pour réussir leurs études et/ou leur insertion sur le marché de l’emploi. Par ailleurs, comme ils ne peuvent pas constituer un « bloc » entier au niveau des EDT, ils vont d’un groupe à l’autre, ce qui est assez déstabilisant pour eux. Ce parcours ne concerne qu’une quinzaine d’étudiants venant de parcoursup.

Cette suppression a donc été votée à l’unanimité en LEA et avec l’aide des collègues d’espagnol et de portugais à l’UFR car tous ont bien compris que ni l’espagnol ni le portugais ne seraient lésés in fine : nous augmenterons nos capacités en anglais/espagnol et en anglais/portugais sur parcoursup.

Pour les étudiants redoublant leur L1 en 2021-2022, pour les étudiants en L2 et en L3 actuellement, le parcours sera maintenu jusqu’en 2024-2025.

Anne Isabelle remercie la directrice pour cette présentation et demande si le conseil de perfectionnement a été consulté pour la fermeture de ce parcours. Cécile Leblanc répond non car il est en cours d'installation.

Anne Isabelle François demande si les étudiants étaient présents lors de ce vote. Cécile Leblanc répond que non car il n’y a pas d'étudiants élus au conseil de département. La demande d’organisation d'élection partielle a été faite.

Barbara Laborde s'interroge sur l'hégémonie de l’anglais en LEA. Elle demande pourquoi ne pas attendre la fin de l'accréditation des maquettes pour fermer ce parcours et aussi après une évaluation de la DEVU. Cécile Leblanc répond qu’attendre la fin de l'accréditation serait dommageable pour les étudiants car en attendant aucune poursuite d'étude n’est possible pour ceux qui sont engagés ou qui s'engagent dans ce cursus. Elle ajoute que c’est une question de responsabilité des enseignants. En ce qui concerne la dominance de l’anglais, elle a mené une fronde active à la commission des postes contre le département du Monde Anglophone pour récupérer des postes. Ce dernier est toujours bien doté au détriment des petits départements de langues (portugais, espagnol, italien, arabe) et la LEA qui sont systématiquement lésés. Sa stratégie a été

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payante car le portugais à récupérer un poste de PR. Elle ajoute qu’Il faut être réaliste, les LEA n'ont rien de mirifique. Elle ajoute que c’est un constat et rien d'idéologique, un dossier de candidature sans l’anglais ne passe pas dans l'équipe de tête.

Abdoulaye Diallo constate en plus de la fermeture du parcours Espagnol/portugais, la baisse d'effectifs comme le parcours arabe où le nombre d'étudiants est passé de 20 à 10 inscrits ou encore la fermeture temporaire des candidatures des L2 et L3 en LEA pour la campagne d'admission 2021-2022. Il rappelle que la fermeture du parcours espagnol/portugais a été rejetée lorsqu'il siégeait au conseil d’UFR LLCSE. Cécile Leblanc répond que cette fermeture est une mesure en faveur des étudiants car l'équipe pédagogique a constaté qu'il n’y avait pas de possibilité de poursuite d'études ni d'insertion professionnelle. Les enseignants ont opté pour une meilleure stratégie. En ce qui concerne le parcours arabe la baisse est due à la faible implication des enseignants.

Abdoulaye Diallo demande pourquoi les TD se ferment. Cécile Leblanc répond que le département LEA applique les directives de la CFVU à savoir la fermeture des TD lorsqu' il y a moins de 18 inscrits. Elle rappelle que le département LEA est sous doté. Il fonctionne avec 16 titulaires et 250 chargés de cours pour environ 2550 étudiants à comparer le département monde anglophone où ils sont 100 titulaires : 20 PR, 80 MCF et xx chargés de cours pour le même volume d'étudiants.

Audrey Loubie demande s'il est possible d’avoir des retours des étudiants qui ont suivi ce parcours. Cécile Leblanc répond qu'il est difficile de suivre les étudiants une fois diplômés. De plus, le département n’a pas forcément les moyens de le faire.

Paul Malherbe constate que la question de la poursuite des études n’a pas fait l'objet d'une enquête auprès des étudiants mais l'université envisage de fermer le parcours. Il ne comprend pas cette méthode. Il ne comprend pas non plus l'exigence de l’anglais dans la licence LEA parcours espagnol/portugais. Alors que ce parcours permet une ouveture internationale et une insertion dans le monde du travail en relation avec le monde ibériques et latino-américaines.

Cécile Leblanc constate que l'anglais permet de bénéficier de plus grandes opportunités à l'étranger et avec des multinationales. La pratique de cette langue est souvent exigée par les recruteurs.

Après ces échanges, Michel Magnien remercie Cécile Leblanc et met au vote la fermeture du parcours espagnol-portugais.

La fermeture du parcours espagnol-portugais est rejetée à la majorité des voix (4 pour - 7 abstentions - 13 contre - 24 votants).

13. ESIT : Admissibilité des candidat·es allophones (Master en traduction éditoriale, économique et technique de l’ESIT),

Michel Magnien présente ce point. Il explique que jusqu’à présent, les candidat·es allophones au concours d’entrée au Master en traduction éditoriale, économique et technique de l’ESIT devaient passer une épreuve d’admissibilité visant à vérifier leur niveau de français, et notamment leur maîtrise des expressions idiomatiques. Or, depuis le passage au distanciel, il est apparu que les résultats de cette épreuve étaient peu significatifs car, l’épreuve étant non surveillée, les candidat·es pouvaient facilement trouver les réponses sur Internet et obtenir ainsi des résultats ne reflétant pas leur niveau réel, comme l’attestent les résultats obtenus aux épreuves d’admission.

Ainsi, afin de garantir le niveau de français à l’admission des candidat·es – ce qui est un gage de leur réussite ultérieure au Master – et de disposer d’une base commune reconnue pour l’évaluation de leur niveau de français, le Conseil de gestion en formation restreinte aux enseignant·es de l’ESIT a décidé le 13 octobre 2021 qu’à compter du concours 2022, les épreuves d’admissibilité pour les allophones seront remplacées par une attestation de réussite à l’examen du diplôme approfondi de langue française (DALF) niveau C2, qui devra être jointe au dossier d’inscription aux épreuves d’admission.

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Jeremy Nepaul demande si l’examen du DALF niveau C2 comprend bien toutes les compétences écrites et orales. Michel Magnien répond que oui.

Michel Magnien met au vote ce point.

l’admissibilité des candidat·es allophones au Master en traduction éditoriale, économique et technique de l’ESIT est approuvée à l’unanimité des voix (24 oui -24 votants).

14. ESIT : Exonération des droits d’inscription au concours pour les bénéficiaires d’une BCS (Master en traduction éditoriale, économique et technique de l’ESIT),

Michel magnien explique que l’ESIT a décidé qu'à compter du concours 2022, les candidat·es bénéficiant d’une bourse d'enseignement supérieur sur critères sociaux (BCS) bénéficieront d’une exonération des droits d’inscription aux différents concours d’admission à tous les diplômes de l’ESIT.

Michel Magnien met au voix ce point.

l'Exonération des droits d’inscription aux concours de l’ESIT pour les bénéficiaires d’une BCS est approuvée à l’unanimité (24 votants - 24 oui)

15. Cadrage de la JPO 2022,

Michel Magnien donne la parole à Laetitia Faudière, responsable du Service d’Information et d'Orientation (SIO) et du Bureau d’Aide à l'Insertion Professionnelle (BAIP). Elle rappelle que, chaque année, la journée portes ouvertes (JPO) a pour vocation d’accueillir à la fois les lycéens en passe de formuler leurs vœux sur Parcoursup et les étudiants intéressés par les masters de notre établissement.

L’an dernier, la JPO 2021 s’est déroulée à distance en raison de la crise sanitaire et conformément aux recommandations du MESRI publiées très tardivement (20 décembre 2020), et sur deux journées séparées.

Afin de permettre une anticipation et une prise de décision, plusieurs scénarios sont envisagés, ils s’inscrivent dans un contexte sanitaire et patrimonial en évolution. Un scénario pourra donc être privilégié en urgence, notamment en cas de dégradation de la situation sanitaire :

1. en présentiel-hybride à Censier, 2. en présentiel-hybride à Nation, 3. à distance.

Étant donné la complexité de l’organisation d’un JPO, il a été fait le choix, lors de la dernière réunion des Directeurs de composantes, d’organiser une JPO commune aux Licences et Masters à une date unique, soit le 12 février 2022. En matière de communication autour de cet événement important, L. Faudiere présente les nombreux canaux qui seront mobilisés, à savoir :

- Site institutionnel de la Sorbonne Nouvelle, - Google site JPO,

- Réseaux sociaux (Facebook et Twitter),

- Campagne numérique Onisep, et annonce publicitaire dans le Guide de la procédure Parcoursup (distribution papier dans les lycées et en version numérique en ligne),

- Banderoles JPO,

- Information (par les départements) aux étudiants de L3 afin qu’ils s’informent au sujet des masters,

- Relais lors des différents forums et salons d’orientation (Salon Européen de l’Education, Salon Postbac, Salon des Masters du Monde)

Paul Malherbe demande si les syndicats étudiants pourront participer à la JPO en vue d’assurer une présentation de leur action et informer les étudiants des démarches à effectuer. Michel Magnien répond qu'il

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est prévu comme chaque année un stand pour les syndicats étudiants, sauf l’année dernière en raison de la COVID.

L.Faudiere indique que plusieurs stands d’informations Parcourssup seront tenus par les services universitaires.

Michel Magnien ainsi que les membres de la CFVU remercient vivement Laetitia Faudière et son équipe pour tout ce travail d'organisation.

16. Questions diverses (5 mn.).

1. Frédéric Maurin s'interroge sur la date de reprise des cours du second semestre, puisque, manifestement, le déménagement à Nation est repoussé. Quel calendrier adopter ? Celui où la rentrée est prévue au 17 janvier ou le 24 janvier avec un retour à un semestre de 13 semaines (au lieu de 12). Question traitée au sein du point N°3.

2. Abdoulaye Diallo souhaiterait le retour des rdv en présentiel avec les secrétariats pédagogiques. Michel Magnien répond que même si l’accueil des usagers fait bien entendu partie des missions de service public assurées par l’établissement, il faut désormais prendre en compte l’existence du télétravail au sein des secrétariats

Salwa Boktor Salama explique que c’est bien le cas dans son département. J. Nepaul rappelle de son côté que pour son département, la prise des rdv n’est obligatoire que pour les personnes extérieures à l’université.

3. Barbara Laborde s'interroge sur la campagne des admissions en Master. Michel Magnien lui répond qu’un courriel a été envoyé à ce sujet. Le principe guidant cette réforme est que les opérations de sélection ne se fassent plus au niveau de chaque établissement mais sur une plateforme nationale.

Les dossiers de candidatures sont triés au niveau national ce qui n’interdit pas les entretiens.

4. Paul Malherbe a une question concernant l'accès à la bibliothèque et aux livres.

Michel Magnien explique que le report du passage de la commission est récent. Il n'a pas d'élément de réponse à apporter pour le moment. Les services compétents, comme la DBU, ont le droit d'exercer leur métier sur place, mais le bâtiment n’est pas encore ouvert au public.

5. Paul Malherbe signale la présence de nombreux messages fascistes et violents dans les toilettes du 2e étage. Michel Magnien demandera à la DPIL d'intervenir pour les effacer. Paul Malherbe souhaiterait que l'université fasse intervenir des spécialistes de ces questions pour sensibiliser les étudiants et lutter contre ces attitudes et comportements discriminatoires.

Secrétaire de séance,

Samira Boumlassa, chargée de mission CFVU

Michel MAGNIEN

Président du Conseil Académique, Vice-Président de la Commission Formation et Vie Universitaire

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