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ITINÉRAIRES CATHARES

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ITINÉRAIRES

CATHARES

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Éric Le Nabour

ITINÉRAIRES CATHARES

Histoire, religion, lieux sacrés et initiatiques

Photos : Jean-Bernard Laffitte —

Agence Explorer

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Du même auteur, aux Éditions Dervy

BRETAGNE, lieux initiatiques et sacrés

© 1994, Éditions Dervy ISBN: 2-85076-586-4

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à Aude Le Nabour

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HISTOIRE, RELIGION

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VOYAGE EN PAYS CATHARE

Visages émaciés, regards fiévreux, démarche hési- tante, ils sont deux cent quinze à descendre, en cette nuit du 16 mars 1244, les pentes du pog de Montségur, abandonnant derrière eux leur vaisseau de pierre au silence des cimes.

Dès qu'ils sont sortis du château, on les a frappés et chargés de chaînes. Puis, on les a poussés sur les chemins pierreux qui serpentent le long de la montagne.

Il fait nuit, et au pied du nid d'aigle, on a dressé, dans un champ clos de palissades, un gigantesque bûcher.

A un croisé qui lui suggérait d'abjurer sa foi pour sauver sa vie, l'un d'entre eux a répondu :

— Plutôt brûler que d'abjurer!

Le soldat est resté muet. La foi cathare ne se conçoit pas sans une fidélité absolue.

A leur tête, le patriarche, Bertrand Marti. Derrière lui, les « purs », ceux d'hier et ceux de la dernière heure, ceux qui se sont convertis en sachant que cette conversion signifiait la mort, des hommes comme des femmes. Des couples ont choisi de rester unis dans la mort.

On les entraîne sur le bûcher, on les lie de cordes. Un peu de fumée suinte des fagots, puis des flammes qui jaillissent, des torches vivantes qui s'embrasent...

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D'eux, il ne restera bientôt plus que cendres. Au pied de Montségur, aujourd'hui, une stèle. Et le souvenir...

Car le drame cathare hante toujours le Languedoc. Au point qu'il existe au cœur de ce Languedoc un «Pays Cathare», avec ses lieux sacrés où se perpétue la mémoire de la «Croisade contre les Albigeois ».

Parcourir ces lieux, gravir les pentes abruptes menant à ces «citadelles du vertige», déambuler dans ces villes où ils furent persécutés, entrer dans ces grottes où ils se réfugièrent, hanter les forteresses-temples où ils trans- mirent leurs initiations, c'est sans doute aller à la rencontre d'un passé lointain, mais aussi d'une énigme : comment une région aussi heureuse a-t-elle pu abriter et favoriser une philosophie aussi sombre ?

Pour les Cathares, héritiers du manichéisme oriental transmis à l'occident par l'intermédiaire des Bogomiles de Constantinople, le monde était mauvais, œuvre d'un démiurge satanique. Seule l'âme, pure et créée par Dieu, devait se délivrer de son enveloppe charnelle afin de rejoindre sa source. Sans quoi, elle se trouvait enchaînée par la roue des incarnations et réincarnations succes- sives.

Dans ce but, les adeptes de ce dualisme sans conces- sion, devaient mener une vie pure : ascétisme, végéta- risme, chasteté. Avant de recevoir le consolamentum, rite initiatique qui faisait d'eux des «parfaits», des

«purs», des «bonshommes». Les simples croyants, pour leur part, se contentaient de buts plus modestes.

Pour Rome, le succès foudroyant de cette nouvelle Eglise dont l'aspect populaire se doublait d'un enseigne- ment ésotérique réservé à une minorité, ne pouvait évidemment se tolérer sans courir le risque de voir sa puissance remise en cause. Pour le roi de France, ce comte de Toulouse et ses vassaux auxquels ne le reliait qu'un lien juridique très lâche, semblaient bien arro- gants de protéger l'hérésie. Entre eux, que d'intérêts communs !

Le résultat, en cette première moitié du XIII siècle, ne

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devait pas se faire attendre. A la volonté d'extirper l'hérésie manifestée par le pape Innocent III allait correspondre le désir du roi Philippe Auguste d'aller en découdre avec ces superbes barons du midi pour qui la poésie raffinée des troubadours valait bien un tournoi.

Car le drame cathare naît de cette double opposition.

A la rivalité profonde entre catholicisme romain et catharisme occitan, répond celle qui dresse l'une contre l'autre, comme deux sœurs ennemies, la civilisation brillante du midi, et celle plus frustre du Nord. L'oc contre l'oil. Encore ne faut-il pas exagérer l'importance de cette seconde rivalité. Comme le souligne le duc de Lévis-Mirepois, « si le Nord se montre plus rude, moins courtois, il a produit des cathédrales, des chansons de geste, des fabliaux, et l'on voyait, comme à l'Université de Paris, les étudiants se presser autour des maîtres de la philosophie. »

A trop privilégier les raisons sociales, économiques ou politiques de ce qu'on a appelé la «croisade contre les Albigeois », on oublie cependant que la véritable origine du drame cathare est malgré tout profondément méta- physique.

Deux conceptions du monde sont en jeu qui peuvent difficilement cohabiter. Avant même d'avoir pu exami- ner en détail la doctrine cathare, l'Eglise devine en outre, à travers le comportement des «purs», une sincérité, une puissance qui tiennent à la vitalité de son ésotérisme.

Traversant une crise de conscience, elle n'en perçoit que davantage la menace. D'où la violence de l'agression perpétrée par les barons du Nord, d'où les haines inexpiables soulevées par la croisade, d'où le fanatisme de la répression.

Pendant plusieurs décennies cependant, la plupart des habitants du Languedoc protégèrent ces cathares pour- chassés. Depuis le XII siècle, il est vrai, ils avaient pris l' habitude de les voir hanter leurs routes, traverser leurs champs, pénétrer dans leurs maisons. Toujours par deux, toujours vêtus de noirs, maigres, presque transpa-

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rents, semblables à de longues flammes vacillantes qu'un souffle eut suffi à éteindre, et pourtant bien à l'image du pays, solides, résistants, durs comme le roc.

Ces initiés pressés de quitter leur prison de chair, n'ont pourtant laissé que peu de traces de leur très ancienne connaissance. Même si, ici ou là, en subsistent quelques vestiges.

Montségur ne passe-t-il pas pour avoir abrité le Graal, à tout le moins un important trésor spirituel ?

Quéribus n'est-elle pas, de toute évidence, une forte- resse solaire ?

Les grottes de Niaux et de Lombrives n'ont-elles pas servi de refuge aux Cathares et abrité des rites initiati- ques?

Reste que les cathares n'ont pas été les seuls à incarner la spiritualité languedocienne. L'âme rugueuse du «pays cathare», à l'instar de celle des «purs», échappe à celui qui veut la retenir ou l'enfermer trop étroitement dans d'humaines limites. Foi, pureté, lumière, amour, joie... A travers ces mots qui revenaient sans cesse dans la bouche des «parfaits», les «citadelles du vertige», comme suspendues entre ciel et terre, semblent aujour- d'hui encore nous lancer un appel. Un appel à la rébellion contre notre somnolence spirituelle, un appel à la verticalité, un appel à une liberté infinie enfin vécue.

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LE DRAME CATHARE

C'est en 1022, Robert le Pieux régnant, que tout commence. Par un premier bûcher. A Orléans, ce jour- là, plusieurs hérétiques qualifiés de «Bogomiles» péris- sent dans les flammes. Parmi eux, le propre confesseur de la reine de France.

L'événement pourrait passer inaperçu. Des héréti- ques, on en a brûlés à toute époque. Mais, ces hérétiques, les chroniqueurs du temps les nomment «Manichéens», du nom de Manès un prophète gnostique perse du me siècle, un tenant du dualisme radical. A n'en pas douter, ces hérétiques là étaient déjà des Cathares.

Un siècle plus tard, en 1119, le pape Calixte II dénonce les progrès de l'hérésie au sud de la Loire. Des hommes prétendent la création mauvaise, œuvre du Malin, nient la présence réelle dans l'Eucharistie, le sacerdoce des prêtres ainsi que l'utilité du mariage. Bernard de clair- vaux, expédié par le légat du pape à Toulouse, prêche longuement vingt-cinq ans plus tard contre ces héréti- ques. Il y dénonce l'état déplorable du clergé. Partout, il a vu des « basiliques sans fidèles, des fidèles sans prêtres, des prêtres sans honneur... »

Rien n'y fait. Pas même la menace d'anathème lancée au Concile de Reims en 1148 et qui frappe tous ceux qui auraient l'audace d'offrir l'hospitalité aux hérétiques. En

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1167 : un premier Concile cathare se réunit à Saint-Félix- de-Caraman qui organise l'Eglise de ceux qu'on appelle déjà les «purs». La secte progresse, fait des adeptes, conquiert tout le Languedoc, jusqu'aux seigneurs du Midi dont la tolérance favorise l'expansion de son message.

« Un étrange ferment de destruction rongeait la civi- lisation romane, note le duc de Lévis-Mirepois, et mena- çait de se répandre. Des lézardes apparaissaient aux murailles de la chrétienté. »

Cette fois, l'Eglise se fâche. Le pape Alexandre III, en 1179, invite rois et barons à entrer en guerre contre les hérétiques Albigeois. Qu'y gagneront-ils? Des indul- gences, et les biens confisqués à tous ceux qui auront soutenu ces Cathares qui défient la seule vraie foi!

Hélas, les barons du Nord font la sourde oreille, et le nouveau pape Innocent III se voit contraint de changer de politique. Au lieu de prêcher la croisade, il prône la conversion, et, dans ce but, expédie des missions en pays cathare. Un certain Pierre de Castelnau, archidiacre de Maguelonne — près de Montpellier — ainsi qu'Arnaud- Amaury, abbé de Citeaux, sont chargés de répandre la bonne parole en Languedoc. Mais que peuvent-ils dans une région que parcourent inlassablement depuis tant d'années des centaines de «parfaits»?

Organiser des colloques... Catholiques et cathares se rencontrent donc en présence du roi Pierre II d'Aragon, et argumentent. Sans grands résultats. Chacun reste sur ses positions.

L'arrivée d'un religieux espagnol, Dominique Guzman

— le futur Saint-Dominique — dont la sincérité n'a d'égale que le fanatisme militant, n'y changera rien non plus.

Bientôt, il faut reconnaître que ces tentatives de conversion sont un échec, que même le peuple gagné à la cause des Albigeois demeure désormais insensible au message chrétien tel que Rome l'a toujours exprimé. En tout premier lieu parce que la plupart des prêtres ne

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mènent guère l'existence évangélique et ascétique des

«purs», qu'ils ne donnent pas l'exemple, qu'ils se satis- font de leurs richesses matérielles ou d'une cure paisible au soleil du Languedoc sans nourrir la moindre ambi- tion spirituelle.

Il y a pire encore : ces prêtres reconnaissent volontiers aux hérétiques les qualités que leurs adeptes leur prê- tent. «Nous sommes obligés d'avouer qu'ils se condui- sent très honnêtement» ont-ils écrit à Rome. Et pire encore : certains ont abandonné leur sacerdoce pour embrasser la religion des Cathares !

Même le futur Saint-Dominique en convient :

— Il me parait impossible, a t-il déclaré, de réduire par la seule parole des hommes qui s'appuient avant tout sur l'exemple.

Lui-même a d'ailleurs quelque mal à admettre que son propre exemple n'ait guère séduit les populations ren- contrées au hasard de ses pérégrinations. Trop dogma- tique, trop fanatique, trop abrupt dans sa façon de s'exprimer. Les habitants du «pays cathare» n'ont prêté qu'une oreille distraite à ses sermons. Alors, Dominique Guzman a menacé. A Prouille, il a annoncé lors d'un sermon que la terreur allait s'abattre sur le Languedoc, que la mort et la peur régneraient, que le pays serait réduit en servitude. Puis, il a conclu :

— Là où n'a pas prévalu la conviction prévaudra le bâton !

Le pape Innocent III qui écrit à la m ê m e époque ne pense guère différemment : « Puisque ceux qui sont dans l'erreur ne veulent pas entendre nos raisons, bravent nos menaces et s'excluent de nos bienfaits, et puisque aucun remède n'a d'effet sur le mal, que celui-ci soit extirpé par le fer! Que les malheurs de la guerre ramènent les pervers à la vérité ! »

Aveu d'impuissance ! Le catharisme est une mauvaise herbe spirituelle qui a pris racine dans le terreau fertile du Languedoc, il faut l'en arracher à tout prix !

Philippe-Auguste continue pourtant de faire la sourde

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oreille... Tout en continuant de lorgner avec gourman- dise sur les bonnes terres du comte de Toulouse.

Qui, plus encore que le roi de France, reste insensible aux injonctions papales. Bien sûr, en 1205, il a juré d'extirper l'hérésie. Mais, c'était visiblement à seule fin de gagner du temps, et de faire cesser les criailleries des prêtres! D'ailleurs, ces cathares ne le gênent pas vrai- ment. Ils lui semblent même plutôt sympathiques malgré leur austérité, et sincères. Et puis, tant qu'on ne l'em- pêche pas d'écouter ses troubadours, de faire bonne chère, et de trousser les filles...

Cette attitude d'un homme bon, mais quelque peu versatile, exaspère le légat du pape, Pierre de Castelnau.

Déjà, à plusieurs reprises, il l'a traité «d'impie, de cruel barbare, de tyran». Déjà, sur les conseils du pape, il l'a menacé d'excommunication. Raymond VI n'a fait que rire de ces objurgations.

Reçu quelques temps plus tard en audience solen- nelle, Pierre de castelnau est allé plus loin encore. Au nom du pape, il a demandé au comte de faire pénitence, sans quoi ses terres seraient confisquées.

— Qui vous dépossédera fera bien, lui a t-il lancé, qui vous frappera de mort sera béni.

Cette fois, le rire s'est étranglé dans la gorge de Raymond VI. Pierre de Castelnau a été chassé sans ménagements.

Conséquence de cette passe d'armes, le 14 janvier 1208, alors qu'il traverse le Rhône à Saint-Gilles pour rentrer à Rome, un chevalier s'approche de lui au galop et le transperce d'un coup de lance. Exit Pierre de Castelnau.

Raymond VI a lavé l'affront dans le sang.

Innocent III, lui, n'a pas le moindre doute. Le bras qui a assassiné son légat a été armé par le comte de Toulouse. Le 6 mars 1208, après une campagne de

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diffamation savamment entretenue contre Raymond VI, il lance un appel à la guerre sainte : «Nous jugeons devoir avertir nos vénérables frères les évêques et leurs suffrageants, et les exhorter par le Saint Esprit, leur ordonnant strictement de faire prendre force à la parole de paix et de foi semée par Pierre de Castelnau... Quant à ceux qui seront virilement ceints et armés contre ces pestiférés qui s'attaquent à la fois à la paix et à la vérité, qu'on leur promette en toute sûreté la rémission de leurs péchés. »

«... Nous voulons que les évêques déclarent déliés par l'autorité apostolique tous ceux qui sont astreints au comte de Toulouse par serment de fidélité, et libre à tout catholique non seulement de poursuivre sa personne, mais encore d'occuper et tenir ses terres et domaines afin, par ce moyen, de purger d'hérésie, par force et savoir-faire, le territoire qui jusqu'à ce jour a été honteusement endommagé et souillé par la méchanceté dudit comte... Sus donc, soldats du christ ! Efforcez-vous de pacifier ces populations au nom du Dieu de paix et d'amour ! Appliquez-vous à détruire l'hérésie par tous les moyens que Dieu vous inspirera. »

Quelques jours plus tard, il sollicite à nouveau, «au nom de Moïse et de Pierre», l'intervention de Philippe- Auguste. Celui-ci semble alors céder à ses injonctions.

Du moins en partie. Il n'ira pas lui-même en Languedoc.

Mais, il y expédie quelques beaux seigneurs du Nord qui dirigeront l'armée de la croisade. Parmi eux, le duc de Bourgogne, le comte de Nevers, Gaucher de Châtillon — comte de Saint Pol — Guy de Lévis, et un certain Simon de Montfort, comte de Leicester.

Un autre homme assurera la direction spirituelle de la croisade : Arnaud-Amaury, abbé de Citeaux.

Une armée de plusieurs dizaines de milliers d'hommes se met ainsi en marche au printemps 1209. Chevaliers, écuyers, archers à cheval, arbalétriers, et surtout une piétaille nombreuse composée de paysans devenus sol- dats et qui sont d'évidence prêts à tout, au meurtre

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Il y a plus de sept siècles,

le drame cathare marquait à jamais le Languedoc, vieille terre qui avait vu passer les tribus gauloises, les légions romaines...

Gravir les pentes abruptes menant aux "citadelles du vertige",

déambuler dans les villes où les

"Parfaits furent persécutés, entrer dans les grottes où ils se réfugièrent, hanter les

forteresses-temples où ils transmirent leurs initiations...

Cet ouvrage propose des itinéraires buissonniers du Nord à l'Ouest, en passant par l'Est et le Sud, de Cordes à Toulouse, de Narbonne à Carcassonne, pour découvrir ou retrouver l'âme cathare et

ses hauts lieux initiatiques et sacrés, dont les ruines, entre ciel

et terre, défient le temps et l'histoire....

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