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Chapitre 3 : La puissance des Etats-Unis aujourd hui. Séance 1

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Academic year: 2022

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Chapitre 3 : La puissance des Etats-Unis aujourd’hui.

Séance 1

Activité introductive : Caractérisons la puissance des États-Unis (utilisation de nuage de mots.co)

Identification de la puissance des États-Unis à travers des lieux ou des mots. En accroche, se servir de ce nuage de mot pour démontrer que la notion de puissance est polysémique. Certains privilégieront des mots faisant référence au hard-power des États-Unis. D'autres mettront en avant des mots en lien avec des éléments culturels.

Exemple de nuage :

INTRODUCTION

Dès la fin du XIXe siècle, les Etats-Unis sont la première puissance économique mondiale et, entre les deux guerres, leur modèle capitaliste influence les grandes entreprises européennes : celles-ci s’inspirent des principes du taylorisme et du fordisme. A la veille de la crise de 1929, le pays réalise plus de 40% de la production industrielle mondiale. On parle alors d’économie monde américaine. Principe illustré par Fernand Braudel qui dans son ouvrage Civilisation matérielle, économie et capitalisme : XVe-XVIIIe siècle définit l’économie monde comme « un morceau de la planète économiquement autonome, capable pour l'essentiel de se suffire à lui-même et auquel ses liaisons et ses échanges intérieurs confèrent une certaine unité organique ». La crise de 1929 déstabilise le pays, mais sa diffusion dans le reste du monde montre que les Etats- Unis sont devenus le centre de l’économie mondiale. La Seconde Guerre mondiale montre leur capacité à mobiliser des ressources industrielles et technologiques sans équivalent. À partir des années 1960, le mode de vie américain, diffusé grâce à la publicité, à la télévision et au cinéma, fait rapidement l'objet d'une vive admiration dans les autres pays développés qui l'adoptent rapidement.

Le rayonnement culturel et l'influence américaine se renforcent encore pendant la guerre froide, de 1947 à 1991, avant que la question de l'hyperpuissance et de sa contestation ne se pose depuis près de trente ans.

Quels sont les voies et les lieux de la puissance des États-Unis ? Entre soft et hard power, comment l'influence des États-Unis reste-t-elle déterminante dans le monde malgré les contestations et les concurrences dont elle fait l'objet ?

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I. Les Etats-Unis un territoire reflet et moteur de la puissance sur différentes échelles.

Jalon 1 : Des lieux emblématiques de la puissance américaine.

A. La première puissance économique du monde.

Les États-Unis disposent d’un vaste territoire doté de ressources naturelles abondantes et diversifiées. Avec 9 626 000 km2, c’est le 3e plus vaste pays au monde. Ouvert sur trois océans, il possède le domaine maritime le plus étendu de la planète. Disposant de richesses minières et forestières, les États-Unis sont aussi la première puissance agricole mondiale et, depuis 2017, le premier producteur de pétrole au monde (571 millions de tonnes).

La population constitue un fondement majeur de la puissance américaine. Leurs 326,8 millions d’habitants constituent le 1er marché de consommation au monde. Grâce au « brain drain

», 500 000 à 800 000 immigrants qualifiés (ingénieurs indiens, canadiens) sont accueillis tous les ans, auxquels il faut ajouter 1 million de clandestins (ouvriers mexicains). Ces deux catégories de population contribuent à renforcer leur compétitivité économique. Cette immigration permet aussi d’accroître la population active et de la rajeunir.

Son PIB constitue 24 % de la richesse planétaire en 2018. Son système agro-industriel moderne est à l’origine d’un important excédent commercial et en fait la première puissance agro- exportatrice mondiale. L’industrie automobile, malgré la concurrence allemande et japonaise, connaît un renouveau (General Motors, Ford et Chrysler) tandis que celle de l’aéronautique et de l’espace (Boeing, Lockheed Martin...) occupe le premier rang.

Par leurs investissements, les États-Unis sont un puissant acteur de la mondialisation. Ils sont, en 2018, le deuxième pays émetteur (5 711 milliards de dollars) et récepteur (4 080 milliards de dollars) d’IDE dans le monde, derrière les Pays-Bas. Les firmes transnationales (FTN) américaines contribuent à l’intensification de ces flux financiers ; parmi les 500 plus puissantes, 127 étaient américaines en 2017 (Exxon, Apple...), faisant face à la concurrence des firmes chinoises, japonaises ou européennes.

Transition : Les États-Unis constituent le premier pôle mondial de l’innovation dans les sciences et les hautes technologies. Son rang de 1er pays investisseur dans la recherche- développement, devant la Chine et le Japon, est à l’origine de ses performances.

Séance 2 B. Des régions motrices dans l’économie mondiale.

Certaines régions des États-Unis, comme la Silicon Valley au sud de San Francisco (Californie), sont les moteurs du développement et de l’innovation. Les géants du numérique s’y concentrent et y possèdent leurs sièges sociaux : Google, Apple, Facebook, eBay, Yahoo!, Intel, Adobe Systems.

La Megalopolis qualifie à l’origine la conurbation s’étendant le long de la côte atlantique de Boston à Washington. Ce long ruban urbanisé se distingue par ses dimensions spatiales, plus de 700 kilomètres séparent Boston de Washington et par son poids démographique, il compte plus de 45 millions d’habitants. Cet espace constitue le cœur d’activités et le centre d’impulsion des États- Unis.

L’espace de la mégalopole forme un ensemble urbanisé au cœur des réseaux internationaux.

L’ouverture océanique a permis le développement de grandes infrastructures portuaires en particulier à New-York, porte de la route du trafic conteneurisé transatlantique, mais aussi à Boston,

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Baltimore et Philadelphie. L’interface maritime ouvre sur un vaste hinterland. Les infrastructures de transport l’amène jusqu’aux Grands Lacs et à la façade pacifique du pays. Les villes sont mises en relation par un réseau dense de voies de communications terrestres parmi lesquelles l’Acela Express, ligne de train à grande vitesse qui relie les centres urbains de la mégalopole. De grands hubs aériens illustrent cette ouverture sur le monde. Parmi les aéroports internationaux présents dans la mégalopole (notamment à Washington et Boston), les aéroports new-yorkais dominent par leur fréquentation en passagers. Près de 50 millions de passagers transitent par l’aéroport JF Kennedy, au sud-est de New-York, le plus grand des trois aéroports de la ville. Les places portuaires (New-York, Baltimore, Boston et Philadelphie) complètent ce dispositif d’ouverture sur le monde. » Transition : Cet ensemble est dominé par des métropoles aux aires d’influences inégales.

C. New York « ville monde » symbole du rayonnement américain sur le reste du globe.

Activité 2 : New York, capitale du monde.

La notion de ville mondiale est de plus en plus utilisée la parution en 1991 de l’ouvrage d’une sociologue néerlando-américaine, Saskia Sassen, intitulé : The Global City : New York, London, Tokyo. Les villes globales sont les villes situées au sommet de la nouvelle économie de services et pilotant la mondialisation.

Coeur de la Megalopolis New York est une mégapole de 22 millions d’habitants, dont plus de 8 pour New York City. C’est une des villes les plus peuplées au monde et la 1re d’Amérique du Nord. Aujourd’hui, New York concentre de nombreuses entreprises spécialisées dans Internet et les nouveaux médias, spécialement entre Lower Manhattan et Midtown, à proximité de Broadway.

New York est une grande technopole.

C’est une métropole internationale de par ses fonctions stratégiques : concentration d’activités prestigieuses - c’est la troisième ville high tech du pays. Si elle n’est pas la capitale politique des Etats-Unis - elle le fut de 1785 à 1790 -, ni de son État (Albany) elle est le siège de la principale organisation politique internationale, l’ONU et de la bourse à travers Wall Street. New York est la deuxième place financière mondiale derrière Londres et "Wall Street", au cœur du Financial district, demeure le symbole de la puissance financière américaine. Les indices Dow Jones et NASDAQ donnent le ton à l’ensemble des bourses mondiales.

La métropole concentre également les sièges sociaux de firmes américaines parmi les plus puissantes (American Express, Merrill Lynch, CBS, NBC, NY Times, Colgate-Palmolive) les plus grandes agences de communication. 22 sièges des 500 premières firmes mondiales sont implantés à New York.

Séance 3 II. L’application d’un Smart Power américain.

Quels sont les atouts qui font des États-Unis une puissance diplomatique, militaire et culturelle planétaire ?

Le concept smart power forgé en 2004 par Suzanne Nossel, aujourd’hui présidente de Human Rights Watch, et repris par Hillary Clinton), ou pouvoir avisé se veut une combinaison raisonnée de hard et de soft power. Le premier utilise le pouvoir de coercition, de la force militaire, économique ou financière pour arriver à ses fins tandis que le second a recours à l’exportation pacifique de son modèle de société et de ses valeurs pour s’imposer.

A. La réaffirmation du hard Power.

Activité 3 : Étude du Hard Power américain.

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La capacité des états Unis à imposer sa volonté aux autres passe par un hard Power aux composantes politique, économique et militaire.

Les États-Unis disposent du plus grand nombre d’ambassades au monde. Les quelque 300 représentations (ambassades et consulats) américaines contribuent à la puissance diplomatique du pays. Ce réseau couvre la totalité des pays du monde à l’exception de quelques États idéologiquement hostiles : Corée du Nord (depuis la fin de la guerre de Corée en 1953), Cuba (entre 1961 et 2015) ou Iran (depuis la révolution islamique en 1979).

L’influence des États-Unis est forte au sein des organisations internationales. Afin d’encourager la paix et la prospérité économique mondiales, les États-Unis ont été à l’origine de la création de l’ONU en 1945 (conférence de San Francisco) dont le siège se trouve à New York. Ils y disposent d’un droit de veto, en tant que membre permanent du Conseil de sécurité. Leur influence est également majeure au sein du G7, du G20, du FMI, de la Banque mondiale ou de l’OMC.

A proximité de Washington se trouve la fameuse agence de sécurité nationale (NSA) responsable de la sécurité militaire dans le domaine du cyberespace. Avec des stations d’écoutes dans les pays alliés formant les « 5 Eyes ».

Les États-Unis soutiennent politiquement et militairement de nombreux alliés. Ils sont à l’origine de la création de l’OTAN qui agit comme un instrument de protection militaire d’une grande partie de l’Europe, hier face à la menace soviétique (1949- 1989), aujourd’hui face à la Russie. Les soldats américains ont souvent assuré des opérations de maintien de la paix de l’ONU (Liban, ex-Yougoslavie, Somalie...). Des accords militaires bilatéraux ont été signés avec de nombreux pays : Israël, Arabie Saoudite, Japon, Corée du Sud…

Le budget militaire des États-Unis est le plus important au monde. Depuis les années 2000, il a été multiplié par 2,3 pour atteindre 610 milliards de dollars en 2017 (3,1 % du PIB). Ce budget est près de trois fois supérieur à celui de la Chine, et représente environ 35 % des dépenses militaires mondiales. Les États-Unis sont aussi les premiers exportateurs d’armes au monde (226 milliards de dollars, 57 % du total mondial). Leur complexe militaro-industriel est l’expression de leur hard power.

La puissance de frappe américaine est sans équivalent. Hérité de la guerre froide, l’arsenal stratégique américain reste très supérieur à ceux des autres pays détenteurs de l’arme nucléaire (Russie, France, Royaume-Uni, Chine). L’armée se modernise par des innovations technologiques (drones de combat) permettant des bombardements aériens ciblés (« frappes chirurgicales ») et la réduction du nombre de soldats au sol.

Leur capacité de projection militaire est mondiale. Les États-Unis sont les seuls à pouvoir intervenir rapidement partout, grâce à leurs bases militaires établies à l’étranger (Europe occidentale, Asie Pacifique), à leurs flottes réparties sur tous les océans et aux facilités que leur accordent leurs alliés (accueil des navires dans les ports).

Les guerres américaines ont changé de nature. Depuis les attentats du 11 septembre, elles sont aujourd’hui orientées contre le terrorisme islamiste (Al-Qaida, Daesh). Les décisions d’intervention sont parfois prises en dépit des accords multilatéraux : en 2003, l’intervention unilatérale décidée par George W. Bush contre l’Irak s’est effectuée sans l’accord de l’ONU.

Depuis ces vingt dernières années, les chefs d’États américains développent le hard power.

George W. Bush et Donald Trump ont mis en application leur programme résumé par un slogan : « America first ». Les États-Unis imposent ainsi leurs points de vue dans les négociations commerciales (avec la Chine et l’Union européenne), le domaine du nucléaire (avec la Corée du Nord et l’Iran) et la question migratoire (avec le Mexique). Seul Barack Obama (2009-2016) a fait exception à cette ligne politique.

L’isolationnisme est l’autre volet de cette politique. Cette volonté de désengagement se traduit par le retrait américain de certains accords (retrait de l’accord de Paris sur le climat en 2017

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et de celui sur le nucléaire iranien en 2018) et de certaines organisations internationales (retrait de l’Unesco en 2017 et du Conseil des droits de l’homme des Nations unies en 2018).

Séance 4 B. Un Soft Power en redéfinition.

Activité 4 : étude d’un dossier documentaire sur le soft Power

Comme le souligne Joseph Nye : « Ceux qui rêvent de nous ne nous feront jamais la guerre ». Ainsi le pouvoir de persuasion des Etats-Unis repose sur des lieux produisant une capacité d’attraction culturelle et intellectuelle.

Le modèle de l’American way of life s’est imposé bien au-delà des frontières. L’utilisation de l’automobile et l’installation dans des lotissements périurbains, la consommation de masse dans de gigantesques centres commerciaux, la restauration rapide (fast food), la communication et la publicité... ont été des vecteurs du soft power américain.

Les États Unis conservent une domination dans la production intellectuelle mondiale . Les universités américaines occupent 8 des 10 premières places mondiales avec des lieux de recherches comme Harvard, MIT (Institut de Technologie du Massachusetts), Stanford en Californie, qui attirent des étudiants du monde entier participant ainsi au fameux Brain Drain (Aspiration des cerveaux).

Les clusters (espaces où entreprises et universités collaborent dans le domaine de l’innovation) se forment dans des lieux comme la Silicon Valley en Californie espace où se concentrent les fameux GAFAM.

Cette force d’attraction, repose sur une quasi hégémonie dans la production audiovisuelle.

Hollywood constitue ainsi le lieu de production du cinéma américain qui génère 90% des bénéfices du cinéma mondial. Second après l’Inde pour le nombre de films pour le nombre de films produits, les films et les séries américaines sont les seuls à se vendre dans le monde entier. Ils véhiculent une image généralement favorable des États-Unis.

Les États-Unis constituent aussi un pôle mondial du tourisme et du divertissement. 3e destination du tourisme international avec près de 80 millions de visiteurs, ils disposent de nombreux lieux iconiques de l’imaginaire touristique planétaire : chutes du Niagara, Monument Valley, Empire State Building, Disney World…

Les produits de consommation « made in USA » sont universels. Cela se manifeste dans de nombreux domaines du quotidien au moyen de marques mondialement connues : pratiques alimentaires (McDonald’s, Coca-Cola), produits de haute technologie (Microsoft, Apple), textile (Levis, Nike), commerce (Amazon), outils numériques (Google, Netflix...), mobilités (Harley Davidson).

Enfin, les États-Unis sont souvent à l’origine de mouvements culturels d’ampleur planétaire.

La diffusion des courants musicaux (jazz, disco, rap...), artistiques (pop art, street art...), journalistiques (nouveau journalisme dans les années 1960, adoptant des techniques littéraires) ...

contribuent également au rayonnement planétaire des États-Unis.

Transition : Le Soft Power américain rencontre actuellement des limites. La longue guerre en Irak depuis 2003, la pratique de la torture (prison de Guantanamo), ou la révélation d’espionnage de la NSA (Affaire Snowden). Depuis l’arrivée de Donald Trump au pouvoir et ses mesures isolationnistes, la popularité des États-Unis dans le monde décline.

Séances 5 et 6 III. Limites et contestations de la puissance américaine.

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Quelles sont les manifestations de la vulnérabilité de la puissance américaine ? A. Unilatéralisme et multilatéralisme un débat international.

Jalon 2 : Unilatéralisme et multilatéralisme un débat international

Les institutions multilatérale, pensées au lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour garantir le développement économique et la paix, sont de plus en plus critiquées par les États-unis qui les avaient pourtant impulsées. Le slogan de Donald Trump America First, exprime la volonté de conserver la première place tout en agissant de manière unilatérale.

Activité 5 : Les interventions en Irak du multilatéralisme à l’unilatéralisme.

Depuis la chute de l’URSS, les Etats Unis mènent des actions multilatérales dans le cadre de l’ONU. En 1990-1991, l’hyperpuissance américaine dirige une coalition internationale contre l’Irak lors de la guerre du Golfe. Jouant un rôle de « gendarmes du monde », ils interviennent aussi en Somalie en 1993 puis en Afghanistan en 2001 sous mandats de l’ONU. Néanmoins ils prennent aussi des initiatives unilatérales tels que l’intervention en Irak en 2003.

Si l’administration Obama (2008-2016) a opté pour une approche multilatérale en adoptant l’exemple des accords de Paris sur le changement climatique (COP 21 de 2015), Donald Trump proclame l’unilatéralisme à travers son slogan et le retrait des accords de Paris ou des accords sur le nucléaire iranien.

Séance 7 B. Des zones d’influences plus limitées.

Jalon 3 : Points d’appui et zones d’influence dans un monde multipolaire.

Les États-Unis constituaient jusqu’à peu l’unique hyperpuissance au niveau mondial.

L’affirmation croissante de la Chine et des autres puissances émergentes ains que les tensions croissantes avec leurs alliés remettent en cause leurs points d’appui traditionnels.

Les relations avec les alliés historiques européens sont sous tension. les réunion du G7 (Etats-unis, Canada, Japon, France, Italie, Allemagne, Royaume uni) soulignent les divergences de vues entre allés sur le rôle du multilatéralisme. L’OTAN a cimenté l’alliance militaire entre les États-Unis et l’Europe en 1950 mais est aujourd’hui remise en cause par l’administration Trump pour son coût jugé trop élevé pour l’Amérique.

Activité 6 : La domination des mers par les États-Unis est-elle remise en cause par la Chine?

Ainsi les zones d’influences des États-unis se contractent sur les espaces stratégiques pour les intérêts américains. Si le Moyen Orient reste un pivot essentiel le Pacifique devient la première zone à maitriser face au rival chinois. Outre le déploiement militaire dans la région, les EUA soutiennent le Japon (réarmement) ou l’Inde face à la Chine.

En Amérique latine, l’influence américaine est historique mais régulièrement contestée (Brésil, Cuba). Les voisins canadiens et mexicains restent liés aux Etats-Unis, mais des tensions apparaissent (flux migratoire en provenance du Mexique, exploitation du bois avec le Canada).

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