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La rénovation thermiquedes logements en Auvergne

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

DREAL

Auvergne

La rénovation thermique des logements en Auvergne

juin 2013 État des lieux et prospective 2020

Direction Régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement Auvergne www.auvergne.developpement-durable.gouv.fr

(2)

État des lieux > le parc résidentiel auvergnat

Description du parc

>

Les informations présentées dans cette note sont issues d’une étude commandée par la DREAL Auvergne dans le cadre de l’élaboration du schéma régional du climat, de l’air et de l’énergie (SRCAE) de l’Auvergne.

Les sources des données d’entrée de cette étude sont détaillées en dernière page.

672.000 logements (hors logements vacants), dont 86% de résidences principales représentant 50 millions de m2. 70% des logements sont des maisons individuelles.

Les maisons individuelles en pierre construites avant 1949 représentent un tiers du parc.

Auvergne France 100 %

90 %

80 %

70 %

60 %

50 %

40 %

30 %

20 %

10 %

0 %

Structure du parc selon l’âge du logement

Auvergne France

maisons appartements

Structure du parc selon la typologie de logement

La comparaison par rapport au parc français

>> un parc plus orienté vers l’individuel 70% de maisons individuelles dans le parc auvergnat

(59% en France)

>> un parc plus ancien

42% de logements construits avant 1949 en Auvergne (30% en France)

100 %

90 %

80 %

70 %

60 %

50 %

40 %

30 %

20 %

10 %

0 %

> 1990 1975 - 1989 1949 - 1974 < 1949

Les résidences principales en Auvergne

84% des maisons

sont habitées par des propriétaires occupants 79 % des appartements

sont occupés par des locataires maisons appartements Statut des occupants par type de logement

100 %

80 %

60 %

40 %

20 %

0 %

propriétaires occupants

locataires parc privé locataires parc social

pierre béton et

aggloméré

non connu bois

briques

Matériau constructif des logements

La pierre constitue le matériau constructif traditionnel de l’Auvergne : elle représente 84% des logements construits avant 1949, et globalement 53% du parc actuel.

1/3 des logements sont construits en béton, matériau qui se développe surtout après 1949.

53 %

33 %

9 %

4 %

1 %

(3)

Consommations énergétiques

>

13.000 GWhEF (énergie fi nale) répartis entre 4 sources principales d’énergie

Une consommation moyenne par résidence principale de 21.560 kWhEF , soit 250 kWhEF/m2

Répartition des consommations par type d’énergie

Parts du bois (25%) et du fi oul (23%)

supérieures à la moyenne française (15% chacune) au dépend du gaz et de l’électricité.

25 %

>

28 %

1 %

23 %

23 %

électricité bois et charbon gaz (de ville) fi oul et GPL chauffage urbain

Répartition des consommations par usage

Les usages : 2 particularités auvergnates - une part du chauffage (73% des consommations) de 10 points supérieure à la moyenne nationale - un poids signifi catif des appareils indépendants de chauffage (poêle, cheminée, cuisinière...)

>

24 %

49 %

4 %

11 %

12 %

chauffage central appareils indépendants de chauffage

eau chaude sanitaire

électricité spécifi que cuisson

L’Auvergne par rapport à la France

des consommations par logement, donc des dépenses énergétiques liées au chauffage et à la production d’eau chaude sanitaire, supérieures (respectivement 1500 euros et 1300 euros)

des revenus inférieurs en moyenne (revenu net moyen déclaré par foyer fi scal inférieur de 13%) Des enjeux énergétiques liés à l’habitat encore plus importants en Auvergne

>

>

avant 1975 appartementsmaisons

291 229

27 067 14 023

22 595 13 715

après 1975 maisons appartements

224 174

23 242 10 848

19 851 10 531

ensemble 251 21 561 17 437

Consommations unitaires moyennes des résidences principales

Une amélioration des performances énergétiques des logements est observable après 1975.

Les consommations des appartements sont inférieures à celles des maisons : - les surfaces à chauffer sont plus faibles

- les performances énergétiques sont plus élevées

>

A noter

(4)

Prospective 2020 > méthodologie

Modélisation du parc

>

Les logements sont regroupés par famille selon plusieurs caractéristiques : maison individuelle ou appartement

période de construction : avant 1949 / 1949 - 1974 / 1975 - 1989 / après 1990 type de matériau constructif principal : pierre, béton, aggloméré, brique, …

mode de chauffage : chauffage central collectif ou individuel, appareil indépendant énergie de chauffage : gaz, fi oul, électricité, bois

rigueur climatique : 3 classes

Seuls les résultats pour les résidences principales du parc privé (propriétaires occupants et locataires), hors logements sociaux, sont présentés dans cette fi che.

Travaux d’effi cacité énergétique : modélisation prospective 2020

>

La modélisation des bureaux d’études Sogreah et La Calade a permis de hiérarchiser les travaux possibles pour chaque famille-type de logements en fonction de leur effi cacité à réduire le coût global.

Pour mon logement, j’ai décidé de réaliser un bouquet (plusieurs actions) de travaux d’économie d’énergie.

Je paye actuellement 1000 € par an de facture énergétique

le bouquet A coûte 300 € par an et permet d’économiser 400 € sur ma facture annuelle le bouquet B coûte 700 € par an mais permet d’économiser 600 € sur ma facture annuelle

Exemple illustratif

pas de travaux bouquet A bouquet B 1200 €

1000 € 800 € 600 € 400 € 200 € 0 €

factures coût des travaux

Le bouquet A est économiquement rentable.

Il est le plus effi cace à réduire le coût global.

Le bouquet B n’est pas économiquement rentable par rapport à la situation initiale.

Il est le plus effi cace à réduire la consommation.

NB : dans l’étude, l’amortissement est calculé sur la durée de vie des équipements. Des hypothèses concernant le taux d’actualisation et la hausse du prix de l’énergie sont également considérées.

>

>

Le coût global, c’est quoi ?

C’est le cumul du coût d’amortissement des travaux et des factures énergétiques pendant la durée de vie des équipements.

Il permet d’évaluer le temps de retour sur investissement.

(5)

Prospective 2020 > les résultats par famille

Les scénarios

>

Pour chaque famille de logements, plusieurs scénarios de bouquets de travaux sont modélisés : scénario économiquement optimal : diminution maximale du coût global

scénario Grenelle : diminution de la consommation énergétique primaire liée au chauffage et à la production d’eau chaude sanitaire de 38% minimum (conformément à la loi Grenelle d’août 2009) scénario dit «BBC» : atteinte du niveau « BBC rénovation » pour les deux usages principaux que sont le chauffage et la production d’eau chaude sanitaire (ECS)

scénario «gisement technique» : mise en œuvre de toutes les actions envisageables

Deux autres scénarios sont évalués globalement afi n de servir de référence : l’état initial (pas de travaux supplémentaires d’ici 2020) et le scénario fi l de l’eau, qui correspond à une trajectoire de rénovation élément par élément prenant en compte le rythme actuel de rénovation.

Exemple pour un logement moyen de la famille des maisons individuelles en pierre construites avant 1949 et chauffées au fi oul.

NB : Les informations qui suivent ne doivent pas être exploitées à l’échelle de chaque logement mais à l’échelle d’un parc car l’étude prend en compte des caractéristiques régionales moyennes (niveau d’isolation, type de fenêtres ...).

Exemple de résultats de la modélisation

1 La consommation initiale moyenne de ces logements est un peu inférieure à 200 kWh/m2/an d’énergie primaire (EP).

2 Après réalisation de travaux de contrôle de la régulation et d’isolation des façades, le coût global est minimisé : ce bouquet de 2 travaux constitue donc le scénario économiquement optimal pour cette famille (en vert sur le tableau).

Pour une maison-type de 100 m2, le gain en considérant les travaux et les économies de charges est de 120 euros par an.

3

En réalisant en plus des travaux de ventilation double-fl ux et sur la production d’eau chaude sanitaire, la réduction globale d’énergie primaire dépasse 38% : ce bouquet de 4 travaux constitue le scénario Grenelle pour cette famille (en bleu sur le tableau).

Pour une maison-type de 100 m2, le coût du Grenelle, en considérant les travaux et les économies de charges, est de 290 euros par an.

4

En complément, des travaux d’isolation de la toiture et sur les équipe- ments thermiques permettent d’atteindre un niveau équivalent au BBC rénovation (en rose sur le tableau).

Pour une maison-type de 100 m2, le coût de l’équivalent BBC, en consi- dérant les travaux et les économies de charges, est de 840 euros par an.

5 Pour cette famille, le potentiel maximal d’économies d’énergie est de 57% (en jaune sur le tableau).

192,1 174,0 149,1 135,4 117,3 106,8 98,1 83,4

Coût global

en euros/m2/an

Famille 2 - M Gain énergétique cumulé du

bouquet de travaux par rapport à la situation initiale Consommation

en kWh/m2 EP

9 % 22 % 30 % 39 % 44 % 49 % 57 % 21,5

20,8 20,3 21,5 24,4 26,0 29,9 37,3 SITUATION INITIALE

Contrôle régulation gestion de l’énergie Isolation des façades

Ventilation Eau chaude sanitaire Complément d’isolation de la toiture Renouvellement d’équipements thermiques

Isolation parois vitrées

>>> ordre des travaux

(6)

Prospective 2020 > les résultats globaux

résidences principales du parc privé

A RETENIR

Globalement, une meilleure hiérarchisation des actions d’économies d’énergie en fonction de leur temps de retour (le temps nécessaire pour que les économies sur la facture compensent l’investissement) permettrait une économie supplémentaire d’énergie à investissement constant.

Mais ce seul paramètre ne permet pas d’apporter une réponse suffi sante face à des enjeux plus globaux tels que la lutte contre le changement climatique et la diffi culté d’accès à l’énergie. Pour faire face à ces défi s, la loi défi nit ainsi un objectif plus ambitieux de réduction de la consommation d’énergie par l’intermédiaire du scénario dit Grenelle.

Pour chaque scénario, les résultats individuels par famille sont cumulés afi n de déterminer l’économie d’énergie susceptible d’être réalisée globalement pour les résidences principales du parc privé, les investissements nécessaires en termes de travaux et les économies associées sur la facture énergétique.

>

Économie d’énergie

Au rythme actuel de rénovation énergétique,

la réduction des consommations primaires d’énergie atteindrait 7% en 2020 par rapport à la situation initiale (2005).

Investissements et économies sur la facture énergétique

Le scénario BBC permet une réduction importante des consommations (réduction de 56%), très proche du potentiel maximal qui est évalué à 62% en 2020 pour les résidences principales du parc privé en Auvergne.

En considérant uniquement les bouquets

de travaux minimisant le coût global pour l’occupant, soit un gain de pouvoir d’achat, la réduction atteint 17%.

Sur la base des travaux actuellement

engagés, la poursuite des rénovations énergétiques conduirait à une aug- mentation du coût global moyen pour les occupants de près de 11%.

Ce coût global pourrait au contraire être réduit en sélectionnant les travaux en fonction de leur de leur effi cacité à réduire le coût global (scénario optimal économiquement) NB : c’est un scénario « théorique » car il ne prend pas en compte l’entretien correctif (exemple : chaudière en panne, vitres cassées ...).

fi l de l’eau optimum éco Grenelle BBC gisement

technique

70 %

60 %

50 %

40 %

30 % 20 %

10 %

0 %

Réduction des consommations primaires d’énergie par scénario en % par rapport à la situation initiale

Rappel : le coût global prend en compte le coût des travaux de rénovation thermique et le montant des factures d’énergie.

62 %

56 % 41 %

17 % 7 %

état initial fi l de l’eau optimum éco Grenelle BBC gisement

technique

1800 1600 1400 1200 1000 800 600 400 200 0

Coût global annuel par scénario

351 411

513 654

813 759

1189 832

474 142 120

charges travaux

en millions d’€uros (actualisés) par an

Les scénarios BBC et «gisement technique»

entraînent une augmentation respective du coût global de 53 et 90% par rapport à la situation actuelle.

Le scénario Grenelle permet une réduction de la

facture énergétique moyenne de 37% par rapport à la situation actuelle, mais du fait du coût des tra- vaux, le coût global augmente de plus de 20%.

(7)

Néanmoins, ce constat permet d’insister sur la nécessité, en préalable à une démarche de travaux d’économies d’énergie, d’engager une réfl exion globale concernant les caractéristiques techniques de son logement, afi n de déterminer quelles sont les actions les plus effi caces.

Prospective 2020 > le scénario Grenelle

résidences principales du parc privé

Les résultats issus de la modélisation des scénarios montrent que l’atteinte du scénario dit Grenelle en 2020, soit l’objectif affi ché dans la loi Grenelle I et dans le schéma régional du climat, de l’air et de l’énergie de l’Auvergne, représente un investissement de plus de 7,2 milliards d’euros (475 millions d’euros par an en valeur actualisée) en termes de travaux pour les résidences principales du parc privé, soit un investissement supplémentaire de 330 millions d’euros par an par rapport au rythme actuel de rénovation thermique.

Ces travaux, à hauteur de 475 millions d’euros par an, permettraient d’économiser environ 300 millions d’euros par an sur la facture énergétique > globalement, 175 millions d’euros par an ne sont pas « autofi nancés ».

Les familles de logements peuvent être classées en fonction de la part des investissements devant faire l’objet d’un fi nancement pour éviter une perte de pouvoir d’achat à l’occupant :

répartition des logements en fonction de la part de tiers-fi nancement nécessaire dans le montant des travaux afi n d’éviter une perte de pouvoir d’achat

Scénario Grenelle

24 %

28 %

48 %

0% (autofi nancé) entre 0% et 30%

> 30%

Pour ¼ des logements, l’objectif Grenelle est « autofi nancé ».

Pour les autres logements, un « tiers-fi nancement » des travaux est nécessaire pour que l’objectif Grenelle soit atteint sans perte de pouvoir d’achat

pour les occupants.

Précision importante : l’analyse menée ci-dessous est une analyse macroscopique au niveau d’un parc (échelle régionale) et sur la base des hypothèses considérées dans l’étude.

Bouquets de travaux

Pour compenser les augmentations du coût global pour 75% des logements, et donc ne pas impacter le pouvoir d’achat des occupants, 195 millions d’euros par an de fi nancement sont nécessaires, ce qui correspond à un peu plus de 40% des investissements en termes de travaux. Cette somme est supérieure à la différence de coût global par rapport à l’état initial. En effet, pour certaines typologies de bâtiments, l’atteinte du Grenelle entraîne un gain de pouvoir d’achat, qui n’est pas redistribué.

Les travaux d’économies d’énergie réalisés actuellement en France diffèrent des actions considérées comme optimales économiquement dans l’étude.

Il convient de noter que d’autres critères sont pris en compte dans le choix des travaux, comme la sensation de confort et l’acoustique, ce qui peut expliquer en partie ces différences.

>

2 %

12 %

14 %

isolation parois vitrées ventilation

15 %

15 %

20 %

équipements thermiques eau chaude sanitaire contrôle régulation gestion de l’énergie isolation des façades

23 % isolation de la toiture

et des planchers bas

28 %

32 %

40 % fenêtres (vitrages - volets ...)

chauffage - ECS (dont régulation : 4%) isolation parois opaques

(façades - toitures - planchers bas)

Atteinte du Grenelle en Auvergne

type de travaux à réaliser en % du nombre d’actions

Type de travaux d’économies d’énergie réalisés en France en 2011

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Pour en savoir plus . . .

Direction Régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement Auvergne 7 rue Léo Lagrange 63033 Clermont-Ferrand cedex 1 Tél. 04 73 43 16 00 Fax. 04 73 34 37 47 DREAL-Auvergne@developpement-durable.gouv.fr Service Territoires, Évaluation, Logement, Énergie et Paysages Pôle énergie, construction, climat et air Plaquette réalisée par la DREAL Auvergne

Service Territoires Evaluation Logement Energie et Paysages ALBARET J. - ASTAIX G. - GELY P. - WOJTKO B.

Sources des données

Les informations présentées dans cette note sont issues de l’étude intitulée « Potentiel d’économies d’énergie des bâtiments résidentiels et tertiaires en Auvergne » réalisée par les bureaux d’étude SO- GREAH et LA CALADE pour le compte de la DREAL Auvergne dans le cadre de l’élaboration du schéma régional du climat, de l’air et de l’énergie Auvergne.

Les données d’entrée de cette étude proviennent de diverses sources :

INSEE – données du recensement 2006 > description du parc

MAJIC 2 – (mise à jour des informations cadastrales) > matériau constructif, surface moyenne CEREN – ratios divers (taux d’équipement, …)

MÉTÉO FRANCE – DJU (degré jour unifi é) permettant de distinguer les familles en fonction du climat (climat doux DJU<2300 ; climat moyen : 2300<DJU<2700 ; climat froid : DJU>2700) ADEME – rapport « Les Chiffres clés du Bâtiment, édition 2011 » > données nationales

Informations complémentaires

Des informations complémentaires, ainsi que les notes présentant des extractions de cette étude à l’échelle départementale ou de l’EPCI, sont disponibles sur le site internet de la DREAL Auvergne à l’adresse suivante :

http://www.auvergne.developpement-durable.gouv.fr/renovation-thermique-des-batiments-r1116.html

Contact

Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement Auvergne (DREAL) Pôle énergie, construction, climat et air

ecca.stelep.dreal-auvergne@developpement-durable.gouv.fr

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DREAL Auvergne - conception graphique : SG - Bureau de l’information - GREZE G - juin 2013 - cdits photos : ARAUSH - CETE Lyon/laboratoire de Clermont-Ferrand - imprimé en 1000 exemplaires

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