COMMUNIQUE DE PRESSE
Droit de réponse de Mr Guy Verduri, conseiller municipal d’opposition de Biguglia
Suite à l’article du Corse Matin du 2 mai 2009, intitulé « Biguglia Avenir répond à l’opposition » dans lequel je suis nommément cité, je vous demande de faire paraître le droit de réponse suivant :
J’affirme n’avoir reçu pour tout document se rapportant au budget qu’une chemise contenant trois documents de sept pages, sur celles-ci figurent les grandes masses des orientations budgétaires de 2009 présentées dans un tableau « excel » ; j’ai donc transmis les dites pages à mes collègues de l’opposition, puisque je ne pouvais être à l’heure pour le conseil municipal qui devait débattre du budget (mes obligations professionnelles me l’interdisant), j’étais donc représenté par notre leader Stéphane VESPERINI.
Mes collègues, malgré le peu d’information en leur possession, ont été les seuls à poser des questions et à s’intéresser au budget.
Concernant les demandes de documents se rapportant au budget, les conseillers d’opposition ont demandé le compte administratif et le compte de gestion depuis le mois de février. Ce mardi 28 avril, lors de notre permanence à la mairie, nous avons pour la énième fois demander ces documents à la direction des services qui nous a répondu qu’il faillait en faire la demande écrite et que nous aurions à payer les photocopies !
Lors des réunions des commissions des finances, je n’ai reçu pour tout document qu’une convocation : comment peut on préparer des propositions dans ces conditions ?
Pour ce qui est des logements sociaux (j’ai assisté à cette partie du débat ! ) le député maire a affirmé que les Bigugliais ne voulaient pas de logement sociaux et que temps qu’il serait Maire de Biguglia, il ne ferait pas les 20 % de logements sociaux exigés par la loi, il a même demandé l’approbation de cette déclaration par un vote à main levée de sa majorité (ce vote ne figurant pas sur le PV) .
En conclusion, les Bigugliais peuvent consulter sur notre site bigugliaautrement@gmail.com, les documents qui nous parviennent, tant pour les commissions que pour les réunions du conseil municipal, à eux d’en juger !