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Le Protocole de Commotion Cérébrale de Saut à Ski Canada, Combiné Nordique Ski Canada et Le Club de Ski Nordique d Altius

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Academic year: 2022

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Le Protocole de Commotion Cérébrale de Saut à Ski Canada, Combiné Nordique Ski Canada et

Le Club de Ski Nordique d’Altius

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LE PROTOCOLE DE COMMOTION CEREBRALE DE SAUT SKI CANADA, COMBINE NORDIQUE SKI CANADA ET LE CLUB DE SKI NORDIQUE D’ALTIUS

Saut Ski Canada, Combiné Nordique Ski Canada et le Club de Ski Nordique d’Altius a

développé le Protocole de Commotions Cérébrales de Saut à Ski Canada, Combiné Nordique Ski Canada et le Club de Ski Nordique d’Altius pour aider à orienter les athlètes qu’on suspecte d’avoir eu une commotion cérébrale à participer aux activités de à Saut Ski Canada, Combiné Nordique Ski Canada et le Club de Ski Nordique d’Altius.

Objectif

Ce protocole couvre l’information qui devrait être transmise au début de chaque saison sur l’identification, le diagnostic médical et la récupération des athlètes, joueurs et pratiquants de sports que l’on soupçonne d’avoir eu une commotion cérébrale au cours d’une activité sportive.

L’objectif du protocol est de s’assurer que les athlètes qui risquent d’avoir subi une commotion cérébrale reçoivent les soins nécessaires à temps et de gérer leurs cas de manière appropriée afin qu’ils puissent reprendre leurs activités sportives. Ce protocole ne traite pas automatiquement tous les scénarios, mais a été créer pour servir comme point de départ ainsi que des éléments essentiels, des découvertes les plus récentes et l’opinion des experts dans ce domaine.

Qui devrait utiliser ce protocole ?

Le protocole a pour but d’être utilisé par tous les individus qui ont des interactions avec les athlètes pendant et en dehors des activités sportives organisées à l’entrainement ou à l’extérieur.

Ceci inclut les athlètes, les parents, les entraîneurs, les officiels, les thérapeutes et les professionnels de soins de santé.

Un résumé du protocole de commotions cérébrales de Saut Ski Canada, Combiné Nordique Ski Canada et le Club de Ski Nordique d’Altius se trouve dans le diagram d’Étapes à suivre en cas de commotions cérébrales de Saut Ski Canada, Combiné Nordique Ski Canada, et du Club de Ski Nordique d’Altius à la fin de ce document.

1. Education Pré-Saison

Malgré la croissance récente d’attention sur les commotions cérébrales, il y a un besoin continuel de continuer à améliorer l’éducation et la promotion des commotions cérébrales. L’optimisation de la prévention et de la récupération des commotions cérébrales est fortement liée à l’éducation (annuelle) des différents individus (athlètes, parents, entraîneurs, officiels, thérapeutes et

professionnels de la santé) basée sur des approches courantes et effectivement prouvés à éviter des commotions cérébrales et des traumatismes crâniens plus graves et à identifier et à gérer des cas où l’on soupçonne qu’un athlète à une commotion cérébrale.

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L’éducation des commotions cérébrales devrait inclure de l’information sur :

· La définition d’une commotion cérébrale.

· Les mécanismes possibles liés aux blessures.

· Les signes et symptômes fréquents.

· Les étapes suivi pour prévenir les commotions cérébrales et autres blessures qui peuvent

se produire pendant une activité sportive.

· Que faire lorsque l’on soupçonne qu’un athlète a eu une commotion cérébrale ou d’un

traumatisme crânien grave.

· Quelles mesures prendre pour assurer qu’un athlète reçoit l’examen médical approprié.

· Les Stratégies de Retour à l’Ecole et de Retour au Sport.

· Les conditions médicales pour le retour au sport.

Qui : Athlètes, parents, entraîneurs, officiels, thérapeutes, professionnels de la santé

Comment : Fiche d’Education Pré-saison des Commotions Cérébrales

Tous parents et athlètes sont obligés de lire la Fiche d’Education avant le début de la saison sportive et rendre une copie signé à leur entraîneur avant le premier entrainement de la saison.

En plus de la révision de tout renseignements relatifs aux commotions cérébrales, il est aussi important que le Protocole sur les Commotions Cérébrales de Saut Ski Canada, Combiné Nordique Ski Canada et le Club de Ski Nordique d’Altius soit clair pour tout individus. Pour exemple, ceci peut être accomplis en organisant des meetings avant la saison avec Saut Ski Canada, Combiné Nordique Ski Canada et le Club de Ski Nordique d’Altius pour les athlètes, les parents, les entraîneurs et d’autres individus impliqués.

2. Identification d’une Blessure à la Tête

Le diagnostic formel de commotion cérébrale doit être fait seulement après un examen médical, tous les individus liés au sport, y compris les athlètes, les parents, les entraîneurs, les officiels et les professionnels de la santé agréés sont responsables pour identifier et reporter les athlètes qui démontrent des signes visibles de blessures à la tête ou qui déclarent eux-mêmes des symptômes de commotion cérébrale. Ceci est particulièrement important parce que plusieurs lieux de sport et récréation n’ont pas accès à des professionnels de la santé agréés sur place.

Une commotion cérébrale devrait être soupçonné si:

· l’athlètes a subi un impact significant à la tête, au visage, au cou ou au corps et qui

démontre N’IMPORTE LEQUEL des signes visibles d’une commotion possible ou reporte N’IMPORTE LEQUEL des symptômes d’une possible commotion, tel qu'expliqué dans l’Outil d’Identification des Commotions Cérébrales 5.

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· si un joueur indique qu’il souffre de N’IMPORTE LEQUEL des symptômes à l’un de ses équipiers, parents, entraîneurs ou si quelqu’un témoigne un athlète démontrant n’importe lequel des signes visibles qui indiquent une commotion cérébrale.

Dans certains cas, il est possible qu’un athlète démontre des symptômes de blessures à la tête plus grave ou de blessure à la colonne vertébrale ; qui inclue des convulsions, des maux de tête qui s’aggravent, des vomissements ou des douleurs au cou. Si un athlète démontre l’un des

‘signes d’alarme’ énumérés dans l’Outil d’Identification des Commotions Cérébrales 5, la présence d’une blessure à la tête plus grave ou une blessure à la colonne vertébrale devrait être soupçonné et un Examen Médicale d’Urgence devrait être adopté.

Qui : Athlètes, parents, entraîneurs, officiels, thérapeutes, et professionnels de la santé agréés

Comment : l’Outil d’identification des commotions cérébrales 5 (CRT5)

3. Examen Médical sur Place

Selon la gravité soupçonnée de la blessure, une évaluation initiale peut être complété par un personnel médical d’urgence ou par un professionnel de la santé agréé présent sur les lieux, s’il est accessible. Si jamais l’athlète perd connaissance, ou si l’on soupçonne une blessure à la tête ou une blessure à la colonne vertébrale plus grave, un Examen Médical d’Urgence par un personnel médical d’urgence doit être effectuée (voir 3a ci-dessous). Si une blessure plus grave n’est pas soupçonné, l’athlète doit subir un Examen Médical Non-Urgent ou un Examen Médicale Classique, dépendant s’il y a un professionnel de la santé autorisé présent (voir 3b ci- dessous).

3a. Examen Médical d’Urgence

Si un athlète est soupçonné d’avoir reçu une blessure à la tête ou une blessure à la colonne vertébrale plus grave au cours d’un entraînement ou d’un match, une ambulance devrais être immédiatement appeler afin de conduire le patient au service d’urgence le plus proche pour faire des Examens Médicales supplémentaires.

Les entraîneurs, parents, thérapeutes et officiels ne devraient pas tenter de retirer l’équipement d’un athlète ou de déplacer l’athlète jusqu'à ce qu’une ambulance arrive. Après que le personnel des services d’urgence ont complété un Examen Médical d’Urgence, l’athlète devrait être transféré à l’hôpital le plus proche pour un examen médical. Si l’athlète est jeune (âgé de moins de 18 ans), les parents de l’athlète devrait être contacter immédiatement pour les informer des blessure de leur enfant. Dans le cas où l’athlète a plus de 18 ans, la personne de contacte d’urgence devrait être contacté si quelqu’un a été indiqué.

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Qui : Professionels d’urgences médicales 3b. Examen Médical Sur les lieux

Si un athlète est soupçonné d’avoir subi une commotion cérébrale et qu’il n’y a pas de souci de possibles blessures à la tête ou de blessure à la colonne vertébrale plus graves, l’athlète devrait être immédiatement retiré du terrain de jeux.

Scénario 1 : Si un Professionnel de la Santé Agréé est Présent

L’athlète devrait être ammener dans un lieu calme et faire un examen médical avec l’aide de l’Outil d’Evaluation des Commotions Cérébrales 5 (SCAT5) ou du SCAT5 pour Enfants. Le SCAT5 et SCAT5 pour enfants sont des outils de clinique qui devraient être utilisés uniquement par un professionnel de la santé agréé qui a de l’expérience utilisant cet outils. Il est important de noter que les résultats aux tests SCAT5 et SCAT5 pour enfants peuvent être normaux pour une commotion cérébrale mineur. A cause de ceci, ces outils peuvent donc être utilisés par des professionnels de la santé agréés pour documenter le statut neurologique initial, mais ne devraient pas être utilisé pour prendre des décisions relié à la reprise du sport chez les jeunes athlètes. Tout jeunes athlètes qui sont soupçonnés d’avoir eu une commotion cérébrale ne devrais pas s'entraîner ou participer à de matchs avant d’être référer pour un Examen Médical.

Si un jeune athlète est enlevé d’un entraînement ou compétition après un impact signifiant et qu’un examen médical est effectuée par un professionnel de la santé agréé, mais qu’il n’exhibe AUCUN signe visible de commotion cérébrale, l’athlète pourra recommencer à jouer, mais il devrait être surveillé pour des symptômes retardés.

Dans le cas d’athlètes affiliés à une équipe nationale (agé de 18 ans ou plus), un thérapeute certifié athlétique et avec de l’expérience, un physiothérapeute ou médecin qui couvre

l’évènement sportif peut déterminer si l’athlète en question n’a pas eu une commotion cérébrale en basant son diagnostique sur l’Examen Médical sur lieu. Dans ce cas, l’athlète est autorisé à retourner à la compétition ou à l'entraînement sans Lettre d’Autorisation d’un Médecin, mais la situation devrait être expliquée clairement au personnes responsable pour l'entraînement. Les athlètes autorisés à reprendre l’entraînement ou la compétition devront être surveillés pour

s’assurer qu’ils ne démontrent pas de symptômes retardés. Si un athlète démontre des symptômes retardés, l’athlète devrait être enlever de l’entrainement ou la compétition et faire un examen médical par un médecin ou une infirmière praticienne.

Scénario 2 : S’il N’y a Pas de Professionnel de la Santé Agréé Présent

L’athlète devrait être référer immédiatement pour un un examen médicale par un docteur médicale ou une infirmière praticienne, et l’athlète ne doit pas retourner à l’entrainement ou la compétition jusqu’à l’autorisation médicale a été obtenue.

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Qui : Thérapeutes athlétiques, physiothérapeutes, docteur médicale

Comment : l’Outil d’évaluation des commotions dans le sport 5 (SCAT5),

l’Outil d’évaluation des commotions dans le sport 5 pour enfants (SCAT5 pour enfants) 4. Examen Médical

Afin de pouvoir fournir une évaluation complète de l’athlète qui risque d’avoir une commotion cérébrale, l’examen médical devra permettre d’éliminer la possibilité de tout traumatisme crânien grave et blessure à la colonne vertébrale, doit pouvoir éliminer des problèmes médicaux et neurologiques qui présentent des symptômes similaires à ceux d’une commotion et doit pouvoir donner le diagnostic d’une commotion cérébrale en le basant sur les observations découlant de l’étude des antécédents cliniques de l’examen physique, et de l’usage de tests accessoires (e.g.

une scintigraphie du cerveau). En plus, les infirmières praticiennes et les docteurs médicales[1]

qui sont qualifiés pour évaluer les patients que l’on soupçonne d’avoir une commotion cérébrale incluent: les pédiatres, les médecins famille, les médecins spécialisés en médecine sportive, les médecins d’urgence, les internistes, les médecins spécialisés en réadaptation (physiatres), les neurologues et les neurochirurgiens.

Dans certaines régions géographiques au Canada où l’accès aux docteurs est limité

(communautés rurales et communautés situées dans le nord du Canada), un professionnel de la santé agréé (e.x. infirmière) ayant un accès pré-organisé à un médecin ou une infirmière

praticienne peut faciliter ce rôle. L’examen médical est responsable pour déterminer si un athlète a subi une commotion cérébrale ou non. Les athlètes ayant reçu un diagnostic de commotion cérébrale devraient recevoir une Lettre de Diagnostic Médical indiquant une commotion cérébrale. Les athlètes qui n’ont pas le diagnostic de commotion recevront une Lettre de Diagnostic Médical indiquant qu’une commotion cérébrale n’a pas eu lieu et que l’athlète peut retourner à l’entrainement ou la compétition ou autres activités sans restrictions.

Qui : docteur médical, infirmière praticienne, infirmière

Comment : Lettre de Diagnostic Médical

5. L'Administration des Commotions Cérébrales

Lorsqu’un athlète a reçu un diagnostic de commotion cérébrale, il est important que les

parents/gardiens ou le conjoint de l’athlète soient informés. Tout athlètes avec le diagnostic de commotion cérébrale doivent être donné une Lettre d’Examen Médicale qui confirme le diagnostic à l’athlète et à ses parents/gardiens/conjoint qu’il a subi une commotion cérébrale et

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qu’il ne pourra pas reprendre ses activités sportives avec un risque de commotions cérébrales jusqu'à ce qu’il aura reçu l’autorisation d’un médecin ou d’une infirmière praticienne. Car cette Lettre d’Examen Médicale contient des renseignements médicaux personnels, c’est la

responsabilité de l’athlète ou ses parents/gardiens/conjoint de fournir la documentation aux entraîneurs, enseignants ou employeurs de l’athlète. Il est également important que l’athlète fournisse ses renseignements aux officiels d’organisation des sports qui sont responsables pour reporter les blessures et la surveillance de commotion cérébrales, lorsque cela est applicable.

Les athlètes ayant reçu le diagnostic de commotion cérébrale devraient recevoir tous les renseignements sur les signes et les symptômes d’une commotion cérébrale, les stratégies établies pour gérer les symptômes, les risques possibles s’ils reprennent un sport sans avoir reçu l’autorisation d’un médecin et les recommandations concernant un retour graduel à l’école et aux activités sportives. Les athlètes ayant reçu un diagnostic de commotion cérébrale devraient être gérés en utilisant la Stratégie de Retour à l’Ecole et la Stratégie de Retour au Sport sous la surveillance d’un médecin ou d’une infirmière praticienne. Lorsque possible, l’athlète devrait être encouragé à travailler avec un thérapeute ou physiothérapeute de l’équipe pour optimiser les progrès accomplis dans le cadre de la Stratégie de Retour au Sport. Lorsque l’athlète a terminé les Stratégies de Retour à l’Ecole et de Retour au Sport, et que l’on estime qu’il est guéri de sa commotion, le médecin ou l’infirmière praticienne peut considérer l’athlète à reprendre ses activités scolaires et sportives sans restrictions et fournir un Lettre d’Autorisation Médicale.

Les approches graduelles pour la Stratégies de Retour à l’Ecole et la Stratégie de Retour au Sport sont présentées ci-dessous. Tel qu'indiqué par la première étape dans la Stratégie de Retour au Sport, la réintroduction des activités quotidiennes, des activités académiques, et des activités du travail en utilisant la Stratégie de Retour à l’Ecole doit passer avant le retour à la participation sportive.

Stratégie de Retour à l’Ecole

La section suivante présente la Stratégie de Retour à l’Ecole qui devrait être suivi pour aider les étudiants-athlètes, leurs parents et leurs professeurs à travailler ensemble pour faciliter un retour progressif aux activités scolaires. Selon la gravité et la nature des symptômes présent de

l’étudiant-athlète, son évolution à travers les différentes étapes en temps différent, s i de nouveaux symptômes apparaissent ou que les symptômes existants s’aggravent, ils devraient revenir à l’étape précédente. Les athlètes doivent aussi être encouragés à demander à leur école si ils ont un programme de Retour à l’Apprentissage spécifique à l’école pour faciliter leur retour.

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Étape Objectif Activité But de chaque étape 1 Activités

quotidiennes à la maison qui ne causent pas de symptômes à l’étudiant-athlète

Activités habituelles de la journée tant qu’elles n’augmente pas la sévérité symptômes (ex. : lecture, envoyer des messages-texte, ordinateur/télévision).

Commencer par 5-15 minutes et augmenter graduellement.

Reprise graduelle des activités habituelles

2 Activités scolaires Devoirs, lecture ou autres activités

cognitives en dehors de la salle de classe. Augmenter la tolérance aux activités cognitives 3 Reprise des études

à temps partiel Introduction graduelle du travail scolaire.

Devrait commencer par une journée scolaire partielle ou en faisant plus de pauses pendant la journée.

Augmenter des activités scolaires

4 Reprise des études

à plein temps Progresser graduellement Retour complète aux activités scolaires et le rattrapage des travaux scolaires

Stratégie de Retour au Sport Spécifique de Saut à Ski/Combiné Nordique

La section suivante présente la Stratégie de Retour au Sport à appliquer pour aider les athlètes, leurs entraîneurs, les thérapeutes et les professionnels de la santé à collaborer pour aider l’athlète à reprendre graduellement des activités sportives. Une période initiale de 24 à 48 heures de repos est recommandée avant de commencer la Stratégie de Retour au Sport Spécifique de Saut à Ski/ Combiné Nordique. Si l’athlète ressent de nouveaux symptômes ou si les symptômes s’aggravent à n’importe quelle étape, l’athlète devrait revenir à l’étape précédente. Il est important que les étudiants-athlètes jeunes et adultes reprennent leurs études à temps plein avant de passer aux étapes 5 et 6 de la Stratégie de Retour au Sport Spécifique de Saut à Ski/Combiné Nordique. Il est également important que tous les athlètes fournissent à leur entraîneur une Lettre d’Autorisation Médicale avant de reprendre des sport de combat.

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Étape Objectif Activité But de chaque étape

1 Activité qui limite les symptômes

Activités quotidiennes qui ne créent pas de

symptômes Réintroduction graduelle d’activités

liées au travail/à l’école

2 Activité

aérobique légère

Marche ou vélo stationnaire à un rythme faible à moyen. Aucun exercice de résistance.

- Jogging ou vélo stationnaire à une intensité faible pendant 15 à 20 minutes en restant sous le seuil de déclenchement des symptômes.

Augmenter le rythme cardiaque

3 Exercices spécifique à un sport

Séances de courir ou patinage. Aucune activité posant un risque d’impact à la tête.

- Jogging d’intensité moyenne pendant 30 à 60 minutes en restant sous le seuil de déclenchement des symptômes

- Séances de passes, de dribles, de tirs et d’agilité à impact faible à modéré.

Ajouter des mouvements

4 Exercices d’entraînement sans contact

Séances d’entraînement plus difficiles, ex.

séances de passes. Peut commencer l'entraînement contre résistance

- Participation à des séances de course et d’entraînement intenses.

- Entraînement sans contact et sans choc au niveau de la tête

- Participation à des séances d’entraînement contre résistance.

Exercise, coordination et plus d’activités cognitives

5 Entraînement avec contact sans restrictions

Après l’autorisation médicale

- Participer dans un entraînement complet sans limitation des activités.

Rétablir la confiance et évaluation de compétences fonctionnelles par les entraîneurs

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6 Retour au sport Pratique normale du sport.

Qui : Médecin, infirmière praticienne et thérapeute de l’équipe sportive (si disponible)

Comment : Stratégie de Retour à l’Ecole, Stratégie de Retour au Sport Spécifique, Lettre d’Examen Médicale

6. Soins Multidisciplinaires de Commotion Cérébrale

La majorité des athlètes qui ont une commotion cérébrale pendant une activité sportive se

remettent complètement et pourront reprendre leurs études et le sport entre 1 et 4 semaines après avoir été blessés. Malheureusement, certains individus (entre 15 % et 30 %) continueront

cependant à ressentir des symptômes après cette période. Si cela est possible, les athlètes qui continuent à ressentir des symptômes (>4 semaines pour les jeunes, >2 semaines pour les adultes) pourraient bénéficier d’un renvoi à une clinique de soins multidisciplinaires supervisés par un médecin qui a accès à des professionnels formés en traumatismes crâniens, ce qui peut inclure des experts en médecine du sport, en neuropsychologie, physiothérapie, ergothérapie, neurologie, neurochirurgie et médecine de réadaptation.

Un renvoi à une clinique qui offre des soins multidisciplinaires devrait être fait sur une base individuelle à la discrétion du médecin ou de l'infirmière praticienne de l’athlète. S’il n’est pas possible de procéder à ce renvoi, on devrait envisager de procéder à un renvoi à un médecin ayant suivi une formation clinique et disposant d’expérience dans le domaine des commotions cérébrales (eg un médecin spécialisé en médecine sportive, un neurologue, ou un médecin spécialisé en médecine de réadaptation) qui aidera l’athlète à développer un plan de traitement individualisé. Dépendant du profil clinique de l’individu, ce plan de traitement pourra inclure des soins variés par un ensemble de professionnels de la santé qui disposent d’expertise dans des domaines qui correspondent aux besoins spécifiques de l’athlète, besoins que l’on aura identifiés en se basant sur les conclusions de l’examen médical.

Qui : Équipe médicale multidisciplinaire, médecin disposant d’une formation clinique et d’expérience en matière de commotions cérébrales (à savoir un médecin spécialisé en médecine sportive, un neurologue, un médecin spécialisé en réadaptation,) ou un professionnel de la santé agréé.

7. Retour au Sport

Les athlètes qui n’ont pas reçu de diagnostic de commotion cérébrale ainsi que ceux qui ont eu une commotion cérébrale et qui ont terminé toutes les étapes de la Stratégie de Retour à l’Ecole

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et la Stratégie de Retour au Sport de Saut à Ski et Combiné Nordique peuvent reprendre leur activité sportive, sans restriction. La décision finale d’autoriser un athlète à reprendre son sport sans restrictions revient au jugement d’un docteur ou une infirmière praticienne responsable de cet athlète, qui devrait baser sa décision sur les records médicaux de l’athlète, ses antécédents cliniques, les résultats de l’examen physique et les résultats d’autres tests et consultations selon les besoins (à savoir tests neuropsychologiques, imagerie diagnostique).

Avant de reprendre un sport de contact ou un sport d’équipe sans restriction, chaque athlète devra fournir à son entraîneur une Lettre d’Autorisation Médicale qui spécifie qu’un médecin ou une infirmière praticienne a personnellement évalué le patient et a autorisé l’athlète à reprendre son sport. Dans certaines régions du Canada où l’accès à des soins médicaux est limité (à savoir certaines communautés rurales ou du nord du pays), un professionnel de la santé agréé (tel qu’une infirmière) qui a automatiquement accès à un médecin ou une infirmière praticienne peut fournir cette documentation.

Les athlètes à qui on a fourni une Lettre d’Autorisation Médicale pourront reprendre leur sport sans restrictions, s’ils peuvent le tolérer. Si de nouveaux symptômes se présentent, pendant qu’ils font du sport, il faudra leur demander de cesser immédiatement, aviser leurs parents, entraîneurs, thérapeutes ou enseignants et leur faire passer un Examen Médical. Au cas où l’athlète a de nouveau une commotion cérébrale, le Protocol de de Commotion Cérébrale de Saut à Ski Canada, Combiné Nordique Canada et le Club de Ski Nordique d’Altius devrait être suivi comme décrit dans ce document.

Qui : Docteur médicale, infirmière praticienne

Document : Lettre d’Autorisation Médicale

[1] Les médecins et infirmiers praticiens sont les seuls professionnels de la santé qui disposent de la formation et de

l’expertise nécessaires pour répondre à ces exigences ; et donc, tous les athlètes que l’on soupçonne avoir subi une commotion cérébrale devront suivre un examen mené par l’un de ces professionnels.

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Le Sentier de Commotion Cérébrale de Saut Ski Canada, Combiné Nordique Canada et le Club de Ski Nordique d’ Altius

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