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Cyberdépendance : la nouvelle dépendance sans produit? Par Xavier NOËL Docteur en Psychologie ULB, Ulg

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Academic year: 2022

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Cyberdépendance : la nouvelle dépendance sans produit ?

Par Xavier NOËL Docteur en Psychologie

ULB, Ulg

Trois heures du matin. Les yeux à peine ouverts, Nicolas enfile son vieux peignoir élimé et se dirige à pas feutrés vers le petit bureau. Pas besoin de lumière, il est capable d’allumer son ordinateur dans le noir complet. Un éclair blanc, les cliquetis du disque dur, et la fenêtre magique s’ouvre sur un monde virtuel. Un peu comme dans un rêve, le jeune homme voit apparaître son " portail ", autrement dit la page d’accueil de son fournisseur d’accès à Internet.

Elle va lui permettre de se lancer dans une longue partie de surf sur le réseau planétaire de la communication et de l’information.

Mais pour y faire quoi, à cette heure de la nuit ? A vrai dire, rien de spécial. Juste un petit tour sur son courrier électronique pour vérifier s’il a reçu des messages, et le voilà embarqué dans le flot incessant des images qu’il fait défiler à coup de tapotements fébriles sur la souris de son ordinateur. Nouveaux sites, pages d’images, pages de textes, séquences vidéo… tout y passe, depuis les infos généralistes ou les nouveautés du monde de l’auto jusqu’aux tournages de films en cours. Le jeune homme se laisse absorber par le Web, " englué sur la Toile ", diraient certains. Ils n’ont pas tort : à 32 ans, Jérémy a le comportement typique d’un "

cyberdépendant ".

Jeudi 12h30 au bureau. Michel a rendez-vous sur son site d’enchères favori, « ebay » pendant la pause du midi. Dix fois par jour, il jette un œil sur l’état des enchères, propose ces siennes pour obtenir un vélo d’occasion pour son fils de 10 ans. Cette fois, ça y est, c’est la dernière ligne droite ! Les enchères vont se terminer dans 10 minutes et la dernière remportera la transaction. Michel est un peu nerveux, renvoie avec force un collègue de travail lui proposant de le rejoindre à la cafétéria. Il se connecte, les enchères ont peu bougé depuis deux heures, mais il reste encore 5 minutes avant l’adjudication, son cœur s’accélère, son attention se focalise sur le petit écran, il transpire un peu. Soudainement, une enchère, puis une autre et

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par ici, quelques dizaines par là, Michel s’énerve, jure, serre les dents et finit par surenchérir une seconde avant la fin. Son cœur bat maintenant à la chamade. Il attend le verdict… ouf, il est le grand gagnant ! Quel soulagement ! Il mesure l’importance de cette victoire, imagine la déception de ses compétiteurs. Michel n’a plus faim, il devrait recevoir le vélo d’enfant dans les tous prochains jours en échange de 180 euros, c’est 25% plus cher que le même, neuf qui a vue chez Carrefour il y a quelques jours…

Vendredi 20 heures. Jérémy, 15 ans, se connecte à son jeu favori, un jeu de plateforme qu’il partage avec des internautes dont il ne connaît que les pseudos. Jérémy est un crac dans l’univers des jeux de plateforme, son pseudonyme évoque la crainte des autres joueurs qui ont beaucoup entendu parlé de sa puissance et de sa dextérité. Pour Jérémy, ce soir, c’est

l’occasion d’augmenter encore ses pouvoirs car dans le jeu, il est un chevalier en armure sachant manier de nombreuses armes et ayant quelques pouvoirs magiques.

Le jeu commence. Jeremy exécute ses séquences d’action en pressant ses touches avec une vitesse inouïe, il évalue le défit qui lui est posé, estime les moyens nécessaires pour y faire face et se lance dans des mouvements habiles et souvent gagnant. Il est maintenant 6 heures du matin, Jeremy n’a pas dormi. Le soleil se lève et Jeremy sait qu’il va devoir inventer quelque chose pour éviter la corvée des courses et la visite hebdomadaire chez les grands- parents. D’ailleurs, pas question de dormir car il est maintenant au bout milieu d’une partie avec « x-men69 » et « Spiderman7876 », deux adversaires à sa taille…

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La cyberdépendance en définitions

La dépendance à Internet (aussi appelée cyberdépendance, cyberaddiction, trouble de

dépendance à Internet et TDI) est un trouble psychologique entraînant un besoin irrésistible et obsessionnel d'utiliser Internet. L'expression addiction à Internet fut employée pour la

première fois par la psychologue américaine Kimberly Young, lors d'un colloque de

l’American Psychological Association (APA) à Toronto en 1996. C'est Otto Fenichel (1949), qui a soulevé le premier la question des " toxicomanies sans drogues ".

La dépendance à Internet se caractérise par l'incapacité de s'empêcher de se brancher à Internet et l'incapacité de contrôler le temps alloué à des activités reliées à Internet.

On parle de dépendance à Internet lorsque les symptômes suivants apparaissent : le sentiment de bien-être et d'euphorie lors de l'utilisation d'Internet

l’incapacité à arrêter d'utiliser Internet ;

le besoin d'augmenter de plus en plus le temps d'utilisation d'Internet;

le manque de temps pour la famille, les amis ou d'autres loisirs ; les problèmes d'assiduité ou de performance au travail ou à l'école ; les mensonges à la famille ou aux amis sur le temps consacré à Internet ; la dépression ou l’irritabilité lorsque la personne est privée d'Internet.

Cette définition est proche de celle de « dépendance à des substances psychoactives » du Manuel Diagnostic et Statistique nord-américain, le DSM version IV-tr. En effet, cette classification qualifie de dépendance avec ou sans dépendance physique un état caractéristique de perte de contrôle de ses comportements de prise de substance, de la présence de conséquence négative ne donnant pas lieu à un changement comportemental, d’un phénomène de perte d’intérêt envers les activités de loisirs ou des secteurs d’activités aimés jusque alors ainsi que d’une consommation excédant les quantités planifiées.

A l’instar de toutes les dépendances, on observe la présence d’obsessions (idées récurrentes poussant à réaliser son comportement problème) et de compulsions (comportement répétitif et hors de portée des mécanismes de contrôle).

De surcroit, il est utile de spécifier le type de dépendance à Internet parmi lesquels:

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la dépendance à des jeux vidéo, en particulier à des jeux en réseau ;

la dépendance à caractère relationnel (courrier électronique, chat, forum de discussion, blogue, etc.) ;

la dépendance générale qui ne se concentre pas sur un type de sites en particulier (vagabondage électronique ou cybernétique).

Exemple de test de dépistable de la Cyberdépendance ; le test d’Orman 1. Est-ce que vous passez plus de temps connecté sur l’Internet, que vous auriez pensé initialement ? O/N

2. Est-ce que ça vous dérange de limiter le temps passé sur l’Internet ? O/N

3. Est-ce que des amis ou des membres de votre famille se sont plaint par rapport au temps que vous passez sur l’Internet ? O/N

4. Est-ce que vous trouvez difficile de rester sans être connecté pendant quelques jours ? O/N 5. Est-ce que le rendement de votre travail professionnel, ou les relations personnelles, ont souffert à cause du temps que vous passez sur l’Internet ? O/N

6. Est-ce qu’il y a des zones de l’Internet, des sites particuliers, que vous trouvez difficile à éviter ? O/N

7. Est-ce que vous avez du mal à contrôler l’impulsion d’acheter des produits ou des services étant en relation avec l’Internet ? O/N

8. Avez-vous essayé, sans succès, d’écourter l’usage de l’Internet ? O/N

9. Est-ce que vous déviez beaucoup de vos champs d’action et satisfaction, à cause de l’Internet ? O/N

De 0 à 3 réponses positives, risque addictif faible.

De 4 à 6 réponses positives, risque addictif modéré.

De 7 à 9 réponses positives, risque addictif maximal.

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Etude du phénomène « Cyberdépendance »

Un point essentiel de l’étude de la cyberdépendance consiste à identifier les processus impliqués selon le type d’activité pratiquée. Généralement, on distingue les pratiques

sexuelles sur l’internet (cybersexe), la vente et l’achat en ligne via des sites d’enchères ou de placements boursiers, le vagabondage électronique, les conversations via les courriels et site de discussion directe ainsi que les jeux en réseau. Dans ce texte, nous allons présenter et discuter ces différentes pratiques.

Selon une étude célèbre portant sur près de 18 000 personnes, le docteur Greenfield du

« Center for Internet Studies » a tiré la sonnette d’alarme dès 1999 à l’occasion d’une

conférence délivrée à l’occasion d’un congrès de l’American Psychological Association. Les conclusions de son étude sont non ambigües: à l’instar de l’alcool, les opiacés, les

psychostimulants, etc., l’usage d’internet et de ses services peuvent devenir de véritables dépendances. Il faut noter que l’âge moyen des participants était de 33 ans; pour participer à l’étude il fallait consulter le site ABSNEWS.com, ce qui devait certainement limité l’accès aux personnes au fonctionnement psycho-social élevé; à l’appui de cette idée, 85% des participants étaient employés. Les résultats montrent qu’environ 5.7% des personnes satisfont aux critères d’usage compulsif d’internet. Au sein de cette population, la pratique internet la plus fréquemment rapportée était le « cybersexe ». Ce résultat fut confirmé en 2005, par une étude inventoriant les problématiques liées à Internet faisant l’objet d’une demande de prise en charge clinique1 (voir le tableau 1). Selon cette étude, la consultation de site

pornographique représente un motif de consultation médico-psychologique dans plus de la moitié des cas.

      

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Tableau 1. Motifs de consultations médico-psychologiques en rapport à l’utilisation d’internet

La dépendance « cybersexuelles »

On estime qu’à peine 31% des personnes dépendantes aux pratiques sexuelles sur internet désirent réaliser une expérience sexuelle traditionnelle. Dans la plupart des cas, le

« cybersexe » est exercé en tant qu’activité extraconjugale. Autrement dit, le « cybersexe » permet d’abaisser le seuil à partir duquel les personnes s’engageront dans des activités

« extraconjugales » à caractère sexuel. Par pratiques « cybersexuelles », on entend différents types d’activités (voir tableau 2).

Tableau 2. Pratiques cybersexuelles selon le caractère compulsif ou non2

      

2 Tableau tiré de Greenfield, David N. (1999). The Nature of Internet Addiction:

Psychological Factors in Compulsive Internet Use. Communication présentée en 1999  lors d’un congrès de l’American Psychological Association. 

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Comment comprendre l’attrait des pratiques « cybersexuelles » ?

Tomber amoureux n’est pas chose rare sur internet. S’ils sont partagés, les sentiments amoureux peuvent aussi donner lieu à des pratiques sexuelles « virtuelles ». Mais le plus souvent, les pratiques sexuelles sur le net susceptibles de donner lieu à de véritables dépendances sont relatives à la consultation de sites pornographiques généraux ou spécialisés ainsi que les conversations à contenu pornographique explicite dans des « chat rooms » (groupes de discussion).

La psychologie nous apprend que le type de comportement manifesté par un individu ne dépend pas uniquement de sa personnalité ou plus généralement de ses caractéristiques individuelles. En effet, certaines situations peuvent grandement faciliter l’expression de comportement pourtant réprimés la plupart du temps. Compte tenu de la haute fréquence des conduites sexuelles sur internet (un utilisateur sur cinq décrit des comportements cybersexuels compulsifs), le dispositif « internet » est particulièrement peu répressif/inhibiteur des désirs humains les plus enfouis, les plus inavouables. Parmi les facteurs susceptibles de libérer les pulsions sexuelles, notons le caractère anonyme des contacts, le plus souvent le véritable nom est remplacé par un pseudonyme, prévenant de la sorte toute reconnaissance. Le contact anonyme et immédiat avec son interlocuteur pourrait rapidement faire apparaître un sentiment d’intimité. De plus, l’absence physique de l’internaute favorise certaines formes de désinhibition ; cela minimise la peur de représailles et les sentiments de honte et de culpabilité. Pour toutes ces raisons, les relations internet pourraient bien devenir un terrain d’expérimentation sexuelle, y compris avec leurs transgressions.

Bien entendu, on commettrait une erreur de négliger l’attrait que représente internet pour des personnes sexuellement perturbées (notamment pédophiles). Toutefois, l’explication des pratiques cybersexuelles de ces personnes déborde du cadre du présent travail.

Les pratiques d’achat et de vente sur internet

Une pratique extrêmement populaire sur internet consiste à participer à des enchères. Le site le plus connu est certainement ebay, créé en 1995 est devenu une référence mondiale dans sa catégorie et un phénomène de société. eBay compte aujourd'hui plus de 200 millions de

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le deuxième offrant plus une petite somme (par exemple, 50 centimes). Probablement pour les plus fortunés, il est maintenant possible de gérer son portefeuille d’actions via des logiciels d’achats et de ventes boursiers. Dans de nombreux cas, ces activités peuvent donner lieu à de véritables boulimies consommatrices. Mais pourquoi est-ce tellement attrayant?

Essentiellement en raison du mode d’achat “pick and click” (choisir et cliquer) réduisant fortement la période usuelle de réflexion d’une transaction ordinaire. Autrement dit, le dispositif proposé réduit fortement le temps de réflexion au profit de l’exécution de sa première impression; impression qui peut aisément être manipulée par le marketing du produit, du site internet. Les sites d’enrèches introduit une dimension importante pour comprendre leur potentiel addictogène, ils mettent en exergue les pulsions de compétition et cela en l’absence des compétiteurs portant le plus souvent des pseudonymes. Dans cette optique, il n’est pas rare d’observer des prix qui s’envolent bien au-delà de ceux du marché car l’unique préocupation des acheteurs est devenue de remporter la compétition. Dans le commerce ordinaire, ce dispositif est proche de l’argument commercial: “Il n’y en aura pas pour tout le monde” mais il est ici plus direct et plus intense.

Le vagabondage électronique

Il nous faut maintenant considérer les “vagabonds électroniques”. Il s’agit de personne passant de sites en sites de manière peu différentiée, sans object spécifique. Ce sentiment recherché est le maintien d’un sentiment d’excitations, de stimulations, la sur-abondance d’informations (visuelles, sonores) crée une sorte d’ivresse et des sentiments d’absence de limite. Il plonge l’individu dans un état quasi hypnotique permettant d’oublier les soucis de la vie quotidienne.

Les accros des courriels et des groupes de discussion

De nombreux lieux et méthodes de conversation (chat rooms, e-mail) relient les internautes.

Ce qui caractérise ces rencontres est l’absence totale de la dimension corporelle (non verbale).

Cette dimension est importante dans les rencontres réelles car elle représente environ 70% des messages transmis. Parfois, le langage corporel peut être gênant car divergeant du message transmis verbalement. Un exemple simple serait la personne désireuse de transmettre une image favorable d’elle-même en surestimant ses capacités physiques alors que sa corpulence

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laisserait son interlocuteur perplexe. Or, dans les groupes de discussion virtuelle, la partie fantasmatique de la relation à soi prend le contrôle de la relation à l’autre, ce qui peut être très satisfaisant.

Les accros du jeu en ligne

Dans le cadre du jeu vidéo, le mode « multijoueur » permet à plusieurs personnes de participer ensemble et simultanément à une même partie. Cette fonctionnalité peut se réaliser soit en partageant le même matériel (exemple: un jeu multijoueur sur une console de salon qui divise l'écran en fonction du nombre de joueurs), soit en mode de jeu en réseau sur plusieurs plates-formes de jeu distinctes qui communiquent entre elles au travers d'un réseau informatique. Dans ce domaine, on distingue enfin le jeu en ligne qui utilise le réseau planétaire Internet.

Les jeux en ligne se jouent exclusivement sur Internet. Ils ne sont pas toujours multijoueur, mais certains permettent à deux mile joueurs de se retrouver simultanément dans des mondes virtuels : on parle alors de jeu en ligne massivement multijoueur. Les constructeurs de consoles se sont adaptés, et les consoles de la septième génération facilitent la connexion à internet et fournissent des services dédiés favorisent le jeu en ligne.

Considérons une pratique en particulier appartenant à la catégorie des “casinos virtuels”, le poker. Il ne faut pas plus de 0.22 secondes au célèbre moteur de recherche “Google” pour proposer l’accès à 4.520.000 pages internet consacrées au poker en ligne. C’est dire l’attrait de ce jeu internet et multijoueur. Le premier “casino virtuel” a été ouvert sur Internet en août 1995, accueillant chaque mois plus de 7 millions de visiteurs sur le site “Internet Casinos” : c'est devant son écran que tout un chacun pourra bientôt s'adonner au jeu...On manque de recul pour évaluer la prévalence de joueurs pathologiques sur internet mais nul ne doute qu’il pourrait s’agir d’une pathologie mentale en plein développement.

Ici encore, les attraits principaux de ce mode de jeu sont l’accès immédiat et à toutes heures, la facilité de paiement ainsi que le caractère anonyme (éviter le regard de l’autre).

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Pour conclure,

La cyberdépendance inclut de nombreuses pratiques devant faire l’objet d’analyses séparées.

Parfois, l’appât du gain est à l’avant-plan (casinos virtuels), parfois la gratification est plus cachée, il peut s’agir d’augmenter le sentiment de puissance (jeux multijoueurs en ligne), et aussi internet représente-t-il un lieu d’expérimentation psycho-sexuelle avec son lot de transgressions multiples.

Internet est amoral car peu ou pas structurant sur le plan des valeurs. Plus généralement, internet est un lieu ou tout est possible selon les désirs des internautes. Dès lors, chaque internaute devra utiliser ses propres outils de régulation, ceux que ses expériences infantiles lui ont permis de constitués au fil du temps. Mais gare à ceux qui manquerait d’autocontrôle et qui soufrerait tellement qu’ils ne finissent par trouver un peu de réconfort dans leurs pratiques cybernétiques. Chez eux, le risque de dépendance est très élevé, ce qui compromettra un peu plus leurs capacités d’autorégulation.

Qu’une prévention efficace se fonde sur de meilleurs connaissances des facteurs de vulnérabilité m’apparaît comme une absolue nécessité. Qu’il faille prendre soin des plus fragiles plutôt que les pousser à l’erreur est une question de choix d’éthique.

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