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ACTIVITY DU COMITZ INTERN A TIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) ET AU PAKISTAN ORIENTAL

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ACTIVITY

DU COMITZ INTERN A TIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura)

ET AU PAKISTAN ORIENTAL

AIDE AUX R£FUGl£S MUSULMANS ET HINDOUS l Un precddent article 2 a expose les cons6quences d6sastreuses de cette grande peur qui au d6but de l'ann£e 1950 a secou6 le Bengale et cause l'exode lamentable d'un million de Musulmans des environs de Calcutta vers le Pakistan oriental, tandis qu'un million environ d'Hindous du Pakistan refluaient en Inde, soit vers Calcutta, soit vers 1'Assam et 1'Etat de Tripura.

Les donnees geographiques assez complexes de cette migra- tion de peuples ont ete exposees dans ce mSme article et nous n'y reviendrons pas.

Qu'il nous suffise de rappeler qu'au moment ou le pandit Nehru fit appel au Comit6 international de la Croix-Rouge, a la fin de fdvrier, un conflit arme paraissait sur le point d'6clater entre 1'Inde et le Pakistan, en raison des graves incidents qui s'etaient produits.

Soucieux, en l'occurrence, d'exercer son role traditionnel d'intermediaire neutre, le Comit6 international s'adressa au Gouvernement du Pakistan pour savoir si celui-ci souhaitait lui aussi son intervention. II en recut aussitot l'invitation a visiter le Pakistan oriental afin d'aider les Autorites a soulager la misere des r6fugies.

L'on peut dire que cet appel du pandit Nehru et la r£ponse favorable du Gouvernement du Pakistan furent les signes avant-coureurs de la detente que devait produire un mois plus tard la signature d'un accord sur les minorit^s sign6 a Delhi entre les premiers ministres de 1'Inde et du Pakistan.

Depuis lors, rassures par les mesures d'ordre observees de part et d'autre, un grand nombre de refugids ont regagn6

1 Hors-texte.

* Voir Revue Internationale, mai 1950, p. 348.

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ACTIVITY EN INDE ET AU PAKISTAN

leurs foyers ; le flot de Immigration s'est peu a peu tari. Cepen- dant, de part et d'autre des frontieres, plusieurs centaines de milliers de malheureux, trop faibles sans doute pour surmonter leurs souffrances, restaient parquds dans des camps, veg6tant miserablement a la charge de l'assistance publique.

La mission qu'a l'appel des deux Gouvernements le Comity international de la Croix-Rouge avait envoyee au Bengale visita successivement la region de Calcutta, le Bengale occidental, l'Assam et le Tripura. Elle se rendit sur la frontiere de l'lnde et du Pakistan aux principaux points de passage des refugi6s, et enfin au Bengale oriental.

Elle constata que les Autorites, les Societes de secours et les sections locales de la Croix-Rouge, s'employaient activement a nourrir et a soigner les refugies. Bien que, dans les camps etablis en hate et rapidement debordes, les conditions d'hygiene fussent le plus souvent defectueuses, il fut, des le debut, a peu pres possible de fournir une ration alimentaire propre a empficher les adultes de mourir de faim. La vie des vieillards et celle des enfants, prives de lait, etaient plus serieusement menac6es.

L'accord sur les minorites venait d'etre conclu quand les delegues du CICR s'entretinrent des resultats de leur enqueue avec les Gouvernements centraux de l'lnde et du Pakistan.

A Delhi comme a Karachi on leur demanda de poursuivre l'accomplissement de leur mission, celle-ci ne pouvant que favoriser l'action des elements de conciliation et mener a l'apai- sement.

Le CICR estima alors qu'il devait non seulement contribuer au retablissement de la confiance parmi les minorites, mais aussi apporter, dans la mesure de ses moyens, un allegement aux souffrances des refugies en attendant que les plaies de l'exode fussent gueries. A la demande mSme des autorites, il fut decide de faire porter l'effort principal sur l'assistance medicale, en contribuant en particulier a l'oeuvre des Croix-Rouges locales pour le sauvetage des enfants.

Le siege de la delegation centrale du Comit6 international de la Croix-Rouge fut install^ a Calcutta d'ou il etait facile de gagner Dacca, capitale du Pakistan oriental. Le deleguS du CICR pouvait s'y tenir en contact avec les Autorit6s gouver-

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nementales de l'lnde et du Pakistan. Sous la direction de ce d616gu6 quatre unit6s medicales furent organisees, deux en territoire indien (Dhubalia et Agartala), deux en territoire pakistanais (Kurmitola et Sholoshahar).

Dhubalia, — Non loin de Calcutta, a proximite des deux principales voies de chemin de fer venant du Pakistan oriental, se trouvent plusieurs grands camps de refugies dont le plus important est celui de Dhubalia. De part et d'autre des larges allies d'un aerodrome, des huttes toutes semblables peuvent abriter chacune quatre families de cinq personnes. C'est une fourmiliere de 150.000 personnes. De place en place s'e"chelon- nent des pompes, autour desquelles s'affairent hommes, femmes et enfants. Les Hindous aiment l'eau, mais les eaux de rebut stagnent dans les fosse's qui separent les alignements de huttes.

Les moustiques y pullulent ainsi que les mouches attirees par les detritus. Ignorant que mouches et moustiques propagent la malaria et les maladies infectieuses, les refugies, apathiques, couches sur la terre battue, attendent les deux roupies et les sept livres de riz que le Gouvernement leur distribue chaque semaine. Beaucoup parmi eux s'acheminent lentement vers la mort.

Les enfants sont les premiers atteints. La miserable ossature des plus faibles se tend d'une peau mince qui s'en va en lam- beaux ; ils se gonflent, s'oedematisent, paraissent devenir tout gras, mais des acides amines, en trois jours, les vident comple- tement et les font apparaitre ce qu'ils sont r6ellement, des agonisants.

Ce sont ces enfants que l'unite medicale du CICR a Dhubalia s'est employee a sauver.

Avec l'appui du Gouvernement, un ancien batiment a ete remis en 6tat; le ciment arme a remplac6 le sol de terre ; la chaux et le lysol ont impregne les poutrelles ; des grillages ont isole le batiment des moustiques et des mouches. Quarante lits blancs ont 6t6 apportes de Calcutta, et en quatre semaines l'hopital devenu une clinique d'enfants, s'est empli. Le medecin- chef fait sa consultation chaque matin. A cote de lui une infir- miere traite environ 200 petits malades dans la policlinique.

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Mais il ne suffit pas de soigner les malades; il faut les faire vivre.

L'unite a organise des repas complets pour les enfants en tres mauvais 6tat de nutrition et des distributions de lait pour ceux qui souffrent de sous-alimentation. Environ 4.000 enfants recoivent ainsi chaque semaine un traitement alimentaire. Et des que les enfants ont recouvre leur sante, le detegue-medecin du CICR leur fait faire de l'entratnement physique ; il organise des matchs de football, des competitions sportives qui reveillent Feur energie et les secouent de leur torpeur.

II convient de faire oeuvre qui dure, aussi vient-on d'orga- niser un « nursing home » de vingt lits ou les jeunes meres appren- dront les soins a donner aux bebes. Ces meres sont choisies dans chaque quartier du camp, de facon a pouvoir a leur tour enseigner d'autres meres.

Ainsi un petit groupe de trois personnes a durant six mois fait face a des taches multiples, montrant qu'avec des soins assidus, du coeur et de l'enthousiasme — car il en faut pour une telle tache, dans un tel climat — il est possible de ramener a la vie des centaines d'enfants.

Agartala. — Agartala est la capitale de l'Etat de Tripura, territoire indien enclave dans le Pakistan oriental. Le pays est sauvage, presque entierement couvert de forets vierges.

Aucun chemin de fer ne le parcourt. II n'existe qu'une route carrossable, de vingt kilometres, entre Agartala et l'aerodrome.

C'est par les rizieres qui bordent la frontiere du Pakistan que se sont infiltres plus de 200.000 Hindous fugitifs ; 22.000 seulement ont ete heberges dans des camps, les autres ne disposant que d'abris naturels.

La seconde unite medicale du CICR s'est installee a Agartala.

Sans doute, le Gouvernement local contribue a l'entretien des r6fugies, mais la prophylaxie et les soins medicaux ont trap souvent fait defaut et la-bas, les enfants qui naissent et meurent si facilement ne pesent pas lourd dans la balance de la vie.

De mfime qu'a Dhubalia, l'unite medicale du CICR s'est vouee uniquement a soigner les enfants. Elle a pu louer, aux environs d'Agartala, une habitation magnifiquement situee sur une eminence, dominant la vaste forfit. Un hdpital de quarante 812

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ACTIVITY EN INDE ET AU PAKISTAN lits y fut install^, en m£me temps que s'ouvrait, en ville, la polidinique oil chaque matin le d61egue-medecin et une infir- miere examinent de 50 a 120 enfants.

L'alimentation est moins d6ficiente que dans le Bengale occidental et les cas d'athrepsie sont relativement rares. En revanche, la malaria sevit ainsi que le kala-azar, les affections du type bronchitique et les pneumonies. Plus de la moitie des enfants sont couverts de gale, souvent surinfectee.

En depit de certains prejuges qui subsistent dans les families cont're le metier d'infirmiere, l'unite medicale du CICR est parvenue a former onze jeunes filles dont deux refugiees qui sont devenues des auxiliaires devouees tant a l'hopital qu'a la polidinique. Sous la direction de medecins locaux, ces eleves- infirmieres ont suivi des cours d'anatomie et de physiologie en vue d'acquerir les notions elementaires des soins a donner aux malades et aux accidentes.

Kurmitola. — A vingt kilometres au nord de Dacca se trouve le camp de Kurmitola oil vivent 7.000 refugies. Ce camp etant appele a grouper les refugies provenant d'autres lieux de ras- semblement, c'est la que le Gouvernement du Pakistan a demand6 au CICR d'etablir sa troisieme unite medicale.

Contrairement au programme suivi en territoire indien, cette unite medicale s'occupe des adultes aussi bien que des enfants. Les conditions d'hebergement sont en effet differentes au Pakistan oil les refugies sont plus disperses et ou il est moins facile de s6rier les taches.

L'Autorite locale mit en etat quelques grands baraquements aux bases de briques et aux parois de bambou. L'un est devenu un hdpital de quarante lits. Un autre tient lieu de polidinique et chaque matin un medecin designd par le Gouvernement y recoit les malades; l'apres-midi c'est le delegue-medecin du CICR qui, assiste d'un medecin local, y donne sa consultation.

Malnutrition, malaria, kala-azar, affections pulmonaires sont les maladies les plus frequentes.

L'equipe du CICR est assistee d'infirmiers, aucune infirmiere n'ayant pu fitre recriitee.

L'hopital Kurmitola s'ouvrit le 26 juillet, en mgme temps 813

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ACTIVITY EN INDE ET AU PAKISTAN

que la « goutte de lait», le CICR ayant 6te charg^ par le Gou- vernement de proc£der a la repartition du lait fourni par le Fonds des Nations Unies en faveur de l'enfance (UNICEF).

L'£quipe du CICR distribua ainsi 7.000 rations de lait 6cr6me chaque matin. A cette occasion elle remettait a qui le desirait des pastilles de paludrine pour combattre la malaria.

Grace a ces soins l'6tat sanitaire du camp de Kurmitola s'ameliora rapidement.

Sholoshahar. — La quatrieme unite medicale du CICR s'etablit d'abord a Lalmaniz Hat, tout au nord du Pakistan oriental ou s'etaient groupds 20.000 r£fugi£s. Loin de tout centre de production, cette agglomeration 6tait difficile a ravitailler.

L'unite medicale du CICR r&ussit, avec l'appui du Gouver- nement, a. remettre en etat un vieux batiment. A proximity, an baraquement fut construit pour servir de centre de distri- bution de lait, mais a peine ces installations 6taient-elles en service, qu'un mouvement de masses se produisait, ramenant les refugies vers les foyers qu'ils avaient quitt6s.

La delegation du CICR se replia sur Dacca, puis s'en fut installer un hopital dans l'extrSme sud du pays, au camp de Sholoshahar, pres du port de Chittagong. La, 2.000 r6fugies etaient demunis de tout. L'unit6 medicale du CICR amenagea deux huttes en un hopital d'une trentaine de lits. Le delegu6- medecin se chargea des examens de policlinique le matin et les deux infirmieres se consacrerent exelusivement a l'hopital.

Des distributions de lait eurent lieu trois fois par semaine, par l'entremise d'une Organisation de femmes pakistanaises.

Le camp de Sholoshahar devant £tre ferme prochainement, la quatrieme unite m^dicale du CICR sera retired.

II est en effet permis d'esp^rer qu'a cette date la politique jnstauree par l'accord sur les minorites aura porte ses fruits et que le probleme des refugi^s du Bengale aura perdu beaucoup de son acuity.

Le Comite international de la Croix-Rouge a decide1 — d'accord avec les Gouvernements de l'lnde et du Pakistan — de mettre fin alors a son activite au Bengale.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL

Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950)

1. Inde: Dhubalia. — Le Centre hospitalier du Comite international de la Croix- Rouge; la policlinique (a gauche), le logement de l'equipe medicale (a droite).

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL

Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950)

2. Inde: Dhubalia. — Un indigene amene son enfant sous-alimente a la policlinique.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL

Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950)

3. Inde: Dhubalia. — Une mere et son enfant cachectique a l'hopital pour enf'ants du CICR.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL

Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 19501

4. Inde: Dhubalia. — A l'hopital; un petit malade.

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ACTIVITE DU C0M1TE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 19501 5. Inde: Dhubalia. — A Phopital; un enfant sous-alimente.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL

Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950)

6. Inde: Dhubalia. — A l'hopital; un petit malade.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950) 7. Inde: Dhubalia. — A l'hopital; examen d'un petit malade par un medecin du CICR accompagne d'un interprete.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIXROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL

Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950)

8. Inde : Dhubalia. — Transport d'un petit malade a la policlinique du CICR.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL

Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950)

9. Pakistan oriental : Au camp de Kurmitola (pres de Dacca). •— Centre de distri- bution du lait. Le lait, fourni par l'UNICEF, est distribue par les soins de la

delegation du CICR; un petit refugie vient de recevoir sa ration quotidienne.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDF.

(Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950)

10. Pakistan oriental : Kurmitola. Les enfants du camp de refugies musulmans viennent au Outre de distribution du lait pour recevoir leur ration.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950) 11. Pakistan oriental: Kurmitola. — Sept mille rations de lait sont distribuees chaque matin.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950) 12. Pakistan oriental : Kurmitola. — Un petit refugie souffle sur son lait, trop chaud. avant de le boire.

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ACTIV1TE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDK (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950) Pakistan oriental: Kurmitola. — A l'hopital du CICR ; une infirmiere au chevet d'un petit malade. refugie musulman.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL

Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950)

14. Etat de Tripura (Inde): Agartala. — A l'hopital pour enfants/du CICR;

un petit cachectique.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950) 15.Etat de Tripura (Indel: Agartaia. - A 1'hopilal. une petite malade.

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ACTIVITE DU COMITE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE EN INDE (Bengale, Assam, Etat de Tripura) et au PAKISTAN ORIENTAL Aide aux refugies musulmans et hindous (octobre 1950) 16. Etat de Tripura (Inde): Agartala. — A l'hopital, petits malades.

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ACTIVITY EN INDE ET AU PAKISTAN Ainsi, apres dix mois de travail pourra-t-il remettre les installations de ses unites medicales ainsi que le personnel hindou ou pakistanais form6 par elles, aux Societes nationales de la Croix-Rouge et aux autorites qui ont accepte de continuer, selon les besoins et les circonstances, l'oeuvre ainsi entreprise.

Pour modeste qu'elle soit (en raison des moyens limites dont dispose le C1CR), cette oeuvre aura du moins fourni l'exem- ple de ce qui peut 6tre tent6 pour remedier, dans un esprit de fraternite humaine, aux consequences de troubles qui conti- nent si dangereusement a la guerre.

D1 R. Marti.

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LEOPOLD BOISSIER, docteur en droit, professeur honoraire de l'Universite de Geneve, ancien secrd- taire general de l'Union interparlementaire, president (1946)'.. JACQUES

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