• Aucun résultat trouvé

Rectification relative à la note insérée au tome X (2e série), année 1871, p. 481

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Rectification relative à la note insérée au tome X (2e série), année 1871, p. 481"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

N

OUVELLES ANNALES DE MATHÉMATIQUES

L. P AINVIN

Rectification relative à la note insérée au tome X (2e série), année 1871, p. 481

Nouvelles annales de mathématiques 2e série, tome 11 (1872), p. 376-380

<http://www.numdam.org/item?id=NAM_1872_2_11__376_1>

© Nouvelles annales de mathématiques, 1872, tous droits réservés.

L’accès aux archives de la revue « Nouvelles annales de mathématiques » implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation (http://www.numdam.org/conditions).

Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d’une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente men- tion de copyright.

Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques

http://www.numdam.org/

(2)

relative à la Note insérée au tome X ( 2e série), année 1 8 7 1 , p. 4 8 1 ; PAR M. L. PAI1NVIN.

1. Dans la première partie de la proposition énoncée à la 'page 481 du tome X (2e série), année 1871, j'ai dit que la surface engendrée était de l'ordre 4m\ e n réalité, elle n'est que de l'ordre im. Les formules écrites à la

(3)

( 377 )

page 483 donnent 1 et p. comme des fonctions du second degré en x, j , z\ et, s'il en était ainsi, il serait parfaite- ment exact de conclure que la surface engendrée est de l'ordre 4wî mais, lorsqu'on fait le calcul d'une manière plus complète, on conslate que les seconds membres se réduisent à des fonctions du premier degré, et la surface engendrée n'est plus alors que de l'ordre 2 m.

Je vais donc donner la résolution explicite des équa~

tions qui établissent la correspondance entre les points des deux surfaces.

2. Voici l'énoncé :

Soient donnés tiois points fixes A, B, C et une surface fixe 2 du mlhne ordre ; on imagine un point M se dépla- çant sur la surface 2} puis, avec trois autres points fixes A', B', C', donnés dans Vespace, on construit une pyramide A'B'C'S telle qu on ait toujours, quelle que soit la position du point M sur la surjace S,

SA' = MA, SB' = MB, SC' =- MC ;

le point S décrira une surface (S) d'ordre im en général.

Nous prendrons pour plan des x, y le plan des trois points A, B, C; soient alors

a, p, o; a,, (î,, o; a2, p2, o

les coordonnées respectives des points A, B, O, puis a, b, c; a{y bl9 c\; ai9 b2, c2

celles des points A', B', C-, désignons enfin par X, jx, v les coordonnées du point M, et par #, j , z celles du point correspondant S. D'après l'énoncé, les équations qui établissent la correspondance des deux points M et S

(4)

(0

Il s'agit de résoudre les trois équations (i) par rapport à A, (*, v.

Dans ce but, nous poserons

(a) puis (3) où

p = a2 -f- p2, R ™ a2 H-

p2 .-=: a2 -f- p2 ; R2 = a\ 4 - ^ 4 - c\ ;

A •==.

a p 7

«i Pi 7i

« 2 72

la sigaification géométrique des quantités p , . . . , R , . . . , A est visible.

Ceci admis, les équations (i) peuvent s'écrire

(4)

>2-f-p

V -h p

= a

2 4 - v2

2 4 - v2

24-.r5

— 2aX —

- 2 a , * - 2fyt

+ft, -f-R2

d _ p ,

— pi,

- p , .

\ dà.

Multiplions ces équations respectivement par —, ,

—-; puis p a r - - i -—•> —r- : enfin p a r —>> -r—» 3—5 et da2 r r ^p t/p, </p27 r </y ^ 7 , e/y.

(5)

( 379 )

ajoutons. On obtient alors les trois équations

a p i

j a2

(5)

a p

«i pi

a2 p2

p — R ax ~\~ by -h cz 4- £ S

2 r

2

4 - —

1 S, 1

— R

y-\-cxz

a2

a2

ry

— R

• cz -f-

a,

2

P.-R»

2 pv — R2

Les équations (5) résolvent complètement la question-, on voit que X et fi sont des fonctions linéaires de x, y^ z, et que v2 est une fonction du second degré en x, y, z \ par conséquent, si la surface directrice (2)

F(>, (*,»)= o

est de Tordre m, la surface engendrée (S) sera de l'or- dre 2 m.

Je n'entrerai, pour le moment, dans aucun détail sur

(6)

les conséquences multiples qu'on peut tirer de ce mode de transformation, qui comprend d'ailleurs, comme cas particulier, la transformation de Jacobi.

Références

Documents relatifs

Sur la fonetion

Comme elle tend vers 0 quand |z| tend vers +∞ , elle est bonrée. On on a le Théorème de

[r]

[r]

Un exercice classique sur l’orthogonalité dans l’espace où il convient, dans un premier temps, de caractériser simplement le projeté orthogonal d’un point quelconque de

Cela posé, on peut, comme on sait, former une fonction ellip- tique du second ordre /(^), telle que les valeurs du paramètre &lt;, définies par les égalités. ^=/(^), ^==/^4-^),

[r]

[r]