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Evaluation des réunions de consultation sur les pays africains les moins avancés

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NATIONS UNIES

CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL

OTfnssien eccotiique pour i/afrique

Premiere reunion de la Conference dec rrinistres

des pays africains les iroins avances

Addis-Abeba, Ethicx>ief 27-31 juillet 1901

Jg

Distr.

LIMITED

17 juillet FRANCAIS Oriainal z

XT

3.1/6 198X

ANGLAIS

.■;^v^;:N^-^ncV5

EVAUMTiai DES REUNIONS DE CCKSTJLT^Tia-J STJR LSS PMS

(2)

ST/ECU/LDCs. 1/6

~'ns les moins avancSs

Dans le cadre des prSparatifs de la Conference des Nations Unie

^f1^? Gt ^.plication de la resolution 7 (III) a3o^£

s en octobre 1930 a sa deuxi&me session &/O3W,

■>QP les reunions de consultation ont eta convocuies Dour les grou

pas de pays les moins avances (B4& ci-anres i y

Dates Lieu

Asia et Pacifique (Afghanistan^

Bangladesh, Bhoutan, I-feldives, 30 mars™

N%al, Rgpublique d^nocratique 10 avril Vienna

populaire de Lao, Samoa, Y&nen

et YSnen deinocratique)

Afrioue de l'Est (Burundi, Q>- 4-15 nal 7V3dis-/

mores, Ethiopie, Ouganda, Repu- blique-Unie da Tanzaniaf Rwanda, Soudan)

Afrique de 1'Ouest et Afrique 25 mai-5 juin la Have

centrale (Beninf Cap^Vert, Gam-

bie, Guinee, Kaute-WDlta, b&lif Niger, Hfipublique G^ntrafricai™

ne, Somalia, et Tchad)

Afrique austraie (Botswana, Le~ 22-26 juin Gendve

sotho, .Malawi) , Guinee-Bissau et Haiti

Presidents

Sartaj A-zis J\ndrev7 Joseph Jan P. Pronk

Adebayo Medeji M.J, Anstee Jan P. Pronk

tiichel Doo Kingue B. Bell

G.S- Vegega P- de Seynes Jan P. Pronk

En provision de leurs reunions de consultation avec leurs nartenaires du d-5ve- ierit^les pays^lss mains avances avaient chacun Stabli un menoire de leurs plans res du d^eloppor^t et d'aide ainsi gue d'organisations intornationales a partici per a ces reunions. L5idee consistant a grouper les oays les Sotes avancSa

par sous:r6gion etait fondSe sur rhypothese que nalgre des besoins et "une situation

sent en groupes afin degtudier et dValuer leurs probiSmes

reunions do consultation et d'Stablir une position carrtone. NSamolna

en groupes etait dans 1'interet des rartonaires du devolono^nt dans

f^

de conslutation tout en encourant un mihiimia de frais0

. s ^ STSr* dDCUn!ent analyse les trois series de reunions de consultation oraa-

nxsees_a J. = intention c i pays africains les rroins avances. Son but n'est^asiL rl^r

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Les discussions de fonus des reunions de consultation tenues p^ir chacun dos pays les iroins avancfis ont normalsmsnt cam^noe par une declaration ' liminaire glo- bale du chef de delegation dans laquelle celui-ci a mis en Evidence less probl&nes et les possibility de developpesnent de son pays* les principaux obstacles rencon

tres et les efforts faits pour ies surmonter? les grinds objectifs de dCvelor^xsivmt a rSaliser dans les mriees 80 ainsi que les strategics viseesP les priorites secto-

rielleset les instruments d'action, les besoins et l5ampleur de lcassistance et de l'aide etrangeres.

EnsuitGp les repr^sentants des pays donateursf des partenaires cx*rrcierc.iaux et des organisations internationcdes presents aux reunions ont etS invites 3 faire des aarcrentaires sur le memoire et les progranmas du pays? ce apr&s quoi avaient lieu un debat g&n£ral et Un echango ds vues et dcid^esa

Le cadre dans lecjucl se sont d^roulees les reunions de consultation a en general donne aux participants une occasion uniaue de proceder a un echange-de vues et-d'idces sur les probl^ncs et programves do develorjDGjnent "dos pays les moins avances0 iJtxibroujei; ont

£bS les questions de fonds soulevees et d^Mttuen sur les priorites de d^velorroe- irent des pays les n»ins avanc^s, les objectifs d'investisscarient et les allocations de fonds,- les strategies et les efforts de mobilisation de ressources, la canpatlbi"' lite des objectifs et des prioritSs de developneniGnt avac les structures visSos

d'investissanent ainsi qu^i la cadre de la cooperation et du dSvelorr^ement econcmiques au nivcau sous^ regional« lies reunions de consulattion ont donn^? .^ chacun des pays les noins avances non seulem.^nt I1 occasion da faire connaitra ses plans et program- naires du deveiopp3t>ent, nais aussi de premdre connaissance des prenidres ructions?

dos caimentaires/des questions et des critiques suscc^ptibles d'aboutir $. V amelio

ration des programreso "Les reunions se sont ^/erSes tout aussi b^nefiques pour les gie des pays les noins avances rour les annees BO et daautre part contribue § mieux apf-^reliender leurs probldmcsc besoins et potentials de developpanant- En d'autres termes, ces reunions ontf ?ar le biais d(un dialogue, oid£ les parties interess&us S mieux se comorendre dans leur interet mutuelo

Dans l'ensenble cepenj-iant^ deux seances do travail soulonent ont 3te consacrgos a lg(§tude de chaque merroire; et une 3 1'adoption du rapport. Vu les d&lais tr§s courts qui avaient etS irrr>artisF la nature des rnemoires oui faianient une description tr^s li- ininaire seulfiment des projets ot les retards accuraulSs dans la presentation de ces m^noires aux T^rtenairos de dgveloppemant, lesdits partenaires n'ont guere eu Is

eux~m&nss, il sied de mentionnar cpo les m&noires avaient 5te claborSes sur une pe- riode de tonns tres cburte, Quoi qu*il en soit, | en juger par Inexperience des pays africains les rroins avancSs, la plupart des m^noirGS ont Ste" d[un niveau remar-

quableo

L'elaboration de m&noires sur les annees 30 pour quelque 31 pays les moins avances a ^emis a la conminaut-i internationalc de se faire une idee globale^des besoins de l8ensent)le de ces pays et d° analyser l'ampleur des problSmes et des dif«

ficultes qufils confrontcnt. Ls^fait aue la plupart des rn&noirss aient adhirfi au

scenario comiun envisage dans la resolution 122 (V) de la CNUCED, a savoir doubler le PIB ^cry3ant la d^cennie dans le csdre des liroites imposSes nar le deficit coxi- merciaTet doubler, tripler pu a^adrupler le montant de I5aide accords, s'est auto- matiquanent solde par la formulation d'hypotheses plus ou moins catnones sur les

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ST/ECVLDCs.l/6

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coefficients marginaux de capital, des exportations d'un niveau 61ev6 at des Slasti- cit§s relativement modestes en mti£re dB importation par rapport au pass£. II semble par ailleurs que les pays int£ress6s s'attendent a une augmentation massive et iiTrne- diate du volume de Is aide caime en t&soignent les periodes de gestation relativenent courtes que postulent les m&noires*

Les partenaires du d£veloppsnent ont r6agi en tonnes g§n£raux, ^rudents et non sp§cifiqueso Toute mention dans Igs rapnorts aux partenaires pris separ&nent a ate

&vitee, ce qui est regrettable. Dans le cas contraire en effet, les reunions de con sultation auraient represents un pas en avant dans la bonne direction rour autant que les pays les moins avanc£s intSresses aient tenu compte des observations de cha- que partenaire et aient §tS disposes % entreprendro des discussions bilat&rales en vue de les examiner. La deuxi&ne sSrie des reunions de consultation aurait alors pu etre consacr&e aux annonces de attributions avec un minimum de problemes de nrocfi- dure a rSsoudre*

En toute impartialit§ S l'egard des pays les moins avanoSs, la pdnurie extrema

de fcnds et le peu de temps disponible ont Ste tels qu'ils n'auraient" pas pu sans I1

assistance des partenaires du d&velonpement, effectuer des Etudes de pr5fal£3sbilltS et de faisabilitg pour des centaines de projets. De sarcrolt, fitant donnS les couts trds §lev§s en jeu mais aussi Is absence d!un accord prSalable entre les pays les raoins avancSs et leurs partenaires du d^velorpement sur les types de projets a iden

tifier, V operation aurait et& vaine et rendue tres rapidement caduque par le taux gleve d° inflation en vijueur dans le mondeo Les dfipassanents de devis auraioxit 4t€

substantiels. De plus, la presentation da profils de projets detaill^s ne convsnaient pas a des.tribunes ooime celle des reunions de consultation.

II s'est dSgagS des m^moires et des declarations faites par les delegations des pays africains les moins avancSs que leurs priorit&s de developpement sont dans

une large mesure conformes au Plan d(action de Lagos et 3 la StratSjie africaine de

dSvelocpement pour les ann^es 80, lesquels mettent d'une part V accent sur le d&- veloppemont de 1( agriculture pour atteindre l'autosuffisance alimentaire et d*autt©

part sur les efforts visant 3 proaouvoir les exportations, les agro-liidustries et las transports et conmunications r?ont se sont fSlicitSs los reprgsentants des par- tenaires du developpanant et des organisations internationaleso II s'est Sgalorrent d^gagS que tout en sollicitant un accroissanent de lBaide exterieure, les pays afri cains Igs moins avances font une large part 3 l'autosuffisance et a i'autoncraie , qugils envisagent de n'Spargner aucun effort pour mobilisar des res^vrcea :'.:-t§rieu-

res aussi bien financieres qu'humaines. -

II ssnble que les d^bats et les dialogues qui ont eu lieu aux reunions de con sultation aient dSbouchS sur une .xneilleure comprehension des probl&nes fondamentaux

. Par exenple^ il est devenu plus clair que jamais qu°il ne peut y

avoir pour ce groupe de pays une ligne de demarcation rigoureuse entre les investis- sanents directement productifs et sociaux, et entre la production de cultures vivrie res et de cultures marchandes. II a par ailleurs 5t£ souligne qu'il stait nScessaire de rSaliser de nouveaux Investissements pour tirer pleinonent parti des capacit^K existantes qui sont sous-utilisfies et de recourir § 1Birrigation en ggnSral.

Les reunions de consulation ont non seulement servi a mettre en lumi^re les probl&nes et les besoins specifiques des pays les mains avances mais aussi contri bute a "btenir des r^rtenaires du d^veloppement une idSe de l'apoui qu'ils sont prets a fournir et du d£sir qu'ils ont de continuer a epauler les pays les moiiis avancSs

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ST/eCA/L3Cs.I/6 Page 4

accord de principe aux orientation sies par les gouverncrnents

^^^entionlui tt^f&E&Oi* une aide internationals globale

pour cliacun des pays interesseso

A cat &iard, et 5 de tres ncmbreux autres egalanent, les resultats auxquels ont abouti les reunions de consultation sont le fruit d'un ensemble de facteurs :

ti XJZ natibre tres Sieve de participants B Les reunions ont fait par exanple

a d-y recourir et dVen tir

U.1 fca clart* et la nature tres dStaillSe des declarations ljiru^aires^faites

«r i~dolSations^despays les noins avances ainsi <^e rexcellente oualite des iii) La conpetence et rautoritS avec lesouelles les reunions ont et5

'neutrality cependant ^e leur connaissance approfondie des probl^nes

lier tous les points de vueo

iv) L5attnosr)here oordiale encore que parfois moijis que spon^an^ °?

les enSetiL se krt derouir,S. , la candour, la ccr^hens^n et 1 esprx.

sont das signes tres enccuragean

systanes Sconaniaues et socio-politiques.

S'il est vrai que les dSbats ont dans certains

i^.g A&\ iK3ra+-irins

au su

des annonces de contritions

ce qu'ils diiaient

itoins avances ont £te cortpleteraent sa^i^f^2,,_,

or les problems, les politigues et les strategies de dSveloppar-ent.

nn «'»i-t<=ndait tout come on espSrait que les partenaixes du aSveloj^aient ac=

ce^erS^ti'Scorder^L™ les noins av^ces une assistance dans des tern^s et

^55?;.. sl.'>nMl" 7ir?.-g^A3!^fc!ii!

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st/eca/ldcs,i/6

Page 5 n&noires soulevaient la question des modalitSs rSgissant I1 aide, la plupart des pays Insistent sur la necessity d'assouplir iimiediatement les procedures administratives

et juridiques tout en nourrissant i'espcir gue le volume, les modalit^s et les con

ditions de l'aide ainsi que ses mecanismss d'acheminat^nt feraient l'objet d'une tres nette amelioration dans un avenir proche, h une ou deux exceptions ores ceoem- dant, las partenaires du dfevelonperaent se sont montre's pea arnresses et dans la'plu- de l'aide, pref&rant plutot consacrer la maj cure partic do leurs interventions a I1 analyse das problemes du dfivolcppsnent en general et aux questions d'investisse- mento Les rares debats concemant l'aide cnt port£ sur une aide assortie de condi tions de faveur plutot que de conditions carrmerciales ■ Les donateurs ont, stable-t il^ donnS Is impression qu9il etait plus azpraorie dB examiner la question des nodali- t5s de l°aide % I'&halle bilat,2ralee

Les participants aux reunions de consultation sg sont Sgalonent &&rtib£s a V§- tude d'autres probl^mes et questions tout aussi iirroortants et Spineux, et notarrmant mesures de stabilisation d&s produits de base et de la balance des paiementsr aui ont ete les questions renvoy^es par les donateurs a l'examen de la Conferencs de Paris, tamps d* examiner en detail les memoires, soit parce qusils estimaient que ces ques tions Staient du ressort d6autres instances plus ccnpStentes B HSaiitoins, la Conferen ce de Paris risque de se reveler une autre tribune politique. et partant, une tribune tout;.aussi inadequate pour lGexamen de ces questions.

' Bien quBils sc soient dSclar^s an gSn&ral disposes 3 continuer dBepauler les

pays les rnoins avanc^Si- les partenaires du developpement semblent donner" 1' irpression

que ces pays ont des revendications exager^es et ou'ils n:ont pas la capacity" d£ ab sorption riScessaire pour mener a bien les projets que contienncnt les m&roireSo 3on nonhre c3e progranmes <3es pays ont et& consideres par les donateurs conne trop am- bitieux et irr^alistes lorscja:on les examine'dans Se cadre des prSvisions d'aide ex- t§rieure= II est en effet possible que telle ait ete une fagon.polie pour les narte- naires du developoement de decrire les possibilitSs tr§s limit^es d'un accroissement de lcaids, aussi bien en volunts guvGn valeurr aux pays les rnoins avances. Cette hypo- these GSt d'autant plus plausible que les repr^sentants de la KLupart des pays dona teurs ont decide de faire une large part aux orojets qui sont dSji en attente d'un

accord d"aide bilat5raleo

L1 engagement collectif de la ccmnunaut^ internationale a l'5gard de tous les -pays les moins avances est d^f^ure en suspenso II est manifeste que certains partenaires ou groupes de partonaires du daveloppenent se sont interess^s pendant

les re\inions de consultation a quelques pays ou groupes de pays les moins avances st ce, sur la base d'int&rets permanents et de liens connus"0 De Tavis de certains des ^iys les inoins avanc€fl, la narabre des pays donateurs qui ont pris riart aux reu

nions de consultation a ete plutot limits, les dSbats Stant pour la"plupart men^s et donin^s par deux ou trois partenaires tradiUonnels du dSveloppanant. II etait

par ailleurs evident que les partenaires ne portaient pas 1g rane'intSret a tous

les pays at que leurs preferences Staient etablies en dehors de la salle de Confgren-

ce=

consultation s'est averee loin d'etre totalonent satisfaisante ou indicative de l'appui

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international, gSraSral et collectif, auquel on s'attendait de la part da la cannunau- tS internationale pour chacun des pays les moins avanc§so Tous les partenaires du . conmarce et du d£veloppor\ent qui avaient SfcS invitSs ncont pas jour autant accepts

de prendre part aux deliberations=- Etaient notanment absents la Plupart des pays

de 1'Eurone de l'Estet quolgues pays memhres irsroortants do VOPEP. Pour la plupart das donateurs qui Staient repr6sent£s, la d^^gation clTangoait d'un groupe do pays

& un atitre et r?arfois m&ne au sein des groupes eux-mernes „ Fn r£gle g^nSrale, les representants venus du siege des partenaires du drrvelcpoonent ont fait preuve d'une attitude plus reserve qua oeux des arnbassadeso

Come si les reunions de consultation n'Staient qu'un des aspects d'un proces- sus sans finf cruol^iGS-uns des t>ays les noins avanc&s ont ate invites par les narte- naires du d^veloopeinent S exandner et ^ reviser leur ^rnoire en tsrrips -s^oulu pour la Conference de Paris, et ce a la lumi&rs aes cannentalres et suggestions faits durant les reunions ds. oonsultation0 A cet agard, on peut se deanander si les r^iys interes-

sis auront le temps de le fairs avant la Conference. De surcroltf a quoi cela servirait

il lorsqu'on sait cue les rapports de ces reunions sont tout simpl^nant distrtbics senblerait necessaire d'organiser une reunion nour ',

chaque pays dans lo cadre d'un suivi des reunions de consultation, reunion pendant laouelle les oartenairss du developpement seraient apnele's a pr'3ndre des engage- merits specifiques, et S fairs des offres daaide procises. Sans oela, les reunions

de consultation ne seraient guere d'une grande utility, raeine-; 3 titre de reunion d in-

fomation genSrale et de reunion pr%>aratoire0

Quoi qu'il en soit, les reunions de consultation ont eu deux grands effets pour les pays les rtioins avances; Le premier est quo ces pays ont eu Vocca&rn. d en detail sur leur developperaent au cours de la decennie &~vtmir et ^'f1^

aucun doute dans leurs negociations bilaterales et-jnultilatorales sur I1 aide dont lls

reunions de groupe cottog une source d'apnui politique de lei

aussi longteraps que n'ont pas lieu des reunions r^riodiques r^our les annonces de _ contributions'? ces modestes gains ne se naterialiseront pas pleinoiient et n'abouti- ront' ras a des rSsultats concrets et fonctionnels.

Références

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