Quelques heures avant

F t b a l l ^ACTuALiTé

Jeudi 5 Novermbre 2020

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cascade de blessures dans le football professIonnel

Court-on à la catastrophe ?

A

près deux mois de compétition, le nom- bre particulièrement élevé de joueurs blessés dans les différents cham- pionnats européens inquiète. Le calendrier sur- chargé en raison de la pandémie de coronavirus est évidemment pointé du doigt mais que faut-il faire pour éviter une hécatombe

?

ll « On demande trop aux joueurs. Plus que ce qu’ils ne peuvent en faire. Ce n’est pas compliqué à com- prendre ! On a interrompu la saison dernière, puis on a repris, puis on a démarré cette saison après deux semaines de repos. Je demande le maximum à mes joueurs, mais il y a une limite pour des êtres

humains. On peut lutter pour une ou deux compéti- tions. Ce n’est pas un pro- blème. On survivra. Mais on joue tous les 3 jours, et maintenant quand les joueurs rejoignent leur sélection, ils jouent trois matches contre deux avant.

Ils voyagent beaucoup, ils reviennent, ils enchaînent la Premier League et la Ligue des champions, la Carabao Cup et tout le reste. Nous n’avons pas eu assez de préparation pour gérer tout ça. »

Il y a quelques jours, Pep Guardiola exprimait son ras-le-bol mais aussi l’in- compréhension de beau- coup d’entraîneurs profes- sionnels à propos du calen- drier infernal de la saison 2020-2021. Après deux mois de compétitions, les blessures musculaires en Premier League ont connu une croissance de 42% en comparaison avec la saison précédente au même stade de compétition.

Actuellement 87 joueurs de Premier League sont bles- sés, dont 8 pour le seul club de Crystal Palace.

Manque de préparation, de récupération et sur- charge physique et mentale

ll Avant le début de la nouvelle saison, de nom- breux spécialistes et entraî- neurs avaient anticipé une saison particulièrement déli- cate en termes de blessure compte tenu du rush de la fin de saison précédente, de la trêve écourtée et de la pré-saison raccourcie au maximum avant la reprise de la compétition. « Quand j’ai vu la finale de la FA Cup 2020 et que j’ai vu deux blessures aux ischio-jam- biers après 60 minutes. Je me suis dit: “Wow, on n’aura pas de répit cette

saison… Il va y avoir de nombreuses blessures". Je vais devoir être très vigilant et garder mes yeux bien ouverts pendant les entraî- nements pour prévenir les blessures avant qu’elles n’arrivent" », racontait Neil Warnock, l’entraîneur de Middlesbrough à The Athletic.

De son côté, le préparateur physique Fabien Richard, que nous avions interrogé fin juillet, nous avait d’ail- leurs prévenu des risques de blessures qu’encouraient les joueurs du PSG et de l’OL après le Final 8 de Ligue des champions. Il nous expliquait : « il faudra se méfier de l’après-Ligue des champions puisque ces deux équipes reprendront dans la foulée le champion- nat de France. Il faudra donc que les staffs soient particulièrement vigilants en septembre, octobre et sur- tout en novembre/décembre avec justement le change- ment de température et le passage à des pelouses plus grasses. C’est généra- lement à ce moment-là que les organismes sifflent. » Il faut savoir que pour bien préparer les organismes à une longue saison, les pré- parateurs physiques concoctent généralement un programme de six semaines avant le début des compétitions officielles.

Pour la majorité d’entre eux, ce programme a été réduit de trois semaines en raison de la courte trêve et de la reprise immédiate de la saison 2020/2021.

D’autres équipes moins chanceuses n’ont même pas eu ces trois semaines pour préparer les joueurs et ont dû aborder la compéti-

tion avec une préparation physique inexistante et/ou fortement perturbée par des cas de Covid-19. Ce

manque de préparation physique est clairement un facteur qui explique ces blessures accrues comme l’usure mentale, déjà évo- quée en longueur sur le site.

Le business au détri- ment de la santé des joueurs ?

ll Malgré la multiplication de graves blessures comme celles de Dante ou Juan Bernat sur des actions anodines, ni l’UEFA, ni les fédérations, ni les diffé- rentes ligues profession- nelles de football ne comp- tent alléger le calendrier pour des raisons écono- miques (sponsors, droits TV). « C’est un problème pour tous les clubs, tous les pays. Je l’ai dit plusieurs fois, personne ne se soucie des joueurs. Ce n’est que du business », avait lâché Pep Guardiola en septem- bre. José Mourinho avait également livré le fond de sa pensée après un road trip démentiel pour Tottenham de quatre matches à l’extérieur en une semaine, dont un en Bulgarie et un en

Macédoine: « les gens qui prennent les décisions ont oublié dans quelle situation nous sommes. Ce n’est pas possible autrement. C’est une blague ! »

Le site The Athletic avait publié une photo (voir ci- dessus) avec le nombre de matches potentiels que pourrait disputer Harry Kane lors de cette saison 2020-2021 entre Tottenham et la sélection anglaise. Et

le résultat était sans appel avec 85 matches dont 78 matches potentiels avant l’Euro 2021 ! Des chiffres ahurissants qui interpellent et qui nécessitent évidem- ment une adaptation du côté des entraîneurs.

Faire des choix et pren- dre ses responsabilités ll « On devrait avoir cinq changements, pas trois.

Mais je ne pense plus que ce soit possible, à cause du système », s’est récemment exprimé Jürgen Klopp, agacé que la Premier League ait retiré l’autorisa- tion de faire cinq change- ments en championnat. Et d’y ajouter : « pour moi, c'est un manque de leader- ship de Richard Masters (directeur général de la Premier League, ndlr).

Aucun des sept meilleurs clubs n'a demandé un avantage, mais pour avoir les meilleurs matchs le week-end en Premier League, disposer de cinq changements aurait égale- ment aidé et je pense que nous devrions y réfléchir à nouveau. » 

Vu qu’il est improbable que les instances du foot, les fédérations et les ligues professionnelles allègent le calendrier en raison des dif- férents enjeux écono- miques, le seul recours pour protéger les joueurs c’est le turnover. Même si personne ne l’a encore revendiqué clairement, les entraîneurs seront

contraints de faire des choix. Comprenez choisir des matches spécifiques où les cadres seront au repos quitte à atténuer leurs chances dans certaines compétitions. « On réalise

plus d’analyses chiffrées.

On mesure les efforts des joueurs à chaque entraîne- ment avec des GPS et ces données sont précieuses.

Car si vous demandez à un joueur si ça va, il vous dira toujours oui et il voudra tou- jours jouer. Donc ce sera au staff de dire “écoute, on est obligé de ne pas te faire jouer. Tu dois te reposer mardi pour pouvoir jouer samedi », expliquait Mark Cooper, entraîneur du Forest Green Rovers F.C., pensionnaire de League Two, pour The Athletic.

Pour Thomas Tuchel, dont plusieurs cadres sont actuellement blessés, cette situation demeure alar- mante : « on va tuer les joueurs. On n'a pas de phase pour récupérer, pas suffisamment de temps pour préparer. Sans prépa- ration, tout est fragile. Ce n'est pas une excuse, c'est la vérité. À chaque match, on perd un joueur en ce moment. Et pas seulement nous, on peut regarder Liverpool, le Bayern, City...

Si on continue comme ça, il n'y aura plus de joueurs disponibles.» Jusqu’à quand les instances du football attendront-elles avant de réagir ? Jusqu'où placeront-elles le baromètre avant de tirer la sonnette d’alarme ? L’Euro 2021 qui se profile en fin de saison pourrait vraiment avoir une autre saveur si jamais les meilleurs joueurs du conti- nent étaient absents pour cause de blessures. Et dans ce scénario, tout le monde serait perdant. Tout le monde.

Jeudi 5 Novembre 2020

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tour d'espagne (vuelta, 13e étape) :

Roglic (Jumbo-Visma) remporte le contre- la-montre et récupère le maillot rouge

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Carton plein pour Primoz Roglic. Le lea- der de la Jumbo- Visma a remporté le contre-la-montre à Mirador de Ezaro, avec une petite

seconde d'avance sur Will Barta (CCC). Le Slovène en a profité pour reprendre la tête du général avec 39 secondes de marge sur Richard Carapaz (Ineos-Grenadiers).

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uelques heures avant l’issue du scrutin de l’élection américaine, l’inattendu William Barta (CCC) se voyait bien en pré- sident de la Vuelta, tout du moins le temps d’une jour- née. En tête à tous les inter- médiaires du chrono du Mirador de Ezaro,

l'Américain a finalement été victime d’un ultime retourne- ment de situation qui l'a privé de la plus belle victoire de sa carrière, pour une petite seconde seulement.

Son bourreau est Primoz Roglic, favori des sondages, qui profite de ce coup d'état pour reprendre tous les pou- voirs à l'entame de la der- nière semaine de ce Tour d'Espagne.

Le film du contre-la-montre De retour avec le maillot rouge sur le dos, le leader de Jumbo-Visma possède désormais 39’’ d’avance au général sur le président sor- tant, Richard Carapaz (INEOS Grenadiers), et 47’’

sur Hugh Carthy (EF), l'out- sider dont la popularité va croissante au fil des jours et vainqueur dimanche à l'Angliru.

Promis à la victoire sur ce tracé tout plat durant 32 kilo- mètres avant un mur final de 1,8km à 15% de moyenne, Roglic a d’abord semblé ne

pas vouloir du poste. Il n’était que 5e après 12km, relégué à 2’’ de Carthy et 13’’ de Barta et du Portugais Nelson Oliveira (Movistar), finalement 3e à l’arrivée (+10’’).

Le spectre de la planche des Belles Filles vite dissipé On se demandait alors s’il n’allait pas nous refaire le coup de la Planche des Belles Filles, le chrono qui l’a vu perdre le Tour et dont le profil ressemblait d’ailleurs pas mal à celui de mardi : il n’en a rien été. Le Slovène a progressivement accéléré (3e au deuxième inter à 17’’

de Barta et Oliveira, encore inséparables) avant de finir au sprint dans le Mirador de Ezaro, qu’il a abordé en effectuant un changement de vélo absolument parfait.

Au final, Roglic n’a pas vrai- ment assommé le chrono dans les proportions redou- tées puisqu’il n’a repris que 49" sur Carapaz (7e de cette 13e étape) et 25" sur Carthy (4e), qui s’est rappelé au bon souvenir des nombreux chronos disputés dans sa jeunesse en Grande- Bretagne, pays roi en la matière.

Au sein du carré magique de cette fin de Vuelta, Dan Martin (Start-Up Nation) est celui qui a cédé le plus de terrain (1'17", 13e temps).

Mais son débours reste très honorable vu ses prédisposi- tions en la matière. Le vété- ran irlandais demeure 4e du général à 1’42’’ de Roglic.

Un peu loin pour la victoire désormais. Mais toujours dans le coup pour le podium.

Top 5 pour Armirail, petite déception pour Cavagna En tête lorsqu’il a franchi la ligne en début de journée, Rémi Cavagna (Deceninck- Quick Step) a dû se conten- ter de la 8e place (+58").

Une déception pour le cham- pion de France de la disci- pline, qu’on présentait comme un favori au même titre que Roglic. Il n'est d’ail- leurs pas le meilleur

Tricolore du jour : Bruno Armirail (Groupama-FDJ) a confirmé sa forme étince- lante en terminant 5e (+41").

Mention très bien également pour Clément Champoussin (AG2R La Mondiale). Le double Vélo d’Or Espoirs, 22 ans, s’est classé 17e

(+1'44") pour son premier chrono chez les pros. Le grimpeur azuréen fait mieux que David Gaudu (28e à 2'28") et Guillaume Martin (41e à 3'19").

Le leader de Groupama-FDJ a conservé sa 12e place au général et se rapproche un peu du top 10 (1'22" à com- bler contre 1'45"). Pour le Normand de Cofidis (16e du général), l’objectif était sur- tout de conserver des forces en vue des cinq dernières étapes en ligne de cette Vuelta. Vu l'engouement que suscitent ses échappées quotidiennes, le porteur du maillot à pois mériterait bien sa petite victoire. Dommage qu'elles ne se jouent pas, ici, dans les urnes.

“Il va redevenIr le coureur qu’Il étaIt”:

Bradley Wiggins confiant sur un retour au sommet de

Froome

Chris Froome bientôt de retour au sommet ? Pour Bradley Wiggins, c’est une certitude. Dans le Bradley Wiggins Show, le podcast d’Eurosport Angleterre, l’ancien vainqueur du Tour de France a assuré que Froome retrouverait le niveau qui était le sien avant sa blessure.

Les images de Chris Froome remontant les bidons à ses coéquipiers ne sont hélas pas une surprise en cette fin de saison. Lâché dès la première étape de La Vuelta, le qua- druple vainqueur du Tour de France (2013, 2015, 2016 et 2017) a complètement changé de dimension depuis

quelques semaines, jusqu’à enfiler le costume d’équipier de luxe pour Richard Carapaz. Mais pour Bradley Wiggins, cette étiquette devrait bientôt disparaître.

L’ancien vainqueur du Tour 2012, aujourd’hui consultant pour Eurosport Angleterre, en est persuadé : Christopher Froome est progressivement en train de revenir à son meil- leur niveau. Et ses performances encourageantes sur le Tour d’Espagne en sont le parfait exemple. “On voit un Chris Froome très actif, qui se fait mal et qui donne tout pour aider l’équipe”, avance Bradley Wiggins.

« Avec tous les coureurs qu’il parvient à lâcher, il doit commencer à se dire ‘mais oui, je peux encore

gagner des courses »

Ce dernier s’appuie notamment sur les performances de plus en plus remarquées de son ancien coéquipier. “À chaque fois qu’il est à l'avant, il tient de plus en plus long- temps dans la course et il aime à nouveau 'mettre les gens dans le rétro', ce qui accroît encore plus sa confiance. Avec tous les coureurs qu’il parvient à lâcher, il doit commencer à se dire ‘mais oui, je peux encore gagner des courses”.

La promesse de beaux lendemains ?

Pour l’ancien champion britannique, la saison 2021 devrait être une toute autre histoire pour Froome. “Je pense toujours qu'il lui reste un grand jour où il va briller de nouveau. A chaque coup de pédale, il montre qu’il revient progressivement au niveau qui était le sien.” Une vision également partagée par Sean Kelly, vainqueur de La Vuelta 1988 et également consultant pour Eurosport, qui ne manque pas de souligner la longue absence du natif de Nairobi. “On doit se rappeler qu'il était absent depuis longtemps et qu'il s'améliore lentement. Il suffit de voir comment il roule lors des étapes difficiles. (...) Il a l'air confiant maintenant et il a l’air content de la manière dont il roule. C'est tellement important pour Froome car il a besoin de cette Vuelta pour bien terminer cette saison."

Et préparer la suivante de la meilleure des manières. Une sai- son 2021 que Chris Froome, qui rejoindra Start-Up Nation, vou- dra placer sous le signe de la rédemption.

Jeudi 5 Novembre 2020

JM ORAN-2022

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En vue de la 19 ^e édition du rendez-vous méditerranéen

Plus de 1 000 guides touristiques seront formés bientôt

Des sessions de formation au bénéfice de pas moins de 1.000 guides touristiques seront lancées prochainement à Oran en prévision de la 19e édition des Jeux méditerranéens de l’été 2022, a-t-on appris mercredi auprès des

organisateurs.

Le bureau de tourisme de la ville d’Oran, l’initiateur de cette opération, a déjà arrêté les conditions à remplir par les candidats aux sessions de formation en question, a-t- on ajouté de même source.

Parmi ces conditions, les concernés doivent être âgés entre 18 et 35 ans, tout en ayant un niveau universitaire et maîtrisant au moins une langue étrangère, détaille-t- on. Les organisateurs ont également fait savoir que ces sessions de formation sont ouvertes aux personnes aux

besoins spécifiques.

Dans le même ordre d’idées, le comité d’organisation des jeux méditerranéens (COJM), dirigé par l’ancien champion algérien en natation Salim Iles, a annoncé avoir reçu au sein de son siège un groupe d’étudiants accompagnés par le professeur Senhadji.

« L'occasion a permis d’ef-

fectuer une séance de travail avec la Commission des cérémonies d’ouverture, de clôture et des activités cultu- relles. Des circuits touris- tiques, bien étudiés, ont été proposés pour la mise en valeur de la ville d’Oran comme destination touris- tique d’excellence », a indi- qué le COJM sur sa page

Facebook officielle.

Le même organisme a fait savoir, en outre, que les étu- diants ont, aussi, propose des modèles de restauration, rénovation et modernisation des sites historiques et cultu- rels de la ville, poursuivant que plusieurs séances de travail, entre les deux parties, sont programmées dans les prochains jours .

Les organisateurs des JM, prévus du 25 juin au 5 juillet 2022, disent accorder un intérêt particulier à l’aspect touristique à l’occasion de cette manifestation sportive régionale que l’Algérie va abriter pour la deuxième fois de son histoire, après avoir accueilli à Alger la septième édition en 1975, rappelle-t- on.

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La nouvelle saison sportive de tennis de table (2020-2021), dont l’entame pourrait avoir lieu en janvier prochain, sera exception- nelle, mais aussi la plus courte, d’après le président de la Fédération algérienne (FATT), Cherif Derkaoui :

« C’est regrettable pour tout le monde, mais la nouvelle saison de tennis de table sera courte au vu de tout ce qu’on a vécu à cause de la pandémie de corona- virus (Covid-19), et surtout exceptionnelle, car elle drainera avec elle certaines exigences sanitaires inhabituelles pour l’en- semble des pongistes », a-t-il déclaré.

D’ailleurs, d’importantes déci- sions et recommandations devraient sanctionner la réunion du collège technique national, prévue samedi avec les techni- ciens de la discipline qui auront non seulement à évaluer la sai- son écoulée, mais aussi discuter de celle à venir.

« Même s’il n'y aura pas trop de changements dans le système de compétition, on sera appelé peut- être à annuler quelques tournois par rapport à la précédente sai- son. On doit aussi adapter notre calendrier par rapport à nos échéances internationales de

2021, lors de laquelle on va retrouver toutes les compétitions de l’ITTF reportées de 2020 », a indiqué le président de la Fédération algérienne de tennis de table. Lors de sa dernière réu- nion, le bureau exécutif de la FATT avait décidé d'arrêter défini- tivement la saison 2019-2020, attribuant les titres de champion à l’AC Boudouaou (dames) et l’AJ Khroub (messieurs).

Parmi les autres importantes décisions entérinées par le bureau exécutif, l’annulation de la relégation et l’accession de qua- tre clubs supplémentaires en Nationale Une (deux pour chaque genre).

« On va avoir, pour la saison pro- chaine, un championnat à dix clubs (messieurs) et autant en dames, au lieu de huit comme lors du précédent exercice. C’est une décision logique après tout ce que les clubs ont enduré durant la saison avec cette pan- démie », a justifié Derkaoui.

Interrogé sur le démarrage de la saison 2020-2021, le premier responsable de la FATT souhaite qu’elle débute au mois de janvier prochain, si les conditions sani- taires s’y prêtent.

« On sait que tout le monde a hâte de retrouver le chemin, tout

d’abord des entraînements et ensuite de la compétition, c’est notre souhait. Le mois de janvier est idéal pour débuter la saison, mais sous réserves. La situation sanitaire actuelle n’est pas bonne, on espère qu’elle va s’améliorer d’ici au début de l'an- née », a souhaité Cherif

Derkaoui, tout en assurant que son instance suit de près l’évolu- tion de la situation.

« Notre premier souci est l’ouver- ture des salles et lieux d’entraî- nement pour les clubs et athlètes afin de leur permettre de retrou- ver le chemin de la préparation qui doit être conséquente (envi- ron deux mois). Ce n'est qu'avec ces conditions qu'on pourra espérer débuter la saison », a conclu le président de la FATT.

CHeRiF deRkAoui, pRéSident de lA FAtt

« La nouvelle saison sera courte et exceptionnelle »

CSA Jil MouStAkAbel  el HiMAyA

L’AGO aura lieu cet après-midi (17h00)

L’Assemblée Générale Ordinaire (AGO) du club amateur « JIL Moustabel El Himaya » aura lieu cet après-midi à partir de 17h00 au niveau du siège  de l’association  sis 17 rue Harrichet (Alger-centre). Conformément à la règlementa- tion, l'ordre du jour de cette session portera sur : la désignation des trois commissions, en l’occur- rence  celle  des candidatures, de recours et de la passation des consignes. Mais également, sur l’adoption des Bilans Moral, Technique et

Financier de l’exercice, la lecture rapport com- missaire au compte, sur le plan d’action et prévi- sions budgétaires 2020/2021 et enfin la lecture la synthèse du bilan de mandat olympique.

S’agissant de l’assemblée générale élective, elle est prévue pour le lundi16 novembre 2020 à par- tir de 17h00.

CSA CHAbAb RiAdHi el-ASSiMi

L’AG Ordinaire le 09 novembre prochain

La Présidente du CSA Chabab Riadhi el-Assimi de la Commune de Sidi M'Hamed (CSA/CRA) informe l’ensemble des membres statutaires de l'assemblée générale de la tenue de l'AG Ordinaire qui aura lieu le 09 novembre 2020 à partir de 15h30 au siège de l'association sis au 03 Rue colonel Ali Mellah place du 1er Mai, Alger. Par ailleurs, la date de l'assemblée générale élective est prévue le jeudi 19 novem- bre 2020 à partir de 16h00 à la même adresse.

F t b a l l ^ActuALité

Jeudi 5 Novembre 2020

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Pour disputer la double confrontation à Alger

Le Zimbabwe refuse la proposition de la FAF

La Fédération zimbab- wéenne de football (ZIFA), a rejeté la proposition de son homologue algérienne (FAF), de disputer à Alger la double confrontation

Algérie-Zimbabwe prévue les 12 et 16 novembre pour le compte des éliminatoires de la CAN-2021

« Les Algériens nous ont proposé de faire jouer les deux matchs sur leur sol, avec en contrepartie eux le payement de notre héber- gement. Mais nous avons refusé cette offre. Nous ne pouvons pas vendre notre âme. Regardez, le pays est actuellement d’humeur fes- tive après la levée de l’inter- diction du stade national des sports », a déclaré le président de la ZIFA, Felton Kamambo, au quotidien The Herald.

Le site spécialisé

Soccer24.zw, avait rapporté que la FAF aurait proposé à la ZIFA de payer les frais relatifs au déplacement de la délégation zimbab- wéenne et d’autres frais connexes. Une proposition qu’elle a carrément refusée arguant le fait que les Warriors tiennent à jouer à domicile, surtout après la décision prise par la Confédération africaine (CAF) de lever temporaire- ment l’interdiction au Zimbabwe d’accueillir ses matches internationaux à cause du mauvais état de ses stades .

Mieux encore, le Zimbabwe a fait une contre-proposition aux champions d’Afrique les invitant à jouer plutôt les deux manches à Harare. « Nous leur avons proposé que les deux matchs soient joués au stade national des sports de Harare, et nous prendrions en charge leurs frais d’hébergement, mais ils ont également refusé », a fait savoir le patron de la ZIFA. Mais la FAF a refusé à son tour cette proposition.

Pour rappel, l’Algérie occupe après deux jour- nées la 1re place du Groupe H avec 6 points, devant respectivement le Zimbabwe (4 pts) et le Botswana (1 pt), alors que la Zambie ferme la marche avec 0 point. Les deux pre- miers du groupe se quali- fient pour la phase finale de la CAN-2021.

Les Verts se mettent déjà dans le match

L’Algérie affrontera le Zimbabwe le jeudi 12 novembre 2020 au stade 5- Juillet à Alger à 20h30 pour la 3e journée des qualifica- tions à la Coupe d’Afrique des nations 2021. Les pre- miers échos qui filtrent sem- blent s’aligner avec ceux de la dernière CAN. La prépa- ration ne sera pas différente des autres regroupements

«elle se fera de la meilleure façon possible», aimait répéter le sélectionneur Djamel Belmadi. En résumé, retenant ces trois principes de réussites de D.

B. : sérénité, confiance et concentration. Un bon dosage de ces trois choses mobiliserait les joueurs appelés à affronter le Zimbabwe. Des propos qui nous rappelle ceux de la finale de la CAN-2019. En attendant le jour «J», les joueurs retrouvent la même ambiance et la même envie d’aller sauter toutes les bar- rières pour préserver leur titre de champions. Ce qui, selon quelques avis recueil- lis auprès des ex-internatio- naux de football, n’est pas impossible. Chaque regrou- pement est un moment pour s’oxygéner, et surtout se mettre à jour selon le pro- gramme du sélectionneur.

Pour un autre technicien

«c’est important de savou- rer chaque moment. Ils sont à présent habitués à travail- ler ensemble, à réfléchir ensemble et surtout à se corriger mutuellement. Le travail est amplement par-

tagé par tous, sous le contrôle du sélectionneur qui ne ménage aucun effort pour préparer ses hommes aux grands défis des com- pétitions internationales, lesquels manifestent des envies de passer à l’action tout en gardant les pieds sur terre. Le huis clos, imposé par la pandémie affecterait-il le spectacle que promettent les cham- pions qui veulent finir sur la plus haute marche ? On le saura le 12 novembre. C’est aussi ce qui réveille les questions remarquées au cœur des discussions et des analyses des confrères des rédactions sportives».

Disant que la venue de Belmadi fait des joueurs, de véritables acteurs prêts à faire face à toute éventua- lité. Ce sont des joueurs qui prennent tout le temps de mesurer la difficulté de rem- porter des trophées

lorsqu’ils évoluent dans une sélection nationale par rap- port à leurs clubs respectifs.

«Oui, car quand on est joueur, on est actif et acteur», déclarait un sélec- tionneur et d’ajouter «la réussite du staff est liée aux joueurs, et c’est pour ça qu’il ne faut jamais leur enlever le match». Le climat permet aux Verts de se pré- parer lors du stage et pren- dre le temps de passer au peigne fin la stratégie qui ferait bloquer l’adversaire sur le stade 5-Juillet et sortir avec une victoire qui confor- tera la suite du programme.

Rappelant que la

Fédération zimbabwéenne de football, en butte à des

contraintes financières, sou- haite une contribution de divers partenaires pour financer le déplacement de sa sélection nationale pour affronter l’Algérie le 12 novembre dans le cadre des qualifications de la CAN-2021, selon l’APS. Au quotidien NewsDay, le vice- président par intérim de la ZIFA, Philemon Machana espérait que leur gouverne- ment contriburait à subven- tionner le voyage en

Algérie. Laquelle Fédération zimbabwéenne devrait débourser plus de 200 000 dollars pour le match à l’ex- térieur, puisque l’équipe uti- lisera un avion affrété du fait qu’il n’y a pas de vols directs vers Alger. L’offre la moins chère reçue à ce jour s’élève à 152 000 USD. Et d’ajouter «c’est une situa- tion très difficile car il n’y a pas de vols vers l’Algérie», a déclaré Machana. Ce der- nier va plus loin «l’option que nous avons est d’affré- ter un avion, mais là

encore, c’est une route coû- teuse car le devis le moins cher pour un avion de 40 places est de 152 000 dol- lars (…) Nous explorons donc les options d’un avion plus grand car il y a environ 20 étudiants qui sont actuel- lement en Algérie et qui veulent rentrer chez eux». Il reste que les Zimbabwéens se disent être suffisamment armés à jouer les 8es, les quarts, les demi-finales, voire la finale. Etre perfor- mant contre des joueurs de haut-niveau. Nous revien- drons sur cette question relative à la programmation de cette rencontre.

FAF Réunion du BF le jeudi 19 novembre 2020

La Fédération algérienne de football (FAF) a annoncé sur son site officiel que le bureau fédéral (BF) tiendra une réunion statutaire, le jeudi 19 novembre 2020 au siège de l’instance à Dely Brahim avec comme ordre du jour :

1. Appel des membres.

2. Adoption du procès-verbal de la session du 4 octobre 2020.

3. Rapports des ligues :

a. Ligue de football professionnel (LFP).

b. Ligue nationale de football amateur (LNFA).

c. Ligue inter régions de football (LIRF).

d. Ligue de football féminin (LFF).

e. Ligue nationale de Futsal.

4. Direction technique nationale (DTN).

5. Rapport des Commissions : a. Commission des Finances.

b. Commission de Coupe d’Algérie.

c. Commission médicale.

d. Chambre nationale de résolution des litiges (CNRL).

e. Commission fédérale d’arbitrage.

f. Commission du football féminin.

g. Commission de coordination avec les Ligues.

h. Commission du statut du joueur.

i. Commission Futsal et Beach-soccer.

Jeudi 5 Novembre 2020

BOXE

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Bien qu’exclue du mouvement olympique, criblée de dettes

A l’AIBA, les candidats

se bousculent au portillon !

Qui l’eût cru. Exclue du mouvement olympique, criblée de dettes et sans le sou, l’AIBA fait encore rêver les diri- geants. Ils sont sept, pas un de moins, à se présenter sur la ligne de départ de la course à sa présidence. Sept

postulants officiellement enregistrés à moins de six semaines de l’élection. Un record. Et même, allez, une énigme.

J

usqu’à la semaine passée, le peloton des candidats comptait cinq noms. l’Azeri Suleyman Mikayilov s’était déclaré le premier.

Le Dominicain Bienvenido Solano l’avait rapidement imité, suivi de peu par Anas Al Otaiba, citoyen des Emirats arabes unis. Le Néerlandais Boris van der Vorst s’est ensuite joint à la course. Enfin, le Russe Umar Kremlev a officialisé une candidature pressentie depuis plusieurs mois.

Ils étaient cinq. Ils sont désormais sept. Deux autres partants sont sortis du bois au tout dernier moment, lundi 2 novembre, date limite fixée par l’AIBA pour déposer une candidature à la présidence.

Le premier n’est pas un inconnu.

Mohamed Moustahsane assure l’inté- rim à la présidence de l’instance internationale de la boxe depuis le mois de mars 2019. Il avait été appelé à la rescousse après le renoncement, réclamé à cors et à cris par le CIO, du sulfureux Ouzbek Gafur Rakhimov. Mais le Marocain avait assuré qu’il ne souhaitait pas transformer l’intérim en position plus durable. Il a changé d’avis. A moins qu’il ait joué de l’effet de surprise pour tenter de déstabiliser la concur- rence. Mohamed Moustahsane a adressé en début de semaine une

lettre à l’ensemble des fédérations nationales membres de l’AIBA, où il déclare ses intentions. « Pendant plus de 20 ans, j’ai eu le privilège d’exercer différentes fonctions dans la boxe. Aujourd’hui, je crois que je peux dire que je connais l’AIBA sur le bout des doigts. J’ai le plaisir et l’honneur de briguer la présidence à un moment charnière pour l’AIBA.

Notre organisation est confrontée à des défis qui exigent un esprit de col-

laboration et, plus important encore, un dirigeant qui comprenne les com- plexités et les pressions actuelles. » Le Marocain insiste également sur sa volonté de profiter de son leadership pour regagner la confiance du CIO.

Pas simple.

Autre engagé de la dernière minute : l’Allemand Ramie Al-Masri. Originaire de Palestine, réputé pour parler une demi-douzaine de langues, ce chef d’entreprise dans les nouvelles tech-

nologies fait figure d’invité surprise dans la course à la présidence. A son actif, une position de président de la commission des arbitres à la

Fédération allemande de boxe (DBV).

Ramie Al-Masri a écrit lui aussi à toutes les fédérations nationales pour déclarer sa candidature à la prési- dence de l’AIBA. Mais à la différence de Mohamed Moustahsane, il ne pré- tend pas connaître l’instance dans ses moindres recoins. A l’inverse, le dirigeant allemand met en avant un parcours jusque-là très éloigné des arcanes du pouvoir, donc des affaires, une « virginité » susceptible de rassurer le CIO.

Avec sept candidats, l’élection à la présidence de l’AIBA prévue les 12 et 13 décembre prochain pendant le congrès de l’instance, s’annonce très indécise. Les alliances et les reports de voix rendent possible la victoire d’un outsider. Mais, au-delà du seul nom du nouvel homme fort de la boxe mondiale, le CIO observera depuis Lausanne, en Suisse, la com- position du comité exécutif.

L’instance olympique veut de la nou- veauté. Pas seulement en appa- rence.

Source :francsjeux.com

12

La tension monte à Tokyo. La capitale japonaise accueille dimanche 8 novembre un tournoi de gymnastique à quatre nations, le Japon, la Chine, les Etats-Unis et la Russie. La pre- mière compétition sportive internatio- nale organisée au Japon depuis le début de la pandémie. Elle doit ras- sembler 32 gymnastes, au Yoyogi National Gymnasium de Tokyo (notre photo). Pour les organisateurs des Jeux comme pour la Fédération inter- nationale de gymnastique (FIG), l’évé- nement est d’importance. La compéti- tion ne servira pas seulement de test pré-olympique pour les Jeux de Tokyo.

Elle permettra surtout de mesurer l’ef-

ficacité des mesures anti-COVID-19 envisagées l’an prochain. Jusqu’à 2 000 spectateurs seront autorisés à l’in- térieur de la salle de compétition. Les gymnastes étrangers ont dû subir des tests contre le coronavirus dans les 72 heures précédant leur départ pour le Japon, où ils étaient attendus hier, mercredi 4 novembre. Une fois sur place, ils seront testés de façon quoti- dienne. « Nous effectuerons des tests tous les jours pour donner aux athlètes un sentiment de sécurité », a expliqué le président de la Fédération internationale de gymnastique (FIG), le Japonais Morinari Watanabe. Les gymnastes étrangers doivent être

séparés des autres passagers à leur arrivée à l’aéroport de Tokyo. Chaque pays a réservé son propre étage à l’hôtel de la compétition. Les équipes utilisent des bus différents pour se

déplacer entre l’hôtel, la salle d’entraî- nement et le lieu de compétition. Les gymnastes ne sont autorisés à sortir que pour s’entraîner ou participer à la compétition.

tournoi intErnational à quatrE nations à tokyo, lE 8 novEmbrE prochain

32 gymnastes vont jouer les cobayes

AtHLEtISME

La Fédération russe d’athlé- tisme (RusAF) pourrait bien être très prochainement pré- sidée par une femme. Et pas la moins illustre. L’agence TASS annonce que l’an- cienne sprinteuse Irina Privalova, championne

d’Europe sur 100 et 200 m en 1994, médaillée d’or sur 400 m haies aux Jeux de Sydney 2000, a été nominée pour le poste suprême. Elle aurait des chances sérieuses de l’emporter lors de l’élec- tion à la présidence, prévue

le 30 novembre 2020. Le siège de président de la RusAF est vacant depuis la démission de son occupant, Evgeny Yurchenko, le 13 juil- let écoulé. Ce dernier conti- nue à assurer l’intérim jusqu’à la tenue des élec-

tions, mais il a fait savoir qu’il ne se porterait pas candidat.

Le nom d’Irina Privalova avait déjà circulé au cours de l’été dernier, après le renon- cement d’Evgeny Yurchenko, mais l’ancienne athlète avait assuré ne pas vouloir postu-

ler à la présidence. Elle sem- ble avoir changé d’avis. A 51 ans, elle est nominée par la Fédération de Moscou d’athlétisme.

a G ElEctivE dE la Fédération russE (rusaF) :

Irina Privalova en lice pour la présidence

F t b a l l ^ActuALIté

Jeudi 5 Novembre 2020

5

pour préparEr son rEtour à la compétition

Du football de quartier pour Belaïli

Le joueur international Youcef Belaïli pratique le football de quartier le temps de rejoindre le club avec lequel il a signé le mois dernier le Qatar SC suite à sa rupture de contrat avec l’équipe du Ahly Saudi FC.

L’ancien joueur de l’équipe du Ahly saou- dien, Youcef Belaïli, a été entrevu faisant des matchs entre les quar- tiers de la ville d’Oran en Algérie, hier. Le joueur se suffit de jouer au quartier le temps de rejoindre sa nouvelle équipe du Qatar SC avec laquelle il a signé un contrat électro- nique.

Le joueur international a

conclu un marché de deux ans avec sa nou- velle équipe. Il faut dire qu’il a dû faire face à plu- sieurs péripéties surtout avec son ex-club du Ahly Saoudien. D’après notre source  son ancien club lui a mis les bâtons dans les roues en faisant exprès de tarder pour délivrer le certificat de transfert.

D’après Dz Foot, le res- ponsable d’Al Ahli a confié : « Nous n’avons pas besoin de faire venir des stars, nous avons besoin de joueurs prêts à se battre sur le terrain.

On doit désormais étudier la personnalité des

futures recrues. Le côté

psychologique est un élé- ment important chez le joueur professionnel » après avoir déclaré que le joueur

algérien n’est pas sérieux dont même l’entraîneur s’est plaint.

Conflits entre le joueur et son ancien club  D’après notre source, suite à la propagation de la pandémie, Belaïli n’a pas pu rejoindre son ancien club d’Al-Ahly Djeddah à cause de la fermeture des frontières.

Mais le club lui a envoyé un avion privé jusqu’à Oran pour un départ à Djeddah suite à l’inter- vention du ministre des

sports. Sauf que le joueur a refusé de se déplacer après que son père qui est aussi son agent le lui a interdit. 

Le club a donc déclaré que si le joueur voudrait s’en aller, il sera dans l’obligation de débourser 2 millions d’euros mais la FIFA a fini par donner

gain de cause au

joueur après son accusa- tion de salaires impayés qui ont été bloqué suite à son refus de retour à Djeddah. Rappelons que ce dernier a dû se libérer de tout contrat pour s’en- gager avec sa nouvelle équipe

Consciente de l’évolution du monde du football et des défis inédits qu’il doit relever à tous les niveaux, la FIFA lance son premier Diplôme en gestion des clubs. Dispensée par des experts de l’industrie du ballon rond, cette forma- tion aspire à fournir aux dirigeants de clubs du monde entier les connais-

sances et informations les plus actuelles.

Le diplôme répond à la volonté de la FIFA de créer un écosystème plus équilibré en facilitant l’ac- cès aux outils et à l’exper- tise disponibles ; il vise ainsi à accroître aux qua- tre coins du monde le nombre de clubs à même de concourir au plus haut

niveau.

Le cursus abordera les dernières tendances, notamment les meilleures pratiques, dans les

domaines suivants : lea- dership et management, activités opérationnelles et gestion du stade, aspects sportifs et forma- tion, questions juridiques et de gouvernance, mar-

keting et communication, et enfin finances.

La formation débutera en mars prochain par des cours en ligne et prendra fin en janvier 2022. Sous réserve des restrictions de déplacements, des cours en présentiel sont programmés du 9 au 12 septembre 2021 (à Londres) et du 13 au 16

janvier 2022 (à Zurich).

De plus amples informa- tions sur la première édi- tion du Diplôme de la FIFA en gestion des clubs sont disponibles sur le site. Le formulaire d’ad- mission est déjà disponi- ble sur legal.fifa.com et les inscriptions sont possi- bles jusqu’au 6 janvier 2021.

Selon le site pananfricanfootball- club, la concurrence est relancée entre Alexandre Oukidja et Rais M’Bolhi.

Incontestablement, s’il y a un joueur algérien, qui affiche une forme éclatante en ce début de saison, c’est le gardien de but du FC Metz, Alexandre Oukidja.

Et c’est grâce au gardien si l’équipe messine occupe la pre- mière moitié du tableau après 9 journées de championnat. Cela est relativement lié aux perfor- mances du dernier rempart algé- rien.

Oukidja enchaîne les grandes prestations et met tous les spé- cialistes d’accord. A quelques jours de l’entame du regroupe- ment du mois de novembre (du 9 au 17) qui sera ponctué par une double confrontation Algérie- Zimbabwe comptant pour les 3e et 4e journées des élimina- toires de la CAN-2022, , la ques- tion du gardien de but numéro un se pose.

En effet, et même si M’Bolhi a

toujours eu les faveurs des pro- nostics même lorsqu’il était au chômage, force est de reconnaî- tre que le niveau affiché par son subalterne, Oukidja, mettra l’en- traîneur des gardiens de but de la sélection nationale, Aziz Bouras, dans l’embarras. Le der- nier rempart algérien a été l’un des principaux artisans de la der- nière victoire du FC Metz à Nîmes (1-0) face à l’Olympique local et même en équipe natio- nale face au Nigéria (1-0) où il a gardé sa cage inviolée.

Les chiffres sont favorables au Messin

Il avait privé les Crocodiles de nombreuses occasions de scorer, à l’image de ce qu’il avait fait devant l’Algérien de Nîmes, Aribi, dans les dernières minutes du match. D’ailleurs sa prestation a été saluée par le capitaine des Grenats, Dylan Bronn. «On a énormément subi, il fallait répon- dre présent dans la surface de réparation et dans les duels

aériens. “Ouki” (Alexandre Oukidja) nous sort de superbes parades en fin de match qui sont vraiment importantes et qui nous permettent de prendre les trois points», a résumé la prestation du portier algérien.

Oukidja a enchaîné 810 minutes de temps cumulées en 9

matches où il n’a encaissé que 7 buts. Il a réussi 2 clean sheet et n’a pas encaissé plus d’un but dans un match. A titre comparatif, M’Bolhi a disputé 3 matches avec son équipe, Al-Ettifaq, cumulant 270 minutes de temps de jeu. Il a encaissé 4 buts, mais reste un élément indispensable dans l’échiquier de la formation saoudienne.

M’Bolhi c’est Monsieur assurance

Lors du précédent regroupement des Verts, à l’occasion de la fenêtre Fifa du mois d’octobre, Oukidja et M’Bolhi ont disputé, chacun, un match. Le premier a réalisé une belle prestation

devant le Nigeria réalisant un clean sheet et en parallèle, M’Bolhi avait encaissé deux buts face au Mexique, dont le

deuxième aurait pu être évitable.

Ceci dit, cela ne diminue en rien l’importance de ce gardien de but avec la sélection nationale.

M’Bolhi reste tout de même Monsieur assurance derrière. Il permet à ses coéquipiers en défense d’évoluer rassurés en sachant que derrière ils ont un dernier rempart capable de tout détourner.

D’ailleurs, l’équipe nationale n’a jamais tourné le dos à ce gardien de but même lorsqu’il était passé par des moments difficiles. Même lorsqu’il était au chômage, c’était le numéro un. Cependant, la forme d’Alexandre Oukidja risque de faire bouger la hiérarchie. Ce dernier a été sélectionné dans l’équipe-type de la Ligue 1 fran- çaise de sa 9e journée. Mais est- ce suffisant pour déloger

M’Bolhi ?

La FIFA lance le tout premier diplôme en gestion des clubs

EquipE nationalE

Oukidja peut-il prendre la place de numéro 1 à M’Bolhi ?

Tout d’abord, voudriez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

Mes débuts sportifs, c’était à l’âge de 6 ans, à l’école du club omnisports de la Himaya Madania, tout juste à côté de mon domicile familial, au quartier de Sidi El Bachir (ex-Plateau) d’Oran où la plupart des jeunes du quartier sont inscrits dans diverses disciplines. Pour ma part, j’ai choisi le judo et débuté chez l’entraîneur Hamid Faradji, qui nous a tout d’abord appris l’abc du judo.

Pour mes parents, l’important était de nous éviter la rue et le danger des fléaux sociaux. Ils avaient vu juste, puisque, entre l’école et le sport, je n’avais plus le temps d’errer dans la rue.

Je suis resté dans ce club jusqu’à la catégorie des minimes.

Et quand avez-vous entamé vos premières compétitions officielles

?

En 2009, alors minime, je participe à ma première compétition officielle, au

niveau wilayal. Le stress m’a empêché d’accéder sur le podium, mais c’était une bonne expérience tout de même.

Après ça, j’ai dû persévérer pour aller de l’avant. La saison suivante, en 2e année minime, je me suis transcendé,

décrochant ainsi la première place aux Championnats de wilaya et aux

Régionaux, ce qui m’ouvre droit à une participation aux Nationaux.

Malheureusement, cette année-là, les Championnats d’Algérie ont coïncidé avec l’examen du BEF. Mes parents m’ont alors refusé d’y participer.

En étant cadet, vous changez de club. Pour quelles raisons ? Ma première année de cadet, je n’ai pas eu la chance d’aller au-delà des

Championnats de wilaya. L’année d’après, j’ai poursuivi mon parcours avec la Himaya Madania jusqu'à la fin de la saison, avant de décider de changer de club pour mieux rebondir.

J’opte alors pour le club d’Amel Braya dont la salle est située au complexe

sportif des Castors. J’y débute sans complexe chez l’entraîneur Cheikh Charef Afghoul et je dois dire que, malgré la présence de bons judokas, je n’ai pas eu de difficulté à m’intégrer. Et bien que ce nouveau club m’ait permis de renforcer mes connaissances en judo, je n’ai pas pu, pour des raisons personnelles, y poursuivre mon parcours.

Cela vous a amené à changer encore de club, n’est-ce pas ? En effet, à ma troisième année de cadet, en 2015, j’opte pour le club Miloua, présidé par Cheikh Zineddine. Un grand club connu pour son sérieux et le bon travail qui s’y fait. Je réussis alors à m’illustrer aux Championnats de wilaya et aux Régional, et ainsi à me qualifier aux Nationaux. Je me prépare

d’arrache-pied pour cette compétition nationale où je me distingue en finale en décrochant la médaille d’Or. Ce premier titre national va m’ouvrir les portes de la sélection nationale où très vite, on entame les stages et la préparation pour les Championnats d’Afrique cadets, qui se sont déroulés à Charm El Cheikh, en Egypte. J’entame cette compétition africaine avec détermination, réussissant coup sur coup à balayer un concurrent marocain en quart, puis un Tunisien en demi-finale. En finale, je combats contre le favori de la compétition, un champion égyptien nommé Islam Al Badawy, que je réussis à terrasser devant son public et, du coup, à engranger le titre de champion d’Afrique. Et je dois dire qu’à aucun moment je n’ai douté de mes capacités.

La même année, vous participez aux Championnats du monde.

Qu’avez-vous ressenti alors ? Certes, après les championnats d’Afrique du mois d’Avril, on a vite entamé la préparation en prévision des Championnats du monde, qui se sont déroulés en août, en Bosnie. L’occasion pour moi de me frotter au haut niveau.

J’ai ainsi l’honneur de battre au premier tour un concurrent belge, puis un Luxembourgeois au second.

Malheureusement, je perds au 3e tour face à un grand champion allemand, qui va d’ailleurs remporter la médaille d’Or en finale. Au final, j’étais satisfait de mes prestations et surtout heureux d’avoir participé au niveau mondial et accédé au 3e tour.

Une fois junior, vous décidez de changer encore de club. Pourquoi

?

Certes, le Miloua est un club respectable, mais qui manquait

cruellement de moyens, la raison pour laquelle j’ai dû, à contre cœur, m’en séparer. Sans perdre de temps, j’intègre le club Tassili, chez l’entraîneur

Mohamed Soukhal. Désormais junior, je réussis à m’illustrer par mes

performances aux Championnats de wilaya, aux Régionaux et au Nationaux.

Mes trois années de junior, je les passe au club Tassili et, en 2017, je prends part aux Championnats d’Afrique au Caire (Egypte) où je suis éliminé en demi-finale par un concurrent tunisien.

Mais toujours est-il qu’à la faveur de ma 3e place, je participe aux Championnats du monde juniors qui ont lieu cette année-là à Zagreb, en Croatie. Et vu

que le niveau était très élevé, j’ai dû m’incliner au deuxième tour de cette compétition mondiale.

Un mot sur votre non-participation aux Championnats du monde de 2018, aux Bahamas ?

En 2018, je prticipe également aux Championnats d’Afrique, au Burundi où je décroche la 2e place, après avoir été battu en finale par un Egyptien. Cette médaille d’argent m’a permis de me qualifier aux Championnats du monde, qui se sont déroulés aux Bahamas.

Malheureusement, notre sélection nationale n’a pas pris part à ces Mondiaux pour, nous a-t-on dit, des problèmes survenus au niveau de la Fédération algérienne de judo.

Dommage car j’étais bien préparé et motivé pour aller loin dans cette compétition.

En espoir, vous avez également engrangé des titres nationaux, avant l’arrivée du Covid-19. Qu’en dites-vous ?

Effectivement, je réussis à décrocheré le titre national espoir en 2018, tout en étant junior, et je récidive en 2019, une fois devenu espoir. C’était la seule compétition qu’on ait disputée en 2019, en raison de l’avènement de la

pandémie et l’arrêt, dès le mois d’avril, de toutes les compétitions et activités sportives. Un coup dur pour tous les sportifs, contraints au confinement et à la préparation en solo. Et je dois dire que, comme c’est le cas pour la majorité des athlètes, je n’ai pas bénéficié d’un programme spécial pour mes

entraînements. J’ai dû en effet me prendre moi-même en charge, avec des séances effectuées à mon domicile et parfois en forêt.

Entre-temps, on vous propose d’intégrer un club nouvellement créé …

Effectivement, sur proposition de certains de mes amis judokas, j’intègre le club Al Azm, domicilié au complexe sportif des Castors. Un club

nouvellement créé et présidé par un autre champion d’Afrique, qui n’est autre que Nourine Fethi, un ami de longue date. Je n’hésite donc pas un seul instant vu que toutes les conditions sont réunies dans ce club où l’athlète est bien considéré. Je suis aussi heureux

de travailler sous la coupe de

l’entraîneur Charef Afghoul. Maintenant, je n’attends que la reprise des

compétitions pour aller de l’avant.

On vous laisse le soin de conclure

…

Je souhaiterais que cette pandémie de Covid-19 soit vaincue enfin pour que nous puissions reprendre les

compétitions et renouer avec les bons résultats. Je ne remercierai jamais assez mes parents pour m’avoir permis de pratiquer le judo et m’avoir toujours assuré leur soutien. Je n’omettrai pas de remercier aussi tous les entraîneurs qui se sont succédé dans mon parcours sportif, notamment le premier d’entre eux en date, Hamid Faradji, sans oublier Zineddine Miloua, Cheikh Afghoul et Mohamed Soukhal. Enfin, une pieuse pensée pour mon entraîneur en Equipe nationale, le regretté Walid Baha, qui nous a quittés récemment. Qu’il repose en paix désormais.

Jeudi 5 Novembre 2020

8-9

Entretien avec un champion d’Afrique de Judo

Oussama Temri : «Malgré la Covid-19, je continue à m’entraîner sans relâche»

Un des meilleurs judokas de sa génération, le natif d’Oran Oussama Temri a fait ses premiers pas à l’école de sport de la Himaya Madania où il réussit vite à susciter de l’intérêt et à focaliser les regards, avec ses deux titres de champion d’Afrique, une médaille d’Argent toujours en compétition africaine et deux participations aux Championnats du monde où il a laissé une bonne impression, sans compter des titres nationaux et en espoir. Aujourd’hui, il fait partie d’un nouveau club et se prépare pour les prochaines échéances sportives. Sollicité pour un entretien, Oussama n’hésite pas à ouvrir son cœur à nos lecteurs.

Propos recueillis par Sadek

Belkheir

agé dE 46 anS

Décès de l’ancien joueur de l’USMBA Kaddour Lakhal

F t b a l l ^LACtUALité

Jeudi 5 Novermbre 2020

4

anciEn EntraînEUr dE l’USm algEr, il connaît biEn lE défEnSEUr cEntral dE l’En

Courbis encense Benlamri

Ancien entraîneur de l’USM Alger, Rolland Courbis connaît bien Djamel Benlamri, et n’a évidem- ment pas été surpris par son entrée remarquée face à Lille.

A

ppelé par Rudi Garcia pour entrer en jeu dès la 50e minute à la suite du carton rouge reçu par Marcelo, le champion d’Afrique 2019 ne s’est pas démonté. Véritable guer- rier dans l’âme au caractère bien trempé, le nouveau défenseur de l’Olympique Lyonnais a fait apprécier sa force physique et son état d’esprit de combattant sur la pelouse du stade Pierre Mauroy. Sur l’antenne de RMC, Rolland Courbis en a dit davantage sur le défenseur des Gones. Il promet notamment une chose aux supporters lyonnais : ils ne seront pas déçus par la hargne sans faille de leur nouveau défenseur, un véritable roc comme il y

en a peu de nos jours.

« J’ai eu le plaisir de connaître Benlamri en Algérie. C’est un garçon adorable, un guerrier. Je ne suis pas surpris de sa rentrée contre Lille. En plus, ce n’est pas facile pour un joueur sans rythme de rentrer dans un tel match. C’est une trouvaille de Djamel Belmadi (sélectionneur de l’Algérie), il a fait une CAN extraordinaire. A Lille, voir ce joueur d’1m90 se battre et n’avoir peur de rien, c’est une belle trouvaille et une confirmation pour moi.

En plus, il va assez vite malgré son gabarit. C’est vraiment une superbe recrue pour l’avenir. Plus globalement, je maintien mon avis exprimé il y a quelques mois, à savoir que l’OL a l’ef- fectif pour terminer second de notre championnat » a commenté l’ancien entraîneur du Stade Rennais, absolu- ment persuadé que l’OL a réalisé un bon coup avec Benlamri et que l’équipe de Rudi Garcia a largement de quoi terminer sur le podium de la Ligue 1.

Courtisé par le PSG et City lors du mercato estival, les deux clubs pourraient relancer le joueur selon mercatofootanglais Malgré l’intérêt du PSG et de Manchester City, Ismaël Bennacer était finalement resté au Milan AC. Mais les deux clubs res- tent intéressés par l’international algérien et prépareraient en cou- lisses leur offre respective pour convaincre le club lombard de lâcher son joueur lors du pro- chain mercato hivernal 2021..

L’Algérien vendu 50 millions d’euros ?

Pendant l’été, des offres autour de 40 millions avaient été formulées.

Elle pourraient être revues à la hausse dans deux mois

affirment les médias italiens. Pep Guardiola qui apprécierait grande- ment le profil du joueur disposerait d’une force de frappe supérieure au PSG au niveau financier afin de réaliser le transfert qui pourrait avoisiner les 50 millions d’euros au

final

Malgré l’intérêt du PSG et de Manchester City, Ismaël Bennacer était finalement resté au Milan AC. Mais les deux clubs res- tent intéressés par l’international algérien et prépareraient en cou- lisses leur offre respective pour convaincre le club lombard de lâcher son joueur lors du pro- chain mercato hivernal 2021.

concErnant lES JoUEUrS ayant été tEStéS poSitifS aU covid-19

La direction de L’USM Alger rassure les fans

La direction de l’USM Alger a annoncé, dans un communiqué de presse, que les joueurs ayant été testés positifs au covid-19, il y a quelques jours, sont désormais négatifs. « Après avoir respecté la période de confinement pour ces personnes nous avons procédé à de nouveaux tests ce lundi 2 novembre 2020 qui se sont révélés néga- tifs », a confié le board des Rouge et Noir. Pour rappel, l’équipe usmiste a été contrainte d’annuler l’ensemble de ses rencontres ami- cales jusqu’à présent à cause de la covid-19.

mErcato hivErnal

Man City pourraient recruter Bennacer

En amical, USma 0 – JSS 0

Les Usmistes ont manqué d’efficacité

L’ancien joueur de l’USM Bel-Abbès, Kaddour Lakhal, est décédé hier des suites d’une longue maladie, a annoncé le club de Ligue 1 de football.

Agé de 46 ans, Kaddour Lakhal a rendu l’âme en France où il a été transféré pour se soigner il y a plu- sieurs mois, précise- t-on.

Le défunt, qui a porté les couleurs des sélections natio- nales (toutes catégo- ries), est considéré comme l’un des meilleurs joueurs qu’a produits la for- mation de la

"Mekerra" au cours des trois dernières décennies, estiment les observateurs.

Il fut aussi l’un des artisans du premier sacre du club en

Coupe d’Algérie en 1991 lors de la finale remportée face à la JS Kabylie. Il avait par la suite porté les couleurs de l’ES Mostaganem, avant qu’il ne retourne au bercail quelques années après, plus précisément lors du règne de l’ancien président de l’USMBA, Zoubir Ghalem.

Après avoir annulée deux matchs amicaux , l’un qui devait l’opposer au

Paradou AC, au stade Ahmed-Falak d’Hydra, et le deuxième face à l’US Biskra à l’ESHRA, a cause du covid-19, la direction de l'USMA a réussit à trouver des sparring-partners disponibles, en

l’occurrence la JS Saoura.

P

our son premier match amical, l’USMA a donc affronté hier la formation du Saoura à l’ESHRA, un

premier test pour les poulains de Ciccolini qui mise beaucoup sur les joutes amicale pour jauger le niveau de préparation de

chaque joueur mais aussi commencer à travailler l'aspect technico-tactique. A trois

semaines seulement de renouer

avec la compétition officielle, à l'occasion du match de la Supercoupe d'Algérie face au CRB, il est temps de disputer le plus grand nombre de matchs amicaux afin de parfaire les automatismes, améliorer la cohésion, mais surtout dégager le onze titulaire. Cela est assujetti, bien évidemment, à l'évolution de la situation

sanitaire du groupe usmiste. En revenant au match, s’est soldé sur un score de (0-0), les usmistes ont raté beaucoup d’occasions dans le match une prestation moyenne, mais ce n’est qu’un premier match, on attendra les prochaines

rencontres pour juger l’équipe.

Les onze entrant :

Guendouz, Redouani,

Khemaissia, Alillet, Belaid, Chita, Koudri, Benkhelifa, Boumechra, Zouari, Mahious

République Algérienne Démocratique et Populaire

Jeudi 5 Novembre 2020

13

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05/11/2020 - Anep 2016017616 - Planète Sport

wilaya de médéa

daira de chellalat el adhaoura commune de chellalat el adhaoura

des marchés publics de l’ensemble

le GéRANT DeS AFFAIReS De lA COMMUNe