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^ETUUP xom SOMMAIRE. Empilements compacts et semi-compacts. I- Réseaux cristallins II- III- Structure ioniques. H- 1-1 Empilements compatis CFC et HC.

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Texte intégral

(1)

SOMMAIRE

I- Réseaux cristallins

a- Notions importantes

t>- Systèmescristallins el

modes de

réseaux

II- Empilements compacts et semi-compacts.

Introduction.

II-l

Réalisation des empilements

H-1-1

Empilements compatis CFC

et

HC.

II-1-2

Empilements

semi-compact.

II-2

Sites

interstitiels

a- Définition

b- Situation des sites lélraédriquesetoctaédriques b-I dans un

empilement

hexagonal

compact

b-2 dans

un

empilement cubique à faces centrées.

b-3 dans

un empilement

semi-compact.

III- Structure ioniques

ÏII-l structure des

composés

type

MX.

b- structure type

CsCl

(8-8).

c- structure type

NaCI

(6-6).

d- structure type

ZnS

(4-4).

c- structure type

NiAs.

f- structure type

ZnS

(Wurtzile).

III-2

Structure des composés

type

MX

2.

a- structure type

OaFa

b- structure type Rutile

TiOa

c- structure type crislobnlite Si()•

^ETUUP xom

(2)

•v

-.

d-

«mettra

1-mell.ire,(ou

en

couche) type

MX

2

d-1-structure type

CdClj

d-2structure type

Cdfc

d-3 structuredérivées

de CdCI

2 et

Cdl

2.

IH-3 Structure de composés type M

2

X

n-structure type«nti-fluorine

(Na20)

b- structure type cuprite

(Cu

20).

IH-4 Structures des composés type MX,.

. structure

de ReOj

-

ÏII-5

«ruclurcs des compote* typ* MfX*

-stmc(ure

Corundum

(Al20,).

„ W structures des composés type AMX

3 (ternaires)

-structure perovskite(CaTidi).

-condition

de

stabilité.

1,1-7

structures des composés type spineUes AM

2

X,

a. description

de

In structure

b- types

de

spinelles.

^ETUUP

(3)

1

- Les méUux

se distinguent des non-métaux par

,, «^ SL

ceducuvité Unique,

leurs propriétés

mécaniques

( résistance.

rfMM

.

*

Lcs

mélau

, peuveu,

eonsi^Sun M A- ^ —

««

desélectronsmobiles

non

localisés.

Dans un

so.ide métallique,

en

première approximation,

un

ton me.a.hque es.

«^

à unasphère

de

rayon

donné

e.

non déformai I

es,

donc

cons.i.ue par un

empilement de

cessphères.

D

ans

un

so.ide ionique, les espèces

chinées

pr6sen.es dans le re5eaU

«n-*

son, des«nionse,des entions.

Nous

n'aUonsconsidérerque des édifices ion.qucs

ne

corr.po.tan. que des ions s.mp.es et nous étudierons la stéréoch.m.e

de quelque

HZ

stoeebiométriques

de

formule

&&* MX. MX

2,

M2X, M2X3.

AM

Les cns.a„xé.udiés seront supposés parfaits. Ces. adire

que

nous supposonsies ions

parfuma, «M*- Donc

à négliger la déforma.ion des ,ons sous

nJZ.

des au.res ions

du

réseau.

De même

le caractère covalcn,

P

art,el

sera

des rayonsioniques ( d

-

r

+ +

r-).

Les anions

M

.e

ph»

souvent plus

vo.umineu* que

.esca.rons e.

«

son.

qui impose,,, le .ype d'empi.emen. ; les ca.ions se lo

g

en. dans les in.crst.ces

du

réseau anionique.

I-

Réseaux cristallins

La

matière existesous 3état : solide, liquidee,gaz.

Un

solide peu. existersous

forme Amorphe

(

ou

vi.rcux))

ou

cris.alhn.

.

U„

so.ide

amorphe

es, une substance

isotrope. Les proprié.és phys.ques

(conduc.ivi,é.indice

de

réfraction.-.)son. indépendantesde ladirect.on.

!

„„ soUdc cAtollta

es. une substance aniso.ropc.

Ces

propriétés peuvent dépendre de]adirection.

Certaines substances peuvent exister so„s la forme

amorphe ou

cristalline. Far

exemp.e

l'oxyde de si.icium SiC, existe

sous

deux

formes :

4ETIHJP

.com

(4)

-

forme

cristalline,appeléequartz.

Forme

amorphe, appelée verrede silice.

n-

Notions importantes

Un

cristal est

un

milieu essentiellement ordonné. Les atomes, ions ou molécules sont arrangés

en

un tnotif qui se répète indéfiniment et

périodiquement suivant les trois directions

de

l'espace ;

ce

qui constitue

un

réseaiidéfinitpar lestroisvecteurs de base n, bet c.

Motif

Réseau Tridimensionnel

-

Lespoints

du

réseau sont appelés

nœuds.

Le nœud

peut être occupé par un objet (atome, ion...) qui est répété

périodiquement qu'on appelle moijf.

Dans

le réseau tridimensionnel, les

nœuds

sont déduits les uns des autres par des translations

de

type :

*

^-ua-vvb+wc

lesindices u,v et

w

sont desentiers.

- L'origine de In maille

du

réseauest

un nœud

000.

Maille.:

Le

réseau"est

donc un

assemblage de parallélépipèdes identiques construits sur les vecteursa, betc mettant des faces en

commun.

*

i

-

^ETIMJP

.corn

(5)

Une

faille c'est le plus petit parallélépipède, qui par des translations suivant les 3 directions de l'espace engendretout le réseau.

Maille tridimensionnelle

Une

maiIleest

donc

définie parsesconstantescristallographiques b,c, u, p ety.

Elle est dite simple lorsqu'elle ne possède des noeuds qu'aux sommets;

Dans

le cas contraire, lamaille estmultiple.

*

Rangée

:

Une

rangée est une droite passant par dos noeuds

du

réseau ( au

moins

deux nœuds).

Donc

toute droite passantparl'origine est appelée rangée notée |u,v, w|.

Autrement, une rangée [u, v, w], est une droite passant par l'origine et le point

de

coordonnées u, v,w.

[001]

éi

Rangée [01 0J

RangSc [1001

flan rcttculaîi'c

^ETUUP

.corn

(6)

.1

C'est

un

plan passant partrois nccuds

non

colinéaires

du

réseau.

Ce

plan est notée (hkl)

où b

:k et 1 sont desentierspositifs,négatifs

ou

nuls, dits indices

de

Miller.

-

Le

plan (hkl) leplusproche

de

l'origine coupe lesaxes ox,

oy

et

oz

respectivement

x-

«/h,

y=

b/k et

z-

c/l.

en

Remarque

Lorsque un

indice est égale à zéro ( h, k

ou

I

=0)

, le plan est parallèle à l'axe correspondant.

'

Plan

OU)

Plan(110)

S

Exemples de

plans réticulaircs :

b-

Systèmes

cristallinset

modes de réseau

Les réseaux tridimensionnels sont décrits par les paramétres de In maille a, b, c ainsi

que

Icjangles a, (5 et y.

En combinant

ces paramétres, on peut montrer qu'ilexiste septsystèmes

cristallins : Triclinique, Monoclinique, Rliomboédrique, hexagonal, Orthorhombiqne, Quadratique etcubique.

Pour

qu'un parallélépipède soil considéré

comme

maille

du

réseau (

ou

système), il faut qu'il n'existe pas de vide entre les mailles parjuxtapositions et remplissent tout l'espace.

C'est le casdessept mailles dessept systèmescristallins.

>*ETIMJP

.corn

(7)

nxçjjifiici

a \

vide

Donc

celte forme ne peut pasêtre

considérée

comme

unemaille

Çxemplc1

1

/ /

rit!

/

/

'

\

in.

La

sym

Les sept systèmes cristallins sont réalisés par

M modes

appelés

modes de

réseau»

ou

réseaux

de B

ravais»

t Sc|)l<Icces

modes

sontconstituéspardes mailles primitives

ou

simples notées P.

Les necudsse trouvent

uniquement

aux sommets.

-Les sept autres sontréalisés en ajoutantdes

nœuds

supplémentaires, soitau + centredes faces : c'est le

mode f

I centredes mailles : c'est le

mode

I ou

5 ^ETUUP xom

(8)

+

centre

de deux

faces opposées ; c'est le

mode CBouA;

suivant les faces occupées

(a,b);(a,c)

ou

(b.c).

Ces modes

se représentent

comme

suit :

^c^i ^x^i ^En

Mode

primitifP

Z-l

Modef

Z-2

Mode

C (A ouB)

Z-2

^

*

< /

Mode F Z-4

H

ennirque :

Les réseaux

de

Bravais jouent

un

grand rôle

eu

cristallographie.

Toule

structure cristalline peutêtre représentée

au moyen de

l'un deces 14 réseaux.

Pour le choix des majllgg_élémentaires, Bravais s'est basé sur deux_criléres fondamentaux a savoir :

La

symétrje_roaximale de la maille.

Le volume minimal

de la inaille.

6

-€ETUUP

.corn

(9)

-

I

I

1

I I

* Les sept systèmes

cristallins

Système

cristallin

Cubique

ri

Quadratique

Hexagonal

Rhornbo&irique

Orthorhombiquc

Monocliniquc

Triclimque

Constantes

i

cristallograjphiqucs

a

=

b

=

c

« =

(5

= 7=90^

i

i

a = p =

y

=901

a

= b*c a - P

90°f

Y

=

120'

a =

b = c

ct

= P=Y *90'

t

a*b*c

ct

= P=:y=9œ

a*b*c a

= y = 90°

P*90°

a*b/c

Modes de

réseau

14 *-

P,

ï .

F

P(R)

P

C

I

F P

C

P

€ETUUP xom

(10)

. I

8

^ETUUP xom

(11)

eu ï

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