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DJIBOUTI Mise à jour de la Sécurité Alimentaire Février 2008
• Les taux de la malnutrition aigus globaux et sévères restent au‐dessus des seuils de l'urgence d'après une étude de la nutrition menée en décembre 2007. Sans réponse adéquate, la malnutrition est possible d'augmenter en outre dû aux pluies saisonnières faibles et les hauts prix d'aliments de base. Les ressources supplémentaires sont nécessaires d'augmenter des programmes alimentaires.
• La sécurité alimentaire pastorale se détériore et les déficits alimentaires considérables existent partout dans Djibouti comme les pluies côtières d'octobre à février manquent,
après la faible pluie principale (juillet à septembre) en 2007. La performance des pluies mars à mai sera critique pour les pasteurs, mais les conditions climatiques courantes indiquent que la saison future peut être faible.
• Les prix de la nourriture restent 20 pour cent au‐dessus de moyenne, en limitant surtout l'accès de la nourriture pour les maisons urbaines pauvres. Ces ménages font face à une apparaissant indistinctement crise de la sécurité alimentaire comme ils éprouvent déjà 10 pour cent de déficits alimentaire, et l'étendue de programme alimentaire dans les zones urbaines pauvre est exigé
Calendrier saisonnier et événements significatifs
Résumé de la sécurité alimentaire
Une étude de la malnutrition récente menée par UNICEF, PAM et le Ministère de la Santé en décembre 2007 indique les niveaux persistants de malnutrition et insécurité alimentaire chronique à Djibouti. Une malnutrition aiguë globale (GAM)
Figure 1. La condition de sécurité alimentaire courante estimée, premier semestre 2008 (janvier à mars)
Source: FEWS NET Djibouti
d'un de taux de 16.8 pour cent a été enregistrée au niveau national (Figure 2), légèrement inferieur de l'étude de la malnutrition antérieure portée en 2006 pendant la période de la sécheresse. Mais ce chiffre indique encore des hauts niveaux de malnutrition qui est précité l'Organisation de la Santé Mondiale internationale (OMS) seuils pour urgence. Les taux de malnutrition aiguë sévère (SAM) ont diminué de 5.9 pour cent à 2.4 pour cent depuis 2002, mais aussi représente un problème sérieux comme ils restent précités aussi le OMS seuil de l'urgence.
Les taux de SAM sont préoccupent en particulier dans la zone de la mode de vie pastorale nord‐ouest (3.5 pour cent), dans le ville de Djibouti (2.9 pour cent), zone sud‐
est routière (2.5 pour cent) et la zone sud‐est frontalière (2.2 pour cent). Les détails de l'étude de la nutrition de 2007 sont présentés dans la section de la Nutrition ci‐
dessous.
La sécurité alimentaire dans les zones de la mode vie
pastorale se détériore, en particulier dans les régions côtières dues à l'échec des pluies de heys/dada. Le pâturage et feuille des arbres sont très limités, et les retenue d'eau presque assèchent. Les pasteurs coupant des branches des arbres de l'acacia pour nourrir leurs troupeaux qui sont un mécanisme de la survie pendant les périodes du stress. Les ressources naturelles sont limitées d'une manière alarmante, et le bétail s'est concentré actuellement dans les lits des oueds qu'ils peuvent trouver quelques arbustes verts.
Les pasteurs dans les régions intérieures font face aussi à une situation critique. Ils sont dans le milieu de leur saison sèche prolongé d'octobre à février, et les conditions physiques du bétail se détériorent anormalement dû à manque de pâturage et feuille des arbres suite a une saison pluvieuse principale faible en 2007. Comme une conséquence, la production du lait a décliné considérablement et le volume de ventes animales a été très réduit. Les pasteurs dans les zones nord‐ouest et sud est frontaliers intensifient d'autres activités revenu‐génératrices actuellement (tel que ventes de charbon de bois, bois de chauffe et sel) pour se débrouiller avec le déclin dans la production et vente animale. Le début et performance (quant à intensité et distribution spatiale) des pluies de mars à mai (sougoum/diraa) est les facteurs principaux qui détermineront la sécurité de alimentaire dans ces régions. En outre, la migration du bétail intensive, tôt de les zones côtières vers les zones de pâturage de sougoum/diraa est attendue immédiatement après le début des pluies saisonnières. Cela créera une haute concentration de bétail dans ceux zone de pâturage, et augmentera la compétition pour les ressources naturelles limitées disponibles.
La saison pluvieuse principale de 2007 (juillet à septembre) était très inferieure de normale, et la disponibilité des pâturages et feuille des arbres sont limitées anormalement. En outre, la présence courante du phénomène LA Niña (voir la section progrès Saisonnier ci‐dessous) indique que les pluies de mars à mai peuvent être faible qui exacerberait l'impact de l''augmentation du prix de denrée alimentaire de base pour pousser les pasteurs à un niveau critique d'insécurité alimentaire. Le nombre de pasteurs qui exige d'aide alimentaire est possible d'augmente a partir du mois de mars de 47,500 à environs de 55,000 personne, qui habite principalement en zone intérieures de mode de vie pastorales de nord‐
ouest et sud est frontaliers.
L'augmentation continue dans le coût du panier de la dépense pour les ménages urbains pauvres continus à limiter leur pouvoir d'achat, et le coût du panier plein est actuellement au‐delà de leur portée. Les ménages urbaines pauvres fait face à un choix critique entre pour la réduction de leur prise diététique et la réduction des dépenses sur les articles essentielle non alimentaire comme eau, écoles et médecine. Une crise de sécurité alimentaire et de mode de vie apparaît indistinctement. Le taux de malnutrition parmi les enfants et les femmes peut se détériorer encore d'avantage, et les actions de la réponse telles que l'expansion de programme de cantine scolaire dans les régions urbaines pauvres est exigé d'urgence.
Les augmentations dans les prix de la nourriture et les spéculations de marché résultantes, tel qu'amasser, sont devenues une habitude journalière pour le grossiste qui monopolise le marché de Djibouti. En réponse, le gouvernement a créé en janvier 2008 un comité national pour superviser la réserve et les des denrées alimentaire de base. Le gouvernement a commencé de fixer les prix de nourritures de base, et les grossistes et détaillants sont supposés de respecter les Figure 2. Sommaire de l’évolution de l’état nutritionnel de 2002 à 2007
Aigue de au- dessous de cinq
(Emaciation), Poids pour taille)
2002 (EDSF/
PAPFAM)
2006 (EDIM/
MICS)
2007 Etude notionnelle
Global (GAM) 17.9 20.4 16.8
Sévère (SAM) 5.9 7.1 2.4
Source: Etude nutritionnelle de 2007/UNICEF, PAM et MS
programmes de la prix‐fixation mensuels. Les mécanismes de contrôle ont été créés, et la plupart des revendeurs se soumettent à la loi.
Progrès de la saison
Aucunes pluies considérables ne sont tombées en janvier partout dans Djibouti, et les pluies de heys/dada d’octobre à février qui régénère les feuilles des arbres et les pâturages dans les régions côtières, a pratiquement manqué ce temps (Figure 3). Ces pluies servent aussi pour surmonter la période sèche normal d'octobre à février pendant que le bétail émigre aux zones côtières. Le pâturage et feuille des arbres sont épuisés dans les zone du pâturage tout côtières de Djibouti, Tadjourah et Obock, comme les pluies qui sont tombées pendant cette saison (Figure 4) sont très inferieur au seuil pour la régénération du pâturage.
En outre, la saison principal de pluie de 2007 était faible qui exacerbe l'impact des pluies de heys/dada au‐dessous de‐normales et mène à la disponibilité de l'eau totale très limitée dans la plupart des zones de la mode de vie pastorales. Les retenues d’eaux principales sont presque sèches dans les zones côtières, et ceux dans les régions intérieures ne tiennent pas une quantité suffisante d'eau pour satisfaire les besoins de bétail et les personnes. Les pasteurs doivent voyager d'anormalement longues distances pour aller chercher de l'eau.
Les perspectives du reste de la saison ne pas favorable pour ménages dépendant du bétail de dans la les zones du pâturage côtières. En conséquence, la condition de la sécurité alimentaire des pasteurs dépendra du début de la saison prochaine que normalement commence en mars. Cependant, il y a actuellement le phénomène LA Niña qui se produit quand les alizés Du Pacifique soufflent plus fortement que d'habitude, poussant la surface de l'eau chauffée par le soleil, arrogante loin de la côte d'Amérique du Sud et augmentant l'upwelling d'eau froide dans ces régions de l'est de l'océan. Avec les effets atmosphériques de l'oscillation du sud apparentée, l'eau plus fraîche est associée avec des conditions sèches que normal à Djibouti.
Un forum de la perspective du climat sera tenu à la fin de février pour développer une déclaration de la prévision officielle pour la saison, mais le phénomène de La Niña indique que la performance de la saison future peut être faible.
Marchés, commerce et accès à la nourriture
Le coût total du panier de la dépense pour les ménages urbains pauvres a augmenté légèrement ce mois (Figure 5) et reste 20 pour cent supérieure de la moyenne du quinquennat. Les prix de denrée de base et autres nourritures ont augmentés par approximativement deux pour cent depuis le mois dernier. Le sorgho a augmenté par 6 pour cent, et est 20 pour cent supérieur de la moyenne du quinquennat. Le prix de l'huile alimentaire a augmenté radicalement par 15 pour cent, en augmentant le prix courant à 48 pour cent plus haut que la moyenne du cinq année (Figure 6). Les haricots ont augmenté 2 pour cent ce mois, et le prix est maintenant 8 pour cent plus haut que la moyenne. L'augmentation continue dans le prix de haricot est due à la haute demande de consommateurs pauvres pour le produit comme une source bon marché de protéine.
Figure 3. Pluie estimatif d’octobre au décembre 2007, par rapport à la moyenne
Legend 0 - 5 5 - 20 20 - 50 50 - 80 80 - 120 120 - 160 160 - 200 200 - 300
>300 Source: FEWS NET/USGS
Figure 4. Pluie cumulative d’octobre au décembre 2007 (mm)
Legend 0 1 - 10 10 - 20 20 - 40 40 - 80 80 - 160 160 - 320
>320
Source: FEWS NET/USGS
Le prix du lait en poudre a augmentés encore par 8 pour cent ce mois, et est maintenant plus que 33 pour cent plus haut que la moyenne du quinquennat. Les seules denrées qui ont diminué dans les prix sont des légumes qui sont essentiellement dû à la récolte locale qui subit actuellement. Les autres articles des aliments essentiels se sont stabilisés à plus hauts prix, et il n'y a pas d'indications que les prix descendront pendant les mois futurs. Ces hauts prix de la nourriture principaux ont des implications négatives sur la sécurité alimentaire des ménages. Les ménages pauvres ne sont pas capables de se permettre d'acheter leurs exigences de l'énergie minimums journalières actuellement, et les ménages urbaines pauvres continuent à faire face à plus de 10 pour cent de déficits alimentaire.
Figure 5. Cout du panier des pauvres, Ville de Djibouti (en 000 FDJ/mois)
18 19 20 21 22 23 24 25 26 27
Jan-05 Mar-05 Mai-05 Juil-05 Sep- Nov- Jan-06 Mar-06 Mai-06 Juil-06 Sep- Nov- Jan-07 Mar-07 Mai-07 Juil-07 Sep-
Coût total du panier Niveau d'Observation Niveau d'urgence
Source: Djibouti DISED et FEWS NET/Djibouti
Figure 6. Les prix d’huile alimentaire et riz dans la ville de Djibouti (FDJ/kg)
0 50 100 150 200 250 300
Juil-05 Sep-05
Nov- 05
Jan -06
Ma r-06
Ma i-06
Juil-06 Sep-06
Nov- 06 Jan-07
Ma r-07
Ma i-07
Juil-07 Sep-07
Nov- 07
Jan -08
Cooking oil Rice (Belem)
Source: Djibouti DISED et FEWS NET/Djibouti
Nutrition
Les résultats d'une étude nutritionnelle menés conjointement par UNICEF, PAM et le Ministère de la Santé du Gouvernement de Djibouti et publié par le gouvernement en janvier 2008 indiquent les taux élevé de malnutrition dans toutes ses formes sur Djibouti pour les enfants au‐dessous cinq années d'âge. Le taux Malnutrition Aigue Globale (MAG) est nationalement 16.8 pour cent, et c'est légèrement moins de dans les régions urbaines (16.4 pour cent) que dans les régions rurales (17.4 pour cent). Le taux de Malnutrition Aigue Sévère (MAS) est consistent nationalement à 2.4 pour cent.
En comparant aux résultats d'EDSF/PAPFAM menés en avril 2006, il paraît que ces taux de MAG se sont stabilisés à environ 17 pour cent entre 2002 et 2007, mais est encore plus haut que le seuil d'urgence de OMS qui 15 pour cent. Les taux de MAS a réduit de 5.9 pour cent à 2.4 pour cent pendant 2002 à 2007, mais restes plus élevé que le seuil d'urgence de 2 pour cent.
La prédominance de malnutrition varie par zone de mode de vie (voir Figure 7 ci‐dessous). La zone de la mode de vie pastorale nord‐ouest est le plus sérieusement affectée dans toutes les formes de malnutrition avec un MAG de 24.8 pour cent et un MAS de 3.5 pour cent. Suivi cette zone est la zone sud est frontalière et le sous zone centrale à basse altitude, avec MAG's de 15.8 et 19.3 pour cent respectivement et MAS's de 2.2 et 1.3 pour cent respectivement.
La Ville de Djibouti est la deuxième zone (autre que la zone pastorale nord‐ouest) dans quel la prédominance de MAS a augmenté au‐dessus de la moyenne. C'est possible un résultat de consommation diététique diminuée influencé par hauts niveaux de pauvreté et les taux du chômage élevé qui affectent le pouvoir d'achat de la population pauvre. Dans la zone sud est routière, les taux de la MAS sont près de la moyenne.
Les résultats obtenus pendant cette étude montrent que la malnutrition constitue un problème de la santé public étant donné que les taux de 2.4 pour cent au MAS national, et le Gouvernement de Djibouti ont déclaré une urgence après la parution du rapport. L'attention particulière et priorité devraient être données à ces zones avec plus haut MAS, notamment nord‐ouest (3.5 pour cent), Ville de Djibouti (2.9 pour cent) et la zone pastorale sud est routière (2.5 pour cent).
Sans réponse adéquate, ces taux sont possibles d'augmenter plus loin pendant le premier trimestre de 2008 dû aux pluies côtières manquées et les prix élevé de denrée alimentaire de base. Les programmes de l'alimentation thérapeutiques et supplémentaires devraient continuer dans les régions urbaines et rurales. La population affectée est estimée ainsi de plus pour être autour de 55,000 personnes. Les rapports indiquent que le pipeline du PAM n'est pas suffisant pour combler les déficits alimentaires de la population vulnérable affectée.
Figure 7. Niveau de malnutrition, par mode de vie, décembre 2007
Source: Etude de nutrition UNICEF, PAM et MS