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De 1917 à 1920, Clemenceau est président du Conseil*.La vie politique française est marquée par la fin de l’Union Sacrée et le retour à la vie politique parlementaire.

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Texte intégral

(1)

RETOUR ACTIVITÉS

I.A- LA FIN DE L'UNION SACRÉE : P. 176-177

De 1917 à 1920, Clemenceau est président du Conseil*.

La vie politique française est marquée par la fin de l’Union Sacrée et le retour à la vie politique parlementaire.

(?1) Clemenceau est critiqué pour :

- sa mainmise sur le gouvernement.

- le maintien de la censure

- la répression des mutineries (1917) et des grèves (1919).

( ? 2 & 3) En 1919, la peur du bolchévisme est centrale dans les élections législatives :

- la SFIO ( Section Française de l'Internationale Socialiste) est divisée

- Clemenceau rallie les partis de droite et du centre au sein du « Bloc national » , soutenu par le patronat qui redoute une contagion révolutionnaire. Il remporte les élections.

I.B- L'IMPACT DE LA RÉVOLUTION RISSE EN FRANCE : P. 176-177 LE CONGRÈS DE TOURS

Au Congrès de Tours (1920), la SFIO se divise au sujet de l'adhésion à la IIIe Internationale* : la création d'un parti révolutionnaire, coordonné et soumis à Moscou.

La majorité des membres suit Marcel Cachin et crée le PCF (Parti Communiste Français) . La minorité reste dans la SFIO dirigée par Léon Blum et s'oriente vers le réformisme*-.

IIIe Internationale : organisation créée par Lénine qui réunit tous les partis communistes des différents pays sous l’autorité du parti communiste russe.

Réformisme : idéologie selon laquelle l'instauration du socialisme ne se fera pas par la révolution mais par les réformes.

II.C LE FRONT POPULAIRE : P. 178-179

→ l'arrivée du Front populaire

( ?1) En mai 1936 , le Front populaire (PCF, SFIO, Radicaux) remporte les élections législatives. Léon Blum (SFIO) est chef d'un gouvernement.

( ?3) Des grèves massives (2 millions de personnes) et spontanées, éclatent à l'annonce de la victoire afin que le Front populaire respecte ses engagements.

→ les mesures du Front populaire.

( ?4&5) Le 7 juin 1936 sont signés les accords Matignon. Le gouvernement se pose

comme arbitre entre patronat et syndicats ouvriers : - augmentation des salaires

- diminution du temps de travail : semaine de 40 heures et 2 semaines de congés payés.

- liberté syndicale dans les entreprises

- conventions collectives qui protègent les ouvriers - aides pour les chômeurs

Ces mesures permettent à des millions d’ouvriers, d’employés, de citadins de partir pour la première fois en vacances et en week-end: c'est la naissance de la

civilisation de masse et de loisirs.

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RETOUR ACTIVITÉS

I.A- LA FIN DE L'UNION SACRÉE : P. 176-177

De 1917 à 1920, Clemenceau est président du Conseil*.

La vie politique française est marquée par la fin de l’Union Sacrée et le retour à la vie politique parlementaire.

(?1) Clemenceau est critiqué pour :

- sa mainmise sur le gouvernement.

- le maintien de la censure

- la répression des mutineries (1917) et des grèves (1919).

( ? 2 & 3) En 1919, la peur du bolchévisme est centrale dans les élections législatives :

- la SFIO ( Section Française de l'Internationale Socialiste) est divisée

- Clemenceau rallie les partis de droite et du centre au sein du « Bloc national » , soutenu par le patronat qui redoute une contagion révolutionnaire. Il remporte les élections.

I.B- L'IMPACT DE LA RÉVOLUTION RISSE EN FRANCE : P. 176-177 LE CONGRÈS DE TOURS

Au Congrès de Tours (1920), la SFIO se divise au sujet de l'adhésion à la IIIe Internationale* : la création d'un parti révolutionnaire, coordonné et soumis à Moscou.

La majorité des membres suit Marcel Cachin et crée le PCF (Parti Communiste Français) . La minorité reste dans la SFIO dirigée par Léon Blum et s'oriente vers le réformisme*-.

IIIe Internationale : organisation créée par Lénine qui réunit tous les partis communistes des différents pays sous l’autorité du parti communiste russe.

Réformisme : idéologie selon laquelle l'instauration du socialisme ne se fera pas par la révolution mais par les réformes.

II.C LE FRONT POPULAIRE : P. 178-179

→ l'arrivée du Front populaire

( ?1) En mai 1936 , le Front populaire (PCF, SFIO, Radicaux) remporte les élections législatives. Léon Blum (SFIO) est chef d'un gouvernement.

( ?3) Des grèves massives (2 millions de personnes) et spontanées, éclatent à l'annonce de la victoire afin que le Front populaire respecte ses engagements.

→ les mesures du Front populaire.

( ?4&5) Le 7 juin 1936 sont signés les accords Matignon. Le gouvernement se pose

comme arbitre entre patronat et syndicats ouvriers : - augmentation des salaires

- diminution du temps de travail : semaine de 40 heures et 2 semaines de congés payés.

- liberté syndicale dans les entreprises

- conventions collectives qui protègent les ouvriers - aides pour les chômeurs

Ces mesures permettent à des millions d’ouvriers, d’employés, de citadins de partir pour la première fois en vacances et en week-end: c'est la naissance de la

civilisation de masse et de loisirs.

Références

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