• Aucun résultat trouvé

L'ALIMENTATION DU CRAPAUD COMMUN BUFO BUFO Linnaeus, 1758

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "L'ALIMENTATION DU CRAPAUD COMMUN BUFO BUFO Linnaeus, 1758"

Copied!
9
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: hal-02938831

https://hal.sorbonne-universite.fr/hal-02938831

Submitted on 15 Sep 2020

HAL is a multi-disciplinary open access

archive for the deposit and dissemination of

sci-entific research documents, whether they are

pub-lished or not. The documents may come from

teaching and research institutions in France or

abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents

scientifiques de niveau recherche, publiés ou non,

émanant des établissements d’enseignement et de

recherche français ou étrangers, des laboratoires

publics ou privés.

L’ALIMENTATION DU CRAPAUD COMMUN BUFO

BUFO Linnaeus, 1758

Jean Lescure

To cite this version:

Jean Lescure. L’ALIMENTATION DU CRAPAUD COMMUN BUFO BUFO Linnaeus, 1758. Vie et

Milieu , Observatoire Océanologique - Laboratoire Arago, 1964, pp.757-764. �hal-02938831�

(2)

L'ALIMENTATION DU CRAPAUD COMMUN

BUFO BUFO Linnaeus, 1758

par Jean LESCURE

Laboratoire d'Ecologie générale du Muséum d'Histoire naturelle, Brunoy

L'étude systématique des contenus stomacaux de Batraciens capturés dans la nature, permet de se faire une idée plus exacte de leur régime alimentaire que par l'observation en vivarium.

En raison de l'absence de ce genre de travail pour Bufo bufo jusqu'à ces quinze dernières années, les auteurs d'ouvrages sur les Batraciens citaient indistinctement : Vers, Insectes et Limaces comme ses proies habituelles (BOULENGER, 1897; ANGEL, 1947). Or,

le problème se pose de savoir si le Crapaud commun, comme les autres Amphibiens, effectue une certaine sélection dans sa recherche de la nourriture.

COTT (1940) publiait déjà dans « Adaptative Coloration » un

tableau comparatif de l'alimentation de 45 Bufo bufo, et 17 Rana

temporaria récoltés en Angleterre dans le même habitat. Il y cons-tata des dominances alimentaires propres à chaque espèce et les confirma ensuite en dressant le bilan respectif du nombre de Four-mis et de Mollusques avalés par 352 Crapauds communs, et 282 Gre-nouilles rousses capturés durant plusieurs années, dans des lieux différents. 145 Crapauds (41,2 %) contre 8 Grenouilles (2,8 %)

avaient avalés des Fourmis alors que 84 Grenouilles (29,8 %) contre 26 Crapauds (7,4 %) avaient happé des Mollusques.

En France, aucune étude d'ensemble concernant Bufo bufo ne fut entreprise sinon par HEIM DE BALZAC (1937), qui avait établi

une liste de ses proies habituelles sans aucune donnée statistique, et par THÉODORIDÈS (1953), qui publia l'examen des contenus

(3)

— 758 —

Par contre, André DUPONT (1962) dans un diplôme sur

l'ali-mentation des Batraciens de Lorraine a dressé, entre autres, l'in-ventaire des contenus stomacaux de 39 Crapauds communs.

Pour ma part, en examinant le plus complètement possible les contenus stomacaux et intestinaux de 50 Bufo bufo L., provenant de régions différentes, j'ai voulu ainsi savoir s'il existait vraiment un problème de la sélection de la nourriture pour cette espèce de Batracien, et vérifier la constance de ses variations alimentaires.

Les 50 Crapauds examinés furent capturés en dehors de la période de reproduction, moitié en 1961, et moitié en 1962, 39 pro-venant de l'Ouest de la France (Vendée, Normandie, Anjou, Bre-tagne), 8 de l'Ile de France et 2 de la Provence.

47 Crapauds ont été pris entre 20 h 45 et 22 h 30, avec un maximum de 17 aux environs de 22 h, 7 autres ont été trouvés dans la journée. Au point de vue taille, ce lot de 50 Crapauds résu-merait assez justement les dimensions d'une population adulte

«

3

o

a

Fia. 1. — Taille des 50 Crapauds.

abondante. En France, en effet, l'existence de races géographiques paraît certaine (REY, 1946), les races méridionales étant les plus

grandes. La moyenne de ma récolte est légèrement supérieure à celle de DUPONT en Lorraine et même à celle de REY dans le Jura (cf.

figure 1). Dès le retour de la chasse, les Crapauds étaient mesurés, pesés si possible, puis tués. Les contenus stomacaux et intestinaux aussitôt extraits, étaient nettoyés puis fixés dans l'alcool.

(4)

RÉSULTATS

TABLEAU I

Analyse qualitative des contenus stomacaux et intestinaux Ce tableau indique le nombre de Crapaud ayant avalé tel ou tel type d'Invertébré.

La première colonne concerne le lot 1961 (25 Bufo), la deuxième concerne le lot 1962 (25 Bufo), la troisième le total de la récolte (50 Bufo) et la quatrième le pourcentage (le même rapport calculé pour 100 Bufo). (Ce pourcentage est désigné par les Américains : fréquence d'apparition.)

TYPES DE PROIES Lot 1961 25 Bufo Lot 1962 25 Bufo Récolte totale 50 Bufo Pour-centage % = 100 B. Insectes : 25-25 25-25 50-50 100 % de Bufo Aptérygotes : Collemboles, 5 7 12 24 % Dictyoptères : Blattidés 1 1 2 4 % 2 0 2 4 % Dermaptères 11 11 22 44 % 24 24 48 96 % 1 3 4 8 % (larves : 3) 3 4 7 14 % Hyménoptères : Fourmis 20 22 42 84 % 2 1 (vespid.) (Apid.) Hémiptères 15 8 23 46 % Arachnides : 12 13 25 50 % Aranéides 9 8 17 34 % 3 3 6 12 % 3 4 7 14 % Pseudoscorpions 1 0 1 2 % Myriapodes : 8 7 15 30 % Chilopodes 6 4 10 20 % 2 4 6 12 % Crustacés : Isopodes . . . 4 7 11 22 % Mollusques : Gastèropo-3 6 9 18 % Helicidés 2 3 5 10 % Limacidés 1 4 5 10 % Vers : Oligochètes 1 3 4 8 %

(5)

— 760 —

TABLEAU II

Analyse quantitative des contenus stomacaux

Dans un ordre décroissant ce tableau indique par catégorie le nombre de proies identifiables contenues dans les estomacs des 50 Crapauds (Lot 1961 : 25; Lot 1962 : 25).

TYPES DE PROIES Nombre

Lot 1961 Lot 1962 Total Hyménoptères (Fourmis). Coléoptères Arachnides Dermaptères Hémiptères Collemboles Myriapodes Crustacés : Isopodes . . . Dictyoptères : Blattidés. Vers Oligochètes Orthoptères Diptères Mollusques : Gastéropo-des : Limacidés Hélicidés Lépidoptères Hyménoptères : Apidés TOTAL 376 52 34 29 30 8 13 9 7 1 5 3 316 105 23 23 14 17 7 6 1 5 0 2 692 157 57 52 44 25 20 15 570 529 1 099 DISCUSSION

Il est naturel de conclure après la lecture de ces 2 tableaux que le Crapaud est un amateur de Coléoptères et de Fourmis. Les statistiques de COTT (1940) et de DUPONT (1962) révèlent aussi le même genre de pourcentages quantitatifs pour ces 2 proies. Les chiffres du Tableau II sont quand même trompeurs car la valeur nutritive d'un Lucanus cervus ou même d'un Harpalus est plus grande que celle d'une Fourmi. Le Tableau I respecte davantage l'importance des Coléoptères.

Une telle prédominance des Coléoptères et des Fourmis dans l'alimentation me semble d'ailleurs commune à la majorité des Bufonidés. Elle fut notamment observée en Afrique pour Bufo régu-lons par R. PAULIAN et VILARDEBO (1946) et par R. INGER et H. MARX (1961), ceux-ci la signalèrent aussi pour Bufo funereus, Bufo usho-ranus et Bufo melanopleura. Les deux plus petites espèces, Bufo

(6)

ushoranus et Bufo melanopleura, happaient quand même plus

d'Isoptères et d'Acariens que les deux autres.

En Amérique du Nord, les Coléoptères supplantent même

da-vantage les Fourmis qu'en Europe dans la nourriture de Bufo

woodhousei fowleri

(BARBOUR, 1953; BUSH

et

MENHINK, 1959; GER-BACH

et

COLETTE, 1959)

de Bufo terrestris americanus

(BUSH

et

MEN-HINK, 1959; BARBOUR, 1953; HAMILTON

jr.,

1955)

et Bufo alvarius

(COLE, 1962)

mais c'est le contraire pour Bufo quercicus qui est

diurne et beaucoup plus petit

(HAMILTON

jr.,

1955).

Quant à Bufo

boreas de Californie, les Diptères y prennent la première place

(LIVERZEY, 1959).

Inversement Vers de Terre et Mollusques se révèlent des proies

inhabituelles. L'image du Crapaud destructeur des Limaces de nos

jardins potagers est nettement surfaite. Cette proie est trop lente

pour retenir l'attention du Crapaud et surtout trop gluante. La

plupart du temps la langue du Batracien n'adhère pas et comme

la Limace se recroqueville et reste immobile par réflexe défensif,

le Crapaud abandonne. Le nombre de Forficula auricularia

(Dermap-tères) est à souligner, il ne me paraît pas exagéré car cette espèce

est nocturne et très répandue dans les jardins. Les Hémiptères ont

une place honorable à cause de Pyrrhocoris apterus qui est une

espèce très commune en France, mais les Bufonidés américains

pos-sèdent aussi la même proportion d'Hémiptères.

La représentation des Collemboles, des Myriapodes, des

Crus-tacés Isopodes et des différents ordres d'Arachnidés (Aranéides,

Opi-lions et Acariens) varie suivant l'habitat de leurs prédateurs. Il est

à noter pour la valeur des résultats des

2

tableaux ci-dessus le peu

d'écart entre les

2

lots

1961

et

1962,

malgré, les différences de date

et de lieux de récolte.

Je n'ai pas classé les résultats suivant les différents lieux de

capture, car le contenu stomacal d'un Crapaud n'est pas seulement

le reflet de la faune de cet endroit mais aussi de tous ceux qui

furent parcourus durant sa randonnée nocturne. Même s'il n'a pas

un vaste territoire un Crapaud peut, durant une même nuit, chasser

dans un jardin potager, une cour de ferme, une prairie et une haie

boisée. Certains contenus stomacaux sont plus typiques comme

celui de ce mâle de

49

mm capturé à

10

h dans un jardin sous une

planche, le

17-8-61.

Il renfermait

1

Hétéroptère,

2

Pseudoscorpions,

1

Araignée,

2

Chilopodes et

1

Ver de Terre : ceci est une faune du

sol, avalée dans son refuge, car d'autre part, je ne pense pas que

le Crapaud, animal crépusculaire, ne s'alimente que durant la nuit;

pendant la journée, la proie qui passe devant lui déclenche son

attention.

(7)

— 762 —

ont davantage de Myriapodes et d'Arachnidés que les autres : un

mâle de 40 mm et 15 g capturé dans un trou à mulot à 18 h le

14-8-61 contenait 2 Harpalidés, 70 Fourmis, 2 Acariens et 2

Chilo-podes.

La nourriture varie bien sûr en fonction de la taille et du poids

du prédateur en relation avec la grandeur de la proie et la variété

des petites espèces attrapées. Des petits Crapauds avalèrent, outre

de petits Coléoptères et des Fourmis, des Collemboles, des Acariens,

des petites Araignées et des Myriapodes; mais il est étonnant qu'une

grosse femelle de 300 g et de 126 mm ait happé des petites Fourmis

(Leptothorax) de 2 à 3 mm.

On a beaucoup parlé et discuté de l'utilité du Crapaud commun.

Des restrictions sont à émettre sur certains aspects de cette utilité;

la quantité des Limaces est négligeable (0,3 % des proies), par contre

les Perce-Oreilles sont mieux représentés, or c'est un Insecte

nui-sible pour les primeurs, les fleurs et les fruits (

BALACHOWSKY

, 1937).

Vis à vis des Coléoptères son rôle n'est pas négligeable car la

majeure partie des Carabidés avalés furent des Harpalidés

grani-vores et nuisibles : Harpalus affinis, Steropus madibus, Calathus

fuscipes et Ophonus rufipes de même que Zabrus Tenebrionides

dont la larve attaque les semis de céréales (

BALACHOWSKY

, 1962).

Plus du quart des Crapauds (15/50) happèrent des Curculionidés du

genre Otiorrhynchus qui sont toujours nuisibles aux arbres fruitiers,

aux fraisiers ou aux légumineuses (

BALACHOWSKY

, 1963). D'autre

part, une seule abeille fut trouvée dans les contenus stomacaux. Le

Crapaud commun ne les chasse pas habituellement; si parfois on le

voit au bas des ruches les guetter, ce ne peut être qu'en fonction

d'une adaptation individuelle.

Je concluerai en affirmant que Bufo bufo procède quand même

à une certaine sélection dans sa nourriture. Tout ce qui trotte sur

le sol sera repéré, poursuivi et happé de préférence à ce qui glisse.

Une Araignée ou un Myriapode seront chassés alors qu'ils passaient

devant une Limace ou un Ver de Terre que le Crapaud observait.

Outre la forme du mouvement, la vitesse entre en jeu; une

Chenille, un Ver de farine sera happé tandis qu'un petit Escargot

ne sera pas poursuivi. Ce comportement prédateur du Crapaud basé

sur la vue explique le petit nombre de Mollusques et de Vers

cap-turés.

Mais est-ce que d'une façon positive des Crapauds chassent

davantage tel ou tel autre type d'Invertébré ? II est quand même

curieux que l'estomac et l'intestin de certains Crapauds soient

bourrés de Fourmis d'espèces différentes. Dans un spécimen de

50 mm et de 25 g, l'intestin contenait des débris de Fourmis et

l'estomac, outre 3 Coléoptères et 1 Chenille, contenait 12 Fourmis

(8)

brinodis, et Aphaenogaster gibbosa Latr.

Le nombre de Fourmis ingérées avait déjà incité COTT (1940) à désigner le Crapaud commun comme un « Keen ant catcher », j'ajouterai volontiers qu'il est également un grand chasseur de Coléoptères.

SOMMAIRE

Les contenus des tubes digestifs de 50 Bufo bufo adultes

ré-coltés par moitié en 1961 et en 1962, dans diverses régions de France, sont examinés. La fréquence d'apparition des différentes espèces de proies est établie ainsi que le bilan quantitatif des con-tenus stomacaux.

Il s'avère que les Coléoptères et les Fourmis sont nettement dominants dans son régime alimentaire (77,2 % des proies avalées). Tandis que les Mollusques (Limaces et Escargots : 0,6 %) et les Vers (0,5 %) sont pratiquement négligés. La raison de cette diffé-rence est que le Crapaud commun repère et happe mieux une proie marcheuse et sèche, qu'une proie rampante et visqueuse.

La nourriture avalée varie suivant les divers microbiotopes que le Crapaud traverse durant sa chasse nocturne; elle dépend aussi de la taille du prédateur.

L'utilité agricole de ce Batracien est discutée.

BIBLIOGRAPHIE

ANGEL, F., 1946. Faune de France : 45, Reptiles et Amphibiens. Paris. Lechevalier.

ANGEL, F., 1947. Vie et mœurs des Amphibiens. Payot. Paris.

BALACHOWSKY, A. et L. MESNIL, 1935-6. Les Insectes nuisibles aux plantes cultivées. Busson, Paris.

BALACHOWSKY, A., 1962-3. Entomologie appliquée à l'agriculture. T. 1 et 2.

Paris.

BARBOUR, B.W., 1950. The amphibians of Big Black Mountains, Harlan

country. Kentucky. Copeia, 2 : 100-7. BARBOUR, R.W., 1953. Copeia, 2 : 84-89.

BOULENGER, 1897. The Tailless Batrachians of Europe. Ray Society,

Lon-dres.

BOULENGER, 1910. Les Batraciens. Doin, Paris.

BUSH, F.M. and Ed. MENHINK, 1962. The food of Bufo woodhousei fowleri. Herpetologica, 18 : 110-115.

(9)

— 764 —

COLE, Ch., 1962. Notes on the Distribution and food Habits of Bufo

al-varius. Herpetologica, 18 : 172-5.

COTT, Hugh B., 1940. Adaptative Coloration in Animais. Methuen, Londres.

DOTTRENS, E., 1963. Batraciens et Reptiles d'Europe. 261 pp. Delachaux et Niestlé, Neuchâtel (Suisse).

DUPONT, A., 1962. Que mangent les Batraciens adultes de Moselle ? D.E.S., Faculté des Sciences, Nancy.

GERBACH, F.R. and B.B. COLETTE, 1959. Distribution and biological notes on the nebraska herpetofauna. Herpetologica, 15 : 141-3.

HAMILTON, W.J. Jr., 1930. Notes on the food of the american Toad. Copeia,

2 : 45.

HAMILTON, 1954. The économie status of the Toad. Herpetologica, 10 :

37-40.

HAMILTON, W.J. Jr., 1955. Notes on the ecology of the Oak Toad in Flo-rida. Herpetologica, 11 : 205-10.

HEIM DE BALZAC, 1937. A propos du Crapaud et de son utilité agricole, son éthologie. Facteurs de sa disparition. Acad. Agriculture, fév. 1937. INGER, R. et H. MARX, 1961. The food of Amphibians. Exploration du Parc

National de l'Upemba, Fasc. 64, 86 pp. Bruxelles.

LIVERZEY, 1962. Food of adult and juvénile Bufo Boreas Exsul.

Herpe-tologica, 17 (4) : 267-8.

PAULIAN, R. et VILARDEBO, 1946. Observation sur le régime alimentaire des Batraciens en Basse Côte-dTvoire. Bull. Soc. Zool., France, 71 :

129-32.

PASTEUR, G. et BONS, 1959. Les Batraciens du Maroc. Inst. Se. Cherif.,

Rabat.

REY, 1946. Sur l'existence de races géographiques chez Bufo vulgaris Laur. Bull. Soc. Zool. France, 71 : 190-3.

ROSTAND, J., 1947. La vie des Crapauds. Stock, Paris.

SMITH, M., 1951. The British Amphibians and Reptiles. Methuen, Londres. THÉODORIDÈS, J., 1953. Insectes contenus dans le tube digestif du

Figure

figure  1).  Dès  le  retour  de  la  chasse,  les  Crapauds  étaient  mesurés,  pesés  si  possible,  puis  tués
TABLEAU  II

Références

Documents relatifs

En 2011, le protocole POPAMPHIBIEN mis au point par la SHF (Société herpétologique de France) en collaboration avec le MNHN (Muséum national d'Histoire naturelle) a été

[r]

L’Alsace compte quatre espèces de tritons : le triton alpestre, le triton crêté, le triton palmé et le triton ponctué.. Ces deux derniers sont les deux plus

Ces variables extraites ont ensuite été traitées avec le programme PRESENCE © (MacKenzie et al. 2002) afin d’estimer la probabilité de détection moyenne ainsi que

[r]

Lézard plus gros, d'aspect trapu, les mâles sont verts, les femelles et les jeunes marrons avec des ocelles clairs. Lézard vert

[r]

Ligne  médiodorsale