Omniprésent, en moi je les ressens, Parasites qui je suis lentement,
Parfois même hors contrôle me transcendent, Définissent qui je suis pour les gens,
La lueur dans mon âme, survivant, La goutte sombre dans le clair s’étalant, Influant sur ma vie à chaque instant, Comme le vent sur les fleurs au printemps,
Aime et pardonne mon comportement, Mais c’est la guerre, ou je suis, constamment, Reprend toi en main qu’est-ce que tu attends ? L’espoir est la et il combat vaillamment,
Vois donc, ton état et celui de ce monde, Il est comme toi à chaque seconde il succombe, Se relève, croit en Lhomme et retombe,
Crois-moi l’amour est mort et ils ont brulé sa tombe,
Foutaise, tu la croisé ici même,
Souvient t’en dans les doux bras d’une reine, Et un jour tu trouveras ta princesse,
Tu verras ce monde-là sera superbe,
Vois ta reine comment il la récompense, Par, maladie tristesse et souffrances,
Ils le paieront soit en sur si ensemble on avance,
Trouve-toi une situation et tout va rentrer dans l’ordre, Il faut tendre la main pour pouvoir attraper la corde, Pour s’en sortir parfois il suffit d’un moindre effort,
Et les astres autour de toi tout à coup s’alignent et te porte,
Mais bon sang qui êtes-vous et que faites-vous dans ma tête ? Je vous entends constamment et j’avoue cela m’embête, Il m’arrive même très souvent de vous sentir dans ma chair, Lors d’une joie éphémère ou d’un excès de colère,
Le bien le mal me dites-vous ?mais au final moi qu’en sais-je ? Etre en accord avec vous est-ce être en accord avec soit même ? Le bien le mal me dites-vous ? Mais qui juge ?
Qui gagne ?qui perd ?qui pleure ?qui saigne ?qui brule ? Qui le raconte ?qui le vit ? Qui part ?qui reste ?qui hurle ? Qui meurent ? Qui êtes-vous ? Que fais-je ? Qui suivre ? Sans réponses au final qui sait… ? Qui suis-je ?
