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Nous ignorons que nous

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Academic year: 2022

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ous ignorons que nous y attend alors notre pre- mière rencontre avec l’ennemi, nos premiers combats dans les ruelles de Gao et surtout nos premiers blessés dans les rangs de la compagnie. Gao ne sera là aussi qu’une brève parenthèse avant les opérations majeures de ratis- sage du massif de l’Adrar des Ifoghas, le sanctuaire d’AQMI au Nord du Mali.

Au sein du GTIA 3 articulé autour de l’état-major du 1er RIMa, nous y vivrons une expérience opérationnelle unique dont je retiens plusieurs enseignements qui marqueront à jamais mon temps de commandement.

Le rôle prépondérant des cadres

SERVAL marque une fracture dans la mesure où elle a été l’intervention de l’urgence, en dehors de tous les sché- mas rigoureux de planification et de préparation auxquels l’Afghanistan nous avait habitués. J’ai été le premier surpris par la réactivité dont ont su faire preuve mes marsouins pour répondre présents à cet engagement brutal pour eux comme pour leurs familles. Certains ont annulé sans hésitation un mariage, d’autres ont quitté avec un préavis de 12 heures une épouse sur le point d’accoucher. Ne pas faire partie de l’aventure leur était tout simplement inconcevable. J’en ai vu d’autres encore, laissés de côté pour inaptitude physique, pleurer le départ de la compagnie. Si beaucoup fustigent encore cette jeunesse qui s’engage dans nos rangs, sans doute différente de celle d’il y a 20 ans, elle n’en reste pas moins capable de réaliser de grandes choses si elle est guidée par un encadrement de qualité. Le soldat qui s’engage ici ou là n’est pas foncièrement différent et SERVAL aura renforcé ma conviction que tout n’est qu’une histoire de cadres.

Comme l’ont fait leurs anciens avant eux, ces marsouins ont été capables de gravir les pentes d’un piton tenu par l’ennemi sans poser aucune question, entraînés par un chef, un sergent, un adjudant, un lieutenant ou parfois un capitaine.

Le rôle du commandant d’unité ne se résume pas ainsi à celui du donneur d’ordres tactiques cantonné dans un véhicule de commandement. Il est avant tout le premier meneur de sa compagnie, au contact s’il le faut et j’aurai été là aussi le témoin privilégié de cet élan unique donné par la présence du chef que ne remplacera jamais un ordre lointain et impersonnel lancé à la radio.

Si j’ai eu la chance de pouvoir compter sur des cadres de grande qualité au sein de ma compagnie, j’aurai eu moi-même le privilège au sein du GTIA 3 du 1er RIMa d’être commandé par de véritables chefs de guerre dont le commandement à la fois ferme, humain et toujours à l’écoute des commandants d’unité, aura permis de forger une réelle cohésion opération- nelle.

Le succès de l’interarmes

SERVAL n’a pas réinventé le combat interarmes mais l’aura parfois exploité jusqu’aux plus bas échelons. Les exemples de coopération interarmes ne manqueront pas. Un chef de groupe d’infanterie sera ainsi amené à guider par fumigène le tir d’un char AMX10RC sur une grotte tenue par l’ennemi. Le format du SGTIA se révèlera comme un formidable outil de combat capable

de faire face à n’importe quelle situation tactique. Le 26 février 2013, lorsqu’au sein du GTIA3, nous menons l’attaque sur les entrées Ouest de la vallée de l’Amettetai, je me retrouverai rapidement avec la quasi-totalité de mon SGTIA au contact. L’ennemi surprend par sa ténacité. Malgré le rapport de forces nettement défavorable et le feu nourri que nous lui imposons, il n’hésite pas à se rapprocher au plus près de nos positions. Le SGTIA puisera alors dans l’ensemble de ses moyens interarmes pour emporter la décision : AMX10RC, mortiers de 120mm, canons Caesar et jusqu’aux avions Rafale de l’armée de l’Air. L’intégration des appuis au sein du SGTIA sera particulièrement détermi- nante par le rôle des observateurs et per- mettra de déployer un véritable déluge de feu sur l’ennemi. Au-delà de l’efficacité tactique, les appuis auront un impact non négligeable sur le moral du marsouin, témoin des moyens importants que le GTIA n’hésite pas à mettre en œuvre pour réduire l’ennemi.

J’aurai dans ce domaine pu bénéficier de tous les moyens opérationnels néces- saires dont peut rêver un commandant d’unité pour remplir une mission opéra- tionnelle.

SERVAL : « LES MARSOuINS FONT LE JOB »

Par le caPitaine GréGory ZeiGer - Promotion « Général de Galbert » (2002-05)

Projetée au Mali le 11 janvier 2013 dès le déclenchement de l’alerte Guépard, la 1ère compagnie du 2è RIMa aura été de la plupart des aventures de l’opération SERVAL. Après une opération rapide sur Tombouctou où ils se saisissent de l’aéroport de la ville sainte désertée par les djihadistes, les « chameaux » du 2è de marine basculent rapidement à l’est du pays où se poursuit l’effort de la reconquête du pays.

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Rusticité et force morale

La rusticité sera sans conteste le mot d’ordre de l’opération SERVAL.

Elle permettra de projeter la compagnie en quasi-autonomie dans les vallées les plus lointaines. Au-delà de ces conditions particulières d’engagement, l’absence de toute communication avec les familles pendant les six semaines consécutives de ratissage des Adrars sera par contre un fait nouveau et improbable, dont les familles souffriront particulièrement. Un appel de 5 minutes par téléphone satel- lite sera notre seul lien avec la France pendant cette période. Certains ont ainsi appris le décès d’un frère ou d’un grand-père plusieurs semaines après leur enterrement. Nous étions deve- nus des nomades, coupés du monde, migrant de vallée en vallée pendant de longues semaines sans remise en condi- tion possible. Les produits de première nécessité manqueront rapidement (den- tifrice, savon…) jusqu’aux cigarettes dont l’absence aura un impact certain sur le moral de certains. Les plus dépendants en arriveront à fumer les sachets de thé des rations…

Dans ces conditions dégradées dans la durée, la gestion du moral de l’unité devient un enjeu pour le commandement.

Notre première victoire sur l’ennemi dès l’entrée de la vallée permettra de porter la compagnie sur un élan positif qui ne la quittera plus. L’absence de pertes dans nos rangs sera bien sûr un facteur déter- minant même si certains verront la mort de très près, protégés par un casque, une musette ou peut-être une bonne étoile. À l’instar de la baraka du général Bigeard, nous avons été portés par cette croyance sans doute naïve mais bien réelle qu’une bonne étoile veillait quelque part sur les chameaux.

Rustique, le matériel courant avec lequel nous avons été projetés ne l’est justement pas. Les semelles des ran- gers se décollent au bout de quelques semaines sous l’effet de la chaleur à tel point que le tiers de ma compagnie se retrouve à meurtrir leurs pieds sur les rochers acérés des Ifoghas. Avec nos treillis en lambeaux et nos rangers ouvertes, abandonnés de tout soutien logistique, nous prenons l’aspect de clochards. L’épisode symptomatique

des rangers laissera dans l’esprit de mes marsouins, et dans le mien, l’image indé- lébile d’une armée incapable de chausser correctement ses soldats qui partent au combat. Lors de notre passage au sas de décompression à Chypre, les psy- chologues noteront que ce sentiment d’abandon de la chaîne logistique aura le plus marqué mes marsouins, devant même le souvenir de certaines scènes de combat.

Je retiens de cette mission une grande clarté dans les ordres qui m’ont été donnés et qui ont été ceux d’une véri- table opération de guerre. La désignation explicite d’un ennemi à détruire, des termes de missions simples (rechercher et détruire) et des règles d’engagement limpides auront grandement facilité mon rôle de commandant d’unité.

SERVAL restera également pour nous une mission au sens unique, à savoir la libération d’un pays du joug djihadiste, dont les plus beaux symboles resteront les drapeaux français agités par la popu- lation tout au long de notre périple.

La 1ère compagnie du 2è RIMa aura été de la plupart des aventures de l’opération SERVAL

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High Potential Resources

Portage Salarial

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Le contexte

Devoir se redéployer passé 50 ans constitue un vrai combat, les postes se font rares, la concurrence est vive ; le marché de l’emploi s’est considéra- blement modifié ces dernières années et la situation de crise ne facilite pas les choses.

Les entreprises sont, dans leur majo- rité, frileuses à conclure un contrat de travail avec une personne de plus de 50 ans ; le mot d’ordre est flexibilité pour les postes non stratégiques.

Le salut

Le créneau de tir se situe le plus sou- vent aux niveaux opérationnels dans le cadre de la mise en œuvre de projets, soit comme directeur de projet ou comme apporteur d’une expertise spécifique au sein de l’équipe dédiée à sa réalisation.

Le patron de projet constituera son équipe en puisant dans les ressources internes et fera appel à des ressources externes si besoin. Cependant, il n’a pas vocation à assumer socialement ces dernières et préfèrera établir une relation client/fournisseur et gérer celle-ci dans le cadre de son budget de fonctionnement.

L’ouverture principale est donc de ne pas chercher à se faire embaucher mais d’intervenir comme prestataire de services, comme consultant, en d’autres termes comme contributeur à la réussite d’un projet et à la création de profit. C’est indiscutablement une voie royale pour retrouver de l’activité.

Les modalités pratiques

Le corollaire est de trouver une mission et de facturer ses prestations à un don- neur d’ordres sous forme d’honoraires ce qui implique de devenir entrepreneur individuel (Auto-entrepreneur, free-lance, création de société…) ou de faire appel au « Portage Salarial » qui cumule les avantages du statut indépendant avec celui de salarié.

Les avantages

du « Portage Salarial »

Dans la perspective d’un redéploie- ment d’activité, l’intérêt premier est de faciliter l’obtention d’une mission (le donneur d’ordres a le pouvoir de décision et ne passe pas par un proces- sus d’embauche long et hasardeux).

L’entreprise de « Portage Salarial » établira un contrat de prestations de ser- vices avec votre donneur d’ordres (droit commercial) et vous signera un contrat de travail vous apportant la sécurité, les avantages et la protection du statut de salarié (droit du travail).

Une convention décrira précisément les engagements réciproques entre vous- même et la société de « Portage Salarial » ainsi que le prix des services qu’elle vous apporte (de 8 à 12% des honoraires HT facturés…).

Libéré de toute tracasserie adminis- trative et comptable, votre objectif sera de délivrer des prestations de qualité à votre client et de réfléchir à votre activité future. Vous bénéficierez de l’image de l’entreprise de « Portage Salarial » pour facturer vos prestations au niveau des grands cabinets internationaux.

Les principaux bénéfices sont :

• Pouvoir démarrer quasi-instantané- ment une mission ;

• Être déchargé des obligations administratives, comptables et fiscales ;

• Bénéficier d’une assistance commer- ciale et juridique (modèle de contrats, propositions types, connaissance des prix marchés) ;

• Être couvert par une assurance responsabilité professionnelle ;

• Bénéficier d’un régime de prévoyance ;

• Disposer de supports pour répondre à des appels d’offre ;

• Etre en synergie avec d’autres inter- venants ;

• Avoir un coaching « à la carte » ;

• Gérer son activité en ligne avec un tableau de bord complet ;

• Obtenir un haut niveau de rémunération ;

• Optimiser ses revenus en intégrant également les aspects fiscaux (ingénie- rie salariale) ;

• Etc.

Cependant, osons le dire, la compé- tition est rude et l’on peut énoncer qu’il n’y a pratiquement pas de salut sans être acteur de son redéploiement. On aborde le « Portage Salarial » avec une première mission. Ceci implique une approche particulière du marché : vous n’êtes pas un demandeur d’emploi mais un offreur de services ; cette attitude montrera que vous êtes conscient, que c’est votre contribution à la réussite de l’entreprise qui vous importe… et non pas « un titre ou la tenue d’un poste ! ».

En effet quel que soit votre parcours passé, c’est votre potentiel qui intéres- sera une structure, en quoi et comment lui serez-vous profitable !

La « promotion de soi » ne suit pas les approches classiques de recherche d’emploi mais s’inscrit dans une démarche de promotion de ses talents. Il convient donc d’identifier ceux-ci, exper- tise technique marchande, expériences dans la conduite et la réussite de projets et personnalité devront être mis en avant.

Une biographie synthétique en com- plément du traditionnel CV vous servira de support pour attirer l’attention sur votre profil ; elle tient sur une page et se lit en 3 minutes, c’est l’histoire de votre vie professionnelle sous une forme attrayante et valorisante, autant d’atouts pour attirer l’attention sur vous et donner envie de vous rencontrer.

Et si vous facilitez la conclusion d’une mission en proposant d’intervenir comme

« Consultant Porté » vous augmenterez considérablement vos chances d’être écouté et retenu…

PORTAGE SALARIAL, uN dISPOSITIF PERTINENT POuR LE RETOuR à LA VIE cIVILE

Par Jean-Pierre ayer, Président de HiGH Potential resources

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E

n effet, pour la seconde année, grâce à une syner- gie complète de nos neuf associations, toutes les catégories d’officiers des trois armées et de la gendarmerie ont été conviées. Cette dynamique, désor- mais établie, nous amène à être recon- nus comme des acteurs à part entière par les institutionnels de la gestion des personnels et de la reconversion.

À l’invitation de l’Agence de reconver- sion de la défense (ARD), nous avions participé à la réunion d’information du 5 décembre 2013 dans un amphi Foch comble. Dans la même logique de complémentarité « gagnant-gagnant », l’ARD était évidemment des nôtres le 13 février, en la présence de son direc- teur et nous cheminons côte à côte pour développer des interactions utiles.

Cette journée d’initiation à la recon- version cherchait à informer concrète- ment tous les officiers qui se posent la question d’un départ de l’institution ou qui se sont déjà lancés, et ce, quel que soit leur degré d’avancement dans leurs projets. Pour couvrir ce large spectre, nous avons procédé en deux étapes.

La matinée était centrée sur le

« départ de l’institution » et l’après-midi sur les « paysages de l’entreprise ».

Donc, tout d’abord, les responsables des ressources humaines de la Défense et de chaque armée ont présenté à l’assis- tance les grandes lignes de la politique de départ et ses modalités. Dans ce fil, une quinzaine de témoignages, en cinq ateliers par groupes d’âges, sont venus ensuite concrétiser ces problématiques.

Après le déjeuner, la direction de “Pôle Emploi” a présenté l’état du marché du travail, puis une table ronde de direc- teurs et de consultants des ressources humaines a permis de décrire le paysage de l’employabilité et du recrutement.

Enfin, cinq ateliers ont permis à une dizaine d’autres témoins, acteurs repré- sentatifs des principales branches d’acti- vité (des grands groupes à la création d’entreprise), de faire vivre des parcours d’officiers au sein de l’entreprise.

Les messages de félicitations et de remerciements sont nombreux, des intervenants comme des participants, attestant de la réussite de la journée.

Bien loin du traditionnel « tribalisme gaulois », si souvent cher à notre culture, notre équipe interarmées va de l’avant, plus que jamais déterminée à tirer tous les avantages de cette dynamique pour notre communauté d’officiers et nos adhérents.

Notre communauté saint-cyrienne (ASCVIC et Saint-Cyrienne) a réellement parlé d’une seule voix et bien en che- ville avec l’Épaulette, ensemble, nous avons étroitement travaillé pour animer à un bon niveau (nous étions 50% !) la composante « Terre » de ce rendez-vous désormais inscrit dans le paysage asso- ciatif ! D’autres projets vont voir le jour pour mutualiser encore davantage nos efforts et apporter un soutien « réseau » à nos camarades qui se posent la question d’une nouvelle vie professionnelle civile.

Rendez-vous à l’édition 2015 ! Si, d’ici là, vous vous interrogez ou êtes déjà en route, en parallèle de vos démarches officielles, rapprochez-vous de vos asso- ciations (et pour la Saint-Cyrienne, le

« Pôle Vie Professionnelle ») : nous pou- vons vous aider !

cAP SuR uNE 2 ÈME cARRIÈRE…

Par le Général marc delaunay, déléGué Général de l’ePaulette, le Général de division GeorGes lebel - Promotion

« lieutenant dartHenay » (1974-76) et adrian brown - Promotion « lieutenant brounbrouck » (2004-07) Pour la saint-cyrienne et l’ascvic.

Le 13 février 2014, la 4è édition de cette journée d’information à la reconversion « CAP 2C », s’est tenue à nouveau au Cercle National des Armées. Cette édition a connu un succès remarquable puisque, signe de l’époque, nous avons connu une affluence record de plus du double de l’an dernier avec de l’ordre de 130 participants dont 63

« Terriens » (44 saint-cyriens, et 19 ressortissants de l’Épaulette regroupant des camarades de l’EMIA, des OSC, CTA et même un officier servant à titre étranger).

table ronde de 14h sur le thème « Profils recherchés et mode de recrutement » animée par maurice bruzek avec : Jean-luc bérard (groupe saFran), abdellah mezziouane (cG Pme), catherine caradot ( an-drH), Jean de corbières, Philippe bigot, Guillaume le masne de chermont, consultants.

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HiGH PoteNtiaL ReSoURceS

Afin de mieux répondre aux attentes de nos adhérents en phase de reconversion, le Pôle Vie Professionnelle a signé le 6 février 2014 un partenariat non exclusif avec High Potential Resources. Cette société de portage salarial est en mesure de proposer aux officiers de retour dans la vie civile, des prestations destinées à les accompagner et les conseiller dans la négociation et la réalisation de missions (gestion administrative et juridique, appui méthodologique et conseil financier).

Monsieur Ayer, président de HPR et le PVP vous propose une réunion d’information sur le portage salarial au siège de la Saint-Cyrienne le mardi 13 mai 2014 à partir de 20h. Si vous êtes intéressé, contacter le PVP par mail : poleviepro@saint-cyr.org

DeSSeiN De caRRieRe

Le jeudi 30 janvier 2014, le Pôle Vie Professionnelle a signé un partenariat non exclusif avec le cabinet de conseil en RH, Dessein de Carrière. Régulièrement sollicité par la MIRVOG (Mission Retour à la Vie civile des Officiers Généraux), ce cabinet en outplacement propose des accompagnements professionnels et personnels tout au long des cur- sus de reconversion des militaires.

Dans cette dynamique, Dessein de Carrière organise des stages de formation régulièrement. Trois jours pour découvrir le monde de l’entreprise et des affaires. Apprendre à valoriser ses atouts person- nels et professionnels et accepter d’appliquer une méthode rigoureuse dans sa future recherche d’emploi.

Inscriptions auprès de hubert.pousset@desseindecarriere.com ou par téléphone : 09 53 55 27 19

aGNÈS De LaGoUtte

Dans le cadre de notre politique d’aide à la reconversion de nos adhérents, le Pôle Vie Professionnelle a signé un partenariat non exclu- sif avec Agnès de Lagoutte, consultante en mobilité professionnelle le mardi 4 février 2014. Après 18 années de travail à l’ARCO (Association pour la reconversion des officiers et sous-officiers dans le civil), Agnès de Lagoutte vient de créer un nouveau cabinet de conseil en recrute- ment. Spécialiste d’outplacement de cadres militaires, elle propose un accompagnement vers le civil grâce à diverses prestations : entretiens individuels, bilan de compétences, définition de projet personnel et pro- fessionnel et stages collectifs.

BRÈVES

Jean-Pierre ayer, président de High Potential resources, maylis de tarlé, chargée du PvP et vanessa lesault, chargée du développe- ment de High Potential resources.

le colonel (er) thierry clément, vice-Président de la saint-cyrienne et responsable du Pôle vie Professionnelle et Hubert Pousset, dirigeant et fondateur de dessein de carrière.

maylis de tarlé, chargée du Pôle vie Professionnelle et agnès de lagoutte, consultante en mobilité professionnelle.

Références

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