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Contrôle qualitatif de la préparation du mortier à maçonnerie

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Academic year: 2021

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Publisher’s version / Version de l'éditeur: Note d'information sur la construction, 1980-01

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Contrôle qualitatif de la préparation du mortier à maçonnerie

Davison, J. I.

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(2)

XSSN 0701-5224 Ref Ser THl

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, - - . . - . - I . ' , . -7 - , 3.1. Davison AT:AL'iZGP

D i v i s i o n des recherches sur le bgtiment

Conseil national de recherches du Canada

Traduit de l'anglais par M.L. Racette

(3)

CONTR~LE QUALITATIF D-E:

m

PR~PARATION

DU MQRTIER

A

M ~ O N N ~ I E par

J . I . Davison

Le mortier

2

ma~onnerie est l'un des rares matgriaux de canstruc-

t i o n encore fabrique 3 pied d'oeuvre. En contraste marqug avec les

mesures d e contr8le qualitatif d'Gli5ments de construction usin& ou du bzton prGpar6 en

bEtonniGre,

le melange du mottier 2 m a ~ o n n ~ r i e a 6 t E

laisse aux soins d e s ouvriers non q u a l i f i g s possEdant pen de connafs-

sances des materfaux employ5s ou du nrortier p r a d u i t .

L'introduction

du

mur en

magonnerie

portante qui, de f a i t ,

transfoxme la maqonnerie d'un matgriau d e "parement" 5 un matgriau

"porteur", souleva certaines questions concernant le contr6le qualxtatif 5 p i e d d'oeuvre. Ordinairment,

le

concepteur prend s o i n de s p g c i f i e r

et de chaisir d e s maegriaux de qualitG et une combinaison d~ mrtier

correcte. I1 peut exiger des essais sur le morrier de canstruction a f i n

d'assurer que sa rgsistance e s t ad6quate. Mais,

l a

q u a l i t 6

du

mortier

dgpend en dernier lieu de 1'opGrateur d e l a bgtonneuse, qui, dans la plupart

des

cas, n'a qu'une connafssance l t m i t s e du matgriau et travaille

sous surveillance m i n h l e .

On recanna?t l'impartance du cmtrBle qualitatif dans un nombre

de d i s p o s i t i o n s inscrites dans la norme CSA

A179

intitulee, "Mortar and Grout for U n i t Masonry."

En

suivant assFdGment ces mesures peu coGt-

euses, on am&liorerait "l'kmage" de la maqonnerie aux yeux du concepteur

rebaussant a i n s i

sa

p o s i t i o n concurrentielle sur

l a

marchi2. C e t t e Note

passe en revue les mEthodes recormnandCes pour

le

mGlange du mortier.

Entreposage des matGriaux

On devrait cntreposer les rnatgriaux clmentaires et les agrggats livrgs ii p i e d d'oeuvre de rnaniGre 5 prgvenir la dGC6riaration ou

l'intrusion de maci5riaux Gtrangers.

I1

est particuliPrement important

de protgger l e s materiaux cimentafres d e l'eau en l e s e m p i l a n t sur des

palettes afin d'empscher l'eau du sol dv&tre absorbs@ et en les couvranr

d'une bzche ou t o u t e cauverture Gtanche

servant

d e protection contre la

p l u i e ou la neige.

L'agrGgat

(le

s a b l e ) u t i l i s s dans les mortiers e s t ausst s e n s i b l e 2 l'humiditg: le foisonnement s e produit sous Itinfluence de

L'humi-

d i t E . Le faisonnement

maximal

survient lorsque

la

teneur en eau se s i t u e entxe

0

et 10%. Afin d'assurer une teneur en eau unifarme d e

llagrEgat oa devrair l'entasser sur une platfarme suri5levEe et le

couvrir pour le protGger des intempgries.

Cecte publication est la version Erangaise de "Quality C o n t r o l in

(4)
(5)

rggions. L e s matEriaux cfmentaires et les agxggats sont pesgs, m6laagGs

et dglivres

sur

p l a c e

dans

un camion-malaxmr. tlapGrateur ajouts l'eau

et Glange le mortier. C e t t e apprvehe sophistiqu&e devrait produire d e s

martiers de eampo~itian miforme,

Be-s

mgrhodes uniformes de dosage das matgriaux cimentaires et le

sable,

en plus d'assurer des moxtiers de propriEtCs

plus

unihrmes,

mini-

misent les variations de cauleur dans les joints de mortier. Le problGme de couleur survient 2

la

s u i t e d'un chmgehent dans

le

matgriau ckmentaire

ou le

sable,

ou de variations dans les mgthades de dosage.

Le b e s ~ i n en eau pour uae gSch6e de mortier uarie selon un nombre

d e facteurs, y c o m p r i s ' l a granulodtrie, la teneur en eau et la quantltg

d'agrggat et les conditions d e la tempgrature amhiante. I1 est g&nGrale-

meat p l u s facile de determiner la quantite d'eau rsquise a p r h a v o i r

6tabli un dosage adgquat de sable. Larsque cx dosage a G t k Gtabli pour

une

g5chEe

d e mortier p a r t i c u l i g r e on devrait l'utiliser consi5quemmeut

jusqu'8 ce que l e s proportions de la g3che6 soient changges.

Le

mason

oeuvrant sur la construction dgtermfne le montant final d'eau. I1 u t i -

l i s e I'eau pour m a l h b i l i s e r le morrfer jusqu's ce que ltouvrabilitG

v ~ u l u e soit ohtenue.

Processus d e maange (Malaxage)

Les matgrfaux

2

mortler doivent

Stre

completement nGlang6s afin drobtcnir m e bonne ogvrabilitP ~t le p o t e n t i e l maximum des propri6tEis

du mortier plastique.

Le

mortier devrait S t x e mGlangG dans un malaxeur mgcanique approprig. $i l'envergure de l'ouvrage ne j u s t f f i e pas

l ' m p l o i

d'un

mglangeur mgcanique, on peut prakEder au melange: 2

la

main

avec l'assentiment de l'acheteur.

a n

verse environ les t r o i s quarts d e l'eau ngcessaire dans

la

machine, ensufte la moitig

du

sable et enfiu

le

matGriau cirnentaire

(liant). A p r E s avoir mGlang6 brigvement ces matGriaux on a j o u t e

le

reste

du sable et de l'eau.

Le temps de malaxage est un autre aspect n6gligG de La prgparation du mortier, L e s exigences imcompatibles qui, jusqut2 rgcemment, apparais- saient dans les nomes

ASTM

et CSA pour

lc

mortier illustrent

bien le

problGme. Les nmmes amEricaines a i g e a i e n t

un

minhm de 3 minutes alors que les norms canadiennes pri5yoyaientl un maximum de 10 m i n u t e s .

A farce dlobservation

S

p i e d d'oeuvre, on note qu'on porte peu d'attentian

a m exigences

des

nomes et: q u e l e t m p s alloue pour le mglange e s t

h a b i t u e l l e m a t dGtermta6 par la demolnde en mortier pour l'ouvrage, plutgt que par la ~onsid6rat~un des proprZSt6s du mortier, Par exemple,

t8t

le m t i n au juste apres Ze dgjeuner, lorsque tous les mafons veulent: du mortier, on verse le mElangeur p r a q u e aussir8t que le dernfer matGriau

a 6t6 a j o u t g . Des rayures d e chaux, de sable ou d e

ciment

apparaissent

alors souvent

dans

le martier kt indiquent un malaxage inadsquat. A

l'autre

exrrsrae,

au & l i e u d e La matinge nu de lvaprGs--midi, lorsque les

planchcs 2

m o r t k r

s q t relativement bien fournies, mais

la

rEserve dans

le

caisson 2 mortier s16puise, on voft souvent le malaxeur

fonctfonner

de

20

5

30 minutes pendant que l'opgrateur le r e n i p l i t de nouveau.

(6)

Une 6tude ~ E c e n t e en laboratoire indique que le besoin en eau et la teneur en air augmentent

avcc

la d u d e du malaxage diminuant ainsi la rfatstance 5 la compression du mnrtier.

La

s i t u a t i a n deyient: parti-

culierement c r i t i q u e dans le cas des mat&riaux B mortier d s nature

speciale (5 savoir

les

ciments 5 ma~onnerie) qui contiennent des entrai- neurs dtair ou d'autres adjuvants,

mais

noins critiques pour

les

mortiers de & b e n t et chaux ayant une tmeur en

air minimale.

La

durEe du malaxage dait

assurer 1s

mi5lange complet de tous l e s

ingrgdients (la h o m e CSA A179 couvse actuelleement cette exigence: un

minimum de 3 minutes et un maximum de

10 minutes).

On

peut facilment:

rEgler

la

durge du malaxage en fnstallant une m h t e r i e . automatique

sur

le e l a g e u r ,

quS

peut s u i t llar&ter au moment voulu, s o i t somer une

cloche qui alerte lqopEratwr.

D e s dispositions s p i & ~ i a l c s pour le m'elaage des mottiera par t a p s

Eroid figurcnt

dans Ia

publication " ~ e c o m e n d e d Practices and G u i d e

Specifications for Cold

Weather

Masonry Construction'' da "~nternational 31asonry Industry All-Weather Council."

On

ne devrait pa& u t i l i s e r les mortiers eontenant du ciment n'ayant

pas s e r v i dans les d e w heures suivant leur malaxage lorsque la t-h-

rature ambiante e s t supgrieure 1 8 0 " ~ . L e s mortiers d u r c i s 3 cause de l ' h a p a r a t i o n d e

l'eau,

5 I'intGrieur de cas l i m i t & de temps, peuvent

8tre

regPchOs jusqu'2 une auvrabilitg srrtfsfaisante en ajoutant de l'eau.

L'eau ajout6e r g d u i t

la

r&sistance

2

la campression, mals campense par

une

meilleure

adhgrence

gr$ce

P I'ouvrabilitG

amglioree.

U s matgriaux de mortier de nature speciale (ex. ciment 5 maFon- ne~ie) contenant des entrakeurs d ' a i r ou d'autres adjuvants augmentent

en popularitz. Leurs fornulatioris, qui

nQ

paraissent pas, ont E t S dgve-

l o p p g e s par des personnes compgtentes et conques pour rmcontrer les exigences des nomes. Dans la plupart des c a s ,

le

fabricant imprime

lcs

directives concernant la quaatit6 dragrGgats

5

employer e t les tetaps de mglange, ou les deux, sur le sac contenant

le

raathriau. En

suivant

les directives d'emploi on sfassure d'une performance maximale du mortier. Si le concepteur ou llopErateur du malaxeur

1

mortier modifie l e s direc-

tives, il

devrait verifier la conformit6 des p r o p r i h t E s du mortier aux

exigences du cahief

des

charges.

A u t r e s essais

La aorme CSA A179 contient; plusieurs autses method- d'essai p w r

evaluer

la qualit6 du mortier 5 p i e d d'oeuvre. L'une de ces mgthodes

concerne le fagonnage des cubes

5

p i e d dlwuvre p a w l e s essais en com-

pression, L'usage de c e t t e

methode

torrigera les Ecarts dGcoufant des

p r a t i q u e s passees incorrectes,

En

Evaluant

les

valeurs de resistance 2

la compression,

11

f a t : se r a p p e l e r qu'elles seront moindres que c e l l e s

des mortiers prGpari5s en laboratoire parca que les mortiers de construc-

(7)

La nome prgvoit aussi une merhsde d'essai servant S dGterminer

le

rapport agrggat-ch&nt dans les martiers f r a i s . L'essai prescrit

le lavage d ' un ichanrillon de nortier sur un

ramis

no

100. L e s

matgriaux cimentaires traversent

le

tamis et I'agrGgat est retenu. Les

ri5sultats peneettent de v 6 r i f i e r

le

rapport agrggat-ciment avec fes

exigences du cahier des charges.

La

norme ne Suggsre p a s d e miSthudes d'essai qui dgteqineraient la

teneur en airL L'air occlus,

un

ingrgdieat &asentiel d a s les cirnents

B

mapnnerie, fournit lroavrabilit6 que donne la chaux dans les

martiers

3 p r i s e lente. Far ailleuzs, l'air acclus influence Ggalement la

r6sis-

Lance

ulrime

5

la

compression, c a r

2

mesure que la teneur en air augmente.

la

rikfstanqe 3 1% campression diminue.

11 exiate certains essais simples p a u r dGterminer la teneur en air que I'opGrateur

du

malaxeur ou'l'inspecteur peut u t i l i s c r pour conrr8fer la qualite du mortier da construction. Une mi5thade requiert

un

recipient 5 pression rnodifihe, l'essai le plus habitue1 pour diiterminer la teneur

en air

du

bBton. La d e u x i h e requiert

le

mesureur d'air Chace,

une

petite 5prouvette de verre gra4uG-e. Dans cet essai les bulles d ' a i r sQnt

relachGes d'une quantitg Cbnnue d e morcier en agitant llEprouvette conte- nant IY5chantillon de m o r t i ~ r et

de l'alc~ol

fsopropylique. A mesure que

l'air est relgchz, le niveau du.contenu d e lt$prouvette baisse et indique

le volume d'air entraPnG. Bien,que cette miSt2rode

ne

soit

pas

aussi prE-

c i s e qu'un essai en laborataire, elle indique b i e n les variations du

conrenu d'air qui se produisent parfois 2 cause, p a s exemple, d'uae granu-

lomiitrie anormale ou des cantant5naefs dans les agrggats ou les c h e n t s .

Les valeurs du cuntenu d'air, comme les v a l e u r s de la rEsistance

2

la

compression, serant p l u s basses dans les mrticrs d e construction que

dans 1es mortiers en labcratoire. La difference de l'ordre d e 4 2 ,

r e f l G t ~

la

difference d u processus d e mglange entre le mslangeur en labo-

r a t o i r e Hobart et les mi5langeura &caniques utflis6a sur les chantiers de ronstructicrn.

Le contr8le qualitatif de la prgparation des martiers 2 ma~snaerie

assume une nouvelle importance 2 cause de (1) la cornparaison ,des mgthodes

de fabricarion

de

ma~amerie conventionnelles avec les G l h e n t s de biiri-

ments s o p h i s t i q u g s , pri5fabriqds et de qualitd controlge et

,

(2) l'usage

d e mortier ccnmnle un materim collabarant dans

la

construction de murs .

porteurs.

Le

contrSle d e la q u a l i t & pendant

la

prgparation peut

stre

amSliarE ea suivant l e s reconuuandations contenuesdans la norme CSA A179.

concernant l'entreposage d e s matgriaw 5 pied d'oeuvre, le dosage et les

mgthodes de mGlange. La norme comprend une G t h o d e d'essai qui aidera

l'opgrateur du malaxeus 2 .dGt;ermj4er le foisonnement du sable et l ~ s

ragtrhodes d e prgparation

des

spEciniens pour les essais 5

la

comprcssian et de di5termfnatian du rapport entre les agrggats et le cimerrt dans la mortier frais dont p e u t d i s p o s e r l'inspecteur.

Un

usage correct

de

cen mGthodes d'essai assure des prapri6tEs plus caasistantes, amEliore

l'image de

la

masonnerie aux yeux du concepteur, m i n i m i s e les v a r i a t i ~ n s

de couleur ernbarassantes et pourrait Eventuellment contribuer

5

la r6ductian des facteurs d e sGcuritE dans l e s codes.

(8)

Concrete Masonry Ilandbook, Portland Cement Association, Gkokie,

Illinois, 1976.

Davlson, J . I . , The E f f w t of Mixing Time

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Brick Masonry Selection and Controls, Brick

Institute

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No. 83, 3 u l y / ~ u ~ u s t

1976.

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