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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Comment les entraîneurs de haut niveau de tennis justifient leurs conseils par des explications à caractère scientifique : extrait d'une enquête auprès des entraîneurs et conseillers techniques nationaux

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

COMMENT LES ENTRAINEURS DE HAUT NIVEAU DE TENNIS

JUSTIFIENT LEURS CONSEILS PAR DES EXPLICATIONS

A CARACTERE SCIENTIFIQUE: EXTRAIT D'UNE ENQUETE

AUPRES DES ENTRAINEURS ET CONSEILLERS TECHNIQUES NATIONAUX

A.DUREY

GREDISPEN ENS Saint-Cloud

mots clés Explications - Entraînement - Tennis - Scientifique.

Résumé:

(2)

Le questionnaire d'enquête a été envoyé au Printemps 1985 avec une lettre d'accompagnement de Gii de Kermadec. Son intervention explique le taux record de retour; 27/42 (6 entraîneurs nationaux et 21 conseillers techniques régionaux) soit plus de la moitié de la population étudiée (12 E.N., 30 C.T.A. au total en France).

Son objectif était de faire réagir les entraîneurs à la lecture de l'article de Science et Vie sur les trajectoires de balles

n

pour établir un premier lien entre un point de vue très physique du tennis (celui des auteurs) et un point de vue pratique (celui des entraîneurs). Pour cela nous avons construit un questionnaire d'enquête avec quelques questions ouvertes de type incident critique. C'est par ce biais que nous avons pu dégager quelques idées sur les explications à caractère scientifique utilisées par les entraîneurs dans leur pratique quotidienne sur le terrain avec les joueurs

Quelques données d'enquête sur leur provenance

professionnelle et leur formation scientifique.

La provenance professionnelle pour les entraîneurs nationaux est exclusivement liée au tennis soit comme enseignant, soit comme entraîneur.

En ce qui concerne les conseillers techniques régionaux, il y a plus de diversité mais plus de la moitié sont d'anciens enseignants d'éducation physique et sportive (7 professeurs, 4 professeurs adjoints, 1 maître auxiliaire).Trois sont d'anciens moniteurs de tennis, enfin 4 proviennent de disciplines très différentes (étudiant architecte, cuisinier, professeur de physique, attaché d'administration). Deux enfin n'avaient jamais exercé aucun autre métier avant celui-là.

(1) Gii de Kermadec -A. Durey"Tous les coups du tennis et leurs effets." Science et Vie hors série "le sport au quotidien" pp. 44·69 Juin 1984

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Notre propos étant d'évaluer l'intérêt des entraîneurs pour une approche de type scientifique dans leur travail, il était intéressant de connaître leur formation scientifique initiale moyenne.

I! ressort que :

3 ont un niveau très élevé en math/physique (Math. Sup., Math. Spé., CAPES de Sciences Physiques),

11 ont un niveau que nous évaluerons en moyenne au Bac Section D (2 étudiants architecte, 1 DEUG Sciences Eco., 7 profflsseurs EPS, 1 MA),

1 a une formation supérieure littéraire (DESS et CAPES d'espagnol) , 5 ont la formation scientifique donnée par le professorat adjoint 7 n'ont aucune formation scientifique initiale.

Les documents écrits dont les entraîneurs se servent le plus souvent pour préparer ou améliorer leur enseignement sont des documents, des livres, qui sont très proches des problèmes pratiques qu'ils rencontrent (description des fautes, correction et trucsàapporter). les documents citésàplusieurs reprises sont les Technicoramas de Gil de KERMADEC, "la Pratique du Tennis" de R. SCHONBORN, ''The Inner Game of Tennis" de GAllWEY, et "la maîtrise du tennis" de BRECHBUHl. Les thèmes abordés

à

travers ces lectures sont plus liésà des aspects psycho-pédagogiques et biomécaniques qu'aux sciences physiques ou mathématiques. Un seul mentionne les articles de la revue "la Recherche" et "Science et Vie".

Il est clair, que tant par leur formation antérieure (enseignants EPS ou moniteurs) que par la nature de leurs activités, les entraîneurs ont plus d'[ntérét pour les domaines scientifiques liés au corps (psychologie, anatomie, médecine) età la

transmission d'un savoir-faire (psychologie, pédagogie) qu'aux sciences

fondamentales qui interfèrent moins directement avec leurs préoccupations.

En ce qui concerne les exemples cités et les réponses aux questions plus ouvertes, on peut tout de suite noter une volonté unanime de faire suivre chaque conseil d'une explication, "même si elle vient plus tard et provient de notre expérience

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pédagogique"," même si elle provient d'une observation ou d'un résultat empirique", Cependant, malgré cette volonté ils restent incertains sur quelques exemples.

"Je pensais que sur les balles basses il fallait proposer le lift et sur les balles hautes le chop alors que la justification àpriori rationnelle (descendre la balle haute, monter la balle basse) n'est pas forcément évidente ni tactiquement (importance des drops sur les balles basses et près du filet) ni techniquement (importance du top-sin sur les balles hautes)".

"Faire admettre que l'orientation du tamis à l'accompagnement n'a rien à voir avec l'orientation de ce tamisà l'impact ",

"Recherche de l'accélération maximum du cordage par une frappe bras tendu au niveau de l'épaule (par un mouvement parallèle au sol) tous les livres de tennis parlent de frapper près du corps au niveau de la taille; mon analyse mécanique du mouvement m'amène à penser et à enseigner cette notion ci-dessus dans une recherche de vitesse sans précision",

"La prise raquette demandée à un jeune joueur pour faire un revers est une prise dite fermée -aucune explication rigoureuse avec une démarche scientifique ne confirme cela- l'observation va même jusqu'à contredire cette affirmation: Mac Enroe pour son revers avec une prise de coup droit.

C'est le problème des fondamentaux techniques".

"Lorsqu'un enseignant propose la découvete du revers coupé, il s'oppose systématiquementà la réflexion suivante de son élève: oui mais si j'ouvre mon tamis la balle va monter!! , L'enseignant rétorque alors: mais non ! Prends soin de bien accompagner et la balle ne montera pas! ". De toute évidence cette réponse n'est pas satisfaisante ni pour l'élève ni pour le maître : elle ne repose sur aucune justification raisonnable mais sur une approche empirique du jeu ",

Ces premiers exemples nous renvoient des questions, des problèmes qui pour certains peuvent faire l'objet d'une première esquisse de réponse qui va essayer de rapprocher le point de vue du joueur du point de vue développé par un modèle physique.

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Exemple du revers coupé ; modèle des joueurs. modèle physique.

Manifestement le joueur pense que la balle part perpendiculairement au tamis alors que le modèle de choc raquette balle introduit dans l'article de Science et Vie, tient compte de l'angulation du tamis par rapport àla vitesse de la raquelte et non par rapport

à

l'horizontale.

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VP.

CeUe distance entre les deux modèles est diminuée par l'intervention du professeur de tennis lorsque celui-ci introduit la notion d'accompagnement de la balle. Encore faudrait-il savoir ce que recouvre exactement ce terme dans "esprit du professeur et dans celui de l'élève. Si "on essaye de lui donner un sens physique, on est tenté de lui faire correspondre la notion de direction de déplacement du tamis au voisinage de l'impact (ce qui correspond

à

la direction de la vitesse du tamis au pÇlint d'impact). Alors on a la possibilité de faire remarquerà l'élève qu'ilya deux directions importantes pour connaître la direction de départ de la balle, il y a bien sur la perpendiculaire au tamis, mais aussi la direction de déplacement du tamis, et que sauf pour un coup plat ces deux directions ne sont pas forcément les mêmes. Séparer ces deux directions entraîne la production des effets.

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déplacement de raquette horizontalement avec tamis vertical (coup plat) puis de bas en haut, tamis vertical(lift) et de haut en bas, tamis vertical (coupé).

(Ceci n'est vrai qu'en fond de court, pour des balles arrivant lentement ou pour des ballesà l'arrêt (service), la situation est différente à la volée où il faut prendre en compte une troisième grandeur: la vitesse d'arrivée de la balle).

PLAT

~t3~/

LiFT

VI\

c.oupe

VI\

Boucle fermée (sans accompagnement) la zone d'impact est très réduite.

Le sens que nous avons donnéà -accompagnement· est probablement faux; il signifie beaucoup plus garder la direction de frappe le plus longtemps possible et est probablement lié à une plus grande sûreté du coup dans différentes situations. On peut produire le même coup avec une boucle du tamis très fermée mais la précision du coup doit être beaucoup plus grande et donc entraine moins de sécurité.

Direction de déplacement du tamis ~?~",~ment de la raquette à l'impact (VR)

~---~.

Boucle ouverte(avecaccompagnement. La zone d'impact correcte est grande (sécurité).

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Une autre difficulté consiste à prendre en compte ces deux directions au bon moment (instant de l'impact) .Ce n'est qu'à cet instant qu'elles sont pertinentes pour déterminer la direction de départ de la balle, -avant et après le choc elles peuvent avoir été modifiées; elles sont même obligatoirement différentes-, dans la mesure où les gestes efficaces (grandes vitesses) ne peuvent être obtenus que par des rotations rapides des segments corporels autour de leurs articulations communes. Qui dit rotation dit variation permanente des directions des vitesses.

On pourrait alors introduire la notion de direction de déplacement du tamis à l'impact (vitesse du tamis à l'impact) et de lier la notion d'accompagnement à la grandeur de la zone dans laquelle la direction de déplacement du tamis et sensiblement constante.

Les propositions visent à mieux définir (plus objectivement) des notions employées par tous les professionnels mais pour lesquelles il n'y a pas forcément identité de vue. Formulées de la sorte, elles sont plus précises mais aussi terriblement réductrices, car c'est la complexité des phénomènes mêmes qui entrainent ces polysémies.

Les chaînons manquants dans les explications

Nous avons par ailleurs analysé les exemples cités comme des explications scientifiques qu'ils utilisent souvent. Ils prennent bien sûr des précautions et mettent des guillemets à scientifique. On peut cependant sans rentrer dans les détails, constater que 23 sur 27 entraîneurs ont donné des exemples d'explications , de justifications, de nature scientifique et pour beaucoup faisant appelà des notions de physique. Ce qui montre que non seulement ils sont unanimement convaincus qu'un conseil doit être suivi d'une justification, mais qu'ils utilisent, de plus, presque tous des explications à caractère scientifique. Nous n'avons pas les moyens d'approfondir sur un questionnaire aussi court la justesse de ces interventions; nous nous bornerons à mettre en évidence quand et comment elles interviennent, sur quoi elles portent et par

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quoi elles sont justifiées.

Tout d'abord, nous allons recenser les aspects de la pratique tennistique cités pour lesquels il y a eu des exemples: la tactique, le geste, le frappé de balle, le plan de frappe, le service, la défense fond de court, les effets, la prise, la raquette.

Quels sont les concepts de la physique qui ont été utilisés ?; Tous les concepts de la cinématique (distance, temps, vitesse, accélération), la géométrie avec les notions d'angle et de distance (diagonale), la statique (bras de levier), la dynamique (force, couple, action et réaction, quantité de mouvement, énergie), la dynamique des fluides (Magnus, pression atmosphérique).

Il est également intéressant de s'intéresser aux liaisons de causalités ou aux relations établies pour argumenter une justification. Ce type d'analyse est très importante pour trouver les chaînons qui pourraient manquer entre l'explication sentie après une longue pratique et l'explication abstraite du physicien.

les explications à chaine complète ou dont les chaînons manquants sont évidents (correspondent au sens commun) et qui ne sont pas en contradiction avec la physique.

"Jouer en diagonale, plutôt qu'en ligne quand ils veulent taper fort en sécurité". La sécurité étant ici l'erreur tolérable plus grande. Il est sous-entendu qu'on peut jouer plus fort avec la même sécurité ou aussi fort avec plus de sécurité.

"Lancer la balle du premier service vers l'avant pour favoriser une trajectoire, rabattue vers le sol sans compensation du poignet". Le schéma joint est très explicite.

"Recherche de l'accélération maximum du cordage par une frappe bras tendu au niveau de l'épaule (par un mouvement parallèle au sol) dans un but de recherche de vitesse sans précision".

"Légèreté des balles par rapportà la pression atmosphérique en altitude" sous-entendu la pression atmosphérique étant moins forte, la force opposée par l'air est moins grande et la balle va plus loin semblant ainsi plus légère.

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"Force proportionnelle

à

la longueur du bras de levier pour éviter en coup droit, en particulier de joue. avec un bras fléchi. Voir schéma

C'est la vitesse linéaire du tamis qui est proportionnelle

à

la longueur du bras de levier, mais c'est cette vitesse qui détermine la force (impulsion pendant le choc) qui va déterminer la vitesse de départ de la balle.

Il serait peut être intéressant, de montrer les différentes vitesses des points de la raquette lors du fouetté final (rotation de la raquette autour du poignet) et également de montrer le principe du fouetté (rotation autour du poignet) qui se superposeà une autre rotation autour de l'épaule.

Exemple au service

Le poignet a tourné de 90 deg/Epaule Pendant le même temps la tête de RAQ a tourné aussi de 90 DEG autour du

poignet

Au total la tête de RAQ a tourné de 180 deg autour de l'épaule.

La tête de raquette a une vitesse linéaire qui est

à

chaque instant la somme de la vitesse linéaire du poignet plus la vitesse linéaire due

à

la rotation du poignet si elle était seule. Les deux rotations s'ajoutent et leur effet est d'autant plus grand que les bras de leviers sont plus grands (à vitesses de rotation égales).

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"Une balle liftée retombe plus rapidement qu'une balle coupée qui a tendance à flotter", Voir schéma expliquant la force Magnus qui allège ou alourdit la balle.

Les explications en raccourcis

"Une prise trop fermée entraîne une trajectoire trop courte avec beaucoup de rotation de balle". Sous-entendu une prise fermée entraine une angulation du tamisà la frappe plus importante et donc pour une même vitesse de frappe, une part plus importante de rotation au détriment de la vitesse linéaire d'où une balle trop courte.

"C'est en lui démontrant que les mouvements de bras faits horizontalement au niveau des hanches procuraient plus de longueur, plus de précision et de contrôle, en fait que c'était le parcours en ligne droite de la raquette durant la préparation qui permettait d'avoir le chemin le plus court d'un point à un autre (Mac Enroe)". Ici, ce qui est intéressant c'est la mise en relation de la forme du mouvement du bras avec le résultat du tir (longueur) et sa qualité (précision et contrôle) mais il y a probablement des raccourcis. En effet, à part l'argument d'autorité avec Mac Enroe, on ne voit pas pourquoi c'est le chemin le plus court qui donnerait de la longueur et

à

fortiori de la précision et du contrôle. Il y a des étapes omises qu'un entretien aurait certainement permis de trouver.

"Explications mécaniques de certaines formes elliptiques de gestes pour justifier la recherche d'une certaine continuité dans l'exécution et leur rôle dans la recherche de rythmes efficaces". La forme du mouvement rend compte de la volonté de donnerà la raquette une vitesse grande ayant une direction donnée pendant un trajet le plus long possible (sécurité) mais avec des moyens qui se limitent à des rotations autour d'articulations hanches, épaules, poignets, d'où les formes elliptiques continues. Le rythme n'apparaît pas sur la trace du geste; pour cela il faut faire intervenir les vitesses et "accélération.

Ilya des explications qui tentent de justifier la frappe les deux pieds au sol et en avançant sur la balle.

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"Pour expliquerà un gringalet qu'il pouvait parfaitement faire avancer une balle très vite, s'il mettait toute la masse de son corps sur la balle au moment de la frappe".

"Intérêt d'avoir un plan de frappe avancé car cela permet d'avoir toutes les articulations intéressées en arrière du plan du cordage (épaule, coude, poignet)".

"On a plus de force quand on frappe les deux pieds au sol".

"II ne faut pas que le corps fasse réaction en reculant sur des balles en profondeur difficile

à

relancer".

"Au service un enfant (droitier) ne pouvait donner de la vitesse àla balle: Son défaut le plus grave, l'épaule gauche fuyait en arrière au moment de la frappe (remède en meltant la main gauche sur la poche droite par exemple)".

"Lorsqu'un joueur joue une attaque (à la main) coupée en revers ,ceux qui sautent pendant la frappe (qu'ils fassent un pas chassé ou un 'pas de tango) voient leur balle planer ou atterrir plus loin".

Il manque dans ces relations quelques compléments qui permettraient de donner une explication complète, ou qui permettraient de formuler une question susceptible d'avoir une réponse, mais il m'est impossible de poursuivre l'interprétation au risque de trahir la pensée des auteurs. Un travail en commun est alors nécessaire pour mettre à jour les problèmes qui se posent tout en précisant un peu plus le sens des termes utilisés.

En tout état de cause, il

y

a là une mine de problèmes, de questions qui interpellent le physicien, qui ne sont pas simples, mais qui pour beaucoup peuvent obtenir des réponses partielles utilisant des concepts de physique et pouvant faire l'objet d'une explication de terrain avec des concepts plus familiers aux joueurs comme nous l'avons montré sur l'exemple du revers coupé. Le quotidien de l'entraîneur est ici source de problèmes et en retour, il pourrait être enrichi d'une meilleure compréhension physique des pratiques sportives, éclairage qui, comme on l'a vu, est très important pour les entraîneurs même s'il n'est pas et de loin le seul utile. Il reste cependant beaucoup d'obstacles car l'investissement est très important. Le

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gain sur le plan de l'amélioration de la performance du joueur n'est pas immédiat et les réticenses à surmonter sont parfois idéologiques comme nous le suggère cetle remarque d'un entraineur national: "souvent les explications scientifiques ne correspondent pasàla réalité".

Références

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