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Le découpage du projet. Recherche expérimentation en C.A.O.

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Le découpage du projet. Recherche expérimentation en

C.A.O.

Jean-Bernard Mothes, Jean-Claude Paul, Jean-Pierre Perrin

To cite this version:

Jean-Bernard Mothes, Jean-Claude Paul, Jean-Pierre Perrin. Le découpage du projet. Recherche

expérimentation en C.A.O.. [Rapport de recherche] 493/88, Ministère de l’équipement, du logement,

de l’aménagement du territoire et des transports / Bureau de la recherche architecturale (BRA);

Ministère de la recherche et de l’enseignement supérieur; Ecole nationale supérieure d’architecture de

Nancy / Centre de Recherche en Architecture et Ingénierie (CRAI). 1988. �hal-01902625�

(2)

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Convention n° 8701265

Ministère de l’Equipement, du Logement

de l’Aménagement du territoire

et des Transports

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Direction de l’Architecture

et de l’Urbanisme

Sous la direction de l’enseignement

de l’Architecture et

de la Recherche

Bureau de la recherche

Architecturale

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C.R.A.I.

Centre de Recherche en Architecture

et Ingénierie

J.B. MOTHES

J.C . PAUL

J.P . PERRIN

LE DECOUPAGE DU PROJET

(3)

RECHERCHE/EXPERIMENTATION EN CAO

INTRODUCTION

1 - LE DECOUPAGE MODEL/ DRAW

2 - LE DECOUPAGE GEOMETRIQUE / NON GEOMETRIQUE 3 - LA DECOMPOSITION / RECOMPOSITION DU PROJET 4 - TROIS MODES DE CONCEPTION

5 - LE DECOUPAGE DES VUES

6 - UN DECOUPAGE PAR ECHELLES DE CONCEPTION

(4)

" Le présent document constitue le rapport final d'une recherche remise au Bureau de la Recherche Architecturale en exécution du programme général de recherche mené par le Ministère de l'Equipement, du Logement, de l'Aménagement du

Territoire et des Transports avec le Ministère de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur. Les jugements et opinions émis par les responsables de la recherche n'engagent que leurs auteurs

(5)

Objet de la recherche

L'objet de cette recherche a été de confronter les méthodes et outils du découpage du projet architectural aux méthodes et outils du découpage de son modèle

informatique en CAO.

La recherche s'est appuyée essentiellement sur l'expérience de saisie, de gestion et d'édition des données d'un projet " vraie grandeur " réalisée au CRAI ( CIRILÆ cole d'Architecture de Nancy ) avec le logiciel CADDS 4 X ( Computervision ) et

l'application " General Building Design

Le projet support de cette expérimentation concernait un immeule de 47 logements •à Nancy. Cette opération est en cours de réalisation.

L'expérimentation a duré un an. Elle a été réalisée avec la participation des concepteurs de l'opération ( JJ Guyot Architecte ), du maître d'ouvrage ( Société Lorraine d'HLM ) de la société Bouyghues/Pertuy ( Entreprise générale ) avec le soutien du MELATT, de la Région Lorraine, de la Société Computervision, de la DRE et de la DDE de Meurthe et Moselle, de la Chambre de Commerce et de l'Industrie de Meurthe et Moselle, de la ville de Nancy et de l'Ordre Régional des Architectes. La recherche sur le " découpage du projet " a commencé en juillet 1987. Elle a duré 6 mois et ce document en constitue le rapport final.

(6)

Une problématique plus large

Cette recherche s'est inscrite dans le cadre d'un programme de recherche plus général, entrepris au CRAI, sur la méthodologie du projet et la CAO.

En posant le découpage du projet comme problème principal de la gestion du projet en CAO, cette recherche devait permettre de mieux éclairer les procédures de gestion des informations et de gestion des décisions mises en oeuvre sur un système de CAO tel que CADDS 4X, c'est à dire avec un logiciel orienté

essentiellement sur le dessin et les éléments du dessin, et non pas sur des objets architecturaux.

Un développement ultérieur de cette recherche sur le H découpage du projet " consistera à confronter les problèmatiques architecturales du découpage du projet à d'autres logiques informatiques, en particulier aux méthodes et outils de

l'intelligence artificielle.

C e travail, qui commencera en janvier 1988, sera réalisé au CRAI/CIRIL, avec la collaboration de l'Ecole d'Architecture de Nancy et l'Ecole Nationale Supérieure des Mines de Nancy.

(7)

Le volume des données statiques et dynamiques qui définissent un projet architectural est trop important pour être stocké dans une simple liste. Une structuration des données est nécessaire qui doit permettre de stocker et gérer l'ensemble des informations relatives à l'objet à concevoir, pour qu'à un instant donné, le concepteur ne travaille qu'avec une partie de cet ensemble d'informations. De même, la structuration des informations sur un système de CAO doit permettre d'adapter la gestion des informations du projet à la modularité du processus de conception, car le projet ne se conçoit pas globalement.

Le découpage informatique du projet organise cette structuration. Il a pour but d'optimiser la modélisation et l'exploitation informatique des données du projet, ainsi que l'efficacité des fonctionnalités attendues du système.

Cependant, le découpage du projet est en réalité le résultat d'un compromis entre deux problématique de découpage: l'une informatique et l'autre architecturale.

Le projet: modèle virtuel

La notion de projet en architecture est souvent confuse. Nous retiendrons ici, comme une hypothèse de travail, qu'un projet architectural est le modèle virtuel de l'objet architectural que l'on souhaite réaliser. Le projet simule ( fait apparaître comme réel ) cet objet qui n’existe pas encore.

Cette simulation est asservie à deux fonctions principales:

- formaliser le projet: on simule le projet en vue de son évaluation ou de son optimisation,

- instrumenter le projet: on simule le projet en vue de son exposition ou de sa fabrication.

Pour ces deux fonctions, qui sont deux moments, deux composantes, et parfois deux phases distinctes de la conception, les codes de communication de la simulation sont différents et les représentations du modèle informatique différentes.

La simulation du projet en CAO pose ainsi un premier problème de découpage du projet dont il convient de voir si, et dans quelle mesure il se supperpose aux découpages conventionnels du projet en phase de conception.

(8)

Le projet architectural est une simulation, une anticipation de l'objet réel à

construire, mais il est aussi le processus décisionnel qui donne naissance à cette simulation et permet d'en exploiter les fonctions. La conception du projet

architectural est la gestion d'un ensemble de procédures de choix ( et de non-choix ) qui se succèdent dans le temps.

Or, un projet architectural gère de décisions de nature différente, selon le point de vue ( architecture / ingénierie ) d'où elles sont prises, et des décisions de niveau différent, selon le moment ( esquisse / avant projet sommaire / avant projet projet détaillé / projet d'éxécution ... ) où elles sont prises.

Le découpage du projet est confronté à cette " dualité " et à cette " évolutivité " de la gestion des décisions du projet. Il en est même l'instrument opératoire.

(9)

Le projet résulte de deux sortes de décisions: les unes portent sur le choix d'un agencement de principe, les autres portent sur le choix des éléments constitutifs de la réalisation physique de l'objet architectural.

Le découpage du projet architectural est ainsi confronté à cette distinction entre: - l'architecture du projet: soit la conception d'objets symboliques délimitant des espaces et leurs enveloppes,

- l'ingénierie du projet: soit l'association, à cette construction symbolique, d'objets appartenant au monde réel et dotés de caractéristiques techniques, économiques et constructives.

Or, les limites entre ces décisions de nature différente sont imprécises. En réalité, l'architecture du projet et son ingénierie impliquent des décisions de conception qui peuvent être difficilement dissociées. C'est cette association obligée qui donne au projet son caractère conflictuel et négocié.

L'évolutivité du projet

Le projet est aussi un processus décisionnel en marche. Un projet d'architecture se définit étape par étape, par optimisations itératives, en fonction des contraintes des spécifications et des contraintes de la fabrication et à travers la confrontation des stratégies économiques et institutionnelles différentes des acteurs de la production architecturale et de leur rapport de pouvoir.

Dans la durée, le projet est ainsi confronté à un découpage en phase et dans chacune des phases du projet, le niveau des décisions est différent:

- la phase de l'esquisse du projet est ainsi une première phase de conception encore imprécise du cadre physique économique et social dans lequel le projet s'inscrit, - les phases de définition du projet sont ensuite des phases de conception architecturale et constructive où les décisions du projet se précisent. Toutefois, ici encore, les limites entre le niveau des décisions prises à ces

différentes phases du projet sont imprécises. Le passage de l'esquisse du projet à sa définition détaillée ne s'inscrit pas nécessairement dans un processus linéaire et descendant.

(10)

La dualité du projet existe tout au long de ses différentes phases.

Ainsi, l'esquisse permet déjà, par analogies, une première approche du système constructif et de l'enveloppe financière et une confrontation simultanée du

programme de l'organisation spatiale et des objectifs économiques. Ensuite, lors de la définition du projet.les optimisations et itérations successives permettent

d'opérer des choix et de préciser le projet en référence à des composants et à des procédés constructifs, sur le plan fonctionnel, technique et économique.

Au cours de ses phases, le projet constitue également une double simulation de l'objet architectural à réaliser.

Ainsi, la formalisation du projet permet d'effectuer les optimisations succesives du projet. L'instrumentation du projet permet d'exposer l'objet architectural aux maître d'ouvrage, au jury du concours, aux clients..., ou bien de le décrire ( par des plans d'exécution, des spécifications techniques, un descriptif et un estimatif,

un planing prévisionnel etc... ) aux entreprises consultées ou chargées de la construction.

Les six découpages informatiques et architecturaux du projet présentés ici reflètent ces problématiques et l'ordre chronologique du projet suivi au cours de notre expérimentation:

- le découpage Model/Draw,

- le découpage Géométrique/non géométrique, - le découpage répétitif/exceptionnel,

- le découpage Filaire/Surfacique, - le découpage des vues,

(11)

Le modeleur numérique : outil d'aide à la conception du projet et à la mise en place de ses représentations.

les logiciels de CAO puissants nécessitent une organisation rigoureuse du processus de conception-réalisation. Toutes les instructions sont mémorisées et gérées dans une base de données unique, ce qui permet d'évaluer à tout moment la cohérence du projet par des acteurs aux préoccupations

complémentaires et aux points de vue divergents.

L'intervention des acteurs ne nécessite pas un processus séquentiel conventionnel.

Mais il exige, en préalable de toute étude, un canevas commun à tous les acteurs.

Un premier découpage s’opère au niveau du modeleur numérique: il concerne deux phases du travail de conception: phase Model /phase Draw.

- La phase Model définit le domaine d'intervention des concepteurs: architectes, ingénieurs, définissant le projet dans sa constitution spatiale et technique.

-La phase Draw définit le domaine d'intervention des dessinateurs.

Le modèle étant complètement défini pour une séquençe d'étude donnée, sa représentation peut s'effectue sans altérer le modèle.

On élabore l'ensemble des représentations avec les codes graphiques adaptés : le dessinateur habille les représentations du modèle par des labels,

(12)

Sur le plan de la méthodologie cette expérimentation s'est basée sur deux hypothèses préalables :

- un dialogue étroit entre les concepteurs qui décident et le projeteur qui s'applique à visualiser le projet de façon pertinente pour provoquer les prises de décisions.

- une définition plus précise de la constitution géométrique et physique du projet et une convention entre les décideurs et le projeteur afin de

minimaliser l'inertie du dialogue entre le centre serveur, les architectes et I' entreprise.

Un modeleur numérique enregistre toute information en langage binaire. Le modeleur n'acceptant pas le "non-dit", le projet ne peut alors être visualisé que par ses éléments définis.

Ce processus de décision remet en cause la fabrication "classique", où c'est une série de dessins autonomes, conçus à des échelles cartographiques précises correspondant à la situation du projet, qui informe le projet.

Un modeleur numérique ne gère pas les échelles de conception: le modèle est saisi en vraie grandeur. On contrôle les échelles de représentation par

l'intermédiaire des diverses vues du modèle dans les dessins appropriés. Les douze dessins destinés au permis de construire sont associés à un projet unique qui assure une cohérence à l'ensemble des représentations.

(13)

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(17)

L'élaboration du modèle: des données géométriques, des données textuelles. Un modeleur exige une organisation rigoureuse des informations multiples que l'on désire mémoriser dans la base de données, ceci à deux fins complémentaires:

- une visualisation du projet " exigentielle ", facilitant ainsi le travail au quotidien des concepteurs lors de la construction du modèle, grâce à des visualisations du projet ou d'une de ses parties, suffisamment interactives. - une gestion du modèle "efficace", permettant une exploitation rationnelle du projet pour lès sorties graphiques ou pour les calculs associés.

Ce découpage est celui du modèle en différentes couches d'information: toute entité du modèle et de ses représentations est située sur un canevas de 255 Layers ("calques") et ceci pour chaque mode de travail ( Draw et Model ). Une préoccupation majeure se situe précisément dans le dialogue entre l'organisation de ces couches informatiques constituées d'entités (

géométriques ou textuelles ) et le découpage du projet ( spatial, technique, physique ) à un moment donné.

Toute procédure de saisie exige une entente entre les acteurs pour formaliser et instrumenter le projet:

- où se situe le lien entre I' espace " heuristique " de I' architecte et l'espace " nominal " du modèle numérique: comment évaluer le dimensionnement? - où se situe l'équilibre entre une définition graphique et une définition textuelle du projet: quel type d'exploitation peut on réaliser à partir de la base de données?

(18)

L'expérimentation s'est, au départ, organisée autour de deux pôles : - une modélisation de l'enveloppe, constituant une première maquette "spatiale", permettant une visualisation de l'objet à partir de tout point de vue,

- une modélisation de son organisation interne, constituée des différents plans du sous-sol au dernier étage , réglant les dimensions et surfaçes intérieures.

Le découpage des layers présente une structuration des données permettant de résoudre certains problèmes, soit de façon autonome, soit par la

confrontation des représentations multiples dans la base de données unique: - représentation des trois batiments: organiser le projet de l'enveloppe extérieure,

- représentation des six étages: organiser le projet de répartition des logements,

- représentation des douze types de logement: organiser le projet de répartition des pièces.

Ce découpage est le reflet de I’ ensemble des décisions prises ( en dessin et en description ) sur le projet, par les décideurs (choix techniques et

spatiaux) et de leur gestion dans la base de données.

Les documents de l'A.P.S sont constitués en majeure partie par de la géométrie.

Des modes de c alcu l, propres à la gestion des surfaces, ont permis un contrôle régulier du dimensionnement nominal du p ro jet.

Ce découpage par couches d'information s'appuie sur une décomposition du projet en éléments multiples de toute taille, du composant à l'enveloppe complète.

(19)

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3-le découpage du modèle en ses com posants : décom position/recom position du projet.

les constituants du modèle : organiser les parts ("projets") et les figures nodales ("éléments de bibliothèque").

Des propriétés associées au graphisme.

La géométrie permet de construire un modèle très rapidement, par une succession d'opérations simples: translations, rotations, symétries,.

Lorsque le modèle se complexifie la gestion de l'information ne peut plus s'effectuer par sa structuration en simples couches "identiques", on a alors recours à des procédures pour manipuler des objets plus complexes, associant géométrie et descriptif: les figures nodales.

Une analyse sur la hiérarchie des constituants du modèle est préalable à toute utilisation d'une base de données importante.

- qu' est ce qui est de l'ordre du répétitif, du quotidien ? - qu' est ce qui est de l'ordre du particulier, de l'exceptionnel ? Les différentes figures nodales.

Une figure nodale se compose d'un modèle ( I' élément de bibliothèque ) et d' un pointeur ( associé au noeud ) qui relie le modèle de base se trouvant dans la mémoire centrale et les copies situées dans le projet d'accueil.

D'un point de vue informatique, cette gestion permet d'alléger la base de données en ne précisant qu'une seule fois l'information nécessaire à la compréhension du projet.

Une possibilité de mise à jour automatique dans le projet d'accueil est possible.

On gère le bilan des composants du projet à tout instant ce qui accroît l'interactivité en mode graphique et dans les modes de calcul.

(24)

Organisation du projet pour la préparation de l'avant-proiet détaillé. Le contrôle de la géométrie étant effectué lors de l'avant-projet sommaire, une définition plus précise du modèle s'est opérée en décomposant la base de données de l'APS en seize sous-projets autonomes dans leur

représentation : chaque projet

correspond à une partie de chaque étage avec son propre dessin, ce qui a permis de réduire les temps de réponse, lors de la phase draw.

Chaque sous-projet a été constitué de deux types de figures propres au module GBD.

- les murs types, composés de peaux définies en épaisseur et en description. - les objets: menuiseries, sanitaires et habillages des plans qui se situent en rapport aux murs, soit en intégration, soit en proximité.

L'utilisation du module GBD implique donc une saisie des données très séquentielle:

- disposition des différents murs types: refends,enveloppes,cloisons intérieures,

- disposition des menuiseries et des éléments sanitaires, - connection des différents murs types,

- génération des détails de murs: affichage des peaux, traitements des ébrasements,

- génération de I' habillage à l'aide de graphismes associés,

- cotation du projet en plan: on indique sur le dessin les dimensions réelles du modèle.

Cette gestion assez contraignante en phase d'études permet de produire en phase d'APD une situation très précise du modèle global. Chaque sous-projet constitue une figure du projet global définissant alors la phase d'intégration, par niveau ou par batiment.

(25)

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(29)

4-les trois modes de représentation du modèle et la figuration du projet: de nouveaux lieux de communication.

Les modèles filaire. surfacique et volumique .

Les modeleurs numériques utilisent trois modes de représentation de la géométrie du projet ayant un degré d'abstraction différent.

- Le mode filaire permet une représentation rapide en définissant un volume par ses arêtes, ce qui pose le problème d’une lecture univoque du modèle. - Le mode surfacique définit tout volume par ses surfaces d'enveloppe. Celles ci sont toujours représentées avec un certain degré de précision (

interpolation ).

- Le mode volumique distingue intérieur et extérieur de toute pièce. Le modèle se fabrique à partir de fusions d'objets, définissant des pleins et des vides.

Réaliser une maquette en mode surfacique engendre une base de données plus chargée et nécessite une capacité de stockage importante: chaque point de l'écran ( pixel )

s'attribue une valeur définie en mémoire centrale.

Le grand interet est de pouvoir calculer, de tout point de vue du projet, des images réalistes en rapport à la constitution géométrique du modèle et de pouvoir ainsi évaluer la volumétrie ( ce logiciel peut par exemple calculer les ombres portées).

Des outils complémentaires ( palette graphique, animation ) peuvent alors continuer à renforcer le processus de visualisation.

L'évolution des capacités graphiques ( processeurs et cartes graphiques ) tend à une utilisation plus fréquente des images de synthèse. Déjà des matériels légers ( compatibles IBM ) supportent des logiciels de visualisation conviviaux qui permettent de visualiser le projet en phase d'étude.

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Des représentations des espaces intérieurs ou extérieurs ont été réalisées à la suite de l'avant projet détaillé. Les composants murs et objets ont été projetés , définissant la volumétrie interne du projet niveau par niveau. Le module GBD permet de générer un traitement des faces cachées, selon un point de vue donné, à partir de la base de données. Le temps de calcul et la finition des images calculées laisse cependant un petit goût d'amertume. La maîtrise de projets conséquents s'avère difficile.

La maquette de l'enveloppe extérieure a été complétée en mode surfacique: la visualisation nécessite de découper les différents plans en petites surfaces coplanaires. Une mise à jour des figures de bibliothèque ( menuiseries ) fut également réalisée.

Le batiment complet est composé d'environ quatre mille surfaces planes ( surfaces réglées ).

La complexité de la visualisation d'un projet d'architecture se situe donc dans la gestion d'un grand nombre de surfaces simples. Les modeleurs

surfaciques sont utilisés dans d'autres domaines pour représenter des projets complexes dans leur définition géométrique. On procède alors par interpolation de surfaces.

La maquette surfacique du projet a été préparée à Nancy, les images de synthèse, ont été réalisées chez Computervision par Jean Christophe KAISER, chercheur au CRAI.

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-5-Le découpage des vues: une hypothèse d'organisation en phase d' avant-travaux.

Les facultés de visualisation du système permettent des figurations très diverses.

Elles permettent notamment la réalisation de représentations codées conventionnelles.

L'organisation séquentielle: phase de travail en mode Model et phase de travail en mode Draw est necessaire lorsque les intervenants sont nombreux et ont des missions définies.

Notre hypothèse est qu'un modeleur permet aussi de contrôler la mise en page du projet en phase de conception par des découpages du modèle et de l'écran graphique. Cette démarche permet de réduire l'inertie du processus de

fabrication des documents graphiques en contrôlant de façon simultanée l'évolution du modèle et son évaluation par le biais de ses représentations. On effectue alors un balayage de l'objet par tranches d'espace, qui permet de comparer les différents plans du projet.

Il faut constater à ce sujet un fait important: la taille et la définition des écrans ne permettent pas de visualiser correctement tout projet important dans une globalité et les processeurs graphiques réagissent avec inertie aux variations d'échelles de représentation.

_ Les cadrages et mises au point (zoom,translations...) consomment environ 30% du temps de saisie-évaluation à l'écran ( information IBM ).

- Visualiser la globalité d'une maquette trois dimensions sur un écran plan est peu pertinent. On a longtemps prédit la suppression des documents

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Description de la phase "Avant-Travaux"; une vérification de la base de données adaptée à la préparation des documents d'exécution.

On définit des vues, de face, de profil ou de dessus avec une profondeur de champ adéquate pour ne visualiser qu'un plan donné, ce qui élimine l'inertie de la méthode des draws multiples qui oblige à une définition parfaite du projet avant sa représentation.

Lors de cette recherche-expérimentation les principaux documents exigés étaient de nature graphique.Ces documents contractuels exigeaient une grande souplesse d'intervention à cet égard.

Les décisions d'ordre technique et constructif engagent la responsabilité des divers intervenants de l'acte de construire.il est important de pouvoir alors corriger la maquette au dernier instant.

Chaque document graphique a été réalisé à partir d'un draw unique sur lequel treize vues présentent les différents niveaux en plan et en coupe, en se superposant ( les vues sont alors à l'échelle cartographique convenue ) et en se juxtaposant ( on visualise alors les différents niveaux dans leur totalité ). Lors de l'exécution des plans de coffrage béton, cette méthode a permis de construire et de comparer à tout moment:

-les " plans architectes représentation en coupe horizontale d'un étage en regardant vers le plancher.

-les " plans de coffrage représentation en coupe horizontale d'un étage en regardant vers le plafond.

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(41)

6-Le découpage par échelles de conception: u tilis e r une base de données relationnelles.

Evolution des systèmes de CAO.

Le concept de base d'un modeleur graphique est d'évaluer par des visualisations géométriques un modèle complexe en toute phase de

conception. Ceci en temps réel à toutes les échelles cartographiques et sous tous les points de vue.

Actuellement le rapport entre le projet et son modèle est principalement d'ordre géométrique. Le projet ne peut se nourrir de représentations multiples du modèle.

Deux outils propres au système informatique évoluent actuellement à grands pas:

- les processeurs graphiques deviennent de véritables relais entre le système central et l'écran, allégeant l'inertie liée au processeur central. - des bases de données relationnelles permettent des accès multiples à de véritables bibliothèques de composants paramétrés définis complètement. Cette évolution des systèmes de CAO facilitera la gestion de tout projet conséquent et réduira les contrôles et dégradations engendrées par la lourdeur des bases de données actuelles. Il sera alors possible de concevoir une partie du projet tout en visualisant l'ensemble ou certaines de ses parties, ceci afin de s'y référer sans augmenter les temps de réponse et en minimisant les risques de dégradations.

Parallèlement, d'autres possibilités de communication devraient se développer: transferts entre outils complémentaires ( ingénierie, synthèse d'images, animations) réseaux associés à des stations de travail, utilisation de la télécopie pour communiquer, cd-rom pour archiver, établir des diagnostics.

(42)

Tout projet se fabrique par le biais d'échelles de conception permettant d'appréhender l'objet à réaliser à des stades de définition différents et selon des points de vue complémentaires et souvent d'intérêts divergents.

En conception traditionnelle, ces échelles de conception se traduisent par des dessins ayant des échelles cartographiques variées, qui règlent des

problèmes de nature.différente: du détail au plan-masse. Le dessin situe le projet avec une précision adaptée.

Tout élément dans la base de données est classé, défini et reconnu en taille. Cependant, il n'existe pas de véritable hiérarchie permettant de contrôler le modèle, par stades successifs ou imbriqués, par parties de projet, sans remettre totalement

en cause l'organisation de celui-ci.

Les nouvelles méthodes liées à l'intelligence artificielle et à l'utilisation de systèmes experts devraient permettre de résoudre le lien entre échelles de conception, échelles de représentation et échelles cartographiques par des procédures de choix sous contraintes.

Le rapprochement de nouveaux outils : image numérique, télécopie et cd-rom devraient compléter les facultés de communication des systèmes de CAO. L'enjeu nous parait double:

- mettre en oeuvre des outils performants en temps et adaptés en coût, - mettre en oeuvre des méthodes permettant une plus grande synergie entre conception et réalisation.

(43)

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Cette recherche sur le découpage du projet s'est inscrite, on l'a dit, dans le cadre d’un programme de recherche plus général entrepris au CRAI sur la méthodologie du projet et la CAO.

En posant le découpage du projet comme problème principal de la gestion du projet en CAO, cette recherche devait permettre de mieux éclairer les procédures de gestion des informations et de gestion des décisions mises en oeuvre sur un système de CAO tel que CADDS 4X, c'est à dire avec un logiciel orienté

essentiellement sur le dessin et les éléments du dessin, et non pas sur des objets architecturaux.

La gestion du projet

Pour réalisr le projet présenté ici, les découpages du projet ont suivi une logique séquentielle. Cette logique est celle d'un processus conventionnel de

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Or, les inconvénients de ce schéma séquentiel et segmenté sont connus. Mal gérée, la succession des phases du processus de conception fabrication est assortie de nombreux feed-back qui engendrent des contre-productivités importantes pour le projet. Mal gérée, la compatibilité des segments du processus de conception fabrication aboutit au " déshabillage " du projet.

Au delà de l'informatisation des activités conventionnelles du projet architectural, notre problématique du découpage du projet n'a pas réellement permis de mieux gérer la dualité et l'évolutivité des décisions d'un projet.

L'évolutivité du projet exige de gérer des solutions temporaires, des retours en arrière, des niveaux de précision différents, des procédures et des objets dont les statuts et le niveau de spécification évoluent au cours de la conception. De même, la dualité ( Architecture/ingénierie ) du projet exige de gérer des solutions

compatibles, des associations de nature différentes, des procédures et des objets dont les statuts et la nature des spécifications appartiennent à des champs de conception différents.

L'économie du projet est la façon dont sont gérées les décisions du projet, en particulier la façon dont sont gérées la dualité et l'évolutivité du projet. Et la capacité d'un système de CAO à optimiser cette économie est donc une question clée.

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Un développement ultérieur de cette recherche sur le " découpage du projet " consistera à confronter les problèmatiques architecturales du découpage du projet à d'autres logiques informatiques, en particulier aux méthodes et outils de

l'intelligence artificielle.

Les langages orientés objet semblent mieux adaptés à la résolution de certains problèmes rencontrés au cours de la conception d’un projet architectural que les langages classiques:

- quels objets architecturaux le concepteur souhaite-t-il manipuler aux différents stades de la conception et quelles opérations veut-il pouvoir effectuer sur ces objets?

- quelle est l'évolution des objets et de leurs statuts pendant la conception? ( problème de leur polymorphisme et problème lié à leur surspécification au cours du projet et à leur restructuration au cours de l'instrumentation du projet ),

- quelles imprécisions veut-on pouvoir gérer et de quelle manière veut-on les gérer pendant la conception? ( question à relier au problème des solutions temporaires et du retour en arrière ),

- comment permettre une conception non linéaire et pas toujours descendante? ( possibilité de pouvoir définir une partie du projet avant d'avoir décrit

complètement le contexte qui l'englobe ).

Une nouvelle recherche

Notre nouvelle recherche aura pour objectif de spécifier ces problèmes posés lors de la conception et de les traiter grâce à un langage orienté objet - le langage Eiffel d'ISE - dont on exploitera au maximum les caractéristiques.

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- définir des objets grâce à l'héritage simple et multiple: définition d'une hiérarchie d'objets avec

les attributs et les oppositions associées, reflet du découpage de l'univers architectural; lors de ce travail, on exploitera au maximum la redéfinition et le renommage de méthodes afin de gérer au mieux le polymorphisme des objets, notamment sur les procédures d'évaluations techniques;

- utiliser à partir de l'interface de conception ( éditeur ) le typage statique et

dynamique des objets afin d'être aussi souple que possible et de permettre la mise en oeuvre des fonctions décrites dans la première partie.

- étudier la possibilité d'écrire interactivement une bibliothèque de composants qui seront en fait les feuilles de la hiérarchie d'objets.

Cette dernière partie se terminera avec la réalisation d'une maquette qui permettra de valider les conclusions issues de la première phase. L'interface de visualisation du projet sera graphique. Il faudra pour cela ajouter aux objets des attributs permettant de leur attacher un graphisme et utiliser une bibliothèque graphique.

La recherché commencera en janvier 1988. Elle sera réalisé au CRAI/CIRIL, avec la collaboration de l'Ecole d'Architecture de Nancy et l'Ecole Nationale Supérieure des Mines de Nancy.

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